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Eveil d'une pucelle – Chapitre 9




Jp mon mari a le don pour m’humilier quand quelque chose ne va pas, il veut toujours garder le pouvoir sur moi.

Si nous devons sortir, il emploie deux tactiques.

La première: je mets une jupe assez courte et surtout ne porte pas de culotte. Il s’arrange pour aller dans des endroits avec escaliers ou escalators.

Avant de monter il attend que des personnes nous suivent a une distance leur permettant de voir mon intimité ou si les gens descendent il parle fort pour qu’ils lèvent les yeux. Si nous descendons il fait pareil pour que ceux qui sont plus bas ou qui montent lèvent les yeux.

Si on est a un étage et la possibilité que l’on nous voit du bas je dois marcher le long de la rambarde.

La deuxième: il me choisit un chemisier relativement transparent a porter seins libres ou avec un soutien gorge seins nus, plus une jupe légère.

Nous nous promenons longtemps dans les rues fréquentées profitant de l’ensoleillement pour le chemisier et du vent qui soulève ma jupe que je ne dois pas retenir.

Dans ces moments là je suis rouge, morte de honte, je voudrais me cacher sous terre, je vois les regards des gens, leurs sourires. J’entends leurs rires et j’imagine les commentaires quand ils sont plusieurs.

JP sourit, me lance des vannes et se montre satisfait du résultat. On finit toujours par aller dans un coin tranquille ou il se soulage dans mon intimité.

Suite a ces humiliations je fais attention pendant une période a mes parole et mes actes pour éviter ce type de sanctions dégradantes pour mon amour propre.

En parlant de cela, je repense a son trentième anniversaire.

J’ai eu le malheur de lui demander quel cadeau il voulait. Toi m’a t’il répondu mais pas n’importe comment, a ma façon et pour un week -end complet.

Je ne comprends pas et lui demande de s’expliquer.

Lui: "je fais ce que je veux de toi sans sortir, je t’attaches et te fais les choses que je souhaite, si tu n’est pas obéissante fessée ou martinet".

Je refuse d’abord puis après avoir réfléchi et demandé des précisions j’accepte.

Le samedi matin je me lève, fais ma toilette, mets un porte jarretelles et des bas et attends ses ordres au pied du lit.

Il s’assoit sut le lit, je me mets a genoux entre ses jambes les mains dans le dos et je lèche son sexe qui est bien dressé puis a sa demande j’entreprends une fellation qu’il trouve trop molle, je prends une claque sur chaque fesse et je me défoule sur son sexe. Il explose dans ma bouche, j’avale puis lèche bien le pénis pour le laisser propre.

Je me couche sur le ventre les bras en croix et les jambes bien écartées, il m’attache les membres aux pieds du lit.

Je dois ouvrir la bouche, il met un mouchoir dedans plus une serviette entre mes dents nouée coté nuque.

Il prend dans un tiroir deux pinces a linge (modifiées pour atténuer la douleur). Me soulevant légèrement, fait bander les tétons de mes seins et y place les pinces. je sursaute a cause de la douleur.

Tu as mal sucé tout a l’heure, je fais signe oui en hochant la tète. Aie, ça fait mal j’ai droit a une fessée assez violente, je pleure.

Il introduit un god dans mon vagin et me dit: "fais en sorte qu’il reste en place sinon tes fesses vont encore souffrir", les jambes écartées, comment serrer les cuisses, le résultat est connu d’avance, je suis piégée.

JP me quitte, des envies commencent a envahir mon ventre.

Après des heures interminables il revient, regarde comment je vais, passe la main sur mon corps puis voit que le sexe de substitution est sorti de mon corps, j’ai droit au martinet, j’essaie de bouger pour éviter les coups sans résultats sauf l’énerver, j’ai mal et je pleure. Constatant l’état de mes fesses il cesse de frapper.

Il détache mes jambes, me met a genoux, lubrifie mon anus avec la mouillure de ma chatte et me sodomise (c’est son orifice favori, là ou il trouve le plus de plaisir), rapidement il se vide dans mon corps.

Il attache de nouveau mes jambes. Il remet le god dans ma chatte et le fixe a ma taille avec des cordons pour qu’il reste en place.

Il me dit: "tu as vu ta position dégradante et tout ce que je fais avec toi, une femme normale ne fais pas de telles choses, tu n’a pas l’impression d’ètre une chienne, si quelqu’un te voyais qu’est ce qu’il penserait", je montre que je suis d’accord en hochant la tète. Il m’avilit mais j’aime ça c’est dans ma nature.

Je reste seule, sur le cadran du réveil je regarde les heures passer très lentement. Et ces envies qui torturent mon ventre.

Le soir il me retourne sur le dos, m’attache les membres dans la mème position, enlève le baillon puis il se met sur moi le sexe sur mon visage. je l’embrasse, le lèche puis le suce avec entrain poussé par les envies qui me taraudent. Il explose dans ma bouche et j’avale le sperme. Il met le baillon en place, pour moi c’est le silence qui continue.

Tu viens d’avoir ton repas, moi je vais prendre le mien et boire un apéritif a ta santé.

Me voilà seule pour la nuit, il vient juste une fois pour voir s’il n’y a pas de problème. Le temps semble long.

Pendant les deux jours ma bouche n’a été libre que pour boire ou m’occuper de son sexe.

Il me détache uniquement pour mes besoins et ma toilette.

Le dimanche matin il me met sur le ventre, me sodomise et m’attache, le god tient en place.

Je réclame un petit déjeuner, j’ai droit a une fessée pour avoir réclamé, encore de la douleur avant les envies.

Deux jours sans manger, c’est dur mais je ne me plains plus pour éviter la punition.

Deux jour réduite au silence et ne pouvant pratiquement pas bouger.

Le soir il me remet sur le ventre, fellation et sperme a avaler en guise de repas. puis la solitude jusqu’au lendemain matin.

JP me libère le lundi matin, enlève le compagnon qui est resté quarante huit heure dans mon ventre qu’il remplace par son sexe, il éjacule rapidement dans mon vagin.

Il part au travail en disant: "c’était beaucoup mieux qu’un anniversaire normal, je suis satisfait. Tu devrais avoir honte de passer ton week-end au lit, tu n’est pas malade mais je ne peux pas demander mieux a une chienne surtout quand elle est en chaleur".

Avec le recul c’était bien et dans ma nature ce genre d’agissements type maso. Je suis fière d’avoir satisfait ses désirs (certainement un de ses fantasmes).

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