Je rejoins Julie dans le salon ; les bières posées sur la table basse, le jeu prêt à ma déception ma belle-fille avait remis son haut de maillot de bain ; j’aurais aimé voir encore ses beaux seins fermes et leurs tétons qui mavaient surexcité.
La serviette autour de la taille, je m’installe dans le canapé face à elle.
Enfin te voilà ! Un souci de parcours ?
Désolé de t’avoir fait attendre, je te laissais du temps afin de remettre ton haut.
Oui, je ne voudrais pas te faire perdre ta concentration et te ruiner facilement.
Son sourire accompagné du clin dil me font rebander aussitôt. La serviette tombe légèrement entre mes jambes et cache mon sexe : aucun risque qu’elle remarque mon érection, elle ne me lâche pas du regard. Je la regarde se mordre tendrement la lèvre inférieure, ce qui fait monter en moi un désir immense, l’envie de lui sauter dessus, j’ai déjà du mal à résister Bordel Christine, pourquoi n’es tu pas là, à sa place ? Et surtout, qu’est-ce qui m’arrive ?
On commence à jouer. Julie est assise sur un pouf face à moi, les jambes écartées, son bas de maillot plaqué contre son Paradis. Je devine ses lèvres et, bon sang, je fantasme que je lécherais bien sa petite fente, que jy ferais pénétrer ma langue ; je l’imagine humide, sa mouille ayant le même goût que celui de sa mère. Ce qui me ramène à la réalité : j’en ai oublié de prendre des nouvelles de ma femme ; quelle honte ! À peine pris en main, mon téléphone sonne : un message de Christine qui m’annonce qu’elle vient d’arriver à son rendez-vous médical.
Julie insiste pour lui répondre. Elle se penche sur son portable ; je vois ses seins qui se balancent comme sils appelaient ma bouche, mes mains. Elle écrit à ma femme que je l’aime ; nous reprenons la partie où j’ai du mal à rester concentré, entre les jambes écartées de ma belle-fille lorsqu’elle est assise et sa façon de maintenant se lever et de se pencher pour faire avancer son pion, ses seins qui se balancent, les tétons encore durs écrasés dans les bonnets. Jespère que l’agrafe de son haut va se détacher à nouveau, comme une prière silencieuse demandant le miracle.
Son téléphone sonne : un message. Ce qui est écrit la fait sourire ; Julie répond et me regarde :
Maman t’aime aussi, elle nous souhaite un bon jeu.
Difficilement concentré sur la partie depuis trois quarts d’heure à mater comme un vicieux l’entrejambe de ma belle-fille, sa poitrine, ses lèvres ; l’envie de me jeter entre ses jambes est intense : elle m’excite, je la désire, et je commence à me demander si elle agit naturellement ou si elle provoque. Je suis à bout, et mon bout aussi.
Comme une exhibition involontaire mais terriblement bandante, trop préoccupé à fantasmer sur son corps qui m’excite de plus en plus, je ne vois pas que Julie est sur l’une de mes propriétés. Je reviens à la réalité et lui annonce le montant ; comme souvent voire tout le temps elle n’a plus un sou. Elle me tend les billets qui lui restent :
Tiens déjà ça. Je revends mes bâtiments, et en échange de trois tours pour me refaire ; je te donne ceci.
Je compte sa maigre contribution en lécoutant ; je nai que le son, pas l’image ; Je ne la regarde pas pendant qu’elle me parle ; quand je vois son haut de maillot encore légèrement humide atterrir dans mes mains. Je bandais déjà depuis le début de la partie (en faite non, je suis dans un état second depuis qu’elle m’a frôlé dans le couloir, de son joli cul). Lorsque je relève la tête et vois à nouveau ses beaux seins, je me sens partir dans mon boxer encore. Il commence à être inondé de mon sperme ; je prends un pied d’enfer. Dommage qu’il faut que ce soit en silence et que je ne puisse me laisser aller contre le dossier du canapé en fermant les yeux afin de profiter et de savourer la jouissance qui vient de se produire
Je la regarde ; son corps, puis ses yeux.
Est-ce que j’ai le choix ?
Pas vraiment, mais je n’ai plus envie de perdre. Alors j’utilise l’un de mes trois jokers ; j’en ai encore deux.
Tu cherches à me déstabiliser, ma Princesse ?
Exactement.
Son regard planté dans le mien m’excite encore davantage ; ma belle-fille à demi nue devant moi, son corps, ses seins, tout me rappelle sa mère. J’imagine le regard de Julie sous l’effet du plaisir, de la jouissance ; le cerveau en ébullition, je fantasme qu’elle se caresse, qu’elle se doigte, qu’elle se frôle les seins et les tétons, les porte en bouche afin de voir sa langue tourner autour, son regard ne lâchant pas le mien Mais je ne peux me masturber, bien que l’envie soit violente et forte à cause de cette boucle dimages qui tourne sans cesse dans ma tête surchauffée.
Elle me propose une autre bière ; je ne me suis pas aperçu que la mienne est vide, perdu dans cette suspension du temps où la réalité n’est plus, face à la puissance du fantasme honteux qui naît en moi. Jaccepte. Elle passe près de moi, me pose une main sur l’épaule et un baiser sur la joue, ce qui vous devinez bien sûr me donne l’envie de l’attraper, de l’agripper, de lembrasser, de lui faire l’amour.
Je t’apporte ça tout de suite, Gabriel.
Encore une fois « Gabriel » ; elle me chauffe de sa voix tendre, de son corps de jeune femme qui va devenir majeure le week-end suivant. Elle s’éloigne vers la cuisine ; je me retourne pour voir ses fesses un peu plus larges que celle de sa mère, une taille au-dessus, mais dont l’envie de les plaquer contre mon ventre par à-coup deviens insoutenable. Elle ouvre la porte du frigo, se penche pour attraper une bouteille et misère, je n’en peux plus je glisse une main sous la serviette, sur mon boxer chaud et humide de mon sperme, la verge prête à vraiment exploser. J’ai envie de me branler comme un sauvage, envie d’aller contre elle et de ne pas éjaculer entre ses fesses mais en elle, dans ma belle-fille, de sentir son vagin se contracter sur ma queue raide, sur toute sa longueur. La voix pleine d’espoir, d’envie et de folie furieuse de la prendre comme si je faisais l’amour à ma femme, je lui demande :
Tu veux de l’aide ?
Elle se retourne ; je suis prêt à bondir. Jai l’impression qu’elle veut que je la rejoigne ; son regard biaisé, tendre et excitant me lance : « Viens, Gabe, j’ai le feu au cul, je veux ta queue, la sentir sur et en moi, je veux que tu me dépucelles maintenant, ma tête dans le frigo. Viens me défoncer Gabe, VIENS ! »
Entre l’excitation et la tolérance zéro en matière dadultère et le respect que jéprouve à celle qui est comme ma propre fille, cette limite que je me suis fixée s’efface de plus en plus ; je n’ai pas le droit, j’essaie de garder le contrôle sur ce foutu fantasme. J’ai ma main gauche sur mon sexe, me branle doucement, presque inconsciemment ; elle me montre sa trouvaille, cette foutue bouteille de bière.
La voilà, la garce, elle était cachée.
Cool.
Je me détourne, déçu mais soulagé ; sensation bizarre, comme ce début daprès-midi. Jôte la main qui est maintenant sur toute ma verge, m’essuie rapidement sur la serviette. Merde, je me branlais ! Ça devient une situation totalement folle. Jentends la porte du frigo qui se ferme.
Tu sais quoi, Gabe ?
Euh, non. Quoi ?
Ça fait un bien fou.
Je me retourne afin d’en savoir plus sur ce sujet mystérieux : je la vois revenir, la bouteille plaquée entre ses seins. Elle doit aimer la sensation : ses seins sont pris de frissons, ses tétons se durcissent à nouveau, pointant légèrement vers le haut. Le l’observe enfin, j’observe la bouteille pensant que j’aimerais être à sa place ; mon sexe aussi aimerait : je le sens encore lâcher de ma semence. Perdu encore une fois dans cette pseudo-réalité où le temps n’est plus, perdu dans mes pensées, dans cette vision de ses seins qui se balancent à chaque pas, la bouteille ruisselante entre ses deux monts de douceur et de merveilles, je n’ai pas vu qu’elle est près de moi, très près.
Je la remercie, et avant de vouloir prendre la bouteille entre ses seins, laissant tomber la limite, guidé par l’envie de lui toucher la poitrine, de frôler ses tétons si raides, autant que l’est ma verge, Julie me lance :
Tiens, essaie !
Elle plaque la bouteille sur ma poitrine, directement sur mon téton droit qui, déjà très dur, pourrait lui aussi exploser de plaisir. Le jeu vire au flirt sensuel, excitant et, bordel, qu’est ce que j’ai envie de lui faire l’amour Dire que ça fait à peine une heure que nous sommes rentrés, après cette baignade déjà intense.
Je lui prends la bouteille presque de force, ma main sur la sienne. Nos regards ne se lâchent plus ; je ne sais même pas si elle est troublée autant que je peux lêtre, mais son sourire me fait dire qu’elle aime ce jeu sensuel, je ne parle pas de son regard brun tendre, où excitation et gène sentremêlent, bien que ça devienne dangereux, moi aussi j’adore ça ; l’amour que je lui porte devient une autre forme d’amour, presque amoureux.
Elle se dégage avec difficulté de ma main, je ne la retiens pas de force, c’est comme si cétait Julie qui ne voulais pas détacher sa main de la mienne. Elle va se rasseoir face à moi, écartant naturellement et par provocation, je pense- à nouveau ses belles jambes afin de me laisser la liberté de regarder ses lèvres inférieures plaquées contre son bas du bikini ; je distingue qu’une légère tache sest formée. Bordel, elle mouille ! Lenvie de la lécher me reprend, mais je me force à me concentrer à nouveau sur le jeu, le vrai.
Je lui fais cadeau de ses trois tours gratuits j’en profite pour caresser à nouveau son haut dans mes mains et je commence à fantasmer sur son deuxième joker. Mon intuition à vu juste : elle est à nouveau en manque d’argent, lors de son second tour ’’gratuit’’. Julie reste là, comme si elle réfléchissait. Elle me regarde, le genre de regard que je ne lui connaissais pas mais que je commence à aimer et à comprendre ; un regard entre timidité correspondant à sa nature et excité, voire vicieux.
Elle se lève rapidement et enlève le bas de son maillot. Mon regard se fixe immédiatement sur son sexe bien rasé et brillant dune petite perle au bord de ses lèvres ; maintenant toute nue, Julie se rassoit et relance les dés.
Deuxième joker ?
Elle me répond positivement, brièvement, comme si elle regrettait ce qu’elle vient de faire ; quant à moi, je ne suis plus dans le jeu. Mon regard va de son bas posé sur un coin de la table pour se fixer sur le corps de ma belle-fille ; d’abord ses seins pour ensuite descendre sur sa vulve. Et comme si cela lui était naturel, Julie reprend sa position de jeu, plus sûre d’elle, les jambes écartées.
Je sens un contact sur ma verge bien raide : inconsciemment, je suis en train de me caresser à nouveau la queue, mais avec son haut de maillot cette fois ; la situation ressemble étrangement aux provocations que nous avons avec sa mère quand l’envie de faire l’amour est fort, à se chercher mutuellement pour se chauffer.
La vue offerte par ma belle-fille, de sa poitrine et de son vagin en plus de mes caresses sur mon sexe avec son haut, me font relâcher un peu de pression et me voilà à nouveau en train de gicler, dans l’un de ses bonnets, mon sexe prisonnier de cette douceur. Je ne retiens pas non plus un gémissement, cette fois : le plaisir est trop fort. Je le regrette immédiatement, car Julie me regarde avec ses grands yeux marrons. Sans un mot, elle se lève et prend son string de bain. Je vois ma belle-fille s’approcher de moi en silence, son regard dans le mien. Je ne peux mempêcher de mater son corps, de fantasmer à l’idée de la toucher, de l’embrasser, de la sauter, et bien que je n’ai pas envie de trahir la confiance de ma femme que je n’ai jamais trompée je ne peux mempêcher de penser que, bon sang, sa fille est bonne, aussi excitante et bandante que sa mère. Je suis gêné par ce qui vient de se passer, de l’incapacité de ne mêtre retenu de gémir, je suis rouge de honte.
Elle me tend son bas en me disant que ce serait peut-être plus excitant pour moi de me caresser avec. Le bout de serviette qui cachait mon boxer était relevé, offrant à Julie une vue sur mon gland et une partie de ma verge, son haut de maillot prisonnier de ma main et de mon sexe tendu. Mais depuis combien de temps le voyait-elle ? Est-elle excitée autant que je le suis ? Plein de questions entrent en confusion dans ma tête.
J’ai son vagin à quelques centimètres de mon visage. Elle est excitée, et je le vois : ses tétons pointent et son sexe est humide, elle mouille ! J’ai envie de lui faire découvrir les plaisirs du cunnilingus, de lui manger sa petite chatte, d’y enfoncer ma langue, de goûter au nectar de sa mouille de jeune femme encore pucelle (elle préfère se concentrer sur ses études, au regret des garçons de son lycée). Je la sens curieuse et envieuse de mon sexe. Elle fait frôler son string contre ma jambe, ce qui me chauffe encore plus, en remontant vers ma queue pour finir de remplacer ma main par la sienne, coinçant son bas par la même occasion ; elle est penchée sur moi, ses seins touchent pratiquement mon visage.
Je comprends mieux Maman : vu la taille de ta queue, elle ne peut que prendre son pied.
C’est-à-dire, Princesse ?
Chaque fois que je suis seule avec vous et que vous partez dans la chambre le soir, je suis dans le couloir en espérant entendre quelque chose d’intéressant.
Et nous qui croyions que tu as la musique dans ton casque, à jouer sur ton ordinateur portable Voilà que tu écoutes aux portes, maintenant ?
Jouer, non ; je regarde des vidéos amateur, par contre. Mais vous entendre, c’est encore mieux que les vidéos.
Et ça te plaît de nous entendre ?
Grave ! Je me caresse à chaque fois.
Attends ce soir, ma chérie ; je ferai bien jouir ta mère pour que tu nous entendes bien derrière la porte.
Et je ne sais pas si je sais bien me caresser, tu sais
Je t’apprendrai si tu le désires, ma chérie.
Nos lèvres se touchent ; un smack tendre, avant de sentir ses lèvres s’ouvrir, sa langue à la rencontre de la mienne. Je joue du bassin pour que ma queue fasse un léger va-et-vient dans sa main. Julie séloigne de ma bouche ; elle ne semble pas choquée : au contraire, elle empoigne un peu plus mon sexe, son regard prenant une teinte de plaisir inconnu pour elle et commence à me branler doucement. Je pose une main sur ses fesses que je commence à caresser ; elle se penche un peu plus, et enfin ses seins touchent mon visage. Jembrasse les contours de sa belle poitrine.
Je ressens, à sa manière de me masturber, qu’elle n’est pas à l’aise ; peut-être qu’elle pense mal faire ? Je l’encourage, lui dis que c’est agréable. Mes mains caressent ses fesses, et ses seins sont pris dassaut par ma bouche et ma langue ; elle commence à gémir. Je mets plus d’intensité à mes caresses, à titiller son petit trou du cul, à jouer avec son clitoris, à faire entrer un doigt dans sa fente d’amour, comme je le fais avec sa mère pour débuter les préliminaires.
Gabe, continue, c’est trop bon Fais-moi jouir comme tu fais jouir Maman.
C’est toi qui va me faire jouir, Princesse : tu branles ma queue comme ta mère.
C’est la première fois pour moi, et c’est si bon que ce soit toi, mon Ange.
Je vais te faire que du bien.
Embrasse-moi encore
Mon pouce en action sur son clitoris, deux doigts dans sa petite chatte pas trop enfoncés un qui s’enfonce dans son anus, soit tous ensemble en cadence, soit en alternance de va-et-vient entre son cul et son minou, ma langue tourne autour de ses tétons ; je les suce, les mordille légèrement.
Avant de joindre mes lèvres aux siennes, si douces, nos langues qui se mélangent, j’intensifie encore les mouvements de mes doigts dans ses trous ; elle commence à prendre du plaisir : elle ne fait que gémir, ce qui m’excite davantage. Toujours en m’embrassant, elle pousse un cri de plaisir qui s’étouffe dans ma bouche ; jéjacule dans sa main très peu de temps après.
Ma belle-fille enlève sa main de ma verge, pleine de sperme ; elle l’essuie sur la serviette, sauf un doigt qu’elle glisse dans sa bouche tout en me fixant de son air malicieux, voire salope. Je l’attrape par la taille et colle son minou face à mon visage ; je lui fais poser une jambe sur le canapé et j’entame un cunnilingus sur sa douce chatte lisse. Sa réaction ne se fait pas attendre :
Bouffe-moi la chatte, Gabe ; bouffe-moi bien, comme tu le fais si bien avec Maman Bouffe-moi, mon Ange, baise moi comme Maman
Je te donne ce que je lui fais, Princesse, tout ce qu’elle aime que je lui fasse.
Encore, mon Ange Putain, encore, c’est trop bon !
En plus de ces mots que je n’ai jamais entendus dans sa bouche et qui par ailleurs mexcitent davantage, l’entendre dire le surnom que ma femme me donne m’abandonne complètement à son vagin. Jécarte ses lèvres, j’enfonce ma langue dans son trou humide sa mouille a un goût proche de celui de sa mère une main sur ses seins, l’autre qui recherche à nouveau son cul afin d’y enfoncer un doigt. Elle reprend ses gémissements, des « Encore » soupirants, des cris de plaisir. Je m’attarde sur son clitoris ; du bout de la langue ou complètement, je le lèche au rythme de ses cris, deux doigts enfoncés dans son minou. À son jus qui me coule dans la bouche, à ses cris, je comprends que la jouissance est proche. Quand elle évacue ce début de réel plaisir qui doit être énormément intense pour elle, si elle savait que je n’ai plus de limites, quoi qu’il se passe ensuite, j’assumerai ; mais l’envie de profiter de la situation est plus forte que la raison. Elle se laisse aller au plaisir et à la découverte de la jouissance.
Ouiii, Gabe, c’est booon
Comment te sens-tu ?
Encore, j’en veux encore ! Mais à mon tour, je veux goûter ta queue ; comment veux-tu que je te suce ?
Te pose pas de question si tu vas bien faire ou pas : laisse-toi guider par le plaisir, par ton envie, ma Princesse.
J’aimerais voir Maman le faire, pour mieux savoir m’y prendre.
Je laisserai la porte légèrement entrouverte, ce soir.
Je vais être hyper excitée de te voir avec Maman, lui faire ce que tu viens de me faire !
Ma belle-fille approche ses lèvres de mon gland, regarde mon sexe d’un air perplexe, comme si elle se demandait comment s’y prendre ; je lui répète qu’il faut qu’elle le fasse naturellement, et je vois mon gland disparaître entre ses lèvres. Le plaisir est immédiat, je commence à gémir. Julie, encouragée par mon plaisir, se « lâche » un peu plus, et c’est entièrement que je vois ma queue disparaître dans sa bouche, ce qui me fait un peu peur : sans me vanter, je suis assez bien monté et sa bouche me paraît petite.
Ça ne lempêche pas d’avaler entièrement ma verge, de faire les va-et-vient dune merveilleuse fellation, sa première fellation ; j’ai envie de jouir tellement le plaisir est immense, mais je me retiens. Je me laisse faire ; sa main prend la relève de sa bouche.
Alors, comment cétait ?
Pour toute réponse, je lui dis de continuer, qu’elle suce aussi bien que sa mère, et c’est sous ses coups de langue, sur le gland ou le long de ma queue, je sens que je viens, que le plaisir monte de tout mon corps pour se concentrer dans mon sexe, que ça va être fort, presque incontrôlable. Je lui demande de me regarder pendant qu’elle me suce ; son regard finit par me faire lâcher prise. Je ne résiste plus, et quelques minutes plus tard, sans la prévenir, je jouis dans sa bouche hurlant mon plaisir procuré par ma belle-fille.
Ma queue vidée d’un peu de semence dans sa bouche, elle continue de me sucer sans relâche, me fixant à nouveau après l’effet de surprise. Je lui propose de recracher ou d’avaler selon son envie, que je ne la forcerai pas : elle choisit d’avaler pour me montrer sa bouche vide, et me dit qu’elle a aimé me sentir partir dans sa bouche. Ça ne fait que dix minutes qu’elle me suce, et je sens qu’elle va être aussi salope que sa mère, dans certains de nos moments coquins, quand le temps nous manque. Ma queue bercée de sa main dans une douce branlette fort agréable, elle me dit avec aplomb :
Gabe, baise-moi. Fais de moi une femme, fais de moi ta salope, si tu veux ; je veux ta queue en moi, et jouir encore, plus fort, plus intensément ! Dépucelle-moi, mon Ange : je veux que tu sois mon premier.
Viens, ma chérie ; allons dans la chambre où j’ai fait jouir ta mère tant de fois.
Laissant mes règles fixées et promises à ma femme au profit de cette relation naissante entre moi et ma belle-fille, je me lève et la prends contre moi ; on s’embrasse, et main dans la main nous prenons la direction de la chambre conjugale.