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Au camping – Chapitre 4




Il était vingt trois heures passées lorsque jarrivais au camping. Jôtais immédiatement ma robe qui me collait à la peau et je la jetais dans le panier à linge. Jenroulais une grande serviette autour de mon corps et je me dirigeais vers les sanitaires avec mon shampoing et une poire de lavement. Oui, avec ses douches collectives suspendues, pas facile de soigner son intimité !

Jempruntais lallée centrale afin de ne pas tomber une nouvelle fois sur le vigile, et puis si je le rencontrais, il y avait encore assez de monde qui déambulait ou qui prenait lair à leur emplacement pour être sauvée des griffes du gros lard.

Jentrais dans les douches, où il ny avait apparemment personne. Je dénouais ma serviette que je jetais sur le dessus de la porte, les patères ayant été arrachées. Leau ruisselait sur mon corps pour mon plus grand plaisir, je me savonnais des pieds à la tête avec la délectation dêtre une femme et non une souillon malpropre. Jemplissais la poire deau chaude et introduisant la canule entre mes lèvres remplissant de liquide chaud mon utérus. Cétait si bon de sentir le liquide gicler dans ma vulve, que je répétais lopération à plusieurs reprises. Mes sens se réveillèrent de nouveau, et au moment dintroduire le tube entre mes lèvres dégoulinantes deau, je le positionnais sur mon anus, lenfonçant plus lascivement que je neusse dû le faire. Je pressais la poire par petites poussées pour le plaisir déprouver la jouissance dêtre comblé et inondé comme si un homme déchargeait sa semence en moi. Tout en pressant la poire, jinsinuais mes doigts entre mes lèvres puis jastiquais mon clitoris qui sortit rapidement de son capuchon de chair. Je réitérais ce plaisir jusquà obtenir lorgasme convoité. Et plutôt que de pousser dans mon ventre pour évacuer le liquide, je le laissais suinter à sa guise pour ruisseler le long de mes cuisses.

Je me savonnais une dernière fois et je me rinçais avant de messuyer.

Horreur ! Ma serviette avait disparue ! Je regardais sous le battement de la porte pour constater quelle nétait pas tombée à lextérieur. Jétais nue, sans rien à me mettre ! Jattendais quelques minutes dans langoisse quand quelquun arriva.

— Sil vous plaît ? Excusez-moi, pourriez-vous me prêter une serviette, jai oublié la mienne ?

— Vous pouvez sortir mouillé, il fait chaud, et vous sècherez en rentrant !

Bien sûr, je nallais pas dire que jétais toute nue ! Il se passa de très longues minutes avant que je nose passer la tête par la porte. Personne nétait en vue. Cachant mon sexe dune main et ma poitrine de lautre, je me hasardais à sortir, bêtement sur la pointe de mes pieds nus pour ne pas éveiller ma présence. Jarrivais à la porte des sanitaires où comme à la porte de la douche je passais ma tête dans lentrebâillement. Toujours personne ! Jallais sortir quand une voix dhomme derrière moi lança :

— Très joli cul madame !

Je me retournais effrayée. Un homme dune soixantaine, poilu, en short et avec ma serviette autour du cou me contemplait en souriant.

— Donnez-moi ma serviette ! Hurlais-je.

— Venez la chercher !

Les mains croisées sur mes intimités je me postais devant lhomme qui tenait toujours fermement la serviette autour de son cou.

— Vous la donnez ?

Pour toute réponse de sa part, il me poussa dans une grande cabine pour handicapé dont la porte était ouverte. Il la referma en la cadenassant.

— Tu vas pas partir toute mouillée, laisse-moi te sécher !

— Pourquoi faites-vous ça, vous êtes un pervers !

— Pervers ? Sans doute, dit-il dun sourire vicieux, mais toi tu es une belle petite salope daprès

les exploits du vigile. Alors, quand je tai vu passer tout à lheure près de ma caravane, je me suis dit que

— Que quoi ?

— Que jirais te sécher comme une pute se doit de lêtre, ou bien cest à poil que tu traverses le

camp pour rentrer, tu choisis. Enfin, moi si jétais toi, jaimerais pas tombé nu sur le vigile à cette heure, non ?

Comme je ne répondais pas, et dans un sens il avait raison, je le laissais sapprocher et poser la serviette sur ma poitrine pour me sécher.

— Voyons voir si je lai bien épongé ?

Il posa sa main sur mon sein en le contournant pour en prendre la forme et le volume et en fit de même avec le second, sa caresse se fit plus polissonne, avant de carrément la pétrir et pincer mes tétons dune manière vicelarde. Je le toisais et le défiais de mon regard quil soutint.

— Le vigile avait raison, tas de belles mamelles bien pleines. Maintenant, mets-toi à genoux

que je tessuie le dos !

Bien quun peu réticente je mexécutais et je me mis à genoux sur le carrelage blanc. Il sécha mon dos, puis il jeta la serviette. Jallais me relever lorsquune de ses mains se plaqua sur ma nuque pour mempêcher de me redresser. Son autre main masséna une claque sur mes fesses.

— Avant de partir je vais explorer tout ça !

Ses doigts glissèrent entre mes fesses et vinrent se faufiler entre mes lèvres moites. Je resserrais les jambes, une autre claque plus vive sabattit sur mes chairs.

— Laisses-toi faire salope ! Ou tu rentres à poil !

De ses pieds il me fit bien écarter mes cuisses, et ses doigts me forcèrent, deux, puis trois puis quatre doigts taraudèrent ma vulve rageusement. Je geignais, mais pas de plaisir, je me consolais en me persuadant que lorsquil aurait fini, je pourrais rentrer, Alors je pris mon mal en patience sous sa perversité.

Il cracha sur mon anus pour renouveler ce quil venait de faire avec mon sexe.

— Tes une belle pute ! Il paraît que taime te faire enculer, non ?

Tant il me faisait mal, je poussais un cri sans lui répondre. Il prenait un malin plaisir à dilater mon anus en vrillant ses doigts dans mes intestins. Puis sans prévenir, il baissa son short et vint éjaculer sur mes fesses en me traitant de tous les noms. Je pensais mon calvaire fini, cependant il vint se placer derrière moi pour me sodomiser. Après avoir été distendue, sa verge souillée de son sperme, il me posséda sans tiraillement.

— Enculer, cest un plaisir que ne me donnes pas femme, heureusement quil y avait une

trainée comme toi dans le camp, hein ma petite salope !

Heureusement son pénis redevint vite flasque, et il se dégagea en me crachant dans lanus.

— Allez ! Essuie mon sperme !

Il mavait tiré par les cheveux pour présenter son sexe à ma bouche, et je dû le sucer et avaler les restants de sperme que son méat retenait encore.

Il sen alla, laissant la porte ouverte.

Pauvre conne ! Me dis-je. Puis je me douchais de nouveau.

Quelle attitude aurais-je demain ? Tout le camp va connaître leurs exploits, à qui le tour penseront-ils ?

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