Cette histoire c’est passée il y a quelques temps maintenant. A l’époque, je venais de commencer dans mon nouvel emploi. J’ai rapidement fait connaissance avec mes nouveaux collègues. Parmi ceux-ci, il y avait une stagiaire, Sabine. Elle était blonde, 1m70 et une taille fine. Sa poitrine généreuse rivalisait avec son petit cul ferme et rond. Elle avait 27 ans et était plutôt du genre timide.
Nous sommes sortis quelques fois ensemble pour boire un verre ou une sortie au cinéma. Nous sommes totalement opposé l’un et l’autre. Ce qui ne nous a pas empêcher de nous rapprocher et ce qui devait arriver arriva. Un soir après l’avoir ramenée chez elle, nous nous embrassons. Étant du genre timide et avec un manque de confiance en elle, il me fallait la décoincer et lui rendre un peu de confiance en elle. Depuis ce soir là, je me suis ingénié à lui envoyer des sms de nature érotiques allant du plus soft à de plus en plus hard. Elle m’avait avoué être vierge aussi je suis aller crescendo dans les descriptions de nos ébats et des derniers outrages que je pourrais lui faire subir. Le lendemain de ces petits messages, elle m’annonçait qu’elle a eu du mal à dormir, qu’elle en avait mouillé sa culotte et que j’avais fait naître un désir inimaginable en elle.
Arriva enfin le grand soir, elle allait m’offrir son pucelage. Après un repas et quelques verres de vin, nous allons dans sa chambre. Je me place derrière elle et la prend par la taille. Je lui murmure des mots doux et lui dis comment elle est belle. Mes mains prennent vie et partent explorer le corps de Sabine. Mes mains montent et descendent le long de ses flancs puis passent sur son ventre et remontent vers sa poitrine. Avec ma bouche, je lui embrasse le cou et la nuque doucement et tendrement. Je profite également pour lui mordiller le lobe des oreilles ce qui a pour effet de provoquer les premiers soupirs de Sabine. Elle se laisse aller et se détend totalement. Mes mains viennent se poser sur ses seins. Je sens les tétons qui pointent à travers le soutien et le débardeur. Mes mains redescendent et soulèvent son haut pour le retirer. Puis je défait le soutien-gorge et recommencent mon exploration. Je commence par son ventre plat et musclé. Des années de musique ont sculpté les abdominaux de ma petite stagiaire. Je remonte vers sa poitrine et prend à plein mains ses seins qui m’ont tant fait rêver. Je fais glisser ses tétons entre mes doigts. Sabine soupire de plus belle. Après un instant, je repars à l’exploration de son corps avec l’une de mes mains. Je descend par son ventre, arrive au niveau de ses hanches et je vire pour partir ver son dos. Ma main vient se poser sur une de ses fesses. Elle est ronde et ferme. je repasse vers l’avant et commence à ouvrir son pantalon. Je le fais descendre jusqu’au sol. Je me relève. Je retourne Sabine face à moi et l’embrasse à pleine bouche. Je la pousse vers le lit. Sabine se couche sur le dos, les jambes légèrement écartées. Je m’approche du lit et je me couche au niveau de l’ouverture de ses jambes. Je remonte vers son pubis tout en embrassant sa cheville, puis le galbe de son mollet avant de m’attarder sur son genou. Mes mains caressent l’intérieur des ses cuisses tout en s’approchant mais pas trop de sa petite chatte encore caché sous un panty sombre. Je continue de remonter le long de ses jambes tout en continuant mes petits baisers et mes caresses. Je m’arrête sur son nombril et y glisse ma langue. Elle semble apprécier le contact. Je reprend ma route et j’arrive à ses seins. Je mordille et suçote ses tétons qui sont encore plus gros que au-paravent. La respiration de Sabine devient plus haletante et elle pousse de plus en plus de soupirs.
Je continue de caresser ses seins quelques minutes avant de les abandonner pour aller découvrir ce que cache le dernier rempart de tissu qui couvre encore le corps de Sabine. Je le retire doucement et découvre une toison formant une espèce de flamme. Sous le duvet je trouvais enfin le fruit de mes désirs. Son abricot suintait déjà et je ne pus me retenir d’y goûter. Je tendis ma langue et commença à lécher ce puits d’amour encore vierge. Je trouva son petit bouton. Ma caresse buccale commença à faire son effet et les soupirs de Sabine se transformèrent gentiment en gémissements. Une de mes mains vint se reposer sur sa poitrine et repris ses caresses. Avec mon autre main, je partis à l’exploration de son fruit qui coulait de plus en plus de son nectar intime. Je commençais à caresser ses grandes et petites lèvres avec mon pouce et mon index puis glissa vers son petit trou et caressa son oeillet plissé avant de remonter vers son sexe. Ma langue continuait ses caresses sur son petit bouton. Après un moment, je glisse mon index dans son fruit trempé et dégoulinant. Sabine soupire et gémit de plus plus en fort. Je commence à aller et venir dans sa chatte avec mon index doucement au début puis de plus en plus vite. Je m’arrête et glisse mon majeur auprès de mon index et reprend mes aller-retour tout en ajoutant un mouvement rotatif. Après plusieurs minutes, avec mon autre main, je recueille un peu de son nectar et avec mon index je caresse son petit oeillet. La cyprine et ma salive qui ont coulé ont déjà bien lubrifié l’entrée de son petit trou. Après un court instant mon index glisse doucement dans ses reins. Je peux y introduire les deux tiers sans résistance avant de de devoir m’arrêter, J’attends un petit peu puis commencent des petits mouvements d’avant en arrière dans son conduit étroit. La double pénétrations couplée aux caresses buccales provoquent un cri de plaisir chez Sabine. Elle m’agrippe la tête comme pour me guider dans mes caresses. Je titille son petit bouton avec ma langue. L’index dans ses reins peut aller et venir sans problème dans toute sa longueur. Mon majeur le rejoint aisément. Je reprend un rythme lent mais régulier pour que Sabine puisse s’habituer à la présence des deux doigts tout en lui arrachant des gémissements qui ressemble presque plus à de petits cris de contentement. Quant son étroit conduit s’est suffisamment assoupli j’accélère la cadence. Les doigts dans ses reins vont et viennent de plus en plus vite accompagné dans leur cadence infernale par l’index et le majeur dans son sexe. Ma langue continue son manège infernal sur son petit bouton. Sabine n’en peut plus dans un dernier cri elle tente de relever tout en laissant échapper un jet de jouissance. Elle retombe pantelante et tremblante. Tout en retrouvant son souffle, elle se glisse vers moi. Je m’allonge vers elle. Elle se jette sur moi et m’embrasse fougueusement. Après avoir retrouver son souffle et ses esprits, Sabine est prête pour la suite de la soirée.
La suite prochainement…..