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De fil en aiguille – Chapitre 1




Laissez-moi résumer la situation :

Je vis en couple depuis plusieurs années. Pacsé, un enfant. Je vis heureux avec ma femme mais il est vrai que j’aime aller chercher certains plaisirs ailleurs parfois. C’est rare mais ça m’est arrivé.

Ma passion me prend pas mal de temps, il s’agit d’animations sur des thèmes variés nécessitant souvent des costumes. Domaine dans lequel je n’ai aucun talent. J’ai donc dû faire appel à une amie pour l’occasion : Lise. La couture est une passion devenue métier pour elle. À peu près ma taille, les cheveux rougeâtres jusqu’aux épaules, des hanches larges, un fessier bien formé, des seins qui semblent remplir la main et surtout des yeux envoûtants. Il n’y a jamais eu d’ambiguïté entre nous, une relation amicale avec ses lots de moments fun et de disputes.

Elle vit en couple, assez loin de chez moi, son copain est un excellent ami, je les ai rencontrés alors qu’ils étaient déjà ensemble. L’un sans l’autre ? Impossible à imaginer. Mais revenons à notre histoire. J’avais besoin d’un nouveau costume et pour la première fois j’avais les moyens de me faire faire une tenue sur mesure. J’ai donc profité du passage de Lise chez nous pour lui demander service. La séance risquant de durer ma femme et mon fils décidèrent de partir se promener et profiter de cette belle journée de printemps.

— Bien, commençons. Mets-toi en pantalon s’il te plaît que je puisse prendre tes mesures.

La réflexion me surprit dans un premier temps mais je suivis la consigne. Avant de vous décrire la suite, je précise que lorsque j’ai rencontré Lise je devais faire 90 kilos pour 1m73 et ce nétait pas du muscle, une vilaine blessure avait entraîné une prise de poids mal placé. Et depuis maintenant quelques années et surtout sur les derniers mois j’ai repris l’entraînement de façon intensive. Je n’ai pas les tablettes de chocolat mais je suis bien mieux bâti.

Je fis donc descendre la fermeture de mon sweat. Comme d’habitude je plaisantais, parlais de tout et de rien, ne prêtant pas attention à mon amie en face de moi. Je saisis mon tee-shirt par le bas, le faisant passer par-dessus ma tête, découvrant d’abord mon ventre, puis mon torse, et me tournant je sentis un regard sur mes épaules. Je me rendis compte qu’elle ne disait plus rien depuis que j’avais commencé à me dévêtir. Mettant cela sur le compte de la concentration, je ne m’y attardai pas. Je me tournai senti Lise un peu gênée. Elle s’approcha de moi, je vis dans ses yeux un regard que je ne lui avais jamais vu. Elle semblait me dévorer du regard. Elle partit de ma ceinture, remonta vers mon nombril, admirant chaque ligne de mon corps, puis mon torse, mes pectoraux, et mes épaules. Elle sortit son ruban, commença alors à mesurer mes épaules, mon dos, je la vis se mordre la lèvre du bas à un moment. Geste passager, rapide tandis qu’elle mesurait de façon concentrée mon tour de bras.

Elle me fit bander et débander les muscles pour mesurer avec perfection les dimensions. Plus elle mesurait et plus je sentais son cur battre, une impression de désir croissante. Ses doigts sur ma peau avaient l’effet d’étincelles me parcourant et me perturbant. J’avais envie que ce contact soit plus fort, plus… intense… plus long. Je levai les yeux vers elle et croisant son regard je sentis comme une flamme au fond de son être. Mais non, je devais me faire des films, je baissai vite les yeux, tentant de clamer mon cur qui tapait dans ma poitrine. Alors elle se pencha au-dessus de moi, me retrouvant la tête à quelques centimètres de sa poitrine. Elle prenait mon tour de tête. Cela me sembla durer une éternité et je sentais qu’elle se rapprochait de plus en plus. J’avais envie d’embrasser ses seins, d’arracher son tee-shirt, de la coller contre moi et embrasser sa peau blanche.

Elle se recula, mettant fin à cette envie folle et brûlante. J’étais assis au milieu du salon et je me sentis perdu quand elle me dit :

— Debout, enlève ton survêt, il faut maintenant que je prenne tes mesures en bas…

Je me redressai, le visage un peu rouge et gêné. Mon pantalon faisait une bosse à l’entrejambe. Hypnotisé par ses faits et geste je ne m’étais même pas rendu compte que je bandais. JE pris une profonde inspiration et dignement, tentant de dissimuler ma gêne, je fis descendre le pantalon le long de mes cuisses, mes genoux, mes mollets. Tout le long de cette descente je sentis le regard de Lise ne ratant aucune miette du spectacle. Je me redressai, en boxer noir moulant particulièrement bien mes fesses. Lise se rapprocha. Je la vis regarder rapidement vers ma verge encore en demande de sortir du boxer et vite baisser les yeux pour faire mine de ne pas avoir remarqué.

Elle était mon amie depuis des années, jamais je ne l’avais sexualisée. Mais aujourd’hui, j’étais presque nue devant elle, une envie violente de me sentir au plus profond de son être, de goûter à la chaleur de ses baisers, de savourer la douceur de ses lèvres et de la prendre là sur le canapé. Mais je me devais de rester droit et honnête. Son chéri est mon ami et ma femme et mon fils pourraient rentrer… Mais quand même, la voir à genoux, al tête au niveau de mon sexe, la sentir caresser ma jambe pour mesurer tout ce qui doit l’être. J’avais tellement envie d’elle.

Elle leva les yeux vers moi, lentement, elle approcha sa main de mon entrejambe :

— Je dois te prévenir que prendre les mesures ça demande beaucoup de lâcher prise et que je vais devoir venir toucher à côté de ton membre pour finir de prendre mes mesures.

Ne pas bouger, ne pas bouger, ne pas bander, ne pas… Je sentis sa main appuyer sur mon boxer à côté de mon érection, la faisant gonfler encore un peu plus, sa main passa entre mes cuisses et remonta le long de mes fesses, les faisant contracter par réflexes. Je sentis sa main profiter de ce contact, rester un peu plus, appuyer plus que nécessaire pour savourer le contact de ce muscle bander. Je la regardai avec envie, une flamme dans le cur me poussant à l’embrasser… Elle dut le sentir car elle leva les yeux et je pouvais y lire le même désir. Mais tous deux nous ne devions pas… Ce regard exprimant l’envie folle de braver tous les interdits… Elle baissa les yeux, retira ses mains, nota les résultats sur son calepin. L’instant sembla durer une éternité, il n’y avait plus un bruit à part celui du crayon courant sur le papier pour y tracer ses lignes. Je sentais mon cur taper dans ma poitrine, je devais me rhabiller… Mais je n’en ressentais aucune envie de la faire. Je la regardais faire, accroupie, la tête toujours à hauteur de mon sexe. Et puis d’un coup elle posa son crayon, s’attacha les cheveux en queue-de-cheval. Elle découvrit ainsi sa nuque, une vue sublime, délicieuse et mon érection repartie de plus belle.

— Ta femme rentre bientôt ?

— Heu… heu… non je ne crois pas elle doit aller…

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