Nous sommes un couple tranquille. Ensemble depuis presque vingt ans, nous assumons parfaitement notre quarantaine. Notre couple se porte bien, même si, après ces années, nous n’avons plus la fougue de notre jeunesse. Malgré tout, nos rapports sont satisfaisants, même si ma femme refuse certaines choses comme la sodomie, et nous parlons très librement de sexe. Nous nous sommes essayés au naturisme et avons même vécu une expérience de triolisme avec un ami. Anne connaît mon fantasme de la voir en compagnie d’une autre femme, elle-même m’a dit un jour qu’elle serait excitée de me voir dans les bras d’un autre homme.

    Un soir, en rentrant, du travail, je sens Anne nerveuse. Avant le repas, je lui demande ce qui la tracasse :

    – ’Je me suis faite draguer…

    – C’est cela qui te tracasse ? Tu es, tu le sais, très belle et sais te mettre en valeur…

    – Oui, mais…

    – Il a été trop pressant ?

    – Ben, non… justement…

    – Justement quoi ? Tu me dis qu’on t’a draguée et le gars n’a rien fait ?

    – Ce n’est pas cela…

    – Le mieux, c’est que tu me racontes… je ne comprends rien à ton histoire.

    – Voilà… en fait, ce n’est pas un homme…

    – Tu t’es faite brancher par une femme ???

    – Et oui… une représentante que j’ai reçue cet après-midi. Au début, tout se passait normalement puis elle a commencé à me dire que j’étais très belle…

    – Je confirme !

    – Ensuite elle m’a demandé si j’étais mariée, si j’étais heureuse.

    – Une conversation malgré tout bien sage, non ?

    – Oui mais elle a enchaîné en me disant qu’elle me trouvait très désirable et que c’était dommage que je sois mariée. Tu vois, une vraie drague de mec !

    – Tu t’en es sortie comment ?

    – Ben… c’est justement ce qui me tracasse…

    – Quoi donc ?

    – Elle m’a fait promettre de la rappeler…

    – Tiens donc !

    – Tu es en colère ?

    – Non, bien sûr… tu aimerais ?

    – Quoi ?

    – Faire l’amour avec elle ?

    – Elle est mignonne et je crois que ça pourrait être agréable mais…

    – Mais ?

    – Et toi ? Tu aimerais me voir faire l’amour avec une femme ?

    – D’y penser m’excite déjà…

    – Je lui ai dit que si ça devait se faire, ce serait en ta présence…

    – Et ?

    – Elle m’a répondu qu’elle aimait autant les hommes que les femmes…

    – Si tu en as envie, moi je suis partant. Tu comptes la rappeler quand ?

    – Pourquoi pas ce soir ?

    – Tu étais tracassée ou tout simplement excitée ?’

    Elle me répond par un large sourire, s’approche et m’embrasse très tendrement.

    Quelques minutes plus tard, je l’entends expliquer la route jusqu’à notre domicile. Quand elle a raccroché, je lui demande quand sa future maîtresse compte lui rendre visite :

    – ’Elle sera ici dans environ une heure.

    – Elle dîne avec nous ?

    – Il faut bien prendre des forces, répond ma chérie en rigolant.

    – On a ce qu’il faut ?

    – J’ai fait les courses en rentrant.’

    Je file prendre une douche, laissant Anne dans ses casseroles. Lorsque je redescends, je la trouve occupée à mettre quelque chose dans le four. Sa position cambrée attire mes mains sur ses fesses. Elle se retourne, m’embrasse gentiment et me demande d’être patient. Je lui demande à quoi ressemble cette femme et elle me répond qu’elle préfère que je la découvre quand elle arrivera. Là-dessus, elle part se changer. Je mets la table et prépare l’apéritif au salon.

    À peine une heure plus tard on sonne à la porte. Anne va ouvrir et je vois bientôt apparaître une superbe femme dont l’ensemble immaculé met parfaitement en valeur la peau couleur café au lait. Nous nous saluons et j’invite Magali à s’installer au salon. Anne s’assied à ses côtés dans le canapé tandis que je sers un léger cocktail. Nous faisons plus ample connaissance en dégustant notre verre. Magali, originaire des Antilles est depuis un mois dans notre ville. La conversation est très sage et j’ai du mal à l’imaginer draguant Anne aussi ouvertement qu’elle me l’a raconté. Je remarque toutefois une main de Magali caresser le côté de la cuisse de ma femme. Visiblement, cette femme cache bien son jeu.

    Nous passons à table et faisons honneur au repas d’Anne. Magali la félicite et, pour ce faire, dépose un baiser sur le coin de ses lèvres.

    Le repas terminé, je débarrasse et vais préparer un café. Les deux femmes retournent au salon. Quand je les rejoins, elle sont enlacées et s’embrassent passionnément. Je sers le café et prends place dans le fauteuil leur faisant face. Les mains de Magali parcourent les cuisses d’Anne, remontent sur ses seins, caressent son cou. Ma femme, plus timidement, caresse le dos de sa partenaire. Elles se séparent et nous buvons sagement notre café. Puis Magali me regarde et me dit :

    – ’J’aimerai que tu déshabilles ta femme et que tu me l’offres.

    – Avec plaisir.’

    Je demande à Anne de se lever et de me rejoindre, je me lève à mon tour, l’enlace et l’embrasse tendrement. Je la fais se mettre face à notre invitée, me place derrière elle et, lentement, déboutonne son chemiser. Ses seins sont bientôt offerts au regard gourmand de Magali. Je les soupèse, étire un peu les tétons avant de caresser son ventre. Ma main effleure le pubis et poursuit son chemin vers le bas de la jupe que je relève, dévoilant peu à peu les cuisses, jusqu’à la lisière du slip. Je la relâche alors et regarde Magali. Les yeux fixés sur Anne, elle me sourit. Je trouve la fermeture éclair et la descends. La jupe se retrouve à ses pieds. La voilà maintenant uniquement vêtue d’un léger slip blanc. Je retourne Anne face à moi, l’embrasse de nouveau et fais glisser son dernier vêtement, permettant à Magali d’admirer les fesses de ma belle. Je prends alors ma chérie par la main et la dirige vers le canapé.

    Magali se lève à son tour, s’approche d’Anne, s’empare de ses seins, descend sur les fesses qu’elle empoigne vigoureusement puis flatte la fente en l’embrassant. Le corps de ma femme se tend sous la caresse, elle pousse son bas-ventre vers la main qui le caresse. Magali la regarde en souriant et lui demande de s’asseoir. Elle se penche sur elle, embrasse les seins, le ventre, atteint les lèvres et lèche quelques secondes le sexe déjà offert. Elle se relève soudain :

    – ’Montre-moi comment tu te donnes du plaisir.’

    Anne pose une main sur sa poitrine, l’autre sur sa chatte et commence à se caresser. Nous la regardons faire en silence, les yeux fixés sur elle.

    – ’Je suis sûre que tu adores te caresser ainsi…

    – Oui…

    - ?carte bien les jambes… oui… comme ça… tu as une belle petite chatte… vas-y… branle-toi bien…

    – Hum…

    – Tu dois être toute trempée… enfonce un doigt dans ta chatte et astique-toi…

    – Oui…

    – Tu aimes avoir un gros sexe entre les cuisses, non ?

    – Oh Oui…

    – Dis-le !

    – J’aime une grosse queue en moi…

    – C’est bien… mets un autre doigt, voilà, c’est bien… un troisième maintenant.’

    La situation semble irréelle… Anne obéit à cette femme qu’elle ne connaissait pas il y a vingt quatre heures. Je regarde Magali et la vois les yeux rivés sur ma femme, lui indiquant tout ce qu’elle doit faire :

    – ’Pose un doigt sur ton petit trou… oui… enfonce-le lentement dans ton cul…

    – Je n’ai pas l’habitude…

    – Ton mari ne te prend jamais par derrière ?

    – Non… je n’aime pas…

    – Tu vas pourtant devoir apprécier si tu veux me garder. Alors ?

    – Je ne sais pas… ça fait mal…

    – Pas quand c’est bien fait… Alors, tu acceptes ou je pars ?

    – Reste ! Je vais le faire…

    – À la bonne heure ! Vas-y, enfonce-le tout entier… n’arrête pas tes caresses sur ton minou… voilà, c’est bien… pince ton bouton et branle-le bien….’

    Anne gémit, ses jambes largement écartées, se donnant du plaisir comme une collégienne. Magali se penche vers son sac à main et en sort un godemiché qu’elle tend à Anne :

    – ’Branle-toi avec ce petit jouet, tu vas voir, tu vas adorer.’

    Anne s’empare de l’engin et se caresse les seins avec, le passant et repassant sur ses tétons. Elle poursuit les caresses sur sa chatte et je la vois s’enfoncer l’olisbos entre ses lèvres. Elle commence à le faire aller et venir en elle, de plus en plus profondément. Magali s’approche alors d’elle et, se saisissant d’un téton, le pince durement en tirant dessus.

    – ’Aïe !

    – Je t’ai fait mal ?

    – Oui…

    – Et tu aimes quand je le fais, insiste t-elle en faisant subir le même traitement à l’autre sein.

    – Euh…

    – Dis-le : tu aimes ça ?

    – Oui…’

    Magali ôte le gode des mains de ma femme et le présente à son derrière.

    – ’Je vais t’enculer, d’accord ?

    – Non ! Je vais avoir mal !

    – Dans ce cas…’

    Elle se relève, range le vibromasseur dans son sac et s’apprête à quitter le salon.

    – ’Non ! Attends…d’accord, je veux bien que tu essayes mais… si j’ai mal…

    – Les conditions, c’est moi qui les fixe ! Ou je reste et je fais ce que je veux avec toi… ou… adieu…

    – Bon, d’accord, répond, vaincue, Anne.’

    Magali s’approche de nouveau, ressort l’engin et s’installe. Anne relève les jambes et écarte les fesses, offrant ainsi à sa maîtresse la vision impudique de sa chatte gonflée et de son anus. Celle-ci caresse un peu la fente d’Anne, enfonce le vibro dans son vagin et y fait quelques va et vient, sous les gémissements de ma femme. Quand elle l’estime prête, elle le sort, le pose entre les fesses et appuie. Anne pousse un cri, son visage marqué par un rictus de douleur. Sans s’en préoccuper, Magali continue d’enfoncer la fausse queue dans l’anus. Petit à petit, le rictus s’efface, je perçois même un léger gémissement, qui ne me semble plus être de douleur. Magali a désormais fait pénétrer le gode en entier, elle met alors le moteur en marche, ce qui déclenche un cri de plaisir chez Anne. Elle commence alors à aller et venir sans douceur entre les fesses écartelées. Je m’approche et regarde l’engin perforer ma femme. Magali me sourit, fière de sa victoire. Ma main se pose sur la chatte de ma femme et la caresse, son bouton est en totale érection ; j’enfonce un doigt entre ses lèvres et le ressort complètement trempé. Magali me dit d’enfoncer trois doigts et de la branler, ce que je fais, sous les cris de bonheur de ma chérie. Je la branle ainsi, sentant, à travers la fine paroi, le gode qui la transperce. Je ressors les doigts et, pris par cette ambiance, les donne à sucer à Anne qui les nettoie avec application. Soudain, elle pousse un long cri, son corps se tend et elle jouit comme jamais je ne l’ai vue jouir. En nage, la bouche grande ouverte, elle prend un pied monumental !

    Magali, satisfaite, retire le gode et me montre l’anus ouvert. Jamais je n’aurai cru que ma femme, si douce, puisse prendre autant de plaisir à se faire malmener de la sorte.

    Anne reprend peu à peu ses esprits. Elle tourne le regard vers moi et me demande :

    – ’Tu ne m’en veux pas ?

    – De quoi ? D’avoir pris du plaisir ?

    – Non ! De m’être comportée comme la dernière des salopes ?

    – Tu as aimé ?

    – Oui

    – C’est le plus important.

    – Maintenant, à ton tour de me faire jouir, intervient Magali, j’ai envie que tu me lèches.’

    (à suivre…)

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