Je m’appelle Dounia, j’ai 19 ans, je suis en première année de fac de lettres et j’habite avec ma meilleure amie, Prescilia, que tout le monde appelle Prissou. Nous habitons en face du reste de notre groupe d’ami, Kamel et Pierre, tous deux en école de commerce à Marseille et avec qui nous étions de la seconde à la terminale. Je suis d’origine algérienne, je suis une danseuse de Kizomba avec tout ce que cela implique : une très grosse poitrine, des lèvres magnifiques des cuisses fermes qui accompagnaient un cul qui fait fantasmer tout le monde, je le sais. Je suis confiante, je connais mes atouts et j’en joue. Je ne suis pas une salope, mais j’aime la bite. Les choses sont claires.
Prissou et Thibault sont ensemble, ils s’aiment fort et sont des exemples pour Kamel et moi, je sais qu’il aimerait être avec moi, mais je ne veux pas. Il nest pas mal, mais je le vois comme mon frère, il est protecteur, gentil, généreux et beau, mais ce n’est pas ce que je recherche. Je veux quelqu’un qui me parle mal, qui me provoque, qui me tient tête, Kamel est beaucoup trop à mes pieds. Parfois, quand Prissou et Thibault passent leur soirée ensemble, nous restons avec Kamel aux « Couleurs », un bar juste en bas de l’immeuble où je cherche une proie pour la nuit. Je sais que j’ai tous les hommes que je veux à mes pieds, ce qui a le don d’énerver Kamel, mais ce soir-là, je tombe sur un bel homme, grand, 1m95 à vue d’il, des muscles taillés dans la pierre, il s’approche de moi et mes jambes trembles, je me mords la lèvre, je n’écoute plus Kamel qui me raconte une histoire avec une fille dont je sais pertinemment qu’elle est fausse, il m’aborde et je plonge dans ses yeux verts.
Après quelques banalités échangées, il m’invite à partir avec lui dans sa voiture, je reçois des textos de haine de Kamel qui me reproche de l’avoir laissé tout seul pour mon bon plaisir, je ne lui réponds pas, il ne m’en voudra pas longtemps de toute façon. Le mec conduit, nous allons chez lui apparemment. Il ne me parle pas, je n’ose pas prononcer un mot, je ne connais même pas son nom, peut-être qu’il me l’a dit, je n’en sais rien, j’ai tout oublié, à chaque feu rouge, il jette son regard dans mon décolleté et se mord la lèvre et laisse sortir un râle de désir qui me fait évacuer une flaque de cyprine, je n’en pouvais plus, mes jambes dansaient toutes seules. C’est un canon et je ne me languis qu’une chose, c’est qu’il me prenne ! Arrivé à destination, je n’avais pas la force de quitter la voiture, mes jambes n’étaient pas assez solides, il rigole et me porte jusqu’à l’appart, je n’ai jamais ressenti ça avant. Je m’attends à quelques choses de fou, dans ses bras, je sens sa force, je l’imagine en train de me prendre, je n’ai pas baisé depuis 3 mois, j’ai bien fait d’attendre.
Arrivé, il me dépose sur le lit, il me retire mon pantalon et me bouffe la chatte. Il se retrouve noyé dans ma mouille qui ne s’arrête pas de couler. Il se lève, me regarde, et retire son pantalon, il libère un monstre dont je ne saurais pas dévoiler la longueur. Sa bite était humide, il avait sans doute déjà libéré quelques gouttes, j’ai chaud, mes seins gonflent et mes tétons pointent. Il me pénètre doucement, amoureusement, je sens sa bite frotter les parois de mon vagin, je suis sa pute, je me libère totalement dans ses mouvements. Il me porte, et me baise face au mur, il accélère la cadence, je jouis, il écarte mes fesses pour se faciliter le passage, il met ses mains face au mur, je m’accroche difficilement à son cou avec mes bras, mais il donne de tels coups de butoir que je suis vissé au mur. C’est la meilleure bite que j’aie jamais eue.
Il me repose sur le lit et met sa bite devant mon visage, je la gobe directement, elle a bon goût, je l’avale et je sens qu’il libère du sperme. Je n’étais pas prête à ça, mais ce n’était pas grave, j’ai tout avalé sans broncher, je n’aime pas le goût du sperme, mais ce soir je suis prête à tout. J’ai joui une bonne dizaine de fois. Je reste dans la même position et commence à fermer les yeux et repense à ce moment. Quelques secondes plus tard, je sens ses doigts frotter mon clitoris, mes jambes se referment, il les écarte sèchement, je ne résiste pas. Il me regarde, j’ai un peu peur, il se rapproche de moi, m’embrasse et me dit :
— Je vais te faire l’amour jusqu’à la crise cardiaque. Je n’ai jamais vu une meuf avec tes mensurations, et qui accepte autant de choses sans broncher. Je n’étais pas prête à ça, mais ce n’était pas grave, j’ai tout avalé sans broncher, je n’aime pas le goût du sperme, mais ce soir je suis prête à tout. Je ne sais pas si l’on va se revoir demain, mais tu ne vas pas quitter ce lit de sitôt. Un truc à redire ?
Je ferme les yeux me met sur le ventre, les fesses tendues vers l’arrière. Après quelques secondes de silence, je sens sa bite rentrer en moi, mes yeux sortent de leurs orbites, je suis encore surpris par la taille de ce truc. Il m’a tout fait, je ne sais même pas depuis combien de temps nous baisons. Nous sommes partis du bar un mardi à 22 h passé, je ne sais pas quel jour nous sommes. Nous n’avons rien bu, rien mangé, nous n’avons pas pris plus de cinq minutes de pause. Je ne sais pas combien de fois, il a éjaculé en moi, mais à chaque fois qu’il re-rentre en moi, un peu de sperme est éjecté par manque de place. Il est épuisé, il me dit qu’il n’en peut plus. Je me suis laissé faire depuis le début.
Complètement abandonné, il commence à fermer les yeux. Je n’ai pas envie que cela s’arrête. Je suce sa verge complètement épuisée par le travail. Je ne sais pas comment elle retrouve de la vigueur, il garde les yeux fermés. Je monte dessus et commence à le chevaucher, je mets mes mains sur ses abdos et je cherche son regard, je sens ses mains se poser sur mes hanches, il rouvre les yeux et me saisit la taille et reprend le contrôle, il me martèle tellement fort qu’encore une fois, je m’abandonne dans ses mouvements. Mes seins rebondissent et vont dans tous les sens, il ne les quitte pas du regard, je crois que je suis amoureuse.
Une fois l’épuisement vraiment atteint et un peu de sommeil, je regarde mon téléphone, nous sommes jeudi, il est 11 heures, j’ai plus d’une centaine d’appels manqués de mon petit groupe d’ami. Je regarde de l’autre côté du lit, il n’est plus là, le lit est encore humide de notre transpiration et sale de sperme et de cyprine. Je me dis que peut-être, il est sorti chercher de quoi nous restaurer, je l’attends nu, je me dis qu’à l’instant où il passe la porte, je lui saute dessus pour la deuxième partie de notre marathon.
Il ne reviendra pas, je l’ai attendu toute la soirée, je suis rentré chez moi. Je n’ai pas de nom, de numéro, je ne sais pas où il travaille, je ne sais rien de lui, sauf cette adresse. Dans les jours qui suivirent, je m’y rendis le plus possible afin de le croiser, sans succès.