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Isabelle ma belle mère – Chapitre 1




Ma belle-mère Isabelle est venue nous rendre visite pendant une semaine. Pour l’occasion, j’ai pris des congés. Elle est venue seule. C’est une femme de cinquante ans, mince, élancée, des cheveux blonds mi- longs et avec une poitrine d’une grosseur normale et ferme. J’ai eu l’occasion de la voir avec un décolleté assez profond et ses seins sont tendus et lisses. Elle porte une jupe droite noire qui lui arrive au-dessus du genou et un chemisier fin laissant apparaître un soutien-gorge en dentelle transparente blanche. On aperçoit ses mamelons qui pointent. Elle est très élégante.

Elle est venue en train de l’autre bout de la France et après dîner, nous nous sommes installés Isabelle, Sandrine ma femme et moi dans le salon. Nous avons discuté de choses et d’autres.

Au bout d’un moment, la fatigue se faisant ressentir, ma belle-mère décide d’aller se coucher. Je lui montre sa chambre au bout du couloir, la nôtre étant à l’autre bout. Il est assez tard et nous partons nous coucher aussi.

Ma femme se déshabille. Elle est mince elle aussi avec des cheveux qui lui tombent dans le dos. Elle dégrafe son soutien-gorge et libère ses seins qui contrairement à sa mère sont lourds et assez gros et tombent un peu. Elle a deux grandes auréoles assez sombres. Elle est agréable à regarder.

Elle laisse glisser sa petite culotte de couleur crème assortie à son soutien-gorge et là, je constate qu’elle s’est épilée le pubis. C’est la première fois que je la vois avec la chatte complètement rasée.

Je lui demande « c’est nouveau » et elle me répond « j’en avais envie et je voulais voir ta réaction… ça te plait ». Je lui réponds « oui… j’aurais l’impression de baiser une petite fille au sexe bien lisse ».

Nous dormons toujours nus. Elle se glisse dans les draps et se blottit contre moi. Je passe ma main sur cette chatte bien rasée. La vue et le touché de ce sexe imberbe me fait de l’effet et je sens mon pénis grossir et durcir. Sandrine s’en rend compte, le prend dans sa main et commence des mouvements de va et vient en décalottant mon gland. Je bande de plus en plus.

Pendant ce temps, je caresse sa vulve lisse et introduit mes doigts dans son vagin. Ni tenant plus, je me mets sur elle et introduis ma bite à l’intérieur de son entrejambes. Elle passe ses jambes au-dessus de mes épaules, c’est une position qu’elle adore car je peux m’introduire très loin dans son vagin à aller toucher son utérus. Le contact avec sa chatte lisse, décuple mon excitation et je m’enfonce très profond en elle. Après des vas et vient très prononcés, ne pouvant plus me retenir, j’explose au fond de son vagin en lâchant mon jet de sperme.

Sandrine vient également de jouir et m’embrasse en enfonçant sa langue au plus profond de ma bouche. On n’a pas été particulièrement discrets et j’espère que l’on n’a pas réveillé sa mère.

Sandrine se retire et on se tourne chacun sur le côté.

Un peu plus tard dans la nuit, j’entends Sandrine se lever sans allumer la lumière, sans doute pour aller aux toilettes.

Quelque temps après elle revient, toujours dans le noir et se glisse sous les draps. Elle se colle contre mon dos. Je sens ses seins contre ma peau. Elle passe son bras au-dessus de moi et commence à caresser ma bite. Il faut dire que Sandrine est assez active sexuellement et également un peu exhibitionniste n’hésitant pas à s’accroupir devant moi dans des lieux publics comme le super marché en écartant les cuisses. Ses caresses ne tardent pas à réveiller mon sexe qui se dresse dans sa main.

Elle me masturbe en caressant du bout de son doigt mon gland gonflé de sang. Je me laisse faire. J’adore lorsqu’elle me masturbe, quelquefois elle entoure ma bite avec sa petite culotte.

Je me tourne sur le dos pour pouvoir mieux apprécier cette masturbation délicieuse.

Sandrine lâche mon pénis et vient me chevaucher. Elle se frotte à moi et je sens ses poils caresser mon gland…

Mais… Sandrine n’a plus de poils, je l’ai vue complètement épilée.

Un moment d’angoisse me parcourt et je tends la main pour allumer la lampe de chevet.

Oh surprise, la femme qui me chevauche et qui a introduit ma bite dans ses poils et son sexe n’est autre qu’Isabelle ma belle-mère. J’ai devant moi ses deux seins magnifiques qui pointent dans ma direction et plus bas je vois une belle toison châtain assez fournie et soyeuse.

Elle va et vient sur ma bite et ne dit aucun mot. J’en profite pour lui caresser ses seins et rouler entre mes doigts ses tétons qui se dressent. Elle a des auréoles roses, pas trop larges et des pointes de seins très proéminentes, au moins un bon centimètre. Je ne sais pas si c’est toujours comme ça ou si c’est l’effet d’un orgasme naissant.

Avec l’autre main, je fouille sa toison épaisse. Ses poils sont fins et souples. Elle a un clitoris qui dépasse des grandes lèvres et je le saisis entre mes doigts, je le branle comme une petite bite.

Isabelle a des sursauts et donne des petits coups de reins pour faire pénétrer ma bite le plus loin possible.

Son vagin n’est pas étroit et est très lubrifié. Je ne sais pas si elle baise souvent mais on sent une femme qui a de l’expérience.

J’en reviens pas, je baise ma belle-mère, enfin pour tout dire c’est ma belle-mère qui me baise.

Elle continue d’aller et venir plus ou moins vite sur mon sexe. Moi je lui caresse les seins, ses poils et son clito. J’introduis un doigt dans sa chatte le long de mon pénis.

Je sens la jouissance monter en moi mais je voudrais me retenir le plus longtemps possible.

Isabelle me dit « laisse toi aller, je vais jouir aussi, c’est tellement bon ».

Elle donne de grands coups de reins et me fait pénétrer au plus profond d’elle. Je sens la peau de mon sexe tendue au maximum. N’ayant plus de frein, mon gland est découvert en entier sur un tiers de ma bite.

Je veux me retirer pour éjaculer mais elle sert son vagin et me dis « non reste, je veux que tu jouisses en moi »

Je n’en peux plus. Je soulève les fesses pour être le plus profond possible dans Isabelle.

Elle a un râle et pousse des petits gémissements. Sa peau est moite. Elle me dit « vas-y lâche toi. Ah… je jouis… c’est bon ».

Je libère ma semence dans un soulagement extrême. J’ai l’impression que mes jets de sperme ne vont pas s’arrêter. Je donne des coups de bite comme pour évacuer les derniers jets.

Isabelle s’allonge sur moi. Ses seins viennent s’écraser contre ma poitrine. Je suis toujours en elle donnant des petits coups avec mon sexe. Ma belle-mère ressert son vagin comme pour éteindre mon pénis.

Au bout d’un moment elle bascule sur le côté et s’allonge à mes côtés. Je pose une main sur sa toison que je caresse. C’est tellement agréable.

Nous commençons à nous endormir.

Je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes allongés comme cela lorsque que Sandrine, ma femme, entre dans la chambre. La lumière est toujours allumée. Elle est toujours nue.

Elle s’allonge à côté de nous. J’ai ma belle-mère d’un côté et ma femme de l’autre. J’ai toujours la main qui caresse les poils d’Isabelle et je place l’autre sur le pubis nu de Sandrine. Nous restons dans cette position un long moment en somnolant.

C’est Sandrine qui fait surface la première, elle caresse ma bite qui ne tarde pas à se réveiller.

Elle demande à sa mère de se remettre sur moi. Isabelle ne se fait pas prier et vient se mettre à califourchon.

Sandrine a gardé ma bite dans sa main. Je suis de nouveau en érection. Elle décalotte mon gland et caresse avec, la vulve et l’anus d’Isabelle.

Elle positionne mon gland à l’entrée du petit trou d’Isabelle et le fait pénétrer. Je n’ai aucun mal à le rentrer et sans qu’Isabelle ne montre la moindre résistance. A mon avis, elle doit avoir une certaine habitude de se faire sodomiser.

Isabelle se redresse et dans cette position ma bite pénètre entièrement dans son anus, mes couilles venant buter contre ses fesses.

Elle monte et descend. Elle semble avoir beaucoup de plaisir.

Sa main vient sur son sexe. Ses doigts caressent son clitoris et s’engouffrent dans sa fente, allant et venant.

Je tourne la tête vers Sandrine et je vois qu’elle aussi se masturbe. Elle a écarté les jambes et sa main entière entre et sort de son vagin.

Moi je suis toujours à l’intérieur de l’anus d’Isabelle qui bouge de plus en plus. De son autre main, elle caresse ses mamelons pointus.

Sandrine se caresse les seins aussi. Elle n’a plus que deux doigts dans sa vulve qui vont et viennent à un rythme endiablé.

Je demande à Sandrine « veux-tu que je t’encule aussi ».

Elle me répond « non, je n’ai pas l’habitude…continue avec maman… jouis dans son petit trou ».

Isabelle enchaîne « oui j’en ai tellement envie… inonde mon cul de ton foutre »

Sandrine jouit la première en soulevant ses reins. Elle est essoufflée. Elle presse sa main contre son sexe et le caresse doucement.

C’est au tour d’Isabelle de jouir. Je ne sais pas si c’est la sodomie ou la masturbation mais elle se cambre pointant ses seins en avant.

Je poursuis en éjaculant dans son anus. Ca fait pourtant la troisième fois dans la nuit mais je lui envoie encore une bonne dose.

Isabelle regagne sa chambre et nous nous endormons pour le restant de la nuit.

Je me réveille. Je tourne la tête sur le côté. Sandrine n’est plus dans le lit, elle est déjà levée.

Je me lève et enfile un caleçon ouvert sur le devant. Je sors de la chambre et me dirige vers la cuisine.

Sandrine est là, un tee-shirt de nuit court sur elle. Elle prend un café. Elle est assise, les cuisses écartées laissant entrevoir sa fente légèrement ouverte d’où s’écoule un liquide blanchâtre. Sans doute des restes de notre nuit mouvementée.

Je l’embrasse et lui demande si sa mère est levée. Elle me répond que non.

J’en profite pour lui poser quelques questions.

Elle est bien foutue ta mère

Oui pour une femme de cinquante ans

Tu savais qu’elle baisait comme ça

Non, mais je l’ai déjà vue complètement nue… et se masturber

Devant toi ?

Oui et ça nous arrive de nous caresser aussi mutuellement. Une fois elle m’a brouté la chatte et m’a fait jouir. Une autre fois nous étions avec Françoise, ma sur. Nous étions dans la salle de bain, entièrement nues. Nous nous sommes caressées et masturbées entre nous. Maman avait mes doigts dans sa chatte et ceux de Françoise dans son petit trou

Elle a l’air de bien aimer la sodomie, ta mère

Oui elle adore !!! Elle a un god anal. Elle me l’a prêté une fois, mais je n’ai pas réussi à l’introduire, j’étais trop serrée.

Tu t’étais lubrifiée l’anus et le god

Non, je pense c’est à cause de ça que je n’ai pas pu…je n’ai jamais réessayé depuis

On s’en occupera…elle est comment Françoise ?

Elle est pas mal aussi. Plus le genre de maman, avec les cheveux courts et une chatte moins épaisse… plus taillée sur les côtés… elle aussi a les seins qui pointent

J’aimerais bien qu’elle vienne à la maison

Tu as envie de la baiser, tu ne vas tout de même pas te faire toutes les femmes de la famille

Et pourquoi pas

Oui après tout tu as raison. Je vais voir si je ne peux pas la décider à venir nous voir… seule bien sûr

Et tu crois qu’elle acceptera de faire l’amour avec moi

Je pense que oui… tu sais Françoise a des braises à la place du sexe, c’est une chaude aussi

Cette conversation a commencé à faire de l’effet sur mon intimité.

Isabelle, ma belle-mère entre dans la cuisine. Je ne sais pas si elle a entendu ce que nous disions.

Elle a sur elle une nuisette blanche complètement transparente qui laisse voir ses seins bien fermes et le triangle large de sa toison.

Elle m’embrasse sur la bouche et fait pareil avec sa fille.

N’ayant pas fermé le bouton de mon caleçon, ma bite surgit pas l’ouverture et se dresse en direction des deux femmes.

Sandrine me lance « tu n’as pas l’intention de baiser maman toute la semaine »

Et Isabelle enchaîne « pourquoi pas… je suis prête »

Je leur dis « si…et toi aussi ma chérie »

Isabelle qui avait dû entendre notre conversation, nous dit en passant sa main sur mon pénis bien dur

« Si vous invitez Françoise, j’aimerai bien venir aussi… faire l’amour en même temps avec mes deux filles et mon gendre…j’en mouille déjà »

Ses seins sont toujours aussi pointus. Ils forment deux pointes sous sa nuisette.

Isabelle regarde ma bite que je n’ai pas ramassée, pointer vers le plafond.

Elle s’accroupit en écartant les jambes et commence à sucer mon gland.

Elle s’écarte et me dit :

Tu ne peux pas rester comme ça

Elle remet mon sexe dans sa bouche en l’enfonçant un peu plus. Elle commence des vas et vient.

Sandrine regarde sa mère me sucer. Elle n’a jamais mis ma verge dans sa bouche.

Elle s’approche et demande à sa mère de lui laisser la place. Isabelle offre à sa fille un sexe gorgé de sang prêt à exploser. Elle la conseille :

Fais attention avec tes dents et vas doucement

Sandrine englobe ma bite et continue le mouvement que sa mère a commencé. Elle se débrouille à merveille.

Je me retiens mais je ne peux pas, je lâche tout dans sa bouche. Elle a un moment de surprise mais reste et garde mon foutre.

Sa mère lui fait signe d’arrêter et lui colle ses lèvres sur sa bouche. Avec sa langue, elle récupère mon sperme qu’elle avale aussitôt.

Sandrine me regarde et me dit :

C’est bon…il faudra le refaire

Après un bon petit déjeuner, nous allons faire notre toilette et nous habiller.

Je suis assis dans le fauteuil du salon. Isabelle entre dans la pièce, elle est vêtue d’un pull fin avec le col en V et d’une jupe plissée bleu marine. Ses jambes sont gainées de noir.

Elle s’approche à côté de moi. J’en profite pour glisser ma main le long de sa jambe et je la remonte sur sa cuisse. Elle porte des bas et je glisse mes doigts sous sa jarretelle. Je remonte plus haut et ma main glisse sur sa petite culotte. Je lui caresse sa chatte et je sens quelques poils qui sortent par la dentelle de sa petite culotte.

Isabelle ne bouge pas, elle se laisse faire.

Sandrine entre dans le salon. Elle aussi porte une jupe large qui lui arrive juste au-dessus du genou avec un chemisier. Ses jambes sont également gainées de noir, sans doute un collant.

Voyant que je caresse sa mère qui est à côté de moi, elle vient se positionner de l’autre côté. Je glisse mon autre main sous la jupe de Sandrine. Elle ne porte pas de collant mais des bas avec un porte-jarretelles. Je remonte ma main plus haut et constate qu’elle ne porte pas de culotte. Elle a son sexe qui est libre. J’en profite pour fouiller son vagin du bout des doigts.

Les deux femmes se sont penchées l’une vers l’autre au-dessus de moi et s’embrasse à pleine bouche.

Un sexe dans chaque main, Isabelle et Sandrine qui s’embrassent juste au-dessus de moi et ma bite entre en érection. Je sens que je vais passer ma semaine à bander à longueur de journée.

Les femmes se séparent et se dégagent de mes mains. Je me retrouve seul à bander comme un taureau. J’ouvre mon pantalon et je sors mon sexe dur et raide et je commence à me masturber. Ma main entoure ma bite en dégageant mon gland.

Je vais et viens de plus en plus vite et je ne tarde pas à jouir envoyant un jet de sperme sur le carrelage.

Sandrine entre dans la pièce et me voit le sexe dans la main qui goute encore de sperme chaud.

Pourquoi tu ne m’as pas appelé au lieu de te branler tout seul

Une petite branlette ça ne fait pas de mal

Tu ne te masturbes jamais toi …

Oh si, assez souvent …

Et ça te plait …

Oui j’adore

La prochaine fois, appelle moi et tu te soulageras dans moi ou dans ma main.

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1 Commentaire

cyberdominant 2022-11-14 at 16h55

J’ai aimé cette histoire de cul, un fantasme que j’aurais aimé réaliser, baiser ma belle-mère. Elle était assez forte avec une jolie poitrine, de gros nichons comme j’aime et un beau fessier. Certains soir quand je faisais l’amour à ma femme dans le noir dans la chambre à coucher, je fantasmais que je baisais ma belle-mère et je ne tardais pas à éjaculer.

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