Ce soir au dîner, mon mari François a la mine sombre des mauvais jours. Je lui demande 

 – Que se passe-t-il chéri ? Tu as des soucis au travail ou bien ton nouvel emploi au ministère ne te convient pas ?

 Le nez dans son assiette, il réfléchit en silence. Puis, sans même relever la tête, il me répond

 – Non, tout va bien au travail, je suis ravi de mes nouvelles responsabilités. Je sais que c’est grâce à toi et je t’en remercie une nouvelle fois (Cf. chapitre 42 « Soumise à une femme »).

 Pour lui éviter de broyer encore plus de noir, je le rassure

 – Tu n’as pas à me remercier, cette soirée avec Anne-Sophie a été des plus excitantes. Mais je suis certaine qu’elle avait déjà décidé de te confier ce nouveau travail bien avant que je cède à ses avances.

 et je poursuis

 – Nous partageons toujours le meilleur, nous devons aussi partager les difficultés. Dis moi donc ce qui te rend si taciturne.

 André relève enfin la tête et m’avoue alors 

 – J’ai récemment participé à une soirée poker et j’ai perdu, énormément perdu !

 Assise en face de lui, je lui prends une main et je lui demande

 – Tu ne joues jamais d’habitude ! Comment en es-tu arrivé là ? Tu as perdu beaucoup d’argent ?

 André me répond

 – J’avais un peu bu et c’est un copain qui m’a entraîné dans un cercle de jeu. Lui a également perdu mais il a quitté la table de jeu dès que sa chance a tourné. Moi je n’ai pas eu cette sagesse !

 et il poursuit

 – J’ai persisté et nous nous sommes retrouvés à finir la partie à deux. L’autre alignait les bonnes cartes et moi je n’avais rien. Il a tout gagné !

 avant de m’avouer

 – Je lui dois 50 000 euros et je dois le régler d’ici dimanche soir. 

 Je réfléchis quelques instants puis je lui demande

 – L’autre, c’est un joueur professionnel ? Tu es sûr qu’il n’a pas triché ?

 François me répond

 – Non, c’est un gars comme moi, sauf qu’il a eu de la chance ! Mais c’est un vicieux, grand amateur de femme me semble-t-il, et il m’a laissé une solution pour effacer ma dette.

 Il me regarde droit dans les yeux puis ajoute

 – Si je te mets à sa disposition pendant cinq soirées, nous serons quittes !

 Je réfléchis quelques instants avant de lui dire

 – A 10 000 euros la soirée, il va certainement être exigeant. Mais je vais le faire pour toi !

  

 Le samedi soir, me voici prête pour aller à la première soirée de rachat de la dette  de jeu de François. Ce dernier m’a simplement donné une adresse à laquelle je dois me présenter à 20h00. Je prends donc ma voiture, rentre l’adresse dans le GPS et me voici partie vers le nord-est de Paris. La circulation n’est pas trop galère et j’arrive sans difficulté dans les environs d’Enghien les Bains. Je suis les instructions du GPS et, quelques minutes plus tard, j’entre dans un parc et me gare devant un joli petit manoir. Je descends et je sonne à la porte. Une femme d’une cinquantaine d’années, robe grise et petit tablier blanc, chignon strict, m’ouvre. Je lui dis

 – Je suis Hélène de Saint-Jouy, je crois que je suis attendue.

 Celle qui me semble être la gouvernante de la maison s’efface de l’entrée et, une fois que je suis dans le hall, me demande de la suivre en me disant

 – Oui, le maître vous attend dans le petit salon pour le dîner.

 A l’intonation de sa voix, je comprends que le maître des lieux doit mener à la baguette tout son petit monde. 

  

 Elle m’ouvre la porte et, une fois celle-ci franchie, elle la referme derrière moi. Un homme, la soixantaine, le crâne plutôt dégarni, un peu enrobé avec un petite bedaine de bon vivant, se lève du fauteuil dans lequel il est installé devant la cheminée où flambe un bon feu de bois. Il vient vers moi, s’incline, me fait le baise-main puis se présente

 – Très chère Hélène, je suis Sacha de la Ville Huchet mais simplement Sacha pour vous. J’aurais aimé vous rencontrer dans d’autres circonstances mais sachez que je suis toutefois ravi de faire votre connaissance.

 Je lui réponds

 – Mon mari n’aurait jamais dû jouer mais il l’a fait et a perdu. Il a une dette envers vous et je suis ici pour l’honorer, bien malgré moi.

 Il me regarde des pieds à la tête, le regard vicieux, et j’ai l’impression qu’il me jauge comme un maquignon évaluerait le prix d’une génisse ou d’une jument. Avec un petit sourire, il ajoute

 – Cela est tout à votre honneur et votre mari a de la chance d’avoir une telle épouse. J’imagine que vous n’appréciez nullement la situation mais j’espère vous faire changer d’avis au cours de nos cinq soirées. 

 Puis, il m’invite à m’asseoir à une petite table où sont déjà dressés deux couverts. Une fois assis en face de moi, il prend une petite clochette posée près de lui sur la table et la fait tinter deux fois. Quelques secondes plus tard, une soubrette entre et nous sert le potage. A ma grande surprise, je note qu’elle ne porte qu’un simple petit tablier blanc en plus de ces chaussures à talon. Voyant ma surprise, mon hôte me dit

 – Au cours de nos cinq soirées, vous découvrirez que je suis du genre « aristocrate excentrique ». Ainsi, j’exige de Gertrude, ma servante, qu’elle serve tous les repas en tenue très légère. Cela réjouit mes yeux ! J’espère que cela ne vous choque pas ?

 Je lui réponds du tac au tac

 – Non nullement ! Vu le marché passé avec mon mari pour effacer sa dette de jeu, je me doute bien que vous appréciez le sexe et les plaisirs de la chair.

 Il me fait un grand sourire en ajoutant

 – C’est parfait ! J’espère que le plaisir sera partagé !

  

 Alors que nous venons de terminer les assiettes de salade et fromage, Gertrude revient pour débarrasser la table mais cette fois-ci elle est accompagnée d’un grand gaillard de près de deux mètres, la quarantaine, le visage buriné, les yeux bleus, habillé d’une redingote noire. Sacha me précise qu’il s’agit de Thomas, son majordome depuis de nombreuses années, un ancien légionnaire parachutiste qui a autrefois baroudé un peu partout sur la planète et qui dirige maintenant « à la militaire » tout le personnel de service de la maison. Célibataire, particulièrement fidèle à son maître, il est semble-t-il le grand régisseur de tout ce qui se passe dans la maison.

 Soudain, je remarque que Gertrude vient de se mettre à genoux sur un prie-Dieu à droite de la cheminée. S’adressant à son majordome, le maître des lieux lui dit

 – Vas-y Thomas, montre à madame de Saint-Jouy combien les femelles doivent être dociles et serviables dans cette maison.

 Le géant se positionne alors derrière la soubrette puis, une fois la verge sortie de son pantalon, la prend d’un coup sec. J’assiste alors à la saillie de Gertrude par l’ancien légionnaire, ce dernier pilonnant avec lenteur et régularité la croupe de la belle.

  

 Agissant comme si cela était tout à fait normal, Sacha agite de nouveau la clochette et, quelques secondes plus tard, la porte du salon s’ouvre pour laisser le passage à la femme qui m’avait accueillie à l’entrée et à un homme du même age. Je note toutefois que la femme s’est séparée de la robe grise qu’elle portait tout à l’heure et n’est plus revêtue que d’une belle parure de lingerie noire et d’un petit tablier noué autour la taille.

 Sacha me dit

 – Hélène, voici Jeanne et Jean, ils sont à mon service depuis près de trente ans. Jeanne est la gouvernante et Jean le jardinier en chef.

 Puis, se tournant vers Jean, il lui demande de se mettre à l’ouvrage comme Thomas.

 Aussitôt, Jean s’installe dans un fauteuil à gauche de la cheminée, retire son pantalon et sa femme se met à genoux devant lui sur l’épais tapis de laine et commence à lui prodiguer une savante fellation.

  

 Tandis que je me demande si le dessert va enfin être servi, les deux employés poursuivent leurs ébats sans nous prêter attention. Soudain, s’adressant à Jean, Sacha lui dit

 – Jean, venez servir une part de dessert et du champagne à notre charmante invitée.

 L’homme se lève, vient vers la table la queue à l’air fièrement dressée devant lui, se saisit d’un plateau dans une main et de la bouteille de champagne dans l’autre. Il se rapproche de moi, glisse le plateau sous ses testicules et sa bite puis les arrose de champagne.

 Sacha me dit alors

 – Hélène, il est temps de commencer à honorer les dettes de votre mari. Montrez moi combien vous savez sucer une belle queue.

 Je le regarde droit dans les yeux, au fond de moi je me dis qu’il commence à me révéler sa vraie nature.

 Je m’incline vers la bite du jardinier et commence à lui donner de petits coups de langue pour m’imprégner du goût du champagne. Puis, mes lèvres coulissent sur la hampe et j’avale toute la queue. Après quelques lents mouvements le long de cette superbe tige, je relève la tête et je dis au maître de maison

 – Votre champagne est un excellent millésime, il est très pétillant en bouche.

 Puis je me repenche vers le sexe de Jean et je poursuis mon ouvrage en m’appliquant. Au bout d’une dizaine de minutes, Sacha agite de nouveau la clochette et, dans les secondes qui suivent, la soubrette et la gouvernante quittent la salle me laissant seule avec les trois hommes.

  

 Sacha se lève, prend un énorme cigare dans une boite posée sur un petit guéridon l’allume puis va s’asseoir sur le fauteuil qu’il positionne bien devant le feu. Puis il me lance avec humour

 – Venez Hélène, j’adore profiter d’une pipe pendant que je fume un bon cigare.

 Je m’avance vers lui et, avant que je me mette à genoux devant lui, les deux hommes viennent à moi et me retirent ma robe.

 Sacha me détaille des pieds à la tête avant de me dire

 – Ici, après 20h00, les femmes doivent être à la disposition de tous les mâles de la maison. Tel est mon désir et mon plaisir !

 Une fois que je suis à genoux, il sort sa queue et la glisse dans ma bouche. Au bout de cinq minutes, son sexe est bien gonflé et il coulisse dans ma bouche. Grisée par la situation, je m’applique à bien sucer ce vieux pervers qui est avachi dans son fauteuil et tire de longues bouffées de son cigare.

 Soudain, je sens que l’on me retire mon string en le coupant avec un couteau. Puis, deux mains me saisissent aux hanches et un gland commence à se frotter à ma fente. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, on se glisse dans ma chatte et voilà que l’on me ramone au rythme de la fellation que je prodigue. Il n’y a pas que le feu qui me donne chaud, ces deux queues me font de l’effet et je suis aussi chaude de l’intérieur que de l’extérieur.

  

 L’homme qui me baise me flatte la croupe et me caresse les seins de ses grosses mains calleuses. Régulièrement, d’une main sur la tête, Sacha m’oblige à engloutir entièrement sa queue. Son gros gland cogne au fond de ma gorge, à chaque fois je suis à deux doigts de m’étouffer. Soudain, les deux mains me bloquent les hanches et, sans que je puisse me débattre, on se répand en moi en longs jets de foutre bien chauds. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits que Sacha s’adresse à son majordome

 – A ton tour Thomas. Tu sais ce que j’attends de toi !

 Une nouvelle queue se présente à ma chatte et n’a aucun mal à y pénétrer, ouverte et lubrifiée comme je suis. Mais après quelques allers-retours, Thomas se retire, guide d’une main son gland vers mes fesses et commence à se frotter à mon petit cul. Ses mains sont encore plus puissantes que celles du jardinier et il n’a aucun mal à me maintenir immobile. Malgré la taille de son gland, cette seconde bite progresse lentement dans mon étroit fourreau. Une fois bien planté au fond de moi, il s’adresse au maître de maison

 – L’entrée est un peu étroite mais on sent qu’elle se fait régulièrement enculée. Cela ne fait pas deux minutes que j’y suis mais cette belle bourgeoise est déjà bien ouverte. Elle a dû en voir passer des queues !

 Son maître lui répond

 – C’est parfait, elle n’en progressera que plus rapidement. Je n’ai droit qu’à cinq soirées avec elle, il va falloir bien en profiter. 

  

 Pendant la demie heure qui suit, l’ancien légionnaire va m’enculer sans s’arrêter. Son maître continue à se faire sucer tout en continuant à fumer son cigare. Le majordome semble avoir rechargé les batteries et il se branle en matant notre trio.

 Thomas semble enfin au bord de l’extase, il sort entièrement sa queue et la replonge avec lenteur jusqu’au fond de ma grotte. Ses bourses cognent contre mes fesses et il grogne son plaisir. Soudain, il crie à son maître

 – Je me vide en elle. Quel bonheur !

 Jean choisit cet instant pour éjaculer sur mon dos et le maître de maison jette son reste de cigare dans le feu avant de jouir dans ma bouche en me bloquant de ses deux mains le visage contre son pubis. Pour un vieux pervers bedonnant, il en a du foutre et il m’oblige à bien le lécher pour ne pas en perdre une goutte.

  

 Il doit être minuit lorsque le majordome me raccompagne à ma voiture. Avant de nous séparer, Sacha me dit

 – Hélène, veuillez préciser à votre mari qu’un cinquième de sa dette a été effacé ce soir. Je reprendrai rapidement contact avec lui pour le second versement. D’ici là, prenez bien soin de vous.

 Une fois rentrée à la maison, je me glisse dans le lit où François ronfle déjà. Je ne me suis pas lavée, s’il a envie de me baiser demain matin à son réveil, je veux qu’il constate lui-même combien j’ai payé de ma personne..

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