Midi. Une heure, UNE HEURE !!!! Mais où sont-elles ? Elles se touchent ou quoi ?
À plusieurs reprises, j’ai posé la main sur la poignée, mais… Rien. Je suis retournée m’asseoir sur le lit puis la chaise d’Emile.
Je m’admire dans le miroir de la salle de bain. Ce n’est pas moi. Le reflet me renvoie l’image d’une très jolie jeune femme à la chevelure couleur d’été. Je me regarde sous toutes les coutures, HIHIHI, je m’aime, MOUAK.
Je me résous à attendre, à attendre. Soudain, Glagla ouvre la porte.
— Mademoiselle Vanessa, votre reine vous attend en haut de la coupée.
— Pas trop tôt, mais je me ravise, merci Gladys, ce fût long…
— Quand tu verras ta princesse, tu comprendras. Allez, viens…
Sa facilité de passer du vouvoiement au tutoiement est déconcertante, mais pour le moment je m’en fiche. Je sors de la pièce et suis ma Péggy. Je n’avais pas remarqué la transformation de Gladys. Elle est coiffée, habillée. Ouf, ses habits sont des plus sexy, voire provocants. Elle porte un mini short en lycra noir, ras du cul. Le haut n’est pas en reste. Elle a mis un tee-shirt qui lui tombe au-dessus du nombril. Il est sans manche et laisse voir la naissance de ses énormes seins. J’imagine un mec, ou une gonzesse, lui saisir ses seins par les côtés et les lui peloter tout en lui embrassant la nuque. Putain de merde ! Je bande ! Sa chute de reins, sa cambrure sont accentuées par des sandales à talons d’au moins dix centimètres. Et que dire de sa démarche… Je vous laisse imaginer.
On arrive en bas de l’échappée qui va me mener à ma dulcinée. Elle me regarde, confiante et sûre d’elle. Elle me laisse passer devant et me tapote les fesses.
Quand je vois Malika, ma princesse, je me bloque. Elle est… Je n’ai pas de mot. Ses cheveux, qui ont déjà repoussé, sont plaqués vers l’arrière. Elle porte une robe des années trente, des talons de dix centimètres. Sa cambrure et un appel à la bite. Mais oui, cela me revient. Ma chérie est une réplique de Joséphine Becker. Elle est d’une sveltesse féline, une panthère, une diablesse, une beauté sans nom. Son visage aussi. Ses sourcils ont été affinés, sa bouche savamment redessinée, ses pommettes chichement empourprées. Une beauté nègre à l’état pur, une incarnation des déesses de la sud-Egypte de l’antiquité. Une reine, la reine de Sabbat…
— Malika, que tu es belle…
— Hummm, tu n’es pas mal non plus. Allez, notre boat nous attend. Mademoiselle Gladys va nous accompagner. Pas d’objection ?
— Euh, non…
On embarque.
On déambule dans les rues de Bonifacio. La petite Gladys dandine du cul devant nos regards amusés. Au détour d’une ruelle, j’aperçois une enseigne rose "peggy’s bar". J’éclate de rire, Malika aussi, Gladys est dubitative. Je la prends dans mes bras et lui explique :
— C’est le surnom que je t’ai donné, Peggy… Tu as tout d’elle. Une vraie petite cochonne.
— Mouais, mais j’aime assez…
— Allez, on y va…
Malheureusement c’est fermé. Ouverture à 21h00. Tan-pis.
On s’égare dans la vieille ville. On entend les téléviseurs diffuser leurs programmes. Gladys stoppe net devant des persiennes pas entièrement rabattues. Il est vrai que l’on entend les habitants de cette maison de village s’adonner à une occupation peu orthodoxe. La nana gueule son plaisir et le mec l’insulte. Des "prends ça grosse pute", "tu aimes quand je t’encule" et je vous en passe et des meilleurs. On est là, comme trois mateuses essayant de voir, d’apercevoir. Ils sont à moins d’un mètre. Le mec est un très jeune freluquet (l’âge de la maturité, j’espère), maigre, un fil de fer, mais avec un très, très joli membre. La nana, beaucoup, beaucoup plus vieille que lui. Elle doit avoir la quarantaine bien sonnée. Je peux les voir. Ils sont beaux. Lui en train de tout donner, comme si sa vie en dépendait. Elle, transpirante, se tient au bord de la table comme elle peut. Le coït anal est superbe. Il ressort à chaque fois et se plante dans l’anus de sa rombière. Il exulte, il jouit en criant des noms que la décence ne me permet pas de dire ici (LOL).
Il est beau, elle est magnifique. Il reste bloqué bien au chaud dans ce fondement offert.
— Merci, maman… Pfiouffff. J’adore ton cul.
Il se penche et l’embrasse fiévreusement. On a compris toutes les trois. C’est d’un rapport incestueux que l’on vient d’assister.
Quand il tourne la tête, il s’aperçoit qu’il est observé. Observé par trois charmantes créatures.
— Rémy ? Quest-ce que tu fous ? Lui dit sa mère.
— Attends, maman, il me semble que l’on a des voyeurs… Regarde…
Elle tourne la tête vers nous et nous sourit. Elle nous fait signe de rentrer. On se regarde, on hésite. Le jeune garçon saute sur la porte et nous ouvre.
— Rentrez, vous n’allez pas rester dehors ! Nous dit-elle.
— Oui, entrez, et mettez-vous à l’aise… Renchérit le p’tit mec.
Elle ferme la fenêtre. Le jeune, Rémy, ferme la porte avec un sourire carnassier. Il bande encore. Normal, à son âge. Elle, en bonne maîtresse de maison, nous sert un limoncello glacé et engage la conversation :
— Ça fait longtemps que vous nous matez. Dit-elle en s’asseyant sur la table.
— Assez longtemps pour savoir que ton fils te monte… Je lui réponds en la tutoyant. Et vous n’êtes pas à votre coup d’essai. Je me trompe ?
Elle est embarrassée. Le rouge lui monte aux joues. Le p’tit jeune essaie d’intervenir :
— Ça fait deux jours que…
Je l’interromps :
— C’est à ta mère que je parle, compris !
— Oui, madame.
Malika et Peggy (c’est mignon, vous ne trouvez pas ?) étouffent leur rire. Je déshabille du regard la mère et le fils. Elle, de corpulence moyenne, avec des rondeurs qui lui vont bien. Des cheveux d’un noir puissant lui tombent jusqu’au-dessous des fesses. Elle à des yeux sombres, plus que ma chérie. Ses seins sont petits, mais alors tout petits. Des seins de préadolescente. Ses tétons, par contre, sont fiers. Ils ne demandent qu’à être mal traités. Elle doit mesurer un mètre soixante-cinq. Ses hanches sont bien dessinées, son cul est bien plein, rebondi. Elle a une touffe horrible (ce n’est que mon critère) qui lui remonte dans le cul.
Lui, grand et fluet. Son dos et ses fesses ne font qu’un. Je passerais sur ses jambes, sur ses bras. On a dû l’oublier à la distribution des muscles. Par contre, au niveau du sexe, il n’a rien à envier au célèbre Rocco. Il est glabre, le contraire m’aurait étonné, les couilles pendantes semblent être encore pleines.
Je regarde Gladys qui n’a d’yeux que pour ce qu’il pend entre les cuisses de Rémy.
— Et comment s’appelle ta salope de mère ? Demande Malika.
— Sabine…
— Deux qui la tiennent et trois qui la pinent… Je souris.
Je m’approche d’elle. Je laisse le jeune éphèbe à mes deux complices. Elles louchent sur ce jeune sexe, alors pourquoi leur en priver ?
Je commence à lui caresser le nombril. Elle ferme les yeux (Euh, c’est un réflexe chez vous les filles. On ne peut pas vous donner de plaisir sans que vous les fermiez. Ouvrez-les comme vous écartez vos cuisses ou votre bouche…) et écarte les cuisses (paf, je vous l’avais bien dit). Elle s’appuie sur ses bras posés derrière elle. Elle essaie de gonfler sa minuscule poitrine. Je rigole intérieurement. Elle s’offre à moi. Mes deux chipies font de même. Pas une parcelle de son corps n’échappe à leur caresse. Il aime ça le petit salop. Il a les yeux ouverts et ne sait pas où donner du regard (la différence entre un mec et une nana).
Quand ma main arrive sur ses ufs sur le plat, elle feule. J’insiste en lui pinçant ses jolis tétons. Je remonte une main et lui fais sucer un doigt.
— Alors, on aime ?
— Ouich… Han… Hummm…
— Tu sais que tu es en train de succomber aux caresses d’une trans ?
Elle écarquille les yeux, interrogative. Elle ne sait quoi penser, quoi dire. Je la regarde et l’embrasse d’un baiser fiévreux, à la limite du cannibalisme. Elle essaie de me prendre la nuque. Je repousse violemment sa main et la regarde tendrement.
— Non, laisse-moi faire…
Elle repose sa main derrière elle et se cambre.
— Non, repose ton cul sur la table, apprécie, patiente… Regarde ton fils, il sait le faire, lui…
Elle détourne le regard vers sa progéniture. Il est heureux, ça se voit sur son visage et au niveau de sa queue que mes salopes négligent intentionnellement. Elles le lèchent de partout. Le visage, le cou, le torse, le ventre, les cuisses et remontent. Il est au bord de l’apoplexie. Appuyé, comme sa mère, sur le rebord du bac à vaisselle, il la fixe.
Malika et Gladys sont nues, moi pas. Je prends une main de Sabine et la pose entre mes cuisses. Elle a une réaction de recul.
— T’inquiète, elle marche pareil à celle de ton fils… À une exception prés…
— Hummm, oui, elle est énorme ! Ouiiiii, HAN, HUMPH !!!
Et elle jouit sans s’arrêter de mater son fils…
— Han, oui, continue… Humph…
J’enlève mon short. Elle est… Euh, comment dirais-je… Attirée, fascinée par mon sexe. Choquée, certainement pas, elle se pince les lèvres. Je ne la laisse pas y poser ses mains. Je la tire au bord de la table et la prends d’un coup jusqu’à être en butée. Elle me regarde (enfin) heureuse et elle le fait entendre. Heureusement qu’elle a fermé la fenêtre. Je me retire et la reprends au même rythme. Elle gueule son bonheur. On couvre les sons émis par son fils. Il est en train de partager sa bite avec deux bouches gourmandes. Pour ma part, je me régale de ce sexe bouillant, de ce volcan en éruption. Je la pilonne avec force, jouissant de sa jouissance. Elle regarde notre accouplement mais ne dit rien. Mon jus déborde de sa chatte, il coule sur la table. Elle n’en peut plus. Déjà ?
Je ne m’arrête pas en si bon chemin. Son fils jouit en damnant tous les saints de la terre. Je la burine, la prends comme jamais elle n’a été prise. Quand mon nectar sort de mon méat, c’est allongée qu’elle le reçoit. Elle gueule devant son fils ébahi.
Je reprends mes esprits en me faisant nettoyer la queue par Malika, Gladys se chargeant de la chatte de Sabine.
— Rhhoooo, dégueulasse, tous ces poils… Dit-elle.
— Emmène-la à la salle de bain, dit Rémy, en se dirigeant vers l’escalier… Suis-moi, depuis le temps que j’en rêve…
Sabine redescend une demi-heure plus tard accompagnée de Gladys qui s’est portée volontaire pour ce dur labeur (mon il).
— Vanessa, regarde-moi ce clito, dit Malika, il est énorme !
Effectivement, sans vous mentir, il fait la taille d’un gros haricot blanc. Il est décalotté, gonflé de désir. Je me penche devant elle et je pose mes lèvres sur ce clito hors norme. Elle réagit timidement. Je lui donne un petit coup de langue. Elle s’assied sur la table ouvrant ses cuisses au maximum. Penchée en avant, j’écarte moi aussi les cuisses.
— Putain, mais elle a un truc dans les fesses…
— Un plug, lui précise Gladys en me le retirant, et tu vas pouvoir le remplacer.
Elle le prend par la queue et lui dit :
— Vas-y, encule là. Tu as déjà enculé ta mère ?
— Oui, humph, trop bon !
Il me prend par les hanches et commence à me ramoner. Malika s’est agenouillée et me bouffe les couilles. Gladys est derrière Rémy et lui lèche le dos. On n’entend plus que les râles que font le fils et la mère. J’aspire le clito hors catégorie, pendant qu’il me lime le cul. Je jouis en permanence. Malika se gargarise de mon liquide. Elle le lape comme une petite chienne. Gladys essaie de prendre les couilles de Rémy dans la bouche, en vain. Elle s’attaque à son sillon anal. Il jouit dans mon cul.
— Putain… Hargh… Humph… Ouiiiii…
Sa mère ne tarde pas à le rejoindre, elle me gratifie d’une éjaculation phénoménale. J’en ai partout sur le visage, sur les seins. Malika récupère le fruit de ma jouissance en bouche.
Rémy s’est assis sur une chaise, Gladys lui nettoie la queue avec tout l’entrain que je lui connais. J’embrasse Sabine. Elle n’en peut plus, pourtant j’avance mon dard à l’entrée de sa vulve. Elle me regarde, ébahit…
— Tu ne débandes pas ?
Je la prends par les hanches et m’enfonce lentement, jusqu’au fond de son vagin. Elle a la bouche ouverte, vite comblée par celle de Malika. Surprise, mais comblée, elle caresse le dos de la belle négresse qui ne se gêne pas de lui pincer les tétons. Elle regarde son bas ventre. Ça déborde, elle jouit… J’entends les cris de Rémy. Gladys s’est empalée sur son vît et le prend avec fougue. Malika est montée sur la table et offre son abricot brûlant aux bons soins de Sabine. Elle la boit, la mange. Elle a de la cyprine qui lui dégouline sur le menton. L’odeur de la chatte de ma petite négresse d’amour envahit toute la cuisine. Je pars dans une jouissance sans nom, je gicle avec force dans la matrice de la belle inconnue. Je m’effondre en giclant encore et encore…
Rémy et ma petite Peggy jouissent ensemble. On se retrouve tous à terre dans leur cuisine, pataugeant dans nos sécrétions. On s’embrasse. On vient de faire de Rémy un bi convaincu. Il me regarde, je le tire par la nuque et l’embrasse. Sa mère, un peu jalouse, nous rejoint pour un échange de langues en règle.
Nos vêtements étant hors d’état pour être mis, on décide de passer la soirée avec Sabine et Rémy. Soirée barbecue, organisée avec les moyens du bord par Rémy, le seul mec présent. Bien évidemment, le bord a été prévenu de notre absence.
On se succède à la douche et je demande à Sabine si elle connait le "Peggy’s bar".
— Euh, non, pas trop. Me répond-elle en s’empourprant.
— Allez, ne fait pas ta coincée du cul. Ton fils et capable d’entendre bien plus… N’est-ce pas Rémy ?
— Bof. Je sais que c’est une boite à gonzesses, dit Rémy, et que ma mère y va de temps en temps…
— REMY !!!
— Bon, ça c’est dit… On y va ? Dit Malika.
— Euh, pour moi, c’est mort… Finit Rémy.
— Mais non, dis-je en regardant Gladys, elle va te transformer…
Ni une ni deux, ma petite Peggy entraîne le p’tit mec dans l’escalier, vers la salle de bain. On peut entendre :
— Hé oh, ça ne va pas, je ne suis pas une gonzesse… Au secours, elle est folle…
— Ferme ta gueule, tu vas me faire louper ton maquillage. Sois sympa !
— OUI, C’EST CA OU TU RESTES ICI. Hurlais-je.
Malika et Sabine sont mortes de rire. On décide d’aller s’habiller selon le dress-code de cet établissement. On se réfugie dans la chambre de Sabine. Pour elle, ce sera mini-jupe blanche et chemisier noir noué au-dessus du nombril. Pour Malika, mini-jupe bleu azur ras la touffe et tee-shirt blanc sans manche. Pour moi, mini-short noir et tee-shirt noir.
Quand apparaît Gladys, elle a revêtu une mini-jupe blanche et un chemisier en dentelle noire. Arrive Rémy. Mini-short en jean délavé et tee-shirt troué blanc. Il, elle est mignonne. Maquillé comme le chanteur d’Indochine. Un digne représentant du troisième texte.
— Allez ! En route… Fait la mère morte de rire.