Nous arrivons chez Juliette. Gabrielle téléphone, demande l’adresse à Juliette et la communique à son correspondant.

— Quelqu’un va nous rejoindre?

— Tu verras bien.

— Ok, ok.

Je ne connais pas très bien son appartement n’y ayant passé que quelques minutes lorsqu’elle était venu chercher quelques affaires. Il est situé dans un immeuble appartenant à un ensemble de 6 immeubles. Tous se font face. L’appartement de Juliette est sur deux faces de l’immeuble au 4 ème étage devant deux immeubles de 15 étages. Le salon fait l’angle avec une baie vitrée sur chaque face et un balcon. Les immeubles d’en face ont une vue plongeante cette pièce. Il y a aussi deux chambres, une de chaque côté du salon avec chacune une baie vitrée, une grande salle de bain pourvue d’une grande fenêtre avec vitre opaque et des WC séparés. Le tout dans des couleurs douces. Je reviens au salon, il est meublé de deux grand divans, une table basse, une grande table et 8 chaise. Quatre poufs sont disséminés dans le salon. Je regarde plus attentivement les photos de Juliette sur les murs. Elle est magnifique, sensuelle, provocatrice, le tout à 15 ans.

Les filles ont sorti tout ce qu’il faut pour manger, elles ont mis la table et Juliette est aux fourneaux.

— Pâtes à la bolognaises pour tout le monde.

tout le monde est d’accord.

— Jean, tires les rideaux s’il te plait.

Je ne comprend pas très bien mais je tire les rideaux en les faisant bien jointer. Personne ne peut rien voir de l’extérieur. Je suis toujours étonné de cette demande quand Juliette vient vers moi et me dit.

— Tout le monde n’a pas besoin de savoir ce que l’on fait pour le moment. et en s’adressant à tout le monde.

— Tout le monde en tenue.

Elle montre l’exemple en se déshabillant entièrement. Tout le monde l’imite. Nous nous installons sur les divans et prenons l’apéro. La sonnette sonne, c’est l’invité de Gabrielle.

— Jean, tu vas ouvrir s’il te plait.

Je me lève vais vers la port, l’ouvre et je tombe sur Denise qui porte ses vêtements dans les mains. Elle est nue et se précipite dans l’appartement. Elle me saute au cou et m’embrasse.

— J’avais peur que quelqu’un débouche dans le couloir, je n’ai pas encore trop l’habitude.

— C’est bien chérie, tu as fais ce que je t’avais demandé dit Gabrielle et l’enserrant dans ses bras. Elle pose ses lèvre sur les siennes et elles échangent un long baiser.

Je commence à me poser des questions, je suis seul avec 5 femmes déchaînées. Que va t il m’arriver. Je suis incapable d’assurer, moi avec mes soixante ans et 4 filles d’à peine plus de vingt ans et une de quarante mais qui n’est pas la plus paisible. Jappréhende.

Nous retournons vers les divans, Denise embrasse tout le monde et s’assoie entre Gabrielle et Annie. Nous passons à table, dînons et une fois la table débarrassée, Juliette tire une languette sous un des divan qui se transforme en lit. Elle fait la même chose avec le second. Elle les réunis avec un système étudié spécialement. Nous l’aidons à approcher l’ensemble des baies vitrées. Il est à peu près 23 heures, les filles se mettent sur le lit et Juliette me dit.

— Ouvres les rideaux s’il te plait Jean.

J’ouvre les rideaux, la nuit est tombée et on voit les lumières sur les immeubles d’en face. Au bout de quelques minutes, presque toutes les lumières du 6 ème au dernier se sont éteintes. Je comprend maintenant la stratégie de Juliette. Seuls les couche tard sont présents. Autour du lit géant, Juliette a réparti tous mes godes ainsi que les siens. Les filles se caressent, s’embrassent, se lèche le con ou l’anus. La température monte, je bande comme un fou. Annie m’agrippe et me fait tomber sur elle.

— Viens Jean, j’ai envie de toi. Juliette m’a dit pour les capotes que tu ne supporte pas, l’ai confiance en toi et moi je suis clean. S’il te plait, baises moi.

Elle m’embrasse, promène ses mains sur tout mon corps et fini par me faire céder. Elle attrape mon sexe et le dirige vers sa chatte. Je ressent cette douceur des lèvres et je m’enfonce doucement. Son sexe m’enveloppe doucement, tendrement, la chaleur de son antre sublime cette pénétration. "Je vais et je viens, entre ses reins et je me retiens", comme disait Gainsbourg. Mon esprit divague, je ne suis plus là, je suis sur un nuage, mes mains vont sur les fesses d’Annie, s’y agrippent, je la pistonne avec toute la tendresse que je peux avoir pour elle, je suis bien mais quelque chose me ramène sur terre. Je sent une main sur mes fesses, un doigt lubrifié se promène sur mon fion et tente de le pénétrer. Annie m’embrasse de toute sa fougue, elle m’agrippe elle aussi mes fesses et va à la rencontre de mon sexe. Je sent des frissons sur tout mon corps, elle se contracte en même temps que moi et nous partons dans une jouissance titanesque. Je ne me sent plus, mes jambes vibrent, mon ventre se crispe, mon coeur lâche, l’air me manque et mon esprit est aux abonnés absents. Je fini par m’écrouler sur Annie. Ses mains parcourent mon corps, elle m’embrasse sur le cou, les épaules.

— Je suis bien, et toi?

— Moi aussi.

Je reste encore un moment sur Annie qui continu a me caresser et à m’embrasser partout.

A côté de nous, les filles, sauf Juliette, s’enfonce des godes dans le cul ou le con, parfois dans les deux. C’est une vraie orgie. Je regarde dehors, je distingue malgré l’obscurité quelques silhouettes sur les balcons des immeubles d’en face. il ne reste que deux ou trois lumières allumées.

— Je pense qu’il y a un paquet de monde qui nous regarde.

Cela décuple l’énergie des filles qui commencent à jouir les une après les autres. Juliette qui essayait de me mettre un doigt dans le fion s’éloigne et revient avec des coussins. Toutes les filles ont prie leur pied et sont maintenant assez calme.

— Je vais m’occuper de Jean, quelqu’un veut m’aider.

Toutes veulent aider Juliette. Mais elle préfère être aidé par Annie. Elle a peut être compris qu’il y a quelque chose entre nous. Pas de l’amour, mais une certaine tendresse, un besoin de contact.

Les filles descendent du lit et Juliette pose les coussins les uns sur les autres.

— Couche toi à plat ventre dessus Jean.

Je me met à plat ventre, Juliette règle la position des coussins pour que mes fesses soient assez hautes et ouvertes. Avec les filles elle déplace légèrement le lit pour que la vue des immeubles soit meilleure.

— Annie ma chérie, met toi devant Jean, sur le dos et les jambes écartées, présentes lui ton chat.

Annie s’exécute et je me retrouve sur le ventre, les fesses en l’air avec une magnifique chatte humide et odorante sous le nez. J’agrippe les hanche d’Annie, tire dessus et pose ma bouche sur son sexe. Elle a un petit sursaut de plaisir mais pose ses mains sur ma tête tendrement en me caressant les cheveux.

Juliette enfile un gant en latex, l’enduit de gel et présente ses doigts en pointe sur ma rondelle. Elle pousse doucement, les doigts s’enfoncent en écartant mes chairs. Deux main viennent écarter mes fesses et la main continu sa progression. Le sphincter se dilate complètement et la main s’engouffre dans mon fion. Je suis complètement rempli. Juliette ouvre sa main dans mon antre, ferme le poing, le fait tourner et quand elle juge que tout est bien en place, enfonce encore sa main. L’avant bras de Juliette disparaît complètement dans mon cul, je sent ses doigts sur ma parois, ils repoussent le plis et je sent son coude au bord de ma rondelle. Elle commence des va et viens qui me font monter en pression. Une bouche vient s’emparer de ma bite déjà bien raide.

Pendant ce temps, J’aspire le clitoris d’Annie, le titille avec ma langue ce qui ne tarde pas à la faire partir.

— Oui chéri, je viens, je joui grâce à toi, encore chéri s’il te plait, encore.

Je la tiens par les fesses, monte son ventre contre ma bouche et je mordille le clitoris. Elle part dans un orgasme terrible.

— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Son corps se crispe, ses jambes veulent m’écraser la tête, ses main me plaquent sur son ventre, à mon tour, je part. J’envois mon cul en l’air, Juliette comprenant ce qui se passe, accélère le rythme de ses va et viens et mon ventre explose. Je me vide dans la bouche bienfaitrice. Je suis secoué de spasmes, Annie m’encourage.

— Vas y chéri, prend ton pied, comme moi.

Une fois un peu calmé, je redresse la tête et je vois Denise et Gabrielle en 69 à côté de moi. C’est donc Manue qui me pompe. Je ne croyais pas pouvoir m’en sortir avec 5 femmes toutes plus nymphomanes les une que les autres, mais elles ont été sympa et ne se sont pas servies de moi comme d’un objet.

— Merci les filles, je vous aimes.

— Tout le plaisir a été pour nous mais je te rassure ce n’est pas fini.

— A non, s’il vous plait j’ai besoin de repos.

— Ne t’inquiète pas tu vas te reposer un moment.

Juliette dispose les poufs comme un lit contre le grand lit. Les 5 filles me soulèvent et me déposent sur les poufs. Toutes viennent me faire un long baiser, surtout Annie qui est passée en dernier. Je vois Juliette lui lancer un regard pas très amical. J’appelle Juliette.

— Juliette, je ne veux pas qu’il y ai quelques malentendus que se soit entre nous. Je suis formidablement bien avec toi, tu sais très bien que ça ne va pas durer, pas plus qu’avec quelqu’un d’autre d’ailleurs. Nous sommes amis, je suis ami avec d’autres personnes avec lesquels je partage des moment de sexe, il faut que tu acceptes de me partager, je suis comme ça.

— Je sais Jean, mais je suis tellement bien avec toi que je deviens jalouse des autres qui te touchent.

— Très bien, vas chercher Annie.

Elle fait signe à Annie de venir. Une fois Annie à nos côtés, je leur demande de faire l’amour devant moi. Juliette me regarde et se tourne vers Annie, elle la couche sur le dos à côté de moi. L’espace est très réduit et Annie se colle à moi. Juliette se positionne en 69 et commence à faire une minette à Annie. Annie lui rend avec ardeur. Leur corps se pressent contre moi, je les caresse toutes les deux. Annie joui la première et se déchaîne sur le sexe de Juliette.

— Oui ma chérie fait moi jouir, j’aime ta langue, encore, encore.

Je caresse les fesses de Juliette avec la main droite tout en caressant le ventre d’Annie avec la main gauche.

— Oui, je joui, oui ma chérie, oui, oui, oui.

Elle joui en grondant sourdement.

Une fois remises, elles se lèvent et Juliette vient embrasser Annie dans un long baiser.

— J’aime ta langue, ton corps, ton sexe. Tu peux rester un moment avec nous?

Annie me regarde, elle hésite, je lui souri et elle se penche sur Juliette.

— A condition que l’on fasse toutes les deux l’amour tous les jours et même plusieurs fois par jour.

— Je pense qu’il n’y a pas de problème.

Elle se retourne vers moi en sautillant.

— Chéri, elle vient passer un moment avec nous.

— Est ce que le principal intéressé est d’accord.

— Bien sûre qu’il est d’accord puisque c’est toi le principal intéressé.

— Vu sous cet angle.

Elles s’enlacent et se couchent sur le grand lit.

Gabrielle, Denise et Manue s’en donnent à coeur joie. Elle se font un 69 à trois et forment un superbe triangle. Elles sont sur le côté et on voit leurs superbes fesses. Ne pouvant résister, je me lève et je vient embrasser toutes ces fesses offertes. Je passe de temps en temps ma langue entre deux fesses pour titiller l’anus présent. Gabrielle s’écarte de la vulve de Denise et attire Annie pour prendre sa place. Annie tire Juliette et la positionne pour qu’elle puisse prendre le sexe de Denise. Ce coup ci elles se font un 69 à 5. Je me met au milieu du cercle et à quatre pattes, je viens embrasser et sucer les poitrines de ces merveilleuses femmes. Je tourne, passant de l’une à l’autre en m’appliquant à bien faire pointer leurs tétons. A chaque fois que je m’occupe d’une d’entre elles, elle me plaque contre ses seins pour me retenir. Je résiste et passe de l’une à l’autre jusqu’à ce qu’elles jouissent presque toutes en même temps. Je me redresse et constate qu’il n’y a plus personne qui nous matte. Il faut dire qu’il est plus de quatre heures du matin. Nous sommes tous épuisés. Je tire les rideaux et je m’allonge sur le lit. Aussitôt Juliette et Annie viennent se blottir contre moi. Les autres se blottissent contres elles et tout le monde s’endort plus ou moins vite.

Au matin, je me lève le premier, prend une rapide douche et je vais chez le boulanger. J’achète des croissants, brioches, pain et chocolatines. De retour à l’appartement, seule Gabrielle a émergé.

— Bonjour toi.

Elle m’embrasse chaudement en déboutonnant mon short.

— Pas de ça ici.

Je me déshabille donc et je prépare le petit déjeuner avec Gabrielle. Ce doit être l’odeur, mais tout le monde se réveille en même temps. Annie et Juliette me tendent les bras et je vais me mettre entre les deux pour les embrasser. Elles se caressent tout en me caressant.

— Tu as bien dormi chéri? me demande Juliette.

— Oui ma chérie, j’ai très bien dormi entre deux merveilleuses sirènes au corps doux et sensuel.

Elle m’embrassent chacune sur une joue.

— Allez, au petit déjeuner.

Tout le monde s’installe et se jettent sur les viennoiseries. les rires fusent.

Gabrielle retourne sur le grand lit et fait signe à Denise de la rejoindre. Elles s’enlacent, s’embrasse et se caressent. Petit à petit leurs corps se tourne et elles finissent en 69. Manue va les rejoindre, elles lui font une place et le trio de la nuit est recréé. Elles se caressent, s’embrassent, se goinent et partent dans le premier orgasme de la journée. Une fois calmées, elles se mettent sur le dos, les jambes écartées. J’admire ces corps offerts. Juliette nous fait signe et chacun de nous prend un sexe avec sa bouche. Elle se laissent aller et repartent dans un nouvel orgasme. Gabrielle se redresse.

— C’est pas tout ça mais moi je n’ai pas de week end, je dois bosser aujourd’hui.

— Moi aussi dit Annie.

Elles vont se doucher ensemble, nous entendons leurs soupirs, elles se font encore jouir. Décidément, elles sont vraiment insatiables. Elles reviennent dans le salon, s’habillent et viennent nous embrasser.

— C’est dommage de se quitter si tôt, on se revoit ce soir.

— Si tu veux ou ça.

— Chez ma mère, elle n’est pas là pour 15 jours et elle m’a laissé la garde de sa maison. Huit pièces, piscine et tennis, ça vous va.

— Ok, donne moi l’adresse. A huit heures ça va?

— Ok pour huit heures.

— On amène tout ce qu’il faut.

— Tout sauf les apéros, il y a ce qu’il faut.

Annie vient m’embrasser ainsi que Juliette en n’oubliant pas de nous caresser les fesses.

— A ce soir mes chéris.

— A ce soir ma chérie lui répond Juliette.

Elles partent toutes les deux bras dessus bras dessous.

Je reste avec Manue et Juliette.

— Et si on allait faire des photos dans la campagne. Jean j’ai vu chez toi un super appareil photo, je pense que tu dois savoir nous mettre en valeur.

— Je ne sais pas si j’ai le talent de ton père mais on peut essayer. Habillez vous les filles on va chez moi.

Nous mettons tout en place et nous voila partis chez moi.

Je prépare mon appareil photo, vide toutes les mémoires sur mon ordinateur, j’ai de quoi faire plus de huit cents photos.

— Je crois que je suis paré.

— On ne va pas y aller tout de suite, il est trop tôt dit Juliette.

Manue semble un peu fatiguée.

— Ca va Manue.

— Oui sauf que je n’ai pas assez dormi.

— Viens lui dit Juliette en lentraînant vers notre chambre.

Deux minutes après leur disparition dans la chambre, j’entend Manue qui soupire. Elle gémit de plus en plus fort et crie sa joie de jouir. Cela ne fait que la troisième fois de la journée et il n’est que dix heures du matin.

Juliette revient seule.

— Elle se repose, et si on sentraînait?

— D’accord. Mets toi en tenue.

Sa tenue, c’est sa peau. Elle se déshabille devant la baie vitrée. La lumière est pas mal mais je n’ai rien pour l’arranger. J’étend une belle couverture en mohair sur le sol en elle s’allonge dessus.

Je lui demande de prendre les poses qu’elle veut. Elle se met sur le dos, le ventre légèrement soulevé, je flash, elle se tourne, je flash et ainsi de suite.

Petit à petit, ses poses deviennent de plus en plus sensuelles, sexuelles, pornographiques. Elle se plante un doigt dans le sexe, je flash, elle se retourne et me présente son cul en l’écartant au maximum avec ses mains. Au bout d’un moment elle est fatiguée et vient sur le divan pour se reposer. Nous avons passé une heure à prendre des photos. Juliette est sur le divan quand apparaît Manue toute pimpante.

— Je vois que vous vous êtes entraînés.

— Oui tu veux essayer?

— Ok.

Comme elle est déjà nue elle n’a plus qu’à prendre la pose. Elle ne passe pas par différentes étapes, tout de suite ses poses sont plus que sensuelles. Au bout d’un quart d’heure, Juliette vient la rejoindre. Les photos deviennent très érotiques voir pornographiques. Elle se lèchent le con, le cul, se plante les doigt dans le con et le cul, se mettent des godes et j’en passe. Vers onze heures et demi je déclare l’entraînement fini. J’ai fais deux cartes mémoires, c’est à dire presque six cents photos. Je vide mes cartes dans mon ordinateur.

— Qu’est ce qu’on fait, on mange ici ou dans un resto.

— Dans un resto, je vous invite déclare Manue, j’ai ma soeur qui en tient un pas loin d’ici.

Tout le monde s’habille, je range l’appareil, les cartes et les accessoires dans le fourre tout de l’appareil. Evidemment, je n’oublie pas mon sac de matos.

Tout le monde entre dans la voiture et nous partons vers le resto de la soeur de Manue.

La soeur est un peu plus jeune que Manue mais tout à fait insignifiante. Le repas est excellent et nous partons du resto vers quatorze heures.

Le séance fut très instructive.

Mais ceci est une autre histoire.

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