Ce nest pas possible, ce nest pas une jeune femme. Sans doute un rêve en marchant dans la rue. En gros, elle doit avoir 25 ans, une poitrine qui doit faire un bon 85, une taille marquée sur des hanches bien formées. Elle est grande, ne porte que des talons bas. Nous nous regardons, trop sans doute : quand ses yeux ne quittaient pas les miens elle tombe après avoir buté sur un dénivelé du trottoir.
Je me précipite pour la relever. Elle est évanouie. Je ne sais trop que faire. Le secourisme nest pas ma spécialité. Après avoir passé un coup de fil aux urgences, après mêtre expliqué enfin on envoie une ambulance. Ma malade est toujours dans les vapes. Jattends, oh pas longtemps, quand les spécialiste arrivent. Pas dhésitations, un masque à oxygène, un brancard et la voilà embarquée. Je suis pris comme accompagnant.
Je fouille dans son sac pour trouver la carte vitale. Il y a dans ce sac une foule de chose que je juge, comme tous les hommes, totalement inutiles. La seule utilité est un paquet de préservatif. La dame est prévoyante. Je trouve aussi sa carte didentité. Elle sappelle Eliette. Joli prénom. Je ne peux pas trop la voir dans lambulance, recouverte dune couverture en or je pense. Elle ouvre à peine les yeux : elle est dans les vapes. Elle doit me reconnaître puisqu’elle me sourit.
Si son hospitalisation nest pas imminente, je dois rester pour remplir je ne sais quels papiers administratifs. Elle est dans un box, allongée sur un brancard. Je peux la voir de près. Elle prend ma main pour me remercier. Les médecins lont vu, elle peut sortir dici une petite heure. Je vais lattendre pour rentrer.
Un taxi nous dépose près de chez elle, cest-à-dire près de chez moi : nous sommes voisins depuis son aménagement dil y a deux jours.
Jai beau essayer de lui trouver des défauts, je ny arrive pas, elle est belle, le sait mais ne fait rien pour passer pour une pimbêche. Elle va beaucoup mieux maintenant : la preuve elle minvite à prendre un verre. Je lui fais remarquer quelle a eu un malaise il y a peu : les médecins ne lont privé de rien, alors un verre pourquoi pas.
Vu lheure, je ne veux pas mattarder chez elle. Jai juste osé lappeler par son prénom, alors quau fond de moi je laurais prise dans mes bras.
— Non ne partez pas, restez pour me rassurer.
— Vous rassurer de quoi?
— Je ne sais pas ce qui peut se produire.
— Alors venez chez moi.
— Que diraient mes voisins?
— Quels voisins?
— Nous navons pas de voisin proche en tout cas.
Elle accepte de venir pour être à labri. Je sens que je vais passer une journée formidable avec une très belle fille sexy qui a peur. Si elle a peur de tout, elle aura peur de moi et de mon sexe. A moins quau contraire elle en soit excitée.
Le repas est vite fait, le traiteur du coin nous livre deux ou trois bricoles qui nous nous nourrissent : le tout arrosé dun délicieux vin rosé du pays. Elle me semble en pleine forme.
Jai téléphoné au bureau pour prévenir que je ne pouvais pas venir. Elle ne travaille pas encore, cest plus facile. Elle veut regarder la télé : pourquoi pas, elle sinstalle sur le divan. Je ne sais comment elle fait, sa robe remonte plus quà mi cuisse. Elle ne sen aperçoit pas, moi je zieute les jambes. Si ce matin javais envie delle, maintenant cest pire. Je vais près delle en faisant semblant de mintéresser au programme.
A force de regarder ses cuisses je nen peux plus, je me penche vers elle pour lembrasser. Dans un premier temps elle recule puis accepte. Nos bouches ne se quittent plus. Nos langues fouillent la bouche de lautre.
— Vous êtes belle, Eliette, vous me plaisez beaucoup.
— Merci. Vous êtes gentil.
— Pourquoi?
— De membrasser comme ça.
— Cest de ta faute, tu me fais envie.
— Tu nes pas mal non plus, jai aussi envie.
Elle na pas dit de quoi, je ne cherche pas à approfondir la chose, je pose ma main sur sa cuisse. Elle la regarde comme un objet utile. Je la monte lentement entre ses jambes. Elle se laisse faire en écartant en plus les cuisses.
Jaime bien ces filles qui ne refusent pas ce genre de caresses qui normalement conduisent au lit un moment après. Mon autre main prend son visage pour mieux lembrasser. Elle me prend par les épaules. Ma main descend vers sa gorge. Elle me laisse faire tranquillement. Eliette ouvre delle-même les boutons du corsage : je peux lui caresser les seins à travers le soutien gorge. Elle passe une main dans ma chemise pour faire comme moi, elle caresse mes pectoraux. Je continue mon ascension vers sa chatte.
Il me semble sentir une chaleur inhabituelle. Ce nest pas possible où elle va fumer et fondre ou ses jambes sont très chaudes. Je suis juste sur sa culotte. Je mattendais à un string, loupé cest une belle culotte en dentelle comme le soutien gorge. Au moment daller chercher son trésor elle me fait retirer la main. Par contre elle maide à dégrafer le soutien gorge. Eliette lenlève seule. Je vois un magnifique couple de nichons bien durs avec des aréoles brunes larges et des tétons bien remontés. Si elle le fait exprès cest gagné, ma bouche la tète. Elle pose une main sur mon crane comme pour mencourager. Jen ai plein la bouche, en plus avec une odeur de fille du nord, jimagine.
Sans doute excitée elle aussi, elle défait le reste de sa robe pour apparaître presque nue. Elle se lève pour faire tomber ses vêtements. Il ne resta que sa culotte que jenlève.
Je la regarde bien en pensant à la chance que jai davoir à portée une fille si magnifiquement sexy. Je bande comme ce nest pas permis. Elle regarde la bosse dun air intéressé. Je la fait venir sur mes genoux. Elle prend ses aises en posant delle-même sa bouche sur la mienne. Si je la tiens par la taille, elle passe ses bras autour de mon cou. Je me sens libre maintenant de la caresser à lendroit qui me plaît. Cette fois je suis libre de mettre ma main sur la chatte. Elle est sacrément mouillée. Jhésite un peu sur lemplacement à investir. Jopte pour le clitoris. Jai une chance extraordinaire, son bouton est plus gros que la moyenne. Il est plus sensible aussi. Je la branle lentement, comme si elle était mon amour. Elle gémit doucement : sa langue a des mouvements plus amples dans ma bouche. Je la sens de raidir juste avant quelle pousse un léger cri : elle vient de jouir.
Sans que je le lui demande, Eliette se lève pour ouvrir la braguette. Elle sort ma bite :
— Que tu es gros
— Moi, pas plus que ça.
— Ce nest pas la première que je vois.
Elle a raison je suis plus gros que la moyenne sans être un monstre. Jusquà présent aucune de mes conquêtes nen a souffert.
— Tu sais je ne fais pas mal.
— Je men doute, sinon je serais partie. Tu dois bien baiser.
— Je sais faire autre chose que baiser.
— Tu aimes enculer ?
— Bien sur et toi tu aimes te faire sodomiser.
— Beaucoup, oui.
— Si nous pouvons tout faire aujourdhui se serait bien.
— On ne pourra pas tout faire. Nous sommes voisins, nous avons le temps.
Ainsi Eliette aime beaucoup de ce que jaime, en plus elle semble vouloir continuer avec moi. Je remets ma main en place pour lentrer dans son puits. Jestime au départ que deux doigts devraient suffirent. Je les fais glisser dans sa gaine : elle gémit toujours, son corps suit les mouvements de mes doigts.
Après sa jouissance, elle se lève pour venir à mes cotés :
— On pourrait aller au lit pour bien baiser. Tes doigts me font du bien, je préférerais connaître ta bite dans le con.
Nous allons sur le lit. Je me mets nu comme elle. Elle ne regarde que ma bite qui va la pénétrer. Nous sommes à nouveau enlacés, elle arrive à prendre ma queue dans sa main. Elle me masturbe fort bien. Je la laisserai faire jusquà lorgasme. Elle est suffisamment fine pour savoir quand arrêter.
Nous sommes bien allongés. Elle a oublié son évanouissement du matin, elle risque de sévanouir de plaisir, enfin jespère. Elle sait demander ce quelle veut :
— Suces moi la chatte et le cul.
— Je veux te sucer et mettre mon pouce dans ton cul.
— Je nai jamais connu ça, oui fais le.
Eliette reste bien couchée au milieu du lit, les jambes bien ouvertes. Je regarde toute sa chatte : une uvre digne de l « origine de monde » de Courbet, en moins velue. Son clitoris trône au milieu comme le roi de sa fente. Et en bas, tout en bas son petit trou que je vais satisfaire aussi avec le pouce.
Comme promis je commence à lécher son bouton avant de lavaler en partie : il a bon goût, il bande bien comme une petite bite. Je la lèche sans arrêt, surtout quand jentre mon pouce dans son fourreau pour le mouiller comme il faut. Ensuite je le pose sur le rectum pour lentement la sodomiser avec ce seul doigt. Si au début elle ne faisait que soupirer, maintenant elle gémit fortement à croire que je la maltraite. Ma position nest pas très confortable : je suis obligé den changer. Je me tourne la tête au pied. Je reviens prendre ma position sur sa chatte et son cul. Ma bite est à sa portée, sa bouche nhésite pas, elle mavale en tenant la base du vit. Je ne sais qui lui a apprit à faire les fellations, en tout cas elle est la première à me sucer comme ça : je ne peux retenir le jet de sperme. Je crains des représailles. Jen ai quand elle me mordille le bout de ma bite avant de la lâcher. Elle garde toute ma semence dans la bouche. Elle lavale avant de me dire de ne pas arrêter de la sucer. Cest une drôle dimpression que de sentir un cul se contracter sur un pouce : elle jouit. Je lui laisse le temps de digérer son orgasme, avant de me remettre juste à ses cotés.
Sa langue est encore avec du sperme dessus : elle membrasse pour mélanger nos goûts. En prenant ma bite en main, je ne sais comment elle fait, je bande à nouveau bien vite.
— Baise moi !
Seul ordre bref quelle donne. Il suffit pour que je me mette entre ses jambes. Elle les bloque contre mes fesses. Elle fait comme si elle était une cavalière sur une monture : dun seul coup de talon jentre dans son haut fourneau. Elle est très mouillée, douce et raffinée à la fois. Tous mes mouvements sont accompagnés des siens. Lamour pour elle se fait bien à deux, au moins pour le moment. Nos pubis se rencontrent de plus en plus durement. Je la défonce plus que je la baise. Ma bite est prête à éclater au premier geste érotique supplémentaire de sa part. Je suis même surpris quand je la sens jouir avant moi.
Eliette se retourne avec un autre ordre :
— Encules moi!
Elle ne reste pas longtemps sur le dos, elle se met en levrette très vite : elle passe sa cyprine sur le cul. Je suis vite là. Jentre plus que facilement. Elle a du se faire mettre souvent par ce trou. Cest très agréable de la sodomiser. Je peux aller plus profond que dans dautres culs. Cette fois, elle ne frémit plus, elle fait des grognements comme une chatte en chaleur qui se fait mettre par un matou.
— Oui, oui, cest bon, encule moi encore, je jouis, encore, je veux que tu me fasses mourir avec ta queue dans mon cul. Je jouis. Recommence. Encule moi. Oui, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis.
Elle se laisse aller. La seule chose que je sais cest quelle sest branlée pendant que javais la bite dans son cul. Je reste en elle : je veux quelle reçoive ma dose de semence.
Quand jai bien joui dans son ventre je lui pose la question
— Pourquoi tu ne me donnes pas de préservatif.
— Parce que tu nen as pas besoin, ce que tu as fait pour moi montre que tu es un homme responsable et que tu es sain.
Nempêche que je débande. Cette fois elle me montre sa chatte, toute sa chatte en écartant les lèvres pour que je vois même en profondeur. Elle pose sa main dessus pour me montrer comment elle se donne du plaisir. Voir son bouton entre deux doigts qui vont et viennent dessus me font bander très vite.
— Tu mas bien faite jouir, je nen peux plus aussi je vais te branler.
Quelle belle masturbation. Si elle commence par faire descendre avec deux doigts seulement le prépuce, la suite est plus « artistique » et efficace. Elle ma pris toute la bite dans sa main fermée, je peux voir ses ongles longs dépasser. Elle me branle comme moi. Sa main va et vient lentement pour brusquement descendre complètement. Pour ne sarrêter que sur les couilles. Elle moublie complètement un petit moment avant de reprendre très vite. Ma bite enfle tout le long de sa caresse. Quand elle sent que je vais jouir, elle accélère pour aller très vite. Je jouis comme rarement. Mon sperme ne fait quun bond sur mon ventre et sa main. Elle lèche tout ce quelle peut pour membrasser encore une dernière fois.
Sa salive mêlée à mon sperme donne un goût extrêmement inédit.
Quand nous regardons lheure il est un peu tôt : 5 heures ½. Elle reste finir la nuit avec moi. Depuis elle travaille en ville. Nous baisons presque tous les jours.