Je vous ai raconté, dans les deux premières parties, comment lan dernier, en décembre, jai eu une relation incestueuse avec ma mère, puis avec ma petite sur Johanna, que jai dépucelée. Je navais eu aucune aventure sexuelle depuis le mois de septembre, pour mon plus grand malheur. Mais je savais que, les vacances de Noël approchant, je pourrais revoir ma sur et quensemble, nous pourrions poursuivre notre relation. Seulement, je nai pas eu les mêmes vacances que ma sur et je nai pas pu la voir.
Il y avait pour la durée de la semaine, mon oncle et ma tante, ainsi que mes deux cousins. Le plus jeune, Dominique, ou « Domi », se disputait souvent avec Rébecca, sa sur aînée, que je surnomme souvent affectueusement « Rébi ». Ma cousine a le même âge que moi et nous entendons très bien. Elle est brune, pas très grande, des seins de taille petite à moyenne mais très bien mis en valeur, jamais un pull ne ma fait autant deffet. Malgré ses deux petites bosses intimes, je nai jamais eu aucune vue sur elle.
Allons directement à lessentiel. Il faut dire que tout a commencé très vite. Mes cousins sont arrivés chez les parents un jour après moi. Pendant cette journée, je me demandais si ma mère ne pourrait pas remplacer ma sur dans mon désir dinceste. Il faut dire quelle avait précédé Johanna, lan dernier. Je me suis posé la question de savoir comment renouer le contact avec ma mère. Lui laisser des indices, placer des phrases suggestives, lui parler directement et sans détour ? Sans compter mon père qui était à la maison et qui aimait beaucoup ma mère.
Cest alors que jai pensé au cadeau de Noël que Johanna mavait offert lan dernier. Non, pas celui-là, bande dobsédés ! Lautre. Celui que jai ouvert dans un paquet-cadeau. Javais eu le plaisir dy découvrir une mini-caméra, que jai utilisé une ou deux fois au ski lhiver dernier, et cet été pendant mes balades à vélo. Jai dabord pensé que je pourrais la glisser dans la chambre de mes parents pour filmer leurs ébats, mais cétait trop risqué et avec la durée denregistrement limitée, je pourrais ne rien voir. Jai alors pensé à la salle de bain.
Le lendemain matin, petit-déjeuner tranquille tous ensemble. Je me suis attardé un peu sur une grille de mots fléchés en attendant que ma mère déclare :
— Bon, cest lheure de la douche.
Aussitôt, je suis allé chercher ma mini-caméra et je lai cachée sur les étagères de la salle de bain, de sorte de pouvoir voir à la fois la salle dun côté, et la douche à travers la porte vitrée de lautre. Jai caché le tout comme je pouvais avec les gants de toilette qui reposaient à côté, de sorte que tout paraisse naturel et rangé et que lobjectif soit bien dégagé. Jai mis la caméra en route et je suis retourné dans ma chambre, attendant que tout le monde prenne sa douche pour pouvoir prendre la mienne, et récupérer la mini-caméra.
Je savais que limitée à 15 minutes, la machine mépargnerait de filmer tout le monde, uniquement le premier occupant en loccurrence, ma mère. Comme jai pris ma douche en dernier, je savais en sortant que je serais occupé. Il faudrait songer à préparer le repas de midi, aller acheter le pain, ou partir quelque part vu que tout le monde était déjà prêt. Cest donc le soir que jai pu mettre ma vidéo sur mon ordinateur portable, acheté cet été en récompense de lobtention de mes examens. Je me suis installé sur mon lit, jai enfilé mes écouteurs que jai branchés sur lordi, et jai chargé la vidéo. Je me sentais déjà plus en confiance dêtre sur mon lit dos au mur, plutôt que sur mon ordi de bureau lécran tourné vers la porte, à la portée du premier venu.
La vidéo se lance. Il se passe dabord deux minutes sans rien, on me voit juste partir au début. Jai bien réussi mon cadrage, je vois toute la pièce. Puis une personne entre, savance. Je ne vois de ma mère que son jean. Elle semble poser quelques objets au bord de lévier juste au-dessus de lappareil, puis se dirige vers le centre de la salle. Et là, stupéfaction !
La personne sur la vidéo nétait pas ma mère. Cétait Rébecca ! Cétait ma cousine ! Elle avait dû sarranger pour prendre sa douche la première. Je reste quelques secondes à rester bouche bée devant mes espoirs effondrés, et jallais fermer et supprimer la vidéo, mais Rébecca avait enlevé son pull, alors jai décidé de regarder jusquà ce que je puisse voir sa poitrine.
Elle a enlevé son T-shirt, et jai vu son soutien-gorge noir. Elle retira son pantalon, découvrant une petite culotte assortie. Je me suis alors rendu compte que je bandais fort. La vue du corps de ma cousine mavait excité. Elle a alors retiré son soutien-gorge, laissant apparaître une paire de seins qui étaient, comme je my attendais, magnifiques. Je ne métais pas trompé sur leur taille, un peu plus petits que la moyenne, mais leur forme était si parfaite quils saccordaient parfaitement avec le reste du corps de Rébecca. Ce nétaient pas deux appendices grotesques, cétait une poitrine, lincarnation même de la féminité.
Elle retira sa culotte et se tourna, sûrement pour se regarder dans le miroir. Elle portait sur le pubis une toison noire assez fournie qui allait bien avec le reste. Elle déposa sa serviette à portée de main et entra dans la douche. Ses fesses étaient légèrement grosses pour sa corpulence, mais sans plus. Elles étaient bien rebondies et ça me plaisait. Elle alluma leau et régla la température. Elle se laissa tremper en entier, sans bouger sous le jet deau qui laspergeait toute entière. Elle était de dos. Elle mélangea ses cheveux, sans doute pour que tous soient bien mouillés, puis elle coupa leau et commença à se savonner avec du gel douche.
Elle sétait placée de côté. Elle sen étala dabord sur le ventre, puis sur les flancs et dans le dos. Elle passa rapidement sur ses seins, ses épaules, et massa ses bras. Puis elle en rajouta sur ses jambes, insista dabord sur ses cuisses et remonta pour sen badigeonner les fesses. Elle insista un petit peu sur cette zone, pour mon plus grand plaisir. Puis elle se pencha en avant pour savonner le reste de ses jambes et ses pieds. Pendant ce temps, jadmirais ses petits seins par intermittence, quand le bras ne les dissimulait pas à ma vue.
Une fois les jambes terminées, elle se redressa et caressa ses seins. Chaque main faisait de petits ronds autour du sein correspondant. Cela devait faire du bien à ma cousine, car elle mit la tête en arrière. Avait-elle les yeux fermés ? Je ne pouvais pas le voir. Sa main droite quitta sa poitrine savonneuse pour glisser lentement vers son entrejambe. Elle ramena sa tête et se cambra vers lavant. Elle faisait le gros dos et sa tête tombait, ses jambes étaient légèrement fléchies. Son corps entier avait la forme dun S. Un S qui ondulait, car elle faisait de petits mouvements avec les jambes et le bassin. Je nen pouvais plus. Jai glissé la main sous mon jean et jai commencé à me masturber. Et, alors que lexcitation était à son comble, alors que jallais jouir et apparemment ma cousine aussi, la vidéo sest arrêtée. Javais atteint les 15 minutes denregistrement.
Déçu que la vidéo sarrête à ce moment, jai supprimé la vidéo de mon ordi mais jai prévu de recommencer lexpérience. Le lendemain, javais élaboré une petite technique pour piquer sa place dans la salle de bain à ma cousine, juste sous son nez. Celle-ci a commencé à rouspéter, car elle détestait être la dernière à se laver, mais rien ny faisait. Jai pris ma douche, et jai placé ma mini-caméra au même endroit que la veille. Je lai allumée au moment de partir, puis jai attendu. Le soir venu, jai regardé la vidéo.
Rébi entra dans la salle de bain et se déshabilla en vitesse. Elle se glissa dans la cabine et alluma leau. Tout dabord, elle se mouilla tout partout, puis se savonna. Là encore, elle sétait mise de côté, je pouvais donc voir ses deux petites bombes à eau, quelle caressait affectueusement. Elle plaça aussi sa main sur le pubis. Elle se rinça totalement, puis dirigea le jet deau sur son entrejambe et continua à se caresser le clitoris. Au bout dune minute, elle sembla glisser un doigt dans son sexe et je voyais sa main faire des va-et-vient. Son corps se secoua peu de temps après, avant de simmobiliser, la tête en arrière. Elle coupa leau et sortit de la cabine de douche. Avant que la serviette ne la cache, elle était debout, face à la caméra, et je voyais distinctement ses seins, son petit duvet pubien, le galbe de ses hanches La vidéo sarrêta alors quelle sessuyait.
Jai décidé de mettre à profit cette petite vidéo. Jai emporté mon ordi et je suis allé frapper à la porte de ma cousine. Elle était en pyjama dans son lit et lisait un livre. Je me suis assis au bord du lit en lui disant que javais quelque chose à lui montrer, et jai lancé la vidéo, dont je lui ai montré quelques extraits. Elle a eu une réaction de surprise et de dégoût.
— Tu mas filmée ? Jy crois pas, tu mas filmée sous la douche ? Tes quun gros pervers !
— Merci. Et tu ne connais pas la meilleure. Je compte poster cette vidéo en ligne, pour que tout le monde puisse en profiter.
— Tu ne vas pas faire ça ! Gros dégueulasse, tu es vraiment ignoble, tu me dégoûtes ! Supprime tout de suite cette vidéo !
— Non, je ne crois pas.
— Supprime-là, je te dis !
— Non merci.
Nous commençâmes à nous chamailler, surtout elle. Mais je lui ai promis un marché.
— On va faire un truc. Jai un service à te demander, et si tu le fais, tu pourras supprimer toi-même cette vidéo.
— Hmmm Et cest quoi, ce fameux service ?
Jai laissé passer un petit blanc.
— Je veux te voir nue. Je veux que tu te déshabille devant moi, maintenant.
— Tu es malade ! Jamais de la vie !
— Tant pis ! Bon, je vais te laisser, je dois choisir sur quel site je vais poster en premier ta vidéo.
Sur ce, je me suis levé et je me suis dirigé vers la porte.
— Attend ! me dit-elle. Daccord. Tu as gagné, crétin.
Elle se redressa dans son lit, et ôta le dessus de son pyjama. Elle ne portait rien au-dessous, et jai enfin pu voir de mes yeux ses petits seins. Elle retira sa couette pour me montrer son pantalon de pyjama. Elle glissa ses pouces sous la ceinture et fit descendre le vêtement, laissant découvrir une petite culotte blanche, quelle enleva aussi. Ma cousine se retrouva alors nue, allongée sur son lit à côté de moi. Je bandais dur. Je lui ai demandé décarter les jambes et jai admiré sa vulve. Puis, jai reporté mon attention sur ses seins, et jai tendu la main. Elle me donna une petite claque pour mempêcher dapprocher, mais je lui ai ressorti la menace de la vidéo, alors elle se laissa faire. Jai posé ma main sur un de ses seins. Je lai soupesé, puis caressé. Jai fait pareil avec lautre. Ensuite, je me suis penché et jai embrassé ses petits mamelons durcis. Cétait si agréable ! Jai glissé ma main vers ses cuisses, puis vers sa vulve, qui était complètement humide. Jai caressé un peu son clitoris, puis je suis descendu le long de sa fente. Jai fait une petite pause au milieu, puis jai avancé mon doigt entre ses lèvres, puis encore un peu plus profondément. Finalement, mon doigt entier est entré dans son vagin. Jai fait de légers va-et-vient, tout en embrassant son sein.
Malheureusement, à ce moment jai entendu un bruit dans le couloir, alors jai tout arrêté et ma cousine sest rhabillée. Comme plus rien ne se passait, plus un bruit, il sagissait dune fausse alerte. Jai alors tenu ma promesse et jai supprimé la vidéo de mon ordi. Je suis allé me coucher.
Mais lhistoire ne sarrête pas là. Car le lendemain, au petit-déjeuner, ma tante a eu lidée daller se promener avec tout le monde ou presque, cest-à-dire mes parents, mon oncle et ma tante, et le petit dernier, Domi. Jai alors eu une idée de génie ! Jai attendu que tout le monde soit lavé et parte en balade et que je reste seul avec ma cousine. Je suis allé la voir et lui ai déclaré :
— Tu sais, pour ce qui est de la vidéo dhier soir
— Je ne veux pas en parler.
— Si, je sais que ça va tintéresser. Jai fait une copie de la vidéo. Avant de venir te voir, un petit copier-coller de la vidéo, que jai cachée dans un dossier complexe que tu ne peux pas retrouver, et jai changé son nom. Tu pensais bien quune vidéo comme ça, je nallais pas la supprimer comme ça !
— Quoi ?!? Espèce de salaud !
— Un salaud qui a une vidéo de toi nue. Je peux la supprimer, et il ne me restera plus rien de cette vidéo, je te le promets, mais seulement si tu prends ta douche devant moi. Comme tu le ferais sur la vidéo.
Elle nétait pas daccord, mais elle navait pas le choix. Nous sommes donc allés dans la salle de bain, je lai moi-même déshabillée en profitant de la caresser au passage, et de lui donner un petit coup de langue au niveau de sa fente damour, et elle est entrée dans la cabine pour commencer à se laver. Mais mon membre viril était tellement vaillant, que je nai pu me résoudre à en rester là. Je me suis déshabillé à mon tour et je suis entré dans la douche avec elle.
— Mais, tu es fou, quest-ce que tu fais ?
— Chuuut
Je me suis collé contre son dos, mon membre à la verticale entre ses fesses. Jai passé mes mains sur son ventre et jai remonté pour lui malaxer tendrement les seins, passer mes index sur ses mamelons, ses aréoles. Puis nous avons coupé leau, et je lui ai demandé de me savonner. Elle a pris le gel douche et a commencé à me frotter de partout. A ma demande, elle a insisté sur mes fesses, puis sur ma stalagmite. Elle a fait des aller-retours lents. Le gel douche rendait beaucoup plus agréable le frottement de sa paume contre mon gland, quelle avait décalotté doucement. Puis ce fut à mon tour de la savonner. Ses seins étaient beaucoup plus doux au toucher avec le savon, et jai insisté sur ses fesses et lintérieur de ses cuisses. Bien quelle essayait de ne pas le montrer, je pense que ma cousine prenait beaucoup de plaisir sous mes caresses. Jai voulu passer mon doigt sur sa vulve, mais elle men empêcha. Elle mapprit que le savon pouvait être dangereux pour le vagin.
Nous nous sommes alors entièrement rincés, et jai caressé son clitoris. Elle fermait les yeux. Face à elle, mon autre main a abandonné son sein pour passer dans son dos. Je lai embrassée dans le cou. Je lai attirée tout contre moi, sa poitrine contre la mienne. Pendant que ma main droite pénétrait son vagin très lentement, de lautre, jai guidé sa propre main vers mon pénis, et elle a commencé à le caresser. Avec mon doigt, je faisais des aller-retours dans son vagin et jalternais avec des petites caresses de son clitoris.
Ny pouvant plus, jai attrapé ses deux fesses, je me suis remis en face delle et jai attiré son bassin contre le mien. Quelle divine sensation que de se retrouver pubis contre pubis. Jai attrapé mon sexe, puis lai abaissé. Mon gland longea le pubis de Rébecca et se logea entre ses lèvres et ses deux cuisses, et jai commencé un va-et-vient. Après ça, jai retourné ma cousine, et mon pénis a retrouvé ses fesses avec plaisir.
Jai placé mon sexe au même endroit que précédemment, entre ses cuisses et ses lèvres, avec une main qui caressait ses seins en faisant des 8 dun côté et de lautre, tandis que lautre main caressait son clitoris et faisait des petites incursions dans son vagin. Ma cousine était alors légèrement cabrée en avant, et je sentais en moi le désir de la posséder pleinement. Je lui ai demandé de se pencher un peu plus en avant et décarter légèrement les jambes. Une fois fait, jai attrapé mon dard, et jai parcouru de mon gland sa fente. De haut en bas, puis de bas en haut. Je marrêtais au milieu, pour faire de petites pressions, et je sentais beaucoup de plaisir au bout de mon gland.
Ny tenant plus, jai pressé un peu plus, et jai senti ses lèvres envelopper mon gland. Je lai retiré, jai parcouru encore une fois la longueur de sa fente, et jai recommencé. Je suis un petit peu entré, puis suis ressorti. Jai à nouveau inséré mon gland dans sa fente, je suis resté un petit peu pour profiter de la sensation, puis jai glissé mon pénis un peu plus loin. Je sentais les parois de son vagin sur le bout de mon pénis, qui glissait lentement, inexorablement, le long de ma hampe. Enfin, mon pénis entier était entré dans le vagin de ma cousine.
Jai effectué de légers aller-retours, lents, de faible amplitude, puis tout en continuant à lui caresser le clitoris, jai accentué le mouvement. Rébecca gémissait. Je suis allé jusquà sortir mon sexe du sien pour ly remettre aussitôt. Jaccélérais lentement la cadence. Je sentais le désir monter en moi. Ma main gauche titillait le mamelon de son sein, ma main droite faisait tourner son clitoris, et ma jambe du milieu pilonnait son vagin, de plus en plus vite.
A ce moment, alors que le désir était à son comble, les gémissements de Rébi se transformèrent en un long cri, et jai alors explosé. Je me sentais jouir en même temps que ma cousine. Je sentais mon sperme qui quittait mon sexe pour se déverser dans le sien. Cétait le Paradis !
Nous sommes restés quelques instants lun dans lautre, puis je me suis retiré et jai quitté la douche. Rébecca me rappela ma promesse.
— Tu as eu ce que tu voulais. Nous avons fait lamour. Je tai même laissé jouir en moi. Maintenant, je veux que tu tiennes ta parole et que tu supprimes toutes les copies des vidéos que tu as de moi.
Je lui ai alors dit la vérité :
— En fait, je tai menti. Je nai pas fait de copies. Je navais quune seule vidéo de toi et je lai supprimée hier avec toi.
Nous venions de faire lamour, Rébi gardait mon sperme dans sa grotte des plaisirs, en pensant faire tout cela pour ne pas se retrouver sur un site coquin, alors quen fait, tout cela ne servait que mon bon plaisir.