Je suis une actrice porno. Par plaisir avant tout, car ce métier m’ouvre des portes à des pratiques et à des partenaires difficilement accessibles autrement.
Mais je ne m’en cache pas, je le fais également pour l’argent, car je suis également vénale. Comme beaucoup de femmes.
Et comme de très nombreuses consoeurs actrices de France et de Navarre (mais à Navarre ce n’est pas un secret de polichinelle), je pratique l’escort.
Escort, vous ne connaissez pas ? Disons que l’escort est au banquier privé ce que la putain de rue est au guichetier de banque…
Comprenez par là que je je suis payée pour donner du plaisir aux autres. Pour devenir leur objet et me plier à leurs désirs.
Mais je suis aussi payée pour faire ce que j’aime. Je suis payée pour me découvrir, aussi.
J’ai du mal à imaginer métier plus plaisant. Faire ce que l’on aime. Et ce pour quoi on est douée.
Pour l’argent, je l’ai déjà dit. Par fantasme aussi, car celui de la prostituée est l’un des plus courants chez la femme, mais le moins avoué également.
Par perversion également et la mienne semble ne pas avoir de limites. Du moins, je ne les connais pas encore.
Perversion d’être un corps au service des clients. Perversion de les laisser parfois me dégrader.
Perversion d’apprécier, lors de ces séances, de cesser d’être la femme autoritaire au quotidien et devenir l’objet des autres.
Perverse également, car dès que le plaisir prend contrôle de mon corps, j’en oublie tous les codes de morale et devient un simple animal sexuel.
Capable de tout, et parfois même de m’effrayer.
Les agences d’escort d’europe savent que pour des demandes de pratiques hard, de soumission, de totale disponibilité (un code métier qui sous-entend d’encaisser fortement par tous les orifices), je suis parmi les meilleures. Dès lors que les conditions de santé sont respectées et certaines pratiques comme la scatologie écartées, je suis ouverte à tout :
J’aime les hommes, seuls ou en groupe. J’aime leur sperme. Les femmes également, à la folie. Et dans une certaines limite, non encore atteinte, la douleur.
Mais je ne me rends jamais à ne séance sereine et confiante… Peut-être suis-je à la recherche du frisson ultime, ou auto-destructrice, que sais-je ?
Et peu m’importe après tout. Les jouissances en valent le prix… Ce que l’on me paie également…
L’avantage d’être une hardeuse un tant soi peu connue, c’est que nos films, nos scènes deviennent des CV vivants. Et vos tarifs grimpent de manière indécente.
Le créneau que l’on choisit conditionne aussi les demandes des clients : faites du pornochic et vous devrez passer une nuit de plans calins, positions idiotes en jouant à la poupée.
Faites du hard, voir du très hard, et vous découvrirez alors l’animal ce qui sommeille au fond des gens.
Voir le monstre, chez les très nantis. Ils payent très bien. Trop parfois. A la hauteur de la noirceur de leur âme. De leurs besoin de contrôle et d’humiliation d’autrui.
Les femmes qui jalousent les plus belles. Qui jalousent celles qui excitent les hommes. Et qui crevent d’envie de les blesser, de les humilier, de les punir.
Les hommes qui ont besoin de ressortir leur face animale. Et qui, groupés en meute, dépècent sexuellement une victime consentante et de plus, vénale.
Parfois , je suis appelée afin de servir d’animation lors de soirées privées, d’allumer l’étincelle qui fera les gens se lâcher.
D’autres fois, pour ces mêmes soirées, les organisateurs de la sauterie gâtent leurs invités en leur offrant une ou plusieurs femmes à leur disposition. ’Sex Slave Party’ dans le jargon des soirées libertines huppées.
Ca vous effraie ? Vous êtes certainement sains d’esprit. Mais pas moi. Etre payée pour leur servir de défouloir, pour sentir leur noirceur s’abattre sexuellement sur moi m’excite au plus haut point.
Ainsi, il arrive que pour des soirées libertines privées et huppées, les organisateurs de la sauterie gâtent leurs invités en leur offrant une ou plusieurs femmes à leur disposition.
Ce sont les ’Sex Slave Parties’ dans leur jargon. Et les actrices porno sont très demandées pour ce rôle. Hélas très peu d’entre elles acceptent la soumission à un groupe. Moi si.
Quand mon agence à Londres m’a proposé cette séance, c’était un oui immédiat. Et quand on m’a annoncé le cachet, c’était un quadruple oui. Du jamais vu.
Arrivée à Londres, les documents que j’ai eu à signer m’ont effrayée. Clauses de discrétion, de confidentialité. Je comprenais mieux la somme anormalement élevée que je percevais.
Cette soirée allait réunir un gratin. Hommes d’affaires influents, femmes de pouvoir, militaires. En Suisse, à Zurich.
Je m’attendais à un cocktail libertin guindé et fade. Erreur.
De la noirceur, de la perversion et du vice, j’allais en manger. Non stop.
A en jouir. A en souffrir.
Et pourtant, je suis dans l’avion du retour. Et en revivant ces instants afin les écrire, mon corps spasme de plaisir. Et je dégouline. Non stop.
Me voici installée dans un magnifique hôtel de Zurich. J’attends. Je repense aux demandes des clients.
Il était donc convenu que j’interviendrais en tant que "femme-objet", "femme-jouet", "esclave", "soumise" ou quel que soit le meilleur qualificatif de la "chose" au sein d’une belle soireé privée avec une vingtaine de couples âgés entre 35 et 50 ans.
Les seules limites étant celles tolérées par ma sexualité et des contraintes de type physique (pas de mutilation, percement, marques, odèmes, etc. )
C’est une acceptation plutôt très rare chez moi, mais je connaissais le sérieux de l’agence le statut social de leurs clients, ma libido du moment et le très bel honoraire.
. Attendu donc que je serais le cadeau offert par le couple organisateur au reste de l’assemblée. Ce serait donc "Mme C" (pour faire court) ma "maîtresse".
. Attendu que je serais à la disposition de toute personne à cette soirée, homme ou femme, pendant toute la durée de la soirée. Cela incluait donc du lesbien, du hétéro, du vaginal, DP, anal, bdsm, sextoys, humiliation, etc…
. Attendu qu’à moins d’être sommée de le faire, et à l’exception de cris de plaisir, jouissance ou éventuelle douleur, je ne devrais en aucun cas prononcer le moindre mot.
Mme C et son mari sont de fervents amateurs de porno. Elle m’avait repérée sur l’un de mes films parus chez un producteur américain, réputé très hard.
J’ai été récupérée à mon hôtel par leur chauffeur et conduite à leur domicile. Sous le manteau obligatoire, je portais la tenue imposée.
Car ils me voulaient habillée poufiasse, vulgaire et très salope.
Elle s’était inspirée de la photo de ma scène tournée en Hongrie pour Clara-G .
Et je leur ai porté donc porté la même, tant que faire.
Déposée en fin de dîner par la porte de service et accueillie par Mme C très ponctuelle. Belle quarantaine, pulpeuse et visiblement déjà éméchée par l’alcool ou toute autre substance. Mais son type latin n’en rajoutait qu’à sa perversion.
Formalités et présentations faites, elle entre de suite dans le jeu.
Me roule une galoche, me fout une (gentille) baffe, me retourne, me descend le minishort, me lèche mon petit cul, puis un, deux trois doigts avant que je sente un plug s’y enfoncer violemment.
Même si je m’étais longuement préparée par cette voie auparavant, je ne m’attendais pas à un tel direct.
J’allais lui en dire un mot quand elle m’a bouché avec sa main et rappelé les clauses. Pas un mot.
Je retiens toutes ses phrases du début de soirée. Par leurs poids en excitation chez moi.
Et parce que j’étais encore "consciente", non submergée et esclave des sensations de mon corps.
Elle m’accompagne au salon. Les couples étaient soient à siroter un digestif, soit les génitaux d’autres membres.
"Voilà votre pute et votre cadeau ce soir. Faites d’elle ce qu’il vous plaira, par où il vous plaira. C’est une chienne soumise, une nympho, une putain et une actrice porno et ce soir, elle est à vous !"
Puis elle me fait monter su une table et m’impose un strip.
Une fois fini, elle me fait mettre à quatre pattes, cul à l’air et cambrure au maximum.
"je vous l’ai choisie par ce qu’elle aime autant les femmes que les hommes"
Elle m’attrape par les cheuveux et me plaque ma bouche contre sa chatte.
"et qu’elle adore être prise comme une chienne de partout, et son cul est tout le temps en chaleur et disponible"
Là elle me replaque, pose un genou sur mon dos, écarte mes fesses, sort le plug, me le met dans la bouche, écarte mon cul avec deux doigts, je sens un peu de salive y couler…
"Tout ceci est à vous jusqu’à la fin de la soirée. Usez-en et en abusez-en !"
Elle m’allonge sur la table et me fait mettre sur le dos. Me fait lever les jambes en les écartant un maximum.
"Et à notre demande, elle sera docile. Testez ses orifices. a plus tard"
A partir de ce point, je ne me souviens plus de ce qui a été dit. Ou seulement des bribes.
Je me souviens que rapidement, les femmes surtout, sont venues s’amuser avec le plug qui était dans mon cul. A le rentrer, le sortir, le faire tourner… Puis quelques langues se sont aventurées à le lécher, ainsi que ma minette.
Je ne voyais plus si c’était des hommes ou des femmes, puisque ma tête, désormais inversée, pendante en l’air, devenait un trou ou une langue, selon le sexe qui s’y collait.
Ca avait du lancer l’ambiance. Je sentais les odeurs de cyprine et de sueur près de moi. Les cris des femmes. De temps en temps je pouvais apercevoir des gens buvant à la bouteille, d’autres sniffant de la coke.
Et soudain j’ai senti un froid extrême dans ma chatte. On essayait de me rentrer le col d’une bouteille de champagne glacé. Avec du champagne dedans !
D’instinct je me suis relevée pour faire savoir mon désaccord. Diable ! C’est là que la vraie débauche et leur vraie perversion a fait surface…
Mme C. a surgi fissa.
Elle m’a hurlé, me rappelant que je n’avais pas à donner mon avis.
Que je n’étais que leur pute, leur jouet et qu’ils me payaient bien assez cher pour ça.
Qu’en gros je faisais moins ma mijaurée dans les films. Et qu’elle allait régler ça.
Puis m’a demandée de l’attendre étendue par terre sur le ventre, les bras en jambes en croix.
J’aurais pu craindre pire. Mais je savais que tel était le jeu. De plus, j’étais excitée à un tel point. Mon ventre se tordait de plaisir.
C’est un coup de fouet assez vigoureux qui m’a sorti de mes rêveries quelques secondes plus tard.
Elle m’a soulevée par les cheveux, mise à quatre pattes.
Plein de mots crus dont je ne retiens que "silence", "obéir", "chienne", "pute", "traînée"
Coup de fouet à nouveau. Elle me plaque le torse par terre. M’oblige à m’ouvrir le cul. Elle y déverse du champagne. Crache dedans.
Me fait mettre à genoux. Et à vider mon cul dans un verre.
Me le fait boire… (avec le recul, je bénis le ciel d’avoir fait de moi une maniaque du lavement anal extrême ;-)
Puis me tire par les cheuveux. Lève ma tête. je vois tout le monde. Presque tous se caressent. D’autres se branlent.
Elle leur explique que "le moment d’humilier leur chienne est venue"
Elle me baffe, me fouette les seins, me pince les tétons…
Elle m’écarte la bouche. Un homme me gicle dedans. Son homme. Puis elle me met une pilule sous la langue. J’en reconnais l’amertume.
J’en ai pris quatre fois dans ma vie et je crains le pire. Par ce que ça, c’est le dernier rempart contre mes inhibitions. Pas un hallucinogène, ni un speed, non.
Juste un démultiplicateur de sensations. Et un désinhibiteur.
Mes mains sont liées dans mon dos. Les chattes et les bites se succèdent dans ma bouche. Dans mon dos, de légers coups de fouets pleuvent.
Des pinces sont attachées à mes seins. ça aussi, ça décuple !
Alors qu’une chatte dégoulinante ruisselle dans ma bouche, quelque chose d’énorme est introduit dans mon cul. J’ai l’impression de partir, de me casser en deux.
A partir de là, ce n’est que successions de flashbacks et d’orgasmes.
On me baffe. M’étouffe. On me crache dessus, me doigte.
Des coups de fouet pleuvent. Les insultes aussi. Je mouille comme tel un fleuve.
Je pleure de plaisir, de douleurs, je hurle
Plus je crie plus on me baffe, me baillonne, on me recrache dessus…
Du vide. De l’air.
On me soulève, me transporte. Puis on me dépose sur ce que je pense être un lit.
Mme C me couche sur le dos, s’assied sur moi, me lève mes jambes, me les écarte à en avoir mal.
Elle pose sa chatte sur mon visage, à m’en étouffer. Se frotte dessus. Elle est trempée. Mon visage aussi.
On me tient les jambes écartées.
Elle écarte mes fesses avec ses mains.
Des bites vont se succèder dans mon cul. Plein.
Et à chaque fois que le vide se fait, c’est pour être remplacé.
Et pour qu’on me gicle sur le visage.
Puis je sens une bite énorme. Démesurée. Mon cul est tendu au maximum.
il pilonne comme un malade. je hurle. Je jouis pour la 100ème fois. je dégouline.
il continue. Et je sens Mme C qui commence à rentrer un puis de plus en plus de doigts dans ma chatte.
La bite énorme se retire. Et c’est la main de Mme C qui rentre. D’un coup. Elle y reste. Y bouge. Je jouis.
ça continue de gicler sur mon visage quand la bite rentre à nouveau dans mon cul.
Ma chatte est fistée, mon cul défoncé comme jamais, ma tête tourne, je suis sur le point de m’évanouir
Accalmie. Les orifices se libèrent. je reprends mes esprits. Du sperme de partout. De la mouille.
Je me sens béante. impuissante.
Fin de la trêve.
Un vieux monsieur me trâine par les cheveux. A quatre pattes, amenée dans une énorme salle de bains.
Mise à genoux. Cambrée. L’homme au démonte pneu passe derrière. Et me remplit à nouveau le cul. Me maintient les mains derrières, me cambre et me tire les cheveux.
Je voyais un peu trouble, ça va mieux.
Hommes et femmes se tiennent autour de moi, nus.
Seul souvenir : "Allez-y"
Mon bourreau anal reprend, Mme C me maintient la tête vers le haut et la bouche ouverte.
C’est la surprise. Une femme arrive. Me crache dans la bouche. Approche sa chatte.
Je me prépare à la lècher. Mais non. C’est un jet chaud qui en sort.
Mais elle m’urine dessus cette connasse ?!
Mme C oriente mon visage pour que ça rentre dans ma bouche. Je retiens. Je ne veux pas avaler ça.
Mais Mme C me pince le nez. Oblige d’avaler. L’urine de la belle blonde, et ma fierté aussi.
Le pisseuse s’en va. Ils se sont rapprochés en masse. Désormais, l’urine fuse de partout.
J’en suis couverte. Et le pilon dans mon cul me fait jouir.
Ces flots de liquide commencent à m’exciter.
Je suis vraiment une tarée.
Jouissances encore…
A nouveau le vide. On me douche. Me savonne. On me fait boire. Je revis.
Et je suis excitée.
On me passe un collier. Et une chaîne.
On me passe des bas. Des chaussures. On me bande les yeux.
On me descend dans une cave. Chaînes et accessoires SM de partout.
Je suis, épuisée. Offerte.
Des gens s’affairent autour de moi. Chaînes. On m’attache de partout.
Cliquetis mécaniques. Mon corps de soulève, bascule à l’horizontale…
je pends en l’air, n’ai plus de repères, mes jambes sont écartées malgré moi.
On me retire le bandeau. Des gens en cercle autour. Et deux femmes avec des godes ceintures. Larges. Très larges.
Elles m’enduisent le corps d’huile. Ou de lubrifiant, je sais plus. Les doigts rentrent dans mon cul. L’ouvrent, l’écartent, le dilatent.
Je sens qu’elle me verse du lubrifiant dedans.
Devant, elle me baffe. M’enfonce son gode ceinture dans la bouche. J’en vomis presque. Je retiens. Merci Rocco pour l’entraînement !
Derrière moi, d’un coup la femme a enfoncé son gode ceinture dans mon cul. Je hurle. Elle pilonne. Elle est enragée. Elle se venge je pense. De quoi je ne sais pas. Elle est pas très belle, ça doit être ça.
Le latex après des heures de sodo c’est pas top. J’en hurle presque plus de douleur que de bien. Ca les excite. Elles m’étranglent. Me baffent.
Et ça, ça m’excite.
Le gode se retire de moi. Je me sens vide. C’était douloureux et pourtant, j’ai besoin d’être remplie. Comblée.
Soudain, des doigts se frayent un chemin dans mon cul.
J’entends des gens lui hurler de m’enfoncer le poing. Le poing.
Mon cul est désormais, je m’en doute, un orifice béant. Ses premiers doigts passent sans problème.
Ce qui semble la déconcerter. Et d’un coup enfonce sa main.
Douleur. Spasmes. COntractions. Puis plaisir. Elle me ramone, ils applaudissent, je hurle. Plaisir ? Douleur ? Je sais Plus. Elle ramone trop vite.
Mme C qui, devant moi me regardait, s’approche, soulève ma tête pendante et me force à garder la bouche ouverte et la langue sortie.
Les hommes commencent à venir se branler pour se décharger dedans. Leur sperme dégouline de partout, coule dans ma gorge…
"Va plus loin" j’entends ! "mets y les deux main à cette salope" crie une autre femme.
J’y crois pas ! C’est la mise à mort du taureau, version fist anal.
Je sens ma chatte ruisseler à flots. J’ai mal tant mon ventre se contracte de jouissances.
Son poing s’enfonce. De plus en plus.
Puis se retire. Commence des allers retours de plus en plus loin.
Ma tête tourne. De plus en plus vite
Je sens que les doigts d’une deuxième main essaient de se frayer un passage.
Ca hurle, crie, encourage tout autour de moi.
Une langue est venue me lécher ma chatte par en dessous. LE coup de grâce ! je spasme et finis de m’ouvrir, comme jamais
La deuxième main est rentrée. ça applaudit.
Une énorme décharge de plaisir explose dans mon corps. Comme jamais avant;
Ma tête tourne de plus en plus vite
Deux mains s’agitent frénétiquement.
je ne suis plus qu’un trou pour ses gens
Ultime décharge électrique.
Puis plus rien.
Blackout.
Je me suis réveillée dans l’une de leurs chambres, bien des heures plus tard.
Propre. Bien emmitouflée. Soignée et pomponnée.
Une lettre, des instructions pour rappeler le chauffeur quand je serais reposée, une magnifique salle de bain à disposition.
Et une superbe boîte de champagne, contenant un carton signé de dizaines de personnes. Remerciements, mots doux, tendres, clins d’oeuils.
Et le mot de Mme C., invitant à renouveler cette expérience.
Je le ferai, je pense. Le temps de laisser poser.