Je suis donc assise dans un fauteuil, complètement nue, pendant que Dominique va ouvrir la porte, après m’avoir ordonné de rester les jambes bien écartées et les bras le long du corps. J’entends une autre voix dans l’entrée, une voix de femme que je crois reconnaitre. Elles arrivent toutes les deux dans le salon et là, stupeur, la femme qui accompagne Dominique n’est autre que Véronique, la femme de mon patron. Véronique est une jolie femme, brune, d’environ quarante ans. Elle est vêtue d’un chemisier blanc légèrement transparent qui laisse voir un soutien-gorge également blanc qui renferme une volumineuse poitrine et une jupe assez courte. Pour couronner le tout, elle est perchée sur des escarpins avec des talons vertigineux. Je remarque qu’elle tient une petite mallette, Dominique fait les présentations :

« Regarde, Véronique, je te présente celle que ton mari pense avoir comme employée modèle. En fait, c’est une salope en chaleur qui ne pense qu’au sexe et à s’exhiber en tous lieux et en toutes circonstances. Je suis en train de l’éduquer et je suis sûre que d’être exhibée ainsi, devant nous, elle mouille déjà ! »

Et au même moment, elle passe un doigt sur mon sexe qui, il est vrai, est complètement trempé. Elles s’asseyent toutes les deux sur un fauteuil situé en face de moi, Véronique pose la mallette à ses pieds. Pendant quelques minutes, elles discutent de choses et d’autres, sans vraiment s’occuper de moi, mais tout a coup, Dominique s’adresse a moi :

« Mets-toi debout et viens te placer en face de nous, en écartant tes jambes au maximum ! »

Je m’exécute aussitôt.

« Mets tes mains sur ta tête, qu’on puisse t’examiner. Regarde, Véronique, comment la trouves-tu ? »

« C’est vrai qu’elle n’est pas mal foutue, elle devrait plaire à mon mari, ainsi qu’a ses amis, pas trop de cellulite, juste les nichons qui tombent légèrement, elle a le sexe bien lisse, par contre, elle a des traces de coups de martinet sur le corps, tu l’as punie ? »

« Oui, je suis obligée, car elle a toujours tendance à discuter mes ordres. En plus, elle n’est pas foutue dentretenir son rasage, j’ai dû la raser avant que tu n’arrives ! »

Puis s’adressant à moi :

« Tournes-toi que l’on voie ton cul, écarte bien tes fesses avec tes mains et penche-toi en avant ! »

Et s’adressant à Véronique :

« Bien que sa chatte soit très ouverte, son cul reste très serré et c’est pour cela que je t’aie fait venir, car si je veux la présenter à ton mari et à ses amis, il faut que son cul soit bien plus ouvert ! »

« Elle n’a jamais été enculée ? »

« Je l’ai enculée avec un gode, mais elle a encore l’illet trop étroit, il va falloir lui élargir son orifice. As-tu amené tout ce qu’il fallait pour cela ? »

« Oui, j’ai tout prévu ! »

À entendre cette conversation, je comprends que Dominique et Véronique sont complices et qu’elles ont bien l’intention de me livrer à des hommes, dont mon patron et que je devrai assouvir toutes leurs envies. Cette idée m’effraie et des tas de questions me traversent l’esprit. Qui sont les amis de mon patron ? Que vont-ils exiger de moi ? Que vais-je devenir entre leurs mains ? Je suis plongée dans mes pensées quand Véronique ouvre sa mallette. Je découvre une multitude de plugs, de godes et de godes-ceinture, de longueurs et de diamètres différents. Je sais que tous ces ustensiles sont destinés à dilater mon sexe et mon petit trou et quand je vois le diamètre des plus gros, la panique m’envahit et j’en fait part à Dominique :

« Dominique, s’il te plaît, ne m’enfonce pas ces choses énormes dans mes orifices, je vais avoir trop mal ! »

« Tu ne peux pas dire que tu vas avoir mal avant de les avoir reçu en toi. Il se peut que ton corps de salope se prête très bien à tous ces godes. De toute façon, tu n’as pas le choix, nous allons te dilater les orifices et pour que tu restes docile, nous allons t’attacher ! »

Moi qui étais, depuis un bon moment, toujours penchée en avant, en écartant au maximum mes fesses, je me retrouve à quatre pattes, les jambes écartées et attachées pour que je ne puisse les refermer. Mes bras sont ligotés derrière mon dos, ce qui fait que je me retrouve le visage plaqué au sol. Dominique et Véronique sont, maintenant, derrière moi. Je suis offerte à leurs regards et je sais qu’elles peuvent faire de moi ce qu’elles veulent. Cette situation commence à m’exciter et je sens que mon entrejambe s’humidifie. À ce moment, Dominique passe la main sur mon sexe et se rend compte de mon excitation !

« Regarde-moi ça, de savoir qu’elle va s’en prendre plein le cul, ça la fait mouiller ou, peut-être, est-ce le fait d’être attachée ? »

« Ou peut-être, les deux ! », reprend Véronique.

À ce moment, je sens un gode qui force contre mon illet, il me semble plus gros que celui avec lequel Dominique m’avait sodomisée lors de notre sortie en forêt. Mon cul s’ouvre assez facilement et Véronique me l’enfonce, sans ménagement, d’un seul coup ! Une terrible douleur envahit mon ventre, j’ai l’impression que mes entrailles sont perforées, je crie de douleur !

« Tu peux hurler, salope, personne ne t’entendra, nous allons te dilater le cul avec des godes de plus en plus gros ! »

Pendant ce temps, Dominique fait aller et venir le gode entre mes fesses et au bout de quelques vat et vient, je sens l’excitation monter en moi, la douleur a disparu et je recommence à mouiller. Dominique, qui me caressait la chatte, s’en aperçoit immédiatement.

« Je crois que tu vas pouvoir passer à la taille supérieure, car notre chienne est déjà très excitée ! »

« C’est vrai que son cul s’ouvre assez facilement, c’est génial de nous avoir déniché une salope de ce genre ! »

Tout en parlant, Véronique a retiré le gode qui était dans mon cul et me le présente devant la bouche afin que je le nettoie avec ma langue. Je prends ce jouet entre mes lèvres, ce n’est pas très agréable, mais j’accepte tout de ces deux femmes dont je suis devenue l’objet sexuel. Pendant ce temps, Dominique a passé un gode-ceinture au diamètre impressionnant. Elle le présente à l’entrée de mon cul et essaie de le faire entrer, mais vu la taille de l’engin, mon illet ne s’ouvre pas assez, elle force l’entrée, sans résultat, pendant que je hurle de douleur, Véronique intervient :

« Mettons-lui du gel, il faut absolument que ça rentre, il faut la défoncer ! »

À ce moment, elle prend un tube de gel et m’enduit le cul. Le produit rafraichit mon illet et un sentiment de bien-être m’envahit, elle me frictionne l’anus pendant un instant et je sens, aussitôt, le plaisir monter en moi. Je sens à nouveau Dominique forcer mon entrée et comme par enchantement, mon cul s’ouvre à nouveau et je sens ce gode énorme me remplir le cul. Dominique commence à faire aller et venir cet engin dans mes entrailles. Je ressens un plaisir immense, je ne pensais pas que l’on pouvait avoir tant de plaisir avec un gode de cette taille, logé au fond de ses entrailles. Pendant ce temps, Véronique caresse mon clitoris et je sens le plaisir monter en moi, je vais jouir ! Dominique, qui me connait bien, sent mon excitation :

« Nous avons fait du bon travail, non seulement, on lui a bien éclaté le cul, mais en plus, elle semble y prendre du plaisir. Elle est prête pour d’autres aventures, nous avons le droit à une récompense. SI tu veux, Véronique, je t’autorise à faire ce que tu veux d’elle ! »

« Je te remercie, je peux faire tout ce que je veux ? »

« Absolument, c’est ta chose, autant que la mienne ! »

En entendant ces mots, Véronique se déshabille entièrement, c’est une très belle femme avec une forte poitrine qui se tient très bien et un sexe complètement épilé. Les deux femmes me détachent et m’allongent sur le dos. Véronique vient se placer au-dessus de mon visage, son sexe est à quelques centimètres de ma bouche :

« Allez, lèche-moi bien, je veux jouir sous tes coups de langues ! »

Pendant ce temps, Dominique, toujours harnachée du gode-ceinture, a pris place dans mon vagin et me défonce littéralement avec cette énorme queue artificielle .Je deviens une salope soumise entre leurs mains et le pire, c’est que j’aime ça ! Je lèche le sexe de Véronique pendant que Dominique me défonce Après quelques minutes, Véronique se laisse aller et elle jouit ! Sa cyprine envahit ma bouche, elle jute abondamment et j’avale tout. Je ne tarde pas à jouir également sous les assauts de Dominique qui n’a pas encore joui. Elle se retire de mon sexe et vient, à son tour, se placer sur ma bouche pour que je lui suce le clitoris, elle ne tarde pas à jouir également.

Après cette séance, je crois que je vais pouvoir rentrer chez moi, mais Véronique, remise de sa jouissance, dit à son amie :

« C’est vraiment très agréable d’avoir trouvé une salope de ce genre, nous allons bien nous amuser avec elle, ainsi que tous nos amis. On va pouvoir assouvir tous nos fantasmes. Par contre, si tu veux que son cul reste bien ouvert, il va falloir lui mettre un plug dans le cul et l’obliger à le garder tout le week-end ! »

Moi qui croyais en avoir fini avec ces deux femmes, je me retrouve, à nouveau, jambes écartées et Dominique m’enfonce un énorme plug dans le cul. Il rentre, d’ailleurs, très facilement !

« Voilà, ainsi, tu vas pouvoir renter chez toi et garde bien ce plug dans ton cul toute la fin de semaine ! »

« Pourrais-je prendre une douche et m’habiller avant de partir ? »

« Ah, mais c’est vrai, tu ne t’es pas lavée ce matin, remarques tu n’es pas sale, mai j’ai une idée pour que ça vaille la peine de te laver, je vais te souiller, j’ai une envie pressante, suivez-moi ! »

Là-dessus, Dominique me prend par la main et m’entraine dans le parc qui entoure la maison. Véronique nous suit, nous sommes toutes les trois entièrement nues et je me demande ce qui va encore m’arriver. Je suis très vite fixée sur mon sort.

« Allonge-toi sur l’herbe, j’ai très envie d’uriner et tu vas me servir de chiottes et toi, Véronique, tu n’as pas envie e te soulager ? »

« Si effectivement, mais moi, je vais lui donner à boire, elle a eu très chaud cette cochonne ! »

Je m’allonge sur l’herbe, elles me font écarter les bras et les jambes et elles s’installent à califourchon sur moi, une au niveau de mon visage et l’autre sur mon corps. Après quelques secondes, je sens un jet d’urine gicler sur mon visage et un autre coule sur tout mon corps. Véronique, qui se trouve à hauteur de ma bouche, me demande d’avaler son urine. J’ouvre ma bouche et je déglutis pour boire sa pisse .Après s’être soulagées sur mon corps et dans ma bouche, les deux femmes me renvoient chez moi, nue et souillée d’urine, sans même avoir le droit de prendre un douche. Elles me claquent le cul en rigolant pour me faire monter dans ma voiture. Je suis arrivée à un tel niveau de bassesse que j’en ai honte et pourtant, je trouve du plaisir entres les mains de ces deux femmes.

Que m’arrive t il ? Jusqu’où vont-elles m’entraîner ?

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