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Retour à Palavas – Chapitre 4




Chapitre 4

Je me suis sentie frustrée, tant nous avons du partir précipitamment du club de Sandra. Mais Alex m’emmène maintenant chez lui. J’en rêvais

Nous partons en courant presque, mais ses mains ne quittent pas mon petit cul. Nous arrivons enfin. Il ouvre la porte du hall, et nous montons l’escalier, quatre à quatre. Il est derrière moi, et je fais en sorte que ma jupe se soulève, pour qu’il puisse voir mes fesses nues.

Arrivés sur le palier, il me prends dans ses bras. Je me love contre lui, et nous nous embrassons à pleine bouche, il me dévore littéralement, me mordillant l’oreille, et je sens sa queue dressée, impérieuse, à travers nos vêtements. Il caresse mes seins d’une main, tandis que de l’autre, il cherches ses clés.

La porte s’ouvre enfin, et nous nous précipitons à l’intérieur, toujours enlacés. Alex relève ma jupe, et il serre mes fesses dans ses mains, tout en repoussant la porte du pied pour la fermer. Notre désir est à son paroxysme. La première, je t’enlève son tee-shirt, et je couvre sa poitrine de petits baisers gourmands.

A son tour, il s’attaque aux boutons de mon chemisier, qui résistent. Emporté par son impatience, il tire d’un coup sec le tissu, qui craque et se déchire. Me voila seins nus devant lui, et dans un geste de provocation, je soulève les deux globes hâlés, pour les lui montrer. Aussitôt, sa bouche descend sur mes tétons. Il les lèche, les mordille, et il se débarrasse de son short.

Je sens un flot de cyprine couler dans mon string, au moment où il dégrafe ma jupe, qui tombe sur le sol. Puis il tire brutalement sur l’élastique de mon string, qui craque à son tour. Au lieu de me fâcher parce qu’il ruine ma garde-robes, je prends la chose sur le ton de la plaisanterie.

— Si tu continues comme ça, je n’aurais plus rien à me mettre.

— Tant mieux, j’adore quand tu es nue. Et puis ce string est si petit

— Il ne te plaît pas ? Je l’ai choisi pour toi. En pensant au moment où tu me l’enlèverais

— Bien sur que si, il me plaît. J’adore les strings surtout lorsqu’ils sont très mouillés. Comme le tien.

— Salaud !!!

Mais l’essentiel est que je sois nue, enfin. J’ai attendu ce moment pendant toute la soirée. Et moi aussi, je veux voir son sexe, le toucher. Je m’agenouille devant Alex, d’un mouvement rapide je baisse son boxer, et je me retrouve nez à nez avec sa queue dressée à la verticale, et raide, comme le mât d’un voilier.

Je la prends dans ma main, et je me livre à de lents mouvements de va-et-vient, sur toute la longueur de sa tige épaisse. Je pose mes lèvres sur son gland, pour un baiser tout léger, et je lève la tête. Mes yeux brillants plongent dans les siens, et je lui dis d’une voix sourde :

— J’ai envie de te sucer, de te faire mourir de plaisir avec mes lèvres et mes doigts. Tu veux ?

— Quelle question ! Mais si je décharge dans ta bouche ou sur tes seins, tu

— J’aimerai, je te boirai Demande moi encore de te sucer, j’aime quand tu me le dis.

— Oh oui, Ambre, suce moi, pompe moi. Oooooooh !

J’ai enfin cessé de le faire languir. Mes lèvres enserrent son gland, ma langue virevolte autour, pendant que ma main crispée monte et descend autour de sa tige. Puis je me déchaîne. Je veux lui offrir tout ce que je sais faire avec ma bouche. Je me cramponne à ses fesses. Je dévore littéralement son mandrin, je le suce, je l’enfonce jusqu’au fond de ma gorge, je l’aspire, je le mordille. Je masse ses couilles. Alex  me tiens par les cheveux pour faire durer mes caresses, et il m’encourage :

— Hmmm…oui vas y c’est bon, continue comme ça, n’arrête surtout pas.

C’est un concert. Mes gémissements étouffés, ses grognements et ses râles de plaisir. Je glisse une main entre mes cuisses, pour exciter mon clito et me doigter. Je coule comme une fontaine

Alex me supplie de ralentir, car il sent qu’il va venir. Mais c’est ce que j’attends depuis le début de cette soirée! Et finalement il se laisse aller. Il me regarde, en me demandant :

— Finis moi je n’en peux plus, je ne vais pas tenir… je te promets une nuit inoubliable après, je vais te baiser, sois en sure.

Moi aussi, je sens que je vais jouir. C’est trop bon. Je redouble d’ardeur. Je gémis, malgré son pieu épais qui remplit ma bouche, et je lève les yeux régulièrement, pour lui jeter des regards enamourés et provocants. Je ne peux me détacher de son visage qui se crispe, à l’approche de l’extase.

— Oui… Oui! OUIII! Vas-y!! me crie-t-il.

Son gland palpite dans ma bouche, sa tige se tétanise entre mes doigts… Les premières ondes du plaisir me parcourent. Mon clito et mes nichons deviennent encore plus durs, et des flots de cyprine inondent mon entrejambes. Ma main se crispe sur ses fesses, j’y enfonce mes ongles… Et soudain…

Les mains d’Alex écrasent presque mon visage, et un flot de sperme gicle, jusqu’au fond de ma gorge. Ma langue tourne autour de sa queue, et une décharge électrique traverse mon corps, avant qu’un tsunami de jouissance m’emporte.

Je goûte son foutre au goût acre, un peu salé, mélangé aux saveurs de son parfum. Comme c’est bon!!! Mais la source de sa semence semble inépuisable. De longs jets crémeux continuent de jaillir de son membre, que je branle toujours, sans pouvoir m’en détacher, et viennent maculer mon visage, mon cou et mes seins.

Lentement, je reviens à la réalité, toujours à genoux devant lui, et je lui lance un regard plein de la satisfaction d’une fille comblée.

— Que c’était bon, Ambre, tu suces tellement bien! Je n’en pouvais plus.

— Moi non plus, Alex. J’avais tant envie de te faire jouir dans ma bouche, de dévorer ta bite, de sentir ton foutre gicler, et de le boire.

Tout en lui parlant, j’étale du bout des doigts son jus, sur mon visage et sur mes seins, les léchant de temps en temps pour retrouver son goût. Puis, quand je suis rassasiée, je lui demande où se trouve la salle de bains, pour une douche réparatrice.

Lorsque je me retrouve seule, nue sous l’eau fraîche qui coule sur tout mon corps, je me remémore cette soirée, qui a suivi un "cours de voile" déjà très animé. Je me sens à la fois comblée, et encore pleine de désir… Je me fais peur. J’ai l’impression qu’il fait de moi une obsédée. Ou alors, je deviens nympho…

Je suis partagée, entre l’impatience de le retrouver, de me blottir contre lui, et l’envie perverse de le faire attendre, pour faire renaître plus facilement son désir. Et enfin, je sors de la salle de bains, et je l’aperçois par la porte-fenêtre ouverte : il est dans le plus simple appareil, sur ta terrasse, un verre de vin blanc à la main.

Je pense un instant à remettre mon string, mais je me rends compte qu’Alex l’a vraiment explosé. Tant pis ou tant mieux. Moi aussi, je vais le rejoindre, à poil. Je prends quand même le temps de remettre mes chaussures, et le reflet dans la vitre me renvoie l’image d’une nana indécente et provocatrice. En le rejoignant, je lui demande :

— Tu aimes ma tenue ?

— C’est ce qui te va le mieux, répond-il en riant.

— Ça ne te gêne pas, si on nous voit comme ça ?

— Uniquement si ça te gêne de te montrer nue

— Tu connais déjà ma réponse.

J’ai prononcé ces derniers mots en m’approchant de lui, et en le regardant dans les yeux. Il me prend par la main, il me fait m’asseoir à côté de lui, sur un petit canapé bas, et il m’offre un verre de vin.

Je me love contre lui, et il passe son bras autour de mon épaule. L’air tiède de la nuit, son corps contre le mien, sa bouche qui s’approche de la mienne Je pose mon verre, et aussitôt, ses lèvres prennent possession des miennes. Nos langues retrouvent les jeux qu’elles ont inventé depuis deux jours, et je sens ses mains se poser sur mes seins, qui se dressent immédiatement.

Il prend son temps, et j’aime ça. Après avoir joui dans ma bouche, son désir est moins impérieux, empreint de douceur. Nous sommes vraiment à l’unisson, et ma main saisit doucement sa queue pour la caresser tendrement.

Sa bouche descend sur mes seins, et je renverse la tête en arrière, pour faire saillir mes petites aréoles, et les lui offrir.

— Embrasse mes nichons Oh oui, comme ça Lèche les Mordille mes tétons Oh oui !! C’est bien !!!… Oh, j’adore !

Ma main gauche appuyée sur sa tête, pour l’encourager, ma main droite qui le branle doucement. Je suis au paradis. Surtout que je sens ses doigts descendre sur mon ventre, effleurer l’intérieur de mes cuisses, que j’écarte. C’est reparti, j’ai envie

Alex s’agenouille devant moi, et je pose mes pieds sur le bord du canapé. Je sens la brise nocturne balayer d’un souffle léger mon minou, qui s’ouvre. Il pose ses lèvres sur chacun de mes genoux, alternativement, et sa langue remonte sur l’intérieur de mes cuisses, vers ma chatte qui brille dans la lueur du lampadaire d’en face.

Il commence par lécher mes grandes lèvres, mon mont de Vénus, sans attaquer tout de suite les parties les plus sensibles de mon sexe. J’ai hâte. Je n’en peux déjà plus. Je ronronne comme une chatte en chaleur.

Il éloigne sa bouche quelques instants, et ses doigts ouvrent mon abricot juteux. Il le contemple avec gourmandise, et je sens son index dégager mon clito, qui darde. Son doigt tourne autour, le caresse, pendant qu’il tremble et que je gémis de plaisir.

Sa bouche se pose enfin sur mon petit bouton d’amour. Il l’embrasse. Il le lèche. Il l’aspire, avec un art consommé pour m’exciter. Puis sa langue s’aventure dans ma fente. Je coule dans sa bouche, en poussant de petits cris.

Alors commence une sorte de ballet, qui me fait perdre tout contrôle de mes réactions. Ses doigts, ses lèvres, sa langue, tout semble virevolter entre mes cuisses. Je me tords de plaisir, pendant qu’il me doigte, qu’il me lèche, qu’il me mordille. Je me laisse totalement aller, et j’oublie toute mon éducation.

— Oui, bouffe moi ! Oh putain ! Oui Fourre moi encore un doigt. Oh putain ! Putain, c’est bon ! Encore Non, oh non, tu me rends dingue Si ! Oui !! Ouiiiii !!! Plus profond

Alex m’amène au bord de l’orgasme, puis il laisse redescendre mon excitation, avant de recommencer. Encore et encore. Mon corps ruisselle de sueur, mon minou dégouline de cyprine. Et soudain, je me cambre, je me renverse en arrière, les seins pointés vers le ciel étoilé.

— Je vais venir. Oh oui ! Je viens ! Oooooooooh ! Je jouis, je jouiiiiiis

Ses mains ont écarté grand mes cuisses, et sa bouche dévore ma chatte, quand je gicle. Je me transforme en fontaine. Mon clito est devenu trop sensible, et je repousse sa tête. Il me regarde, pour contempler l’état dans lequel il m’a mise, et il approche sa bouche pleine de ma mouille, pour un baiser délicieux.

Je reste là, étendue sur le canapé, nue, cuisses écartées, lui offrant sans pudeur le spectacle de mon intimité béante. Et je vois son sexe épais, dressé, dur, son gland qui le surmonte, prêt à me défoncer. Insatiable, je me prépare déjà à ce nouvel assaut.

Il me tire par les jambes, de manière à amener mes fesses au bord du canapé. Il se place entre mes cuisses, et il me pénètre d’un seul coup de reins, sans qu’il soit nécessaire de guider son mandrin, tant je suis mouillée et ouverte.

Il se met à me pistonner, avec une force décuplée par le désir et l’excitation. Je ne suis pas en reste, et je jette littéralement mon bassin vers toi, en geignant et criant.

Puis, sans nous désunir, il se laisse glisser sur le sol, pour s’étendre sur le dos. Je me tiens au bord du canapé, et je le chevauche maintenant, le buste rejeté en arrière. Il malaxe mes seins, il tord mes tétons, pendant que je soulève mes reins pour m’empaler ensuite sur son bel engin. Je monte et descend lentement, pour goûter chacune de ces pénétrations. Son gland, sa tige épaisse qui me dilatent et me remplissent

Nous nous contrôlons l’un et l’autre, et malgré notre désir, nous retardons le plus possible l’explosion de notre plaisir. Mais Alex a envie de quelque chose de plus fort

— Lève-toi, Ambre.

Il me guides vers la balustrade de la terrasse, et il n’a pas besoin de m’en dire davantage. Nous pensons la même chose Je m’agrippe à la rambarde, et je me cambre. On peut nous voir, et ça m’excite un peu plus J’écarte mes jambes.

Ses mains se posent sur mes fesses, et sa bite retrouve le chemin de ma grotte. Cette fois, il me prend encore plus fort, aidé par cette position.

— Mmmmh, c’est bon ça, me dit-il en serrant fort mes seins dans ses mains. Je t’avais promis que je te baiserai !

— Oh, oui, baise moi, défonce moi Prends moi comme une pute, je suis à toi. Oui, plus fort !

Je me cambre à en avoir mal aux reins, je remue mon bassin d’avant en arrière, pour qu’il me pénètre toujours plus loin. Le frottement de son gland, de sa grosse hampe à l’entrée de mon fourreau me font trembler, et je crie de plaisir chaque fois qu’il touche mon point G.

Soudain, je sens qu’il écarte mes fesses. Son pouce explore le sillon qui sépare leurs deux globes fermes et bronzés, il s’attarde sur mon petit illet sombre, tourne autour en poussant légèrement. Une pensée me traverse : il a envie de me prendre par là ! S’il s’y prend aussi bien que dans ma chatte je sais déjà que je vais adorer

Mais mon petit trou est serré. Il va falloir que je lui fasse comprendre qu’il doit bien me préparer, être patient. Il a ralenti ses va-et-vient dans mon minou, pour se concentrer sur mon anus, qu’il masse avec son pouce, et ma respiration se fait plus rapide.

— Tu as envie que je te prenne par ton petit trou ? Me demande-t-il ?

— Oh oui, Alex ! Mais il faut que tu me détendes, pour pouvoir me mettre ta grosse queue.

— Je vais te donner envie, mon Ambre. Tu vas t’ouvrir toute seule Comme ça ? Tu aimes ?

Il a couvert son pouce de salive, et j’ai glissé ma main entre mes cuisses pour recueillir ma mouille avec mon index et mon majeur, avant d’en enduire ma rosette. Il appuie maintenant son doigt contre ma porte étroite, et petit à petit, sans forcer, une première phalange s’enfonce dans mon cul.

— Oh oui ! C’est bon, continue comme ça Oui Doucement.

Je me détends progressivement, et il en profite pour me pénétrer un peu plus profondément, m’arrachant des gémissements sonores.

— C’est ça, ma belle, j’aime t’entendre. Il te fait du bien, mon doigt?

— Oh oui… Oui!!! Oh…. Encore un peu… plus…

Je suis là, haletante, pendant que ma rosette s’ouvre. Son sexe se retire de mon minou, aussitôt remplacé par son autre main, tandis que je me redresse et me tourne vers lui, et qu’il murmure:

-Montons dans la chambre, je veux ton petit cul. Tu es d’accord?

— Oui. Tout ce que tu veux. Encule moi, j’ai envie maintenant. (L’excitation nous pousse à nous lâcher et à utiliser les mots les plus crus)

Il me prend par la main, et nous montons l’escalier. Quatre à quatre, tant nous sommes impatients. Je me retrouve pour la première fois dans sa chambre. Il m’embrasse, et il m’allonge sur son lit, avant de se diriger vers une commode. Étendue sur le dos, je le contemple, nu, avec son sexe bandé, son gland décalotté qui va me faire connaître ce plaisir ultime. Mais je me demande si je n’ai pas été trop optimiste, en acceptant qu’il me sodomise. Un tel engin, dans mon petit trou si étroit…

Sans y  penser, j’ai écarté grand mes cuisses, et posé mes pieds sur le lit, exposant ma chatte entrouverte, d’où s’échappe un filet de cyprine brillante.

Je suis Alex des yeux. Il ouvre un tiroir, et il en sort un flacon. Le nom sur l’étiquette me fait comprendre qu’il s’agit d’un lubrifiant, dont il enduit ses mains, tout en me dévorant des yeux, un sourire charmant sur les lèvres. Comment lui refuser quelque chose

Il s’agenouille entre mes cuisses, je soulève mes reins, et il commence par caresser tendrement mes fesses, glisser son majeur dans le long sillon profond, jusqu’à mon petit illet plissé. Je ne dis plus un mot, à la fois inquiète et pressée de connaître la suite. Il guide ma main vers sa verge, dure et dressée, et ce contact dans ma paume et entre mes doigts me rassure, et réveille mon désir. Il attend que je le branle franchement, et son majeur, qui se contentait de décrire des petits cercles autour de mon anus, en force franchement l’entrée.

Je pousse un petit cri de plaisir, lorsque je le sens se glisser en moi. Alex marque une pause, se contentant de lui faire décrire de petits mouvements, puis lorsqu’il voit que je me détends, il l’enfonce plus profondément.

— Ça te plaît ? Me demande-t-il.

— Oui, dis je d’une voix sourde, mal assurée. Mais va doucement

— Tu es toute serrée Tu t’es déjà fait enculer ?

— Oui, mais il faut vraiment que tu me laisses le temps de

— J’ai compris, ne t’en fais pas.

— Mais je veux vraiment aller jusqu’au bout avec toi. Sentir ta bite dans mon cul. Que tu me fasses jouir par là aussi…

Tout en lui parlant, ma main s’est crispée autour de son sexe, comme pour lui faire deviner ce qu’il va ressentir.

Il remet du lubrifiant sur ses doigts, et cette fois, ce sont deux doigts qui viennent se présenter entre mes fesses. Il enfonce d’abord un peu son majeur, qui reprend vite sa place, puis il l’incline, pour agrandir mon petit trou. Son index glisse contre son majeur, pour le suivre dans mon petit orifice interdit. Ma rosette se dilate. J’éprouve juste une sensation bizarre, pas de douleur, lorsque ses deux doigts me pénètrent, m’arrachant un long gémissement.

Il ne se précipite pas, il prend tout ton temps. Ses deux doigts vont et viennent, tournent, il les écarte pour me dilater un peu plus. Et je pousse un petit cri, de douleur et de plaisir mêlés, quand un troisième doigt les rejoint. Pendant quelques secondes, j’ai l’impression que ma rondelle va éclater, mais ça ne dure pas. L’excitation me gagne de nouveau, et je feule, pendant que le ballet de ses doigts recommence.

Je ressens un sentiment de déception, lorsqu’il les retire. Mais je suis rassurée, lorsqu’il soulèves mes jambes pour les placer sur ses épaules, et qu’il plonge sa queue dans mon abricot, en faisant sourdre un flot de cyprine, qui coule jusqu’entre mes fesses.

Je crie de plaisir, pendant qu’il me pistonne de toutes ses forces. Cela ne dure qu’un court instant, car il se retire très vite, et il verse encore du lubrifiant sur son membre enduit de ma sève. Il le prend à pleine main, pour le guider vers mon cul, encore ouvert.

Son regard plonge au plus profond de mes yeux, pour suivre mes réactions, et je lui murmure « vas-y, maintenant », pour l’encourager.

Mes mains sont crispées sur ses fesses, et je ne vais pas arrêter d’y enfoncer mes ongles et de les griffer, tout le temps durant lequel il va posséder mon petit trou.

Je sens son gland pousser entre mes fesses, forcer ma rosette, lentement. Je retiens mon souffle. Il va y arriver. Je ferme les yeux, et je renverse ma tête en arrière. Ooooooh !! Ça y est ! J’ai l’impression que mon cul va exploser. Je crie. Ou plutôt, je hurle. J’ai mal, mais incompréhensiblement, j’aime cette douleur, qui s’atténue peu à peu, pour laisser place à un plaisir, comme je n’en ressens jamais quand on baise ma chatte.

Il est sur moi, en appui sur son bras tendu, tandis que son autre main malaxe mes seins. Il s’enfonce doucement, millimètre par millimètre. Malgré les larmes qui coulent sur mes joues, je l’encourage.

— Vas-y, mets moi toute ta bite

— Tu veux vraiment ? Ton cul est si serré…

— Oui oui, j’en ai trop envie. Encule moi à fond.

Lentement, je sens qu’il me remplit. Ses couilles viennent s’écraser contre mes fesses, et il marque un temps d’arrêt. Et c’est moi qui bouge mon bassin, pour lui faire comprendre mon désir inavouable.

Il commence à aller et venir, très lentement. Je pousse un cri de plaisir à chacun de ses mouvements, même quand j’ai l’impression qu’il me déchire. Je caresse mon clito, pour décupler mes sensations.

Nous respirons très fort, l’un et l’autre. La sueur ruisselle sur nos corps. Mais nous nous parlons, d’une voix haletante, entrecoupée par nos gémissements et nos grognements, et ces paroles participent à notre plaisir.

— Tu aimes que je te baise comme ça ? Demande-t-il.

— Oui Oh oui. On m’a ja jamais enculée aussi bien.

— Tu es vraiment cochonne, tu sais.

— Tu regrettes ? Oh ! Putain ! C’est bon…

— Non, je je ne regrette surtout…surtout pas Olala, qu’est ce que tu es serrée

— C’est ta ta bite qui est grosse.

— Tu ne l’aimes pas ?

— Si Oh si, j’adore Oooooooh ! Oui, comme ça ! Plus fort !

— Tu veux que je te fasse jouir ?

— Oui Attends attends encore un peu Je ne vais pas tarder.

— Moi non plus

Alex empoigne mes genoux, pour relever encore plus haut mes jambes. Il me défonce le cul de toutes ses forces, en m’arrachant des cris aigus. (Que vont dire ses voisins?) Des décharges électriques naissent dans mon anus, et irradient dans tout mon corps qui se tend et se crispe. Sa main a remplacé mes doigts sur mon clito. Je viens Je le lui dis.

— Alex Oh Alex ! Je vais jouir !! Alex Aleeeeeex ! C’est trop bon !

— Je vais jouir aussi Je vais t’inonder de foutre.

— Oui, vas-y. Oh putain !! Putain !…Ouiiiiiii !

Je coule comme une fontaine. Un tsunami de plaisir m’emporte, quand je le sens éjaculer. Une première giclée dans mon cul. Puis il se retire, et il asperge mon minou, mon ventre, et mes cuisses.

Je reste étendue de longues minutes, peinant à reprendre ma respiration. Je lui offre le spectacle de mon corps nu, dans l’abandon le plus total, maculé de sa semence. Mon petit trou se referme lentement, pendant qu’il caresse mes seins encore durs.

Nous avons du mal à parler, et Alex m’emmène sous la douche, que nous prenons ensemble. Sous l’eau qui coule, il me glisse à l’oreille :

— Cette soirée était géniale Ambre, j’espère que tu n’as pas été déçue. tu m’as donné beaucoup de plaisir… j’aime que tu sois très cochonne avec moi, j’ai tout aimé… tu baises super bien et que dire de ta fellation et de cet adorable cul que tu m’as offert

— Moi aussi, j’ai tout aimé, Alex. Tu m’as donné tant de plaisir Jamais un mec ne m’avait baisée comme toi aussi bien, aussi longtemps On recommencera ?

— Bien sur. Quand tu veux.

— Alors Le plus tôt possible.

— Tu restes cette nuit ?

— Non, je suis trop crevée. Et regarde, il est déjà 6 heures du matin !

— Dommage

— Mais je reviens pour mon cours de voile, ce soir J’espère que tu me réserveras encore des surprises

Je me rhabille, à contrecur. Mais je n’ai que peu de choses à me mettre : mon string est en loque, et je dois nouer les pans de mon chemisier déchiré. Seule ma jupe est à peu près intacte.

Il me raccompagne en voiture jusque devant chez moi, et nous nous embrassons, comme de vrais amoureux, avant de nous quitter.

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