Je me prénomme Margaux, jai 42 ans, et je suis une jolie femme du moins daprès ce que disent mes amies et mon mari. Lui, cest Greg, un bel homme aussi, puisque cest mon mari, malheureusement il y a trois ans, suite à un accident il na plus dérection, son pénis est flasque alors que sa libido est toujours et même plus intense quauparavant. Il est devenu candauliste, et cherche sans arrêt des plans pour que je sois toujours comblée sexuellement.
Ainsi il y a deux ans au mois de juillet nous sommes allés dans un club libertin, plus en tant que voyeur que pour consommer, histoire de découvrir ce monde. Nous y avons rencontré Mathieu et Sabine un couple dune petite cinquantaine dannées, adepte de ces milieux. Nous avons sympathisé lors de cette soirée, puis ils sont venus chez nous prendre un verre quelques jours plus tard. La conversation ne tournait quautour du sexe. Nous nous entendions vraiment bien, et Mathieu nous invita pour le samedi soir chez eux.
Ils habitaient un pavillon un peu à légard du village, et par cette belle soirée estivale ils nous accueillir sur leur terrasse. Javais une robe fourreau noire, assez courte et sans bretelles pour dégager mon dos et le haut de ma poitrine. Je ne portais pas de soutien gorge sur les recommandations de Greg, la robe moulaient mes seins (95D) dune façon très aguichante. Sabine était en tenue décolière, jupe écossaise plissée noire et blanche et un chemisier blanc dont les boutons avaient du mal à le fermer tant sa poitrine plus avantageuse que la mienne voulait sortir de son carcan ! Elle nous servit lapéritif, et pour le peut quelle se penchait en nous tournant le dos, sa jupe nous laissait découvrir ses fesses nues et les lèvres de son intimité. Lorsquelle sassit en face de nous, elle restait jambes écartées, offrant pour le plus grand plaisir de Greg son minou rasé.
Ainsi le ton de la soirée était donné, et hormis avoir parlé du beau temps, le sexe fut notre principale sujet de conversation.
Sabine disait : « Dans le sexe, cest comme la nourriture, il ne faut pas dire on naime pas sans y avoir goûté au moins une fois ! » Ainsi nous échangions plus sur les pratiques déviantes en nous contant leurs différentes expériences. Ca excitait énormément Greg, et dailleurs pour ma part je ne restais pas de marbre. A table je masseyais près de Mathieu, dont ses mains glissèrent plus souvent sous la table plutôt que pour diner.
A la fin du repas, Mathieu prit à lécart mon mari pour discuter, puis lorsquils revinrent Mathieu mannonça :
— Tu nous as dit tout à lheure que un de tes fantasmes seraient que tu sois attachée sur une
table et que plusieurs hommes te feraient jouir de leurs mains, de leurs langues et des doigts sans te pénétrer. Cest le plaisir des sens à lextrême. Je te propose une petite expérience dans ce sens.
Ainsi, je me déshabillais totalement et il me fit massoir dans un fauteuil en rotin en plaçant des cousins dans mon dos pour quune fois assise, mes fesses reposent sur le rebord du siège. Puis aidé de Sabine il me lia les mains aux accoudoirs, les pieds et les cuisses pour que je ne puisse les refermer.
Sabine alla chercher une grande seringue, sans aiguille ainsi quun pot de miel liquide. Sous le regard attentif et déjà jouissif de mon mari, Mathieu sagenouilla entre mes cuisses et commença à me lécher les lèvres. Sabine me mis un bandeau sur les yeux.
Tout en me fouillant de sa langue, il caressait mon clitoris quil décalotta de son capuchon de chair pour lagacer. Après ce repas un peu arrosé, je me sentais euphorique et je goûtais sans retenue le plaisir monter en moi. Puis introduisant trois de ses doigts tournés vers mon ventre il me masturba jusquà la limite de la jouissance.
— Tu es bonne Margaux, me dit-il, ta liqueur féminine te fait puer la chienne que tu es.
Puis plus rien ! Mathieu sétait retiré dentre mes cuisses. Jentendis Sabine appeler :
— Allez viens ! Viens là !
Un souffle chaud sétendit sur mon pubis et aussitôt je perçus une langue avide se pourlécher de mon sexe. Nul doute, ce nétait ni la langue de Mathieu ni celle de mon mari, ni celle dun homme ! Je me mis a hurler, à me débattre, mais les liens me brulèrent dans mon agitation. Sabine me mit un chatterton sur la bouche en me disant :
— Inutile de brailler, ça ne sert à rien. Savoure ce plaisir inconnu pour toi, je peux te dire que cest divin.
Puis elle me caressa les seins comme pour mamadouer et me calmer, mais rien ny faisait et je me tortillais dans le fauteuil ne voulant accepter ce que je pensais barbare.
— Laisses-toi aller Margaux, dit Greg, le chien ne te pénétrera pas, il te léchera cest tout !
Mathieu avait soustrait son chien de mes jambes le temps que je me calme, cependant il jappait dimpatience et dexcitations des effluves de mon entre cuisse dont Mathieu mavait préparé en me menant presque à la jouissance. Après un moment, lorsque je me suis apaisée, le souffle du chien vint buter sur mon ventre pour quaussi tôt je sente sa langue venir me lutiner. Je me débattais de nouveau, mais avec moins de conviction, puis peu à peu, prenant conscience que rien ny ferait, résignée, jentrais dans une sorte dengourdissement. Je me souvenais quEmmanuelle Arsan, auteur d »Emmanuelle » avait dit « lors dun viol, quand on voit quon ne peut pas résister à ses tortionnaires, autant prendre du plaisir ». Je navais pas le temps de méditer sur cette phrase, mais elle me revint comme un éclair.
La langue du chien, sans doute un peu plus râpeuse que celle dun homme, mais surtout plus longue et plus endurante, se mit à me fouiller ma vulve, allant chercher au fond de mon ventre les substances qui captivaient son instinct animal.
Je commençais à faire abstraction quun chien était entre mes cuisses, en essayant dapprécier ce nouveau plaisir, ces nouvelles sensations. Je me concentrais sur mes entrailles que la langue furetait sans lassitude. Puis Mathieu retira une nouvelle fois le chien, et Sabine sagenouillant entre mes cuisses, inséra la seringue dans ma vulve pour y épandre le miel quelle contenait. Greg môta le bandeau et je découvris un gros chien noir, peut être un labrador ou dans cette espèce, qui haletait en regardant mon ventre souillé de sa bave et de mes sécrétions intimes. Son pénis sortit de son fourreau, avait son méat qui suintait un liquide transparent et fluide. Mathieu le fit revenir entre mes jambes, et la langue avide sinsinua entre mes lèvres pour se délecter de miel. Elle fouillait chaque recoin de ma matrice, chose quaucun être humain naurait pu faire. Le plaisir montait en moi.
Sabine agenouillée à mes côtés me caressait et membrassait les seins en samusant à gober mes tétons turgescents. Je me mis à jouir. La sécrétion émanant de ma jouissance excita davantage le chien qui me brouta avec plus denvie ma vulve ruisselante.
Greg me retira les liens entravant mes jambes, cependant sous le bien être que je ressentais, je gardais les cuisses écartées, offrant mon sexe à linsatiabilité sexuelle de lanimal qui me faisait jouir. Sétant repu de mon utérus, le chien fit un bon sur mon ventre, mais Mathieu le retint à temps en interrogeant mon mari :
— Tu veux quelle se fasse baiser ?
— Une prochaine fois, cest déjà pas mal pour une première !
Jétais anéantie et comblée dun nouveau plaisir tant incongru. Sabine membrassa longuement en me murmurant que javais été merveilleuse. Puis sa langue coula entre mes seins, sur mon ventre avant que sa bouche ne se repaisse de mes chairs maculées de bave et mon stupre dimpudicité.
Ils me détachèrent entièrement, je restais nue. Mathieu alla mettre une vidéo où lon voyait Sabine faisant lamour avec son chien, elle me commentait ce quelle avait ressenti, me donnant lenvie daller plus loin, du moins pour le moment où jétais encore dans leuphorie de cette première expérience.
En voiture lorsque nous sommes repartis, Greg ma demandé de retrousser ma robe sur mes hanches, il a allumé le plafonnier et a souhaité que je me masturbe et que de temps à autre je me lèche mes doigts en pensant au chien.
2 Commentaires
supère j adore
Magnifique Histoire a trois