— Bon sang ! Vous voyez ce qui nous arrive avec vos conneries ? On aurait pu partir à temps !
Claire, Erika, leurs trois mamans et Benjamin se retrouvaient tous emprisonnés dans la cave. Le mercenaire tournait en rond comme un lion en cage et ne pouvait s’empêcher de ressasser les événements.
— Si j’avais su où cette mission allait me mener, jamais je ne l’aurais accepté ! On allait y arriver : j’avais la clef, la porte était ouverte, les filles là-haut s’occupaient de tout le monde … Et vous ! Raah vous pensez qu’à baiser !
Erika était assise contre le mur, la tête posée sur ses genoux. Aucune réplique ne lui vint à l’esprit pour la simple et bonne raison qu’elle était d’accord avec le mercenaire. Elle s’en voulait énormément d’avoir cédé à son désir et n’arrêtait pas de se torturer les méninges en songeant à la manière dont ils auraient pu s’en sortir.
— On dit que les hommes ont une bite à la place du cerveau mais vous …
— Comment vous appelez-vous ? Le coupa Eugénie d’un ton tranchant.
— Heu … je … Benjamin, Madame.
— Eh bien, mon cher Benjamin, il ne sert à rien d’accabler Erika de reproches comme vous le faites actuellement. Maintenant que nous sommes réunis, cherchons plutôt une solution pour nous sortir d’ici.
— J’imagine que vous étiez trop occupées à vous lécher la moule pour y penser avant, rétorqua Benjamin, de fort mauvaise humeur.
— Figurez-vous que nous y avons déjà grandement songé, répliqua sèchement Eugénie.
— C’est vrai, enchérit Juliette. J’ai supplié le garde de nous ouvrir parce que j’avais absolument envie de me faire prendre. Evidemment, il n’a pas résisté longtemps. J’avais l’intention de le frapper ou quelque chose dans le style pendant qu’il me besognait mais tous mes espoirs se sont envolés quand il m’a attachée … Je me suis dit que, en fin de compte, quitte à me faire baiser, autant prendre mon pied. Et puis vous êtes arrivés.
— Et vous deux, s’enquit Benjamin en désignant Eugénie et Mathilde, vous vous léchiez pour … ?
— Je … hésita Eugénie, les joues légèrement empourprées, ça m’a excité d’entendre les gémissements de Juliette.
Préférant ne pas prendre part à la querelle qui opposait Benjamin aux trois femmes, Claire s’approcha d’Erika et entoura ses épaules de ses bras.
— Ça va ?
— Je n’aurais jamais dû vous emmener ici, se lamenta-t-elle. À cause de ma bêtise, on est tous emprisonnés et on n’a aucune idée de ce qu’ils sont en train de faire subir à mes petites cueilleuses.
— Ne dis pas ça, Erika. Je n’ai aucun regret, moi ! Je t’aurais suivi en enfer, s’il avait fallu.
— Merci, petite sur, sourit Erika en posant la tête contre son épaule. Je suis complètement perdue, je ne sais pas quoi faire.
— Et si tu faisais comme Juliette.
— Comment ça ?
— Bah oui, sa technique n’était pas mauvaise, elle lui a permis de sortir de cette pièce.
— Oui mais le mercenaire l’a attaché après, il risque certainement de faire pareil avec moi.
— C’est là que ton pouvoir intervient …
Erika contempla songeusement sa sur. En y réfléchissant, ça pouvait fonctionner. De toute façon, ça ne lui coûtait rien d’essayer. Elle se leva et frappa contre la porte.
— Il y a quelqu’un ?
— Quoi ? Grogna un garde de l’autre côté.
— Je suis la seule à ne pas m’être fait niquer. J’ai envie de baiser, moi !
— Quoi ? T’es timbrée ou quoi ? C’est mort, personne ne sort de la cage !
— Allez, s’il te plaît. Quelques coups de bite et je retourne dans la cage.
— Ferme-la, c’est mort je te dis ! On nous a interdit de vous faire sortir.
Erika souffla de frustration. Décidément, cet homme était têtu. Elle se concentra et mit toute sa volonté dans sa supplique :
— Viens me faire l’amour, je suis si chaude …
Sa voix sonna d’une curieuse façon à ses oreilles comme si elle avait soudainement pris un accent étranger mais pas le moins du monde désagréable. Il y eut un silence puis le cliquetis des clefs se fit entendre. La porte s’ouvrit et l’homme pointa son fusil vers les prisonniers.
— Tout le monde recule, hurla-t-il avec empressement. Toi, Avance !
Erika obéit, se demandant ce qui avait bien pu le faire changer d’avis.
— Ferme la porte et déshabille-toi !
— Comme ça, là ?
— Tout de suite !
Erika s’exécuta. Pendant qu’elle ôtait son t-shirt moulant, elle jeta des coups d’il à la dérobée en direction du geôlier. Son visage avait pris une couleur cramoisie et il la détaillait avec frénésie et empressement. Elle nota cependant une lueur étrange dans ses yeux. Une espèce de … folie, peut-être ?
Qu’est-ce qui lui prend ? Songea la jeune fille.
Elle lui tourna le dos et abaissa avec une lenteur calculée son fin legging. Petit à petit, elle fit descendre le tissu qui dévoila bientôt la naissance de ses fesses. Sa raie apparut, sombre fente qui s’écartait au fur et à mesure qu’Erika s’abaissait. Son cul se dévoila lentement dans toute sa splendeur révélant ses petits trous luisants de désir.
La mâchoire du garde sembla se décrocher. Et lorsqu’Erika lui lança un regard de braise, il fut incapable de résister davantage à la tentation. Il rangea son fusil précipitamment et commença à dégrafer sa ceinture en tremblant de hâte. À ce moment précis, la jeune fille aurait pu neutraliser le garde en projetant son pouvoir sur lui mais quelque chose la retint …
— Viens là, sale chienne !
Le mercenaire saisit sa queue et l’enfonça d’un coup sec dans l’intimité d’Erika.
— Aah ! Soupira celle-ci.
Soudain, elle sut ce qui l’avait empêchée d’agir : elle voulait le sperme de l’homme en elle. Elle se fit bourrer de la sorte pendant quelques secondes, profitant du moment. L’homme l’avait saisi par les hanches et la limait sauvagement tout en poussant des grognements bestiaux.
— Ooh oui ! Baise-moi ! Plus fort ! Plus fort !
La belle adolescente était avide. Elle voulait toujours plus de bite en elle. La queue défonçait son intimité comme un véritable marteau-piqueur et elle adorait cela. Elle aurait donné beaucoup pour que cette saillie ne cesse jamais.
Presque à contrecur, elle déchaîna son pouvoir.
— T’aimes ça, hein ? Sal … OooooOooohh !
Le mercenaire se plia en deux sous le coup du plaisir soudain et s’arrima aux seins d’Erika en les pressant avec force. Cette dernière sourit avec délice en sentant les salves de sperme exploser tout au fond d’elle. La précieuse semence jaillissait dans sa cavité et la comblait de joie. L’homme n’en finissait pas de jouir.
— Aaaaah puuutaiiiiiin ! S’exclama l’homme, le visage tendu sous le coup de l’orgasme qui ne paraissait pas vouloir s’arrêter.
Erika tomba à genoux et le garde l’accompagna dans sa chute, grognant et bavant son plaisir si intense. Son sexe était saisi de spasmes tandis qu’il continuait de vomir un flot discontinu de foutre chaud. Erika se régalait.
Finalement, sans cesser de jouir, il se tut. Il venait de s’évanouir. Erika mit fin à son pouvoir et elle sentit le corps de l’homme se relâcher aussitôt. D’un mouvement d’épaule, elle le fit basculer sur le côté et se releva en s’époussetant. Elle s’empara précipitamment des clefs et ouvrit la cellule.
— Co … comment tu as fait ça ? S’ébahit Claire.
— Bah, je me suis juste déshabillée et …
— Non, non, comment tu as fait pour le convaincre de t’ouvrir ?
— Ah ça ? J’en sais rien … je lui ai demandé gentiment.
— Non, Erika ? Quand tu lui as demandé « gentiment », comme tu dis, on a tous eu envie de te baiser sur-le-champ. J’ai même hésité à te sauter dessus alors que son flingue était braqué sur moi !
— Vraiment ? Et tu en as toujours envie ?
Claire sourit lubriquement. Evidemment qu’elle en avait toujours envie …
— Non, non, non, non, non ! Intervint brutalement Benjamin. C’est hors de question ! Vous ferez autant de bébés que vous voudrez une fois qu’on sera sorti de ce pétrin mais pour l’instant, personne ne baise personne à moins que ce ne soit absolument nécessaire ! Compris ?
Erika baissa la tête honteusement.
— Tu as raison, pardonne-nous.
Ces mots semblèrent adoucir Benjamin qui, pour cacher sa gêne, se mit en quête d’une arme en marmonnant dans sa barbe. Erika n’avait pas manqué de remarquer que son pantalon était déformé par une érection qu’il tentait tant bien que mal de masquer. Elle sourit avec compassion : elle commençait doucement à apprécier la compagnie du mercenaire.
— Comment va-t-on faire pour sortir d’ici ? Questionna Mathilde. Ils sont une trentaine et n’importe qui risque de débarquer d’une minute à l’autre.
— Je n’en sais rien, avoua Erika en se mordant la lèvre, signe d’une intense réflexion chez elle.
— Attends une minute, dit Claire. J’aimerais vraiment savoir comme tu t’y es pris pour que ce garde t’écoute.
— Pourquoi ? On réfléchira à ça plus tard, pour l’instant il faut partir !
— Non !
— Mais pourquoi ? Qu’est-ce qui te prend, Claire ?
— Ecoute-moi, Erika. Je pense que tu as utilisé tes facultés mais d’une façon différente. Une nouvelle facette de ton pouvoir, en somme.
— C’est possible, oui. Mais on peut essayer de comprendre ça plus tard.
— Non, tu peux utiliser cette nouvelle facette pour nous sortir d’ici !
Erika considéra sa sur songeusement.
— Réfléchis, ajouta Claire. Tu ne peux pas lancer ton pouvoir sur tous les mercenaires pour plusieurs raisons : ils sont trop nombreux, ça te demanderait trop d’énergie et les décharges de plaisirs qu’ils recevront pourraient les faire appuyer sur la détente de leurs fusils et nous tirer dessus accidentellement. Ton pouvoir à l’état brut est donc trop risqué. Mais si tu utilises ce que tu viens de faire dans la cellule, tu peux peut-être réussir à détourner suffisamment leur attention pour qu’on puisse s’échapper …
— Mais … je ne sais pas comment j’ai fait …
— Il faut que tu t’en souviennes ! Essaie à nouveau sur moi. Répète ce que tu as dit au garde.
— Bon, d’accord.
Erika se concentra quelques secondes avant de susurrer :
— Viens me faire l’amour, je suis si chaude …
Elle regarda ensuite les membres de sa famille qui secouèrent la tête, dépités.
— Ce n’est pas ça, se lamenta Claire. Je suis quasiment sûre que c’était ton pouvoir. Comment fais-tu pour l’utiliser, d’habitude ?
— Je me représente un lac tout au fond de moi. Il est calme et paisible, sans courant. Quand je veux le lâcher, je m’imagine qu’il commence à couler en une douce rivière qui ondule et sort de moi.
— Par où est-ce qu’elle quitte ton corps, cette rivière ?
Bien qu’elle ait déjà évoqué cette idée de lac représentant son pouvoir niché tout au fond d’elle, Erika dût se concentrer davantage pour cette question car elle n’y avait jamais vraiment songé auparavant.
— Par les mains, je pense. Les rivières coulent le long de mes bras et sortent de mon corps par les mains.
— D’accord. Essaie peut-être de faire couler ton pouvoir par ta tête …
Le regard d’Erika devint subitement paniqué.
— Non, je … je ne peux pas ! La dernière fois que j’ai fait ça, j’ai joui encore et encore sans savoir m’arrêter. C’était horrible ! Heureusement que Simon est intervenu pour m’aider sinon je ne sais pas comment j’aurais fait pour m’en sortir.
— D’accord, d’accord, pas par la tête, fit Claire en posant une main apaisante sur le bras de sa sur. Essaie alors de te souvenir à quoi tu pensais quand tu as parlé au garde.
— Je … je ne sais plus … je voulais … je voulais me faire baiser, c’est sûr. Mais c’est pas la première fois que je supplie quelqu’un pour qu’il me baise …
— C’est vrai, reconnu Claire avec un léger sourire complice. Mais cette fois-ci, pourtant, c’était différent.
— Peut-être que ce n’est pas par la tête que ton pouvoir doit sortir, intervint Mathilde, mais par la bouche …
— Par la bouche ? S’étonna Erika.
— Mais oui, réfléchissez, les filles, s’enhardit Mathilde. Le garde a été conquis par tes mots. Peut-être que … je ne sais pas … que tu as mélangé ton pouvoir à ta voix ou quelque chose comme ça …
Les deux jeunes filles se regardèrent.
— Tu pourrais essayer ça ? Questionna Claire.
Erika se mordit la lèvre et finit par hocher affirmativement la tête. Elle ferma les paupières et, pendant un moment, le silence se fit. Tout le monde la regardait intensément. Sans ouvrir les yeux, Erika articula une phrase :
— J’ai envie d’une bite en moi.
Cette voix.
L’effet fut immédiat. Les quatre femmes et l’homme sentirent un intense désir s’emparer d’eux. Benjamin et Claire eurent une érection immédiate.
Erika ouvrit les yeux. Tout le monde la dévorait du regard et elle sourit victorieusement. Elle avait réussi ! Sa petite sur ainsi que le mercenaire s’avancèrent vers elle en déboutonnant leur pantalon. Erika baissa les yeux et constata qu’elle était toujours toute nue.
— Heu … attendez, je …
Des mains se posèrent avidement sur tout son corps, agrippant et palpant ses seins, son ventre, ses fesses … Mathilde l’embrassa goulûment et une main se mit à coulisser le long de sa hampe. Elle gémit.
— N … non … il faut … Mmmh …
Une queue se fraya un passage dans son fessier et caressa sa rosette. Elle voulut protester mais, accaparée par le plaisir, ses objections se muèrent en suppliques :
— Donnez-moi du sperme !
Cette phrase seule aurait suffi mais, sans le faire exprès, Erika mêla son pouvoir à ses mots. Le sexe de benjamin s’enfonça aussitôt jusqu’à la garde dans son délicat anus. C’était bon ! Elle poussa un léger cri. Et la langue de Mathilde dansait dans sa bouche et lui faisait tourner la tête. Elle sentit l’un de ses seins se faire aspirer et son téton, agréablement durci, fut délicieusement mordillé et suçoté.
— Ooh oui ! Encore.
À présent, sa voix était entièrement imbibée de son pouvoir. Chaque injonction qui sortait de sa bouche était d’une douceur ravageuse. Chargées de sensualité et d’érotisme, ses paroles excitaient les personnes qui l’entouraient et, mieux encore, elles les domptaient.
Trop occupée à se faire caresser de tous les côtés, Erika ne remarqua pas tout de suite la légère pression contre son vagin. Son cul se faisait toujours gentiment bourrer tandis que Benjamin s’arrimait à ses hanches en soufflant contre sa nuque. C’était si bon !
C’est alors que la pression contre son intimité s’accentua et elle sentit sa rose s’ouvrir délicatement. Erika cessa d’embrasser Mathilde pour voir de quoi il s’agissait. Malheureusement, elle comprit trop tard …
Claire enfonça subitement ses deux queues en elle.
Erika hurla. Elle sentit les énormes piliers de chaires la pénétrer et étirer violemment son trou bien trop étroit. Elle jeta ses bras autour du cou de sa jeune sur et serra autant qu’elle le put.
— Aaaaaaah puuutaiiiiiinnn ! Cria-t-elle.
Claire poursuivit sans état d’âme sa terrible invasion entre les reins d’Erika, ses deux queues confortablement compressées dans un divin fourreau.
— Aaah Claaaaaiiiiire !!
Finalement, Claire buta tout au fond en faisant sursauter, de douleur ou de plaisir, sa grande sur. Jamais encore Erika n’avait été étirée de la sorte tout en se faisant ramoner le derrière. Elle voulut parler, engueuler sa sur et même la frapper mais tout ce qu’elle réussit à gémir fut :
— Encore.
Ce gémissement aurait pu être soufflé par une reine tant il fut sublime. Un geignement quelque peu enraillé dans lequel se disputaient ferveur et érotisme. Une supplique qui ne souffrait d’aucun refus ou même hésitation.
Claire s’exécuta sur-le-champ. Elle se retira lentement et ses deux sexes limèrent le vagin d’Erika sur toute sa profondeur.
— Mmmph ! S’exclama cette dernière en se sentant soudainement insupportablement vide. Viens …
Claire et Benjamin se lancèrent un bref regard de concertation avant de perforer ensemble les cavités de la sur aînée. Celle-ci en eut le souffle coupé et dut s’arrimer au cou de Claire comme si sa vie en dépendait. C’était trop ! Trop gros, trop profond … trop bon !
La queue de Benjamin à elle seule était déjà absolument exquise mais combinée à celles de Claire, elles devenaient tout simplement irrésistibles. Les trous d’Erika se remplirent comme rarement ils le furent auparavant et elle ne put retenir des hoquets de plaisir. Les trois sexes butèrent de concert dans ses tréfonds, lui tirant par là même une exclamation extatique.
— Aah oui ! C’est si bon !
Comme dans un rêve, elle devina les corps de ses mamans l’entourer et se frotter à elle telles des chattes en chaleurs. Des lèvres avides se posèrent sur les siennes, ses seins se firent littéralement bouffer et elle perçut deux vagins se frotter chacun sur ses hanches et y répandre leur chaude cyprine. Et pendant ce temps, Claire et Benjamin poursuivaient leurs divines incursions entre ses chairs écartelées.
Chaque pénétration était plus incroyable que la précédente. Elle sentait son intimité se faire étirer sur toute sa longueur tandis que son anus aspirait goulûment le chibre du mercenaire. Ensuite, les hampes refluaient et son corps brûlait de se faire enfourner encore et encore. Elle gémissait et suppliait que les sexes reviennent en elle. Elle les désirait tant. Elle avait besoin d’eux.
— Mmmh … encore, implora-t-elle. Plus loin … Aaah … Plus fort !
Claire enfonçait ses queues comme on lancerait un bélier à l’assaut d’une porte blindée. Elle allait le plus loin possible en s’accrochant à ses côtes sans avoir peur de faire hurler sa sur. Surtout que chaque son qui sortait de la bouche d’Erika sonnait comme une magnifique récompense aux oreilles de Claire. Peut-être même qu’elle perforait aussi sauvagement sa sur pour pouvoir entendre cette voix.
Cette voix …
Le moindre son qui s’échappait de la bouche d’Erika faisait trembler tout son être. Elle ne vibrait à présent plus que pour cette divine intonation bouleversante d’érotisme. À chaque fois que ses bites s’enfonçaient avec vigueur dans la cavité étriquée d’Erika, celle-ci poussait une complainte, redoutable et magnifique, qui retentissait comme un roulement de tonnerre.
— C’est bon, Claire ! Encoooore …
La jolie brune allait jouir, elle sentait la sève monter à une vitesse fulgurante et pourtant … pourtant elle ne voulait pas jouir. Elle voulait encore écouter cette voix. Elle voulait encore entendre Erika gémir son nom et la supplier de continuer. Elle aurait pu faire ça toute sa vie …
Son bassin se balançait vivement entre les cuisses de sa grande sur, ses piliers de chair, pareils à deux énormes gourdins suintants, labourant avec régularité le vagin défoncé de celle-ci. Et Erika en redemandait. Son trou, bien trop étroit pour pareille incursion, ne semblait jamais être comblé.
— Je vais venir, Claire ! Aaah … oui ! Baise-moi encore, ne t’arrête pas ! Mmmh c’est si boooonn … Encore … Encore !
Claire jouit la première. Mais comme le lui avait ordonné Erika, elle ne s’arrêta pas et continua de bourrer sa sur alors même qu’elle éjaculait abondamment.
— AaaaAaahh !! Je jouis, Claire ! Ooooooh …
Les sexes de Claire qui, sous le coup de l’orgasme, s’étaient soudainement transformés en véritable lance à incendie, inondaient de foutre chaud l’intimité d’Erika. Cette dernière hurlait de plaisir et fut bientôt à son tour balayée par un violent orgasme. Tout son corps se contracta de bonheur et sa propre queue se mit à déverser quantité de semence sur les seins de Claire.
— Ooooh Erikaaaa ! C’est bon, putaaiiiinnn …
Benjamin se mit également à jouir lorsqu’il sentit sa verge se faire enserrer par l’anneau anal d’Erika. Il grogna de plaisir et tout son corps se tendit en s’enfonçant le plus profondément possible dans la bouillante cavité.
— Oh oui ! Ce cul, putain ! Gémit-il entre deux éjaculations.
Au même instant, les trois mamans qui se faisaient lustrer l’abricot sur le corps de leur fille poussèrent des gémissements de concert. Elles se sentirent défaillir de bonheur alors que les douces ondes orgasmiques parcouraient leur corps.
Pendant plusieurs secondes, plus rien ne bougea. Ne restait au centre de la pièce qu’un amas de chair haletant et recouvert de transpiration et de sperme. Erika finit par émerger comme on sort d’un coma et parcourut la salle d’un regard vitreux.
Dans un premier temps, elle ne parvint pas à discerner ce qui se trouvait autour d’elle. Puis, petit à petit, son cerveau embrumé se remit en marche et elle commença à distinguer des formes vagues. Elle plissa les yeux et, tout à coup, l’horreur de la situation éclata dans son esprit.
Tout autour d’eux, bien aligné en demi-cercle, se tenait une rangée d’hommes tous plus menaçants les uns que les autres. Tous pointaient leur arme sur eux.
— Oh non … gémit-elle.