Je suis agent de sécurité dans un grand magasin. Un jour, une jeune fille y entre. Sophie, elle a 20 ans, blonde au cheveux mi-longs, un corps magnifique et très bien formé. C’est une jeune fille comme toute les autres, heureuse de vivre, et surtout très amoureuse. Elle a décidé de faire une très grande surprise à son petit copain. C’est parents sont absent pour le week-end, et veut se mettre sur son 31, lui sortir le grand jeu pour passer une nuit de rêve. Mais hélas, comme touts les jeunes de son âge elle est fauchée. Elle se dirige vers le rayon lingerie, et y voit une parure magnifique, mais le prix lui fait tourner la tête. Tant pis, qu’à cela ne tienne, elle vole la parure, la met au fonde de son sac, regarde autour d’elle et se dirige vers la sortie. La peur au ventre, elle franchie la sortie sans encombres. Elle sourit et pense alors à la soirée qui l’attends. Dehors, sur le trottoir, au coin du magasin, elle tombe nez à nez avec moi. Son sang se glace à ma vue, elle m’a très bien reconnu. -Dis donc, ma petite, tu n’aurias pas oublié de faire quelque-chose avant de sortir du magasin. Je lui attrape le bras, elle tente de se défendre un peu, et dis que non, elle a juste regardé, et que je n’ai pas le droit de la toucher. – Montre moi ton sac Elle ne veut pas -Tant pis, je vais appelé la police, et tu règleras cela avec eu. La peur la prends, non elle ne veut pas la police, elle pense à sa soirée. – Tu ne veut pas que j’appelle la police, ah.ah. alors que fait on? – Viens avec moi, si tu es très sage et obéissante, on devrait trouver un arrangement. Elle n’ose pas, mais en même temps elle n’a pas le choix. elle se doute, de ce que veut dire sage et obéissante. Elle le suit. Ils entrent par une porte dérobée, et grimpe un escalier sordide, puis emprunte un couloir. J’ouvre une porte; – vas y, entre. A son passage j’attrape son sac. Elle est là au milieu de la pièce, sanglotant, des mèches blondes lui barrant son visage, le regard vers le sol. – Et bien, on ne se prive de rien à ce que je vois. Mademoiselle fait dans la lingerie. Je lui lance l’ensemble string, soutien gorge, pj et bas. -Tiens met le, montre moi si c’est ta taille et si tu as bon goût. Elle se déshabille, toujours en sanglotant, et enfile la parure. – plus vite, on a pas que cela à faire, mais dis donc, tu t’épile totalement!!!!! hummm tu es une coquine toi, tu commences vraiment à me plaire. La voilà, prête. Elle fait jeune pute dans cette tenue. Je m’assois dans un fauteil au coin du bureau. – viens ici elle s’approche, la prends par le bras, et l’oblige à s’assoir sur mes genoux. Je commence à lui caresser ses jambes gainées de nylons. les seins, les fesses -hummmm…..que c’est doux!!!! une de mes mains s’approche de son entrejambe et!!! – Et bien, tu es une vrai petite pute, tu aimes, ça, ton string est trempée, tu mouilles comme une collégienne!!! Je la reprends par le bras, et l’oblige à grimper sur le bureau, elle se met à 4 pattes. – ouvre toi bien elle est là, le cul bien en l’air. je dégage la pertie du string ui couvre sa chatte, et admire cette petite moule jouflue, fraîche et surtout humide.
Des effluves s’en échappe. Je les hume, hummmmm…ça sent bon. Je commence à fouiller sa chatte avec mes mains, et y pénètre un doigt. – Ahhh… c’est brûlant là-dedans. Tu es vraiment une cochonne. Elle ne dit rien, elle a peur, et en même temps, elle ressent du plaisir. Je la branle, et commence à ressentir des gémissements. – tu as une chatte très accueillante. Je crois que je vais y mettre d’autres doigts, pour bien l’ouvrir. – et tu aimes ça en plus, hein? cochonne!!! Je descend mon pantalon et mon boxer, et approche ma queue de son visage. Je lui attrape les cheveux, et l’oblige à me lécher. – Tiens ma petite salope, tu vas me sucer et bien me sucer! Elle commence doucement et je lui imprime des gestes sur sa tête pour lui faire comprendre ce que je veux. J’en profite pour lui claquer les fesses et y laisser l’empreinte de mes mains. – Vas y , suce , salope. Je me penche, et ouvre un tiroir du bureau pour en sortir un martinet. Je lui flagèle les fesses. A chaque coup elle pousse un petit cri – allez, suce moi bien, prépare moi bien, que je te fase ta fête après. Pendant qu’elle continu à me sucer, je me penche sur elle, et viens lui frotter le bord de l’anus avec le manche du martinet. Après quelquesminutes, je posistionne celui-ci, droit. elle ne peut retenir un cri à la pénétration du manche. Elle a mal, c’est la première fois!!! Doucement je le rentre de plus en plus profond, et fini par lui donner des mouvements de plus en plus rapides. elle a très mal, mais caché derrière ce mal, un plaisir se fait de temps en temps ressentir. -Suce moi salope, suce pendant que je te fouille le cul. Je me retire de sa bouche, retire le manche de son cul: -retourne toi, et allonge toi sur le dos. ( tu t’éxecutes ) – écarte bien tes jambes que j’admire ta chatte. mes mains s’empare de sa chatte, je lui caresse le clitoris, fouille de temps en temps sa chatte, et son cul Elle mouille terriblement, sa chatte en est luisante, son souffle est court, elle gemit! -Et bien, si j’avais su qu’une gamine de 20 ans pouvait être aussi salope. -tiens, prends le martinet et gode toi avec le manche, montre moi comment tu fais quand tu es seule et que tu veux te donner tu plaisir. Elle obéit, et rentre délicatement le manche dans son antre humide. -allez, branle toi, plus fort, plus fort, fais toi jouir, allez – caresse toi le clitoris aussi, fais bien mouiller ta chatte, car après je vais aller la visiter avec ma queue elle se branle et y prends de plus en plus de plaisir, elle gémit, elle se sent proche de l’orgasme. – Mais c’est qu’elle aime ça la salope!!! Je lui attrape la main, et arrète son geste, alors qu’elle n’a qu’une envie, continuer, sa chatte lui demande de continuer!!! -Maintenant tu vas te goder le cul. Elle approche le manche, elle n’ose pas, elle a eu déjà tellement mal la première fois. – Allez, petite pute, obéis, sinon j’appelle la police! Elle rentre le manche, doucement, elle a mal, mais le plaisir se fait plus fort que la première fois. Je prends sa main, et d’un geste l’oblige à pénétrer le manche d’un coup. Elle bouge lentement, puis le plaisir se faisant de plus en plus ressentir elle bouge de plus en plus. J’en profite pour venir lui lécher le clitoris et goûter ce goût de jeune fille.Hummm, c’est enivrant! Je lui prends de la main le martinet, et le retire de son cul. – Bon maintenant on va passer au choses sèrieuses. J’écarte plus ses jambes d’une main, et ma queue dans l’autre main, m’approche d’elle, en dirigeant celle ci vers son antre. Je pose mon gland sur le bord de sa chatte, et d’un coup de rein, pénétre en profondeur. -hummmm…..tu es bonne ma salope, ah que c’est bon une bonne petite chatte de jeunette comme toi, encore bien sérrée; -ahhhhhhhhhh…. c’est bon, c’est chaud, ah…. je vais bien te défoncer, tu vas voir, tu en redemanderas après, tu ne pourras plus te passer de ma queue. Je la lime, des fois très vite, d’autres fois doucement, ressortant et la repénétrant, lui arrachant un gémissement à chaque fois. – Vas y bouge ton cul aussi, ahhh…..tu mouilles mes couilles tellement tu dégoulines ma cochonne. J’attrape sa main et la dirige vers son clitoris – branle toi en même temps J’en profite pour lui prodiguer quelques tapes sur ses cuisses. Je sors ses seins de son soutien gorges et prends ses tétons. Elle a mal, tellement je les pince. – Bon maintenant je vais t’enculer. hummm..un cul de vierge. J’en bande encore plus. Bien serré comme j’aime; J’approche ma queue de son anus et la rentre, millimètre par millimètre.
Un râle sort de sa bouche pendant toute la durée de la pénétration. Arrivé à la garde, je bouge et la pilonne de plus en plus fort. – Ahhhhhhh… c’est encore meilleur, ah la salope, vas y ma petite bouge bien ton cul, tu vas voir, je vais te faire jouir du cul, grâce à moi tu vas devenir une vrai cochonne, jusqu’à la fin de tes jours tu redemenderas à avoir une bite dans ton cul tellement tu vas aimer ça! ça y est, elle sait ce que c’est le plaisir de la sodomie. elle qui te demandait quand elle discutait avec des copines quel intérêt de cette pratique, hélas elle se sentira trop honteuse pour leur raconter cette aventure et leur dire ô combien c’est bon. Elle n’en peut plus, et son corps se contracte, elle ne contrôle plus ses muscles, elle est entrain de jouir, la vrai jouissance, celle qui fait tourner la tête, qui fait qu’on ne sait plus ce qui se passe, où l’on est, ce que l’on fait……ahhhhh, elle crit tellement c’est bon, elle en a mal tellement c’est fort. Je retire ma queue, et retourne dans cette chatte brûlante pour la faire jouir encore. Peu de mouvements suffisent pour qu’elle rejouisse tout de suite. Elle n’en peux plus, son clito lui fait mal, et sa chatte et son cul la brûlent. J’approche ma queue de son visage. – ah, ma salope, maintenant que tu as bien jouie, c’est à moi, branle moi, et fait moi balancer mon foutre sur ton visage. Cela la dégoute, mais en même temps, elle en a très envie. Elle me branle, me lèche de temps en temps, et elle sent ma bite se gonfler. Je crache ma jute sur son visage par grands jets. – vas y ma salope branle, il en reste encore, bois moi, bouffe ma sève. elle pompe les dernières gouttes qui reste. – Avale tout, rammase avec des doigts sur tes joues mon foutre et bouffe le. C’est la première fois qu’elle avale du sperme, et ma foi, ça n’a pas si mauvais que cela. Elle avale tout jusqu’à la dernière goutte. Pendant que je me rhabille, elle est là, sur le bureau, les jambes balotantes. elle n’en peux plus. – Et bien tu as été sage, c’est bien ça, mais pas suffisant à mon goût. Il faut que tu sois plus salope. Tu sais quoi ma petite? – Je peux appeler n’importe quand la police, alors, tu vas être très obéissante,et revenir me voir très souvent, pour que tu apprennes à être une vrai cochonne. Tu reviendras tous les mercredi après-midi, je te trouverai une tenue dans le magasin, et tu seras mon esclave sexuel. Et puis, tous les deux, on va s’arranger, je suis sûr que tu as des petites copines qui comme toi aimerais voler de la lingerie, alors tu les amèneras ici, volera avec elle et puis après elle devront simplement m’obéir. – Compris, sinon, j’appelle la police. Après cette aventure avec cette petite garce, j’avais pris soin de relever son identité sur son passeport ainsi que son numéro de portable. Le soir même je rentrais chez moi, et j’avais que ma queue gonflait à chaque pensée de l’après-midi passé. Arrivé chez moi, ma compagne, qui est aussi une vraie garce, c’est d’ailleurs pour cela que je suis avec elle, n’avait qu’une idée, que je la lime aussitôt rentré à la maison. Alors qu’elle caressait mon bijou de famille à travers mon pantalon, elle me dit : -Dis donc, tu bandes bien dure, à peine je te touche. Tu as du bien en profiter cet après-midi !!!! Je lui racontais l’histoire de cette petite, qui en plus d’être voleuse, était coquine, et que j’avais qu’une idée, en faire une vrai salope, une vrai cochonne. Après avoir satisfait chacun des trous de ma femme, celle-ci me dit qu’elle aimerait m’aider à éduquer cette petite. L’idée ne fit qu’un tour dans ma tête et j’acceptais la proposition. Le lendemain, étant de repos, j’appelais Sophie (c’est son nom), et lui ordonnait de passer chez moi. Elle me dit que cela ne pouvait être possible qu’après ses cours à la fac. Elle viendrait donc vers 17h00, et surtout dans la tenue que je lui ai demandée. 17h00, on sonne à la porte, ma compagne, Sylvia, alla ouvrir la porte. Je vis le visage très étonné de la petite Sophie. Nous la faisons entrer, lui présente Sylvia, et lui dit que notre accord tenait toujours, et que si elle ne voulais toujours pas avoir d’ennuis, il fallait qu’elle satisfasse notre couple, que nous allions faire son éducation. Ceci ne se fit pas attendre, ma compagne lui demanda d’ôter tout de suite sa jupe et son haut, et de ne rester qu’en lingerie et escarpins. Nous avons profité de cet esclave un peu, pour se faire servir à boire. Enfin ma compagne se décida à lui faire son éducation : -Bien ma petite Sophie, maintenant tu vas défiler devant nous, bien tordre du cul, pense que tu n’es qu’une pute, et que tu cherche à attirer la clientèle, vas y. Sophie obéit et fit des allers-retours dans la pièce en se déhanchant, et ressortant bien sa croupe.
Sylvia se leva alors, s’approcha d’elle : -hummm, tu es très mignonne pour ton âge, j’imagine que mon rustre copain as dû être très dur avec toi hier, c’est un pervers tu sais. Je vais m’occuper de toi, te montrer d’autres choses !!! -déshabille moi ! Sophie déshabilla Sylvia, lui retira son tailleur, et la laissa en lingerie et escarpins. De voir ces 2 femmes face à face, en PJ, string, bas et escarpins, mon sexe commençait à se sentir à l’étroit dans son boxer ! -Maintenant, tu vas t’occuper de moi, me faire ce que tu aimerais que l’on te fasse, me caresser, m’embrasser…. -Mais Madame, vous êtes une femme, je n….. -Ne t’inquiète pas, tu vas voir tu vas beaucoup aimer, surtout quand c’est moi qui vais m’occuper de toi Sylvia lui attrapa les deux mains et les plaça sur ses seins. La petite commença un mouvement de caresses, et descendait parfois ses mains sur le ventre, les fesses, les cuisses de Sylvia. -Bien, tu vois, tu commences à apprécier je suis sûr. Passons aux choses sérieuses, retire mon string et viens t’occuper de mon minou. Sophie, tremblante, fit glisser le string le long des jambes de Sylvia. Cette vison, le crissement du satin sur le nylon des bas, hummmmm je bandais comme un taureau !!! Doucement elle remonta ces mains, et en plaça une sur la chatte de Sylvia et commença un léger mouvement de va et vient. Sylvia, qui est une vraie cochonne, sous l’action des caresses, écarta les jambes pour s’ouvrir totalement à la petite Sophie. -Mouiiiiii, hummmmm…….continu ma petite garce, fouille moi bien la chatte avec tes doigts, mouiiiiii, applique toi bien, branle mon clito, il aime que l’on s’occupe de lui, mouiiii, vas y Les caresses de Sophie se faisaient de plus en plus expertes, faut dire que la chatte d’une femme est un terrain connu pour elle, elle sait ce qui est bon. Ma femme attrapa alors la tête de Sophie, et l’obligea à se baisser pour venir coller sa bouche sur son minou. -Je ne peux pas Madame, s’il vous plait, je n’y arriverai pas… -Comment cela ma petite, tu as déjà oublié ta bêtise d’hier. Mon mec peut encore appeler la police, tu sais. Sophie s’exécuta alors, sortit la langue, et vint léchouiller le clito de Sylvia. -hummmm……vas y lèche bien, bouffe moi la chatte, aspire moi le clito…. Mon dieu cette vision, Sylvia les jambes écartées, les 2 mains s’ouvrant la chatte, la petite Sophie, accroupi, je commençai à voir ses lèvres dépasser de son string !!!! Ne tenant plus, je me déshabillais et m’approcha de ce couple ! -Relève toi ma petite, relève bien ton cul, je vais te faire ton affaire pendant que tu bouffes le minou de Sylvia. Et comme ça plus je vais te limer plus tu vas lui bouffer la chatte et plus elle sera heureuse. Elle se releva, j’écartais juste le string, et sans sommassions, je la pénétrais jusqu’à la garde. -Et bien ma chérie, nous avons une petite cochonne avec nous, elle est trempée, je suis rentré là-dedans sans encombres. – Elle te plaît mon chéri, elle est bien bonne, bien serrée comme tu les aimes -humm…oui, bien serrée, et tout à l’heure quand je vais lui péter la rondelle, qu’est ce que cela va être bon !!!!! Sophie commençait à apprécier de plus en plus son châtiment, et plus je la limais, mieux elle léchait Sylvia. En plus je commençais à sentir une forte ondulation de son bassin, elle en redemanda !!!! -Et bien mon chéri, tu as raison, elle va très vite devenir une vraie salope, elle apprend très très vite, elle lèche très très bien.ahhhhhhh. …. Je vais me reposer un peu, et pendant que tu continu à lui prendre la chatte, je vais lui bouffer le clito. Sylvia se baissa, passa sous Sophie. Je sentais ces doigts qui écartaient cette jeune chatte, et elle commença à laper son clito. Sylvia aimait les effluves de jeune fille qui s’en dégageait. Notre traitement fit ses effets très rapidement, la petite Sophie, n’étant pas habituée à temps de plaisir en même temps, ne tarda pas à jouir, et juter dans la bouche de ma femme, qui se régalait de ce délicieux goût, se léchant les lèvres en se relevant. -Bon, ma petite, maintenant, tu vas me montrer comment ut te fais enculer. Viens sur le canapé, et met toi à 4 pattes, le cul bien en l’air, que tu fasses plaisir à mon homme.
La petite alla vers le canapé, se mit à 4 pattes, releva les fesses. -Bien, écarte bien tes fesses, il faut que tu penses que tu appelles cette queue, tu dois lui donner envie de venir d’enculer. Sophie écarta ses fesses, je me mis derrière elle, Sylvia attrapa ma queue et la dirigea vers son petit anneau. -Vas y mon chéri, encule la, pète lui le cul, fais la jouir du cul, cette petite garce. Je m’exécutais, je sentais son cul chauffer de plus en plus, à chaque mouvement. – Que c’est beau de voir cela, mon chéri, une belle enculade !!!!! Sylvia disparu alors un instant, et je la vis revenir avec un gadget……hummmm la coquine. Elle passa alors son god ceinture, et me demanda de me pousser pour prendre ma place, qu’elle avait trop envie de l’enculer. Après lui avoir bien astiquer l’anus, Sylvia, me demande de m’allonger, afin que la petite vienne s’empaler sur ma bite. Elle l’aida, en lui écartant bien la chatte et tenant ma queue pour la diriger dans son con. Sylvia adorait faire cela. Elle appuya sur le dos de la petite pour que celle-ci vienne coller ses seins contre ma poitrine. Alors elle se plaça derrière elle. – Voilà, maintenant que tu as la chatte bien remplie, je vais t’enculer, tu vas voir une bite dans chaque trou c’est encore mieux. Et Sylvia l’encula avec le god. Je le sentais au fond de Sophie. La petite criait…..et ne tarda pas à jouir et du cul et de la chatte en même temps. Elle se retira. -bon maintenant il va falloir que l’on s’occupe de cette queue, parce que c’est bien de l’astiquer, mais il faut lui faire cracher son jus, hein mon chéri ? 2 bouches sont alors venus se poser sur ma tige ; Hummmmm…. Que c’est bon 2 langues qui s’entremêlent, et j’avoue que le traitement ne dura pas bien longtemps, je ne tenais plus. Sylvia avala alors goulûment ma queue pour en aspirer toute la semence, puis se tourna vers Sophie pour l’embrasser sur la bouche et lui faire avaler tout ce jus. Après une longue séance de baiser mêlés au sperme, Sophie se laissa aller sur canapé, elle n’en pouvait plus !!! -Et bien tu as raison mon chéri, c’est une très bonne recrue pour en faire une vrai salope. Tu devras revenir ma petite Sophie, c’est obligatoire, les cours sont loin d’être finis, et en plus, comme me la demandé mon mec, tu devra de temps en temps nous ramener de nouvelle étudiante, afin que nous fassions aussi leur éducation. Compris ?