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La passion brûlante d'un frère et une soeur – Chapitre 6




Jétais reparti pour la baiser mais elle ma demandé de faire une pause parce quelle avait soif, nous nous sommes alors dirigé vers la cuisine où elle a bu un verre deau pour se rafraichir. Nous étions complètement nus et cétait assez excitant de voir ses petites fesses se balader comme ça dans la maison, je ne pouvais mempêcher de la reluquer. Et quand jai vu la bouteille dhuile dolive, une idée perverse me traversa la tête. Jai pris la bouteille, jai penché ma sur et jai versé le liquide sur son popotin. La froideur du liquide lavait un peu surprise au début, mais elle sy est vite habituée. Elle a même commencé à bouger son cul pour mon plus grand plaisir. Lhuile parcourait ses fesses et tombait par terre. Je lai ensuite massé jusquà ce que son derrière soit bien reluisant. Je noubliais pas den mettre sur son petit vagin puisque jallais la prendre ensuite en levrette. Ce nest pas que nous avions besoin de lubrifiant vu lexcitation générale mais la sensation de frottement « gras » que donnait lhuile était merveilleuse quand je la pénétrais. Lodeur nétait pas top, cest vrai, mais cétait le dernier de nos soucis. Jai donc pris ma sur de cette façon sur le bord de lévier. Nous nentendions dans toute la maison que le bruit de mes cuisses claquant contre les siennes, que le bruit que faisait mon sexe en parcourant son antre humide.

— Cest juste fit-ma sur entre deux gémissements trop bon ! Tarrête surtout pas

Jy allais lentement et profondément, javais une vue parfaite sur son trou du cul mais je me réservais notre sodomie pour plus tard, il faut savoir garder les bons moments. Je nai toutefois pas pu mempêcher de frotter sa fente anale avec lhuile. Puis, jai posé mes mains sur ses épaules pour la tirer encore plus vers moi et jai accéléré le mouvement de mes hanches. Laura criait de nouveau, elle prit ma main et la posa sur ses cheveux pour me demander de les lui tirer gentiment, ce que je fis avec plaisir. Sa tête partait alors en arrière, dune main elle se touchait le téton et de lautre son clitoris. Moi, je me mordais les lèvres tellement le plaisir était énorme. Lorsque je fus certain que ma sur avait joui encore une fois, je ralentis petit à petit mes coups de reins. Jétais à bout de souffle, on aurait dit que je venais de courir un marathon. A nos pieds, il y avait une flaque dhuile dolive que lon aurait pu confondre avec une grosse flaque de jute féminine. Ensuite, ma sur se retourna et sabaissa en face de moi jusquà être au niveau de mon sexe. Elle saisit la bouteille dhuile pour men mettre partout sur le sexe. Je me souviendrais toujours de son visage à moitié angélique et pervers quand elle me massait la bite huilée. Sa langue dépassait de sa bouche comme un enfant qui sait quil est en train de faire une bêtise mais qui prend du plaisir à le faire quand même. Javais presque tout le bas du corps maintenant huilé. Mon sexe, mon pubis, lintérieur de mes cuisses, mes boules et même une partie de mon cul navaient échappés aux mains expertes de ma sur. Pendant quelle avait mes bourses au creux de sa main, son majeur en profitait pour titiller mon anus. Je ne crois pas que jaurais aimé me faire pénétrer mais rien que ce frottement me donnait un immense plaisir.

Elle me masturbait avec vigueur mais cela passait facilement grâce à la lubrification, elle me massait même les couilles, qui étaient maintenant en état dexploser.

— Ça fait du bien ? me demanda-t-elle doucement.

— Carrément dis-je dans un soupir.

Elle a ensuite insisté sur mon gland et cest là que jai perdu le contrôle. Jai éjaculé plusieurs jets de sperme à chaque fois que ses mouvements venaient à décalotter mon gland. Le premier jet avait atterrit dans sa bouche, mais nétant pas vraiment habituée à ça, ma sur fut surprise et décontenancée. Le reste de ma semence tombait sur le haut de son corps. Après mêtre retenu autant, Laura fut assez surprise par la quantité que jexpulsais de mes boules, jétais assez fier de moi.

— Wow, mavait-elle dit, ta petite sur te fait vraiment de leffet, on dirait.

— Tas pas idée !

Elle a ri, a encore sortit sa petite langue que jaime tant et est venu membrasser.

Nous avons fait une courte pause, histoire de reprendre nos esprits et surtout que ma prostate sen remette.

— Tu sais, me dit ma sur en me souriant, il y a pas longtemps, Jennifer ma demandé si javais un nouveau copain parce que jétais rayonnante et que javais lair épanouie

— Si seulement elle savait

— Haha, cest clair. Je lui ai juste dis que javais un plan cul régulier qui me satisfait entièrement de tous mes désirs.

Elle sétait approchée de moi et jai posé mes mains autour de ses hanches. Mon érection revenait déjà.

— Regarde le bordel quon a foutu Je crois que cest officiel : on a baisé dans toutes les pièces de la maison.

— Hum hum, fit Laura en hochant de la tête négativement, il en reste encore une.

Elle ma alors prit la main et ma conduit à létage du dessus. Comme la température de nos corps avait baissé entre temps, ma sur avait remit sa chemisette et sa culotte, moi jétais en caleçon. On peut dire quune femme nue est absolument sublime, mais je trouve personnellement une femme encore plus sexy quand justement certaines parties de son corps sont légèrement cachées. Quand nous montions les escaliers, je pouvais voir le cul de ma chère sur se dandiner. Elle se retourna vers moi en se mordant le doigt comme pour dire « on va bien samuser toi et moi ! ».

Nous sommes alors arrivés devant la chambre de nos parents. Nous avons ouvert la porte lentement comme si cétait un lieu sacré ou comme si on avait peur quils étaient à lintérieur. Nous sommes entrés et nous avons regardés autour de nous. Cétait la chambre de deux parents, la chambre dun couple, la chambre de deux amoureux ; cela signifiait beaucoup pour nous. Lorsque nous ferons lamour dans ce lit, nous ne serons plus seulement un frère et une sur, nous serons deux amants.

Je lai alors poussée sur le lit, je me suis blottit entre ses jambes et jai embrassé son cou et son épaule et nous avons commencé à refaire lamour.

Après quelques positions, quand elle fut sur le dos, jai soulevé ses jambes en lair par le creux de ses genoux. Sa petite chatte avait lair encore plus serrée dans cette position. Je lai pénétré et je me rappelle très bien avoir dit « putain, je crois que je suis accro à ton minou » tellement la sensation fut agréable. Dans cette position du missionnaire, avec les jambes relevées, je pouvais aller plus loin en elle.

— Hé merde, je crois que je vais déjà re-jouir

— Ce nest pas grave, me dit-elle. Je sens que je vais aussi venir. Lâche-toi! Remplis ta frangine ! Je veux sentir ton sperme déborder de ma chatte, je veux que tu me foutes en cloque !

Mes mouvements saccélérait, jai relâché ses jambes pour me pencher vers elle. Mes mains étaient de par et dautre de sa tête, nos visages étaient à quelques centimètres.

— Tu aimes le con de ta sur, pas vrai ? dit-elle en me regardant droit dans les yeux.

— Je laime beaucoup oui, mais pas autant que je taime toi.

— Tu le penses vraiment ? fit ma sur avec les larmes aux yeux.

— Je nai jamais pensé quelque chose aussi fort.

Elle ferma les yeux et se laissa emporter par le plaisir de notre ébat et le plaisir de nos mots.

— Redis-le moi

— Je taime

— Encore

— Je taime, Laura !

Et nous fumes prit tous les deux par lorgasme. Jéjaculais puissamment tout ce que javais au fond de ma sur. Je sentais tous les muscles de mon corps expulser avec force ma semence en elle, cétait comme si mon corps voulait vraiment la mettre enceinte. Durant toute mon éjaculation et la jouissance de ma sur, celle-ci mavait agrippé le dos, je pouvais sentir ses ongles entrer dans ma peau. Nous étions haletants et jai remarqué quune larme avait coulé sur la joue de ma sur.

— Tu pleures ?

— Désolée ! fit-elle à moitié en riant. Jai juste que ça mest venu comme ça pendant lorgasme. Pas pu me contrôler

-Tu vas bien ?

— Oui, oui ! ne tinquiète pas. Cétait des larmes de joies

Nous nous sommes embrassés et câlinés comme ça, sans bouger, pendant de longues minutes. Puis, jai été nous chercher de quoi manger au lit, sous la couette. Je navais rien trouvé de mieux quun bol rempli de fraises juteuses. Pendant que nous nous régalions, ma sur ma dit :

— Dommage que les parents ne partent pas plus souvent, on est si bien rien quà deux !

— Tu sais, commençai-je, hésitant, jai assez dargent pour un petit appart, peut-être que lon pourrait Je sais pas, emménager à deux ou quoi, jen ai marre de cette maison et toi, tu vas rentrer à luniversité donc ce ne sera pas suspect si après quelques mois, tu vienne me rejoindre

— Vraiment ? Tes sérieux là ?! Sexclama ma petite sur, toute heureuse.

— Bien sûr ! Enfin, si tu veux

— Je taiiime ! avait-elle conclu en se jetant dans mes bras et en membrassant, faisant tomber au passage le bol de fraises.

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