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Une fille scato sur Twitter – Chapitre 1




Celà faisait déjà quelques temps que je ruminais des désirs dépravés dans ma tête, les satisfaisant par des pratiques solitaires, le visionnage de films et quelques jeux légers avec ma femme. J’avais eu plusieurs dialogues avec des hommes scato sur internet, suite à la publication par mes soins de mes expériences en solo. Sur ces petits films de moi que je publiais, je me filmais en train de faire dans la salle de bains, puis de jouer avec ce qui était sorti. J’y prenais un certain plaisir, même si cette pratique nécessitait hélas un peu d’organisation (comme j’ai pu le lire sur un forum Xstory, "quelques minutes de plaisir et beaucoup de nettoyage" !). J’avais toutefois du mal à donner une suite concrète à ces discussions masculines : je suis bisexuel, certes, mais si l’idée m’excite, les conditions de réalisation, et le fait de jouer à ce genre de choses avec un homme me font un peu hésiter.

Alors que je consultais mon profil Twitter, réservé au sexe, je m’aperçus qu’une fille – ou supposée telle – s’était abonnée à mes publications, essentiellement composée d’images de sexe faites avec ma femme. Son pseudo m’a tout de suite interpellé : Fillescato69 ! Je me suis aussitôt abonné à elle également, mais sans grand espoir : il y avait toutes les chances que ce soit un garçon, et l’absence de photos d’elle sur son mur Twitter renforçait ma suspicion. Pourtant, j’entamais le dialogue.

— Salut, c’est sympa de me suivre.

— Salut, tes photos sont top

— Ton profil est intéressant…

— Il a quoi mon profil ? 

— Il parle de scato… c’est rare, et c’est un sujet qui me fait réfléchir en ce moment…

Notre dialogue s’est poursuivi quelques jours, durant lesquels nous avons échangé sur nos expériences. Les miennes étaient limitées à mes tentatives avec un ex (voir histoire précédente), à nos petites intromissions avec ma compagne, et surtout, ces temps-ci, à mes séances solo que je filmais. Elle m’expliqua qu’il y a quelques temps, elle était soumise et receveuse scato mais qu’elle ne pratiquait pas en ce moment. Elle avait 24 ans. J’obtenais d’elle une ou deux photos, tien de scabreux (je rêvais qu’elle m’envoie une photo d’elle en train de faire mais pas moyen). Elle ne me demandait pas de photos de son côté, et avait juste voulu avoir mon âge. J’avais le double du sien mais cela ne semblait pas la déranger.

Nous avons tourné autour du pot (si j’ose dire) pendant quelques temps; puis elle me dit qu’elle rêvait de s’occuper de l’anus d’un homme et me demanda dans quelle positions je me mettrais. Ca semblait devenir un peu concret – je lui répondis que j’aimais être sur le dos et écarter les cuisses en l’air comme une fille, et ma bote bien dure que je pourrais branler devant elle. Je n’ajoutais pas que j’aurais bien porté des bas, mais je le pensais très fort. Ou alors, à quatre pattes, les deux mains sur les fesses pour écarter mon trou du cul au maximum et pousser pour elle. Ces images me faisaient bander rien qu’en lui répondant sur Twitter.

Elle m’a envoyé une photo d’elle avec sa main dans la culotte, m’expliquant qu’elle se touchait en pensant à mon cul. Je ne savais toujours pas si tout était bidon ou pas, mais je lui répondis par une photo extraite d’une vidéo : accroupi devant la caméra, je m’écartait fortement les fesses pour montrer mon anus, et commençai à pousser. On ne voyait pas encore quoi que ce soit sortir mais j’ai pensé que c’était évocateur. Elle a beaucoup aimé et m’a envoyé un « sticker » virtuel de langue léchante en me disant qu’elle rêvait de me lâcher, « surtout si mn cul était bien plein ». 

J’ai estimé que c’était le moment de passer au concret : était-elle fake ? voulait-elle passer au réel ? Moi, homme de cinquante piges, allais-je pouvoir me faire lécher le cul, voir son contenu, par une minette de 24 ans ? Je lui envoyai donc un nouveau message, pour la mettre au pied du mur.

— Nos derniers échanges m’ont vraiment excité. Je ne sais pas si tu me fais confiance, et si je dois, moi, avoir confiance mais j’aimerais qu’on se rencontre. Serais-tu prête à faire une petite photo qui lèverait toute ambiguïté ? Genre avec ton corps de fille et un post-it avec mon pseudo twitter ? 

Le pseudo, c’était « LesAristos » ! un pseudo de couple pour se la jouer un peu. De son côté, elle se doutait bien que j’étais un garçon, vu les dizaines de photos que je publiais depuis quelques temps avec ma femme – sans les visages, mais la réalité de l’ensemble ne pouvait laisser de doute. J’ai patienté deux jours avant d’avoir une réponse, puis j’ai reçu une nouvelle photo. Elle était nue, et avait écrit sur sa cuisse gauche, avec un eye-liner ou quelques chose comme ça, mon pseudo. Mais surtout, sur sa cuisse droite, elle avait écrit aussi « FilleScato69 », et au-dessus de sa chatte, elle avait dessiné un coeur ! Sa chatte était toute jolie, bien dessinée, et rasée. Un petit piercing pendouillait au nombril.

Mais la cerise sur le gâteau, c’est que sous sa petite chatte, entre les cuisses, il y avait une petite crotte marron. Je me suis dit : cette fois, on y est.. la vision de cette petite crotte me rendit fou. Je me suis masturbé immédiatement, et j’ai pris en photo le sperme sorti de ma queue et étalé près de mon clavier. Je lui ai répondu par cette photo-là et le petit mot suivant : 

— Je n’en peux plus on se rencontre comment ? 

Il m’a fallu attendre encore deux jours – je suppose qu’elle a retourné le projet dans tous les sens avant de me répondre. Puis, j’ai reçu sa réponse. 

— Place Bellecour sous le cheval, j’aurai un chapeau rose vif. Demain treize heures. On va boire un coup, et si je le sens, on avise ok?

J’avais du mal à respirer. Je répondis que j’étais très heureux de cette proposition, et que je serai au rendez-vous, avec un petit blouson bleu et un écusson « BMW » sur la manche. J’ajoutais que ce n’était que de la frime, je n’avais pas de BMW. Ca serait toujours drôle, si jamais je l’emmenais en voiture, quand elle verrait qu’en effet, je n’ai pas de BM, mais une jolie Porsche Macan. Le lendemain, je me préparai pour le rendez-vous. Coup de pot, elle avait proposé un jour où ma femme travaille jusque tard dans la journée, je n’eus pas à donner d’explications et si je devais me salir, j’aurai le temps de multiplier les douches avant son retour. Profession libérale, je n’avais pas de compte à rendre sur mon emploi du temps à un quelconque patron. Je me retenais depuis le matin, sauf d’uriner : je me dis que si on devait faire quelque chose aujourd’hui, autant que je sois bien plein. Ce ne fut pas trop difficile : une fois qu’on a réprimé son envie de chier, le corps attend la période suivante en général. Il me faudrait peut être utiliser un lavement avec FilleScato. L’avantage de garder les excréments en soi un peu plus longtemps est qu’ils se solidifient un peu. C’est plus cool pour les jeux – en tout cas de mon point de vue. 

Mais je n’en étais pas là, et n’étais même as sûr qu’elle viendrait. En fait, j’avais conscience qu’il y avait toutes les chances qu’elle se dégonfle après tout, rencontrer un inconnu pour ce genre de choses à 24 ans, c’est au final un peu risqué. Mais je me trompais. Lorsque j’arrivai près de la célèbre statue de la place Bellecour, elle était là, impossible à manquer avec son chapeau rose vif. Je pris ma respiration et m’approchais.

— Je crois qu’on a rendez-vous

— Mr LesAristos je suppose ? bon, ça va pas trop mal pour un vieux !

— Merci, je vais prendre ça comme un compliment ! tu veux qu’on discute ici, ou on prend un verre quelque part?

— J’habite vers la rue Victor Hugo. On peut prendre un café près de chez moi. Au fait, appelle moi Julia. 

— Gilles.

Nous avons commencé à marcher en direction du quartier d’Ainay. Au début, on ne savait pas trop comment commencer cette conversation. Je lui ai demandé depuis quand elle zonait sur Twitter, comment elle était venue à des fantasmes un peu décalé, et de mon côté, je lui ai notamment raconté comment j’en était venu à exhiber ma femme sur ce réseau social. Avec mon passé de libertin, j’avais de quoi tenir un petit moment ! Parler avec elle était finalement assez naturel, et quand nous en venions au sujet scato, nous nous mettions à parler plus bas à cause des passants et ça nous faisait rire. Finalement, lorsque nous sommes arrivés à proximité du métro Victor Hugo, elle m’expliqua qu’en fait, elle n’était pas de ce quartier, mais qu’elle voulait parler un peu avant d’aller plus loin. Elle me proposa d’aller chez elle, du côté de Jean-Jaurès, un court trajet en métro. A ma mine déconfite, elle comprit que je n’avais pas dû prendre le métro très souvent ! Voilà qui allait me rappeler mes année de fac.  

J’avoue que sa confiance m’a désarçonné – je me demandais même si ce n’était pas moi qui tombait dans un piège. Mais elle n’avait pas l’air d’une manipulatrice ou d’une fille louche et je décidai de prendre mon risque. Je la suivis. Elle habitait un petit studio plutôt sympa, et avec une grande salle de bains, ce qui s’avérerait peut être utile. De mon côté, j’avais amené une petite caméra. Je lui demandais si ça l’ennuyait d’être filmée. Je lui garantis de remonter les images pour supprimer tous les visages. Elle hésita puis me proposa de ne filmer qu’une prochaine fois, le temps qu’on se connaisse un peu mieux. J’étais déçu, car je ne savais pas s’il y aurait une prochaine fois – et dans le cas contraire, je n’aurais pas de trace de cette expérience. Mai je comprenais sa réticence – elle ne savait rien de moi. Et au pire, il me resterait mes souvenirs.

Elle me demanda si je voulais un thé, ou peut-être quelque chose avec un peu d’alcool. Quelques degrés ne feraient pas de mal pour mettre un peu d’ambiance, me dis-je, et j’acceptai une bière. Elle alla se caler au fond d’un petit canapé clic-clac; après une courte hésitation, je m’assis près d’elle. Je savais qu’il me fallait être entreprenant – ce qui n’est pas forcément ma première qualité. 

Elle avait retiré ses chaussures; à peine étais-je posé sur le canapé, qu’elle posé ses pieds nus sur mon jean. Visiblement, je n’aurais peut-être pas tant besoin d’être si entreprenant que ça… Dans son mouvement, elle écarta légèrement ses cuisses – elle portait une jupe qui remonta légèrement et je pus apercevoir ce qu’il y avait dessous – une petite culotte blanche. Je me dis que cette vue n’était pas là par hasard. De ma main gauche, je caressai son mollet, puis sa cuisse. 

— C’est drôle, fis-je, j’ai tout de même accumulé pas mal d’expériences, dans des contextes très variés, mais j’ai le coeur qui bat à cent à l’heure. 

Elle rit. Je ne saurais expliquer pourquoi j’étais ainsi ému – peut-être la jeunesse de Julia, peut-être le projet borderline qui nous réunissait, peut-être aussi parce que ma dernière sortie libertine réussie remontait à plusieurs années.

Julia posa sa bière et retira sa culotte. Puis elle ferma les yeux. C’état une invitation, à laquelle je répondis en approchant mon visage de son entrejambe. Sa jupe était largement remontée, ses cuisses très écartées. Son sexe était celui d’une jeune femme, avec de jolies lèvres; elle s’était positionnée de manière à ce que je puisse aussi voir son anus, ou tout au moins en deviner les contours entre les fesses légèrement ouvertes. De mes doigts, je parcourai cette géographie intime. Elle approcha ses mains de son sexe et écarta largement sa petite chatte. Le vagin s’ouvrit, je pouvais deviner les premiers centimètres de son conduit humide. J’approchai mon visage et commença à suçoter son clitoris, lécher ses lèvres, glisser ma langue dans sa jolie moule. Après quelques instants de ce traitement, Julia jouit une première fois. 

— Wow… ça ne traîne pas avec toi… fis-je remarquer.

— J’en ai autant à ton service, on dirait que tu as fait ça toute ta vie !

— En fait, c’est le cas ! 

— Tu dois être serré dans ton jean, me dit-elle.

J’avais un peu différé le moment de l’enlever, car n’étant pas allé aux toilettes de la journée, j’avais l’impression que me retrouver le cul à l’air donnerait à mon inconscient le signal du départ. Je fis part de cette inquiétude à Julia, ce qui sembla beaucoup l’amuser. 

— Dans ce cas c’est peut être le moment de passer à la salle de bains, proposa t-elle. 

Ainsi, notre projet scato allait se réaliser. J’étais maintenant un peu circonspect : alors que j’avais très envie de la baiser, mais aussi de la câliner, de la découvrir, j’espérai que la phase caca n’allait pas briser le romantisme érotique de ces premiers moments. Mais je ne me voyais pas non plus renoncer, et de toute façon, j’avais le cul littéralement prêt à exploser. Allez, à poil, déclara Julia d’un ton joyeux !

L’instant d’après, nous étions nus. J’avais un peu honte : à plus de cinquante ans, si j’étais plutôt satisfait de mon visage, que je devais à mon père et qui avait des allures d’acteur hollywoodien à mon âge, j’avais une bedaine qui me faisait affreusement complexer. J’étais aussi assez poilu – sauf au niveau de la bite, que j’entretenais – pour ne pas dire beaucoup, et ma peau fragile était facilement sujette aux boutons d’irritation. Bref, je ne me trouvais pas du tout présentable. Ca ne semblait pas poser de problème à Julia, dont j’enviais la peau de pêche.

Elle me prit par la main et m’entraîna à la salle de bains – je récupérai la caméra au passage, que je plaçai de manière à ce que la petite pièce d’eau soit bien filmée. Je remarquai qu’elle avait placé de gros rouleaux de Sopalin sur le côté. Prévoyante la petite 

— Mets-toi à quatre pattes dans la douche

C’était une douche à l’italienne, je pus donc sans problèmes me mettre dans cette position, le cul tourné vers l’entrée de la salle de bains. Elle se plaça derrière moi et posé ses mains sur mes fesses. Je sentais aussi sa chatte posée sur une de mes chevilles – elle s’était placée de manière à pouvoir se frotter le sexe contre moi. Avec son pouce qu’elle avait humecté de salive, elle me caressa l’entrée de l’anus. J’entendis un petit bruit de succion : elle s’humectait sans doute d’autres doigts, car j’en sentis au moins deux me pénétrer le rectum. J’étais aux anges. L’instant d’après, elle m’écarta largement le cul, puis introduit sa langue à l’intérieur sans autre forme de procès. Je me branlais doucement, croyant à peine à la chance que j’avais. Puis je la sentis se redresser. Je ne pouvais pas voir, mais elle avait pris un petit gode en silicone – pas très épais mais assez long, avec des boules. Elle m’avait bien humidifié le trou, aussi le jouet entra t-il sans souci à l’intérieur. Elle le fit coulisser presque entièrement, puis le ressortit. Une odeur de merde emplit presque instantanément la petite pièce. Elle fit quelques mouvements de va et vient puis me dit de regarder. Je me retournai et me mis sur les genoux. Julia avait mis le gode dans sa bouche, et parcourait les petits boules pleines de merde avec sa langue. Elle me tendit le jouet et je suçais aussi. Je bandais comme un fou, et j’avais maintenant très envie de chier.

Julia dut lire dans mes pensées car elle s’étendit dans la douche, sur le dos. J’avais compris. « Où ? », lui demandai-je. 

— Sur ma chatte et s’il en reste, dans ma bouche, s’il te plait.

Je m’accroupis au dessus de son petit sexe; elle écartait les lèvres avec les doigts. A peine avais-je commencé à pousser qu’une première merde sortit de mon cul et s’étala sur la chatte de Julia. Je sentis que la suivante avait plus de mal à sortir : sans doute était elle plus dure, ce qui serait plutôt idéal pour lui chier dans la bouche. Je changeai donc de position. Face à elle, accroupi, je commençais par lui mettre ma bite dans la bouche, puis me reculai et pissai un peu – la bière se rappelait à mon bon souvenir et, très concentré sur ce que je faisais, je bandais un peu moins et pouvais donc uriner. Elle avalait goulûment un peu de ma pisse et laissa le reste s’écouler le long de son menton et de son cou. Puis je me retournai, lui présenta à nouveau mon trou déjà bien merdeux. Je la sentis se redresser pour le lécher. Puis, en poussant fort mais en contrôlant sa progression, j’éjectai lentement une magnifique merde dure et grumeleuse, qui atterrit directement sur la langue. Je poussai encore un peu pour faire sortir un ou deux autres étrons plus modeste, et enfin, à l’occasion d’une dernière poussée, une petite quantité de merde molle et visqueuse se projeta sur la poitrine de Julia. Pendant tout le temps qu’avait duré l’explusion de mon caca sur l’adorable Julia, celle-ci s’était branlé la chatte comme une folle, étalant par la même occasion, de sa main droite, ma première merde sur son sexe, et avait joui quand elle avait senti mon plus gros caca dur entrer dans sa bouche.

Je me retournai pour contempler le résultat. Le gros caca s’était brisé en deux, il y en avait un gros morceaux dans sa joie petite bouche, et le reste, avec les petites soeurs, sur la faîence de la douche. De sa main gauche, celle qui ne branlait pas sa chatte, elle étalait la partie molle et visqueuse sur ses seins. Elle se redressa, prit la merde qui était dans sa bouche dans sa main gauche, en croqua un petit morceau et le tint avec ses dents, tendu vers moi. Je compris le message et m’approcha. Tout en commençant à me branler sérieusement la queue, je vins entourer le caca qui sortait de la bouche de Julia avec mes lèvres, et nous nous donnâmes un long baiser merdeux. Je sentis une main de la jeune femme écarter la mienne de ma bite; puis elle entreprit, alors que nous embrassions toujours, de me branler avec sa main pleine de crotte molle. Je décidai de prendre, moi aussi, les choses un peu en main

Je m’écartai de Julia et me mis assis, contre le mur de la salle de bains. J’écartai mes cuisses et dit à Julia de venir me sucer. Ma bite était maintenant bien sale, et curieusement je ne m’étais, moi, pas encore sali les mains. « Nettoie moi bien la bite », intimai-je à la jeune salope. Elle vint mettre ses lèvres autour de ma queue; alors qu’elle suçait, je sentis un gargouillis dans mon ventre : il semblait que mes intestins, alors que de la place s’était libérée dans mon rectum, poussaient encore un peu de merde vers l’extérieur. Une fois que je sentis que c’était prêt, je poussais à nouveau un bon coup. Je sentis un jet de pisse gicler dans la bouche de Julia, et dans le même temps, je projetai une belle masse de merde liquide dans sa direction, qui éclaboussa le carrelage et les cuisses de la jeune femme. La puanteur était à son comble, et ça ne semblait pas déranger cette petite dépravée. 

— Attends, moi aussi je crois que mon cul est prêt, m’annonce t-elle. Que veux tu que je fasse ? Ordonne-moi.

En effet je réalisai que depuis notre arrivée, la merde et la pisse dans lesquels nous pataugions étaient les miens. J’avais, de fait, très envie de goûter ses déjections. 

— Mets-toi à quatre pattes. 

J’avais repéré une boite de capotes sur le rebord du lavabo. Je me demandai si Julia avait prévu le coup, ou si c’était une petite catin toujours prête à se faire défoncer dans la salle de bains. Je me saisis d’une des petites enveloppes argentées et en sortit une capote lubrifiée. J’avais l’intention de profiter un peu de ses jolis trous avant de goûter son caca. J’enfilai la capote sur ma bite encore bien sale; mon gland avait été nettoyé par Julia mais j’avais encore beaucoup de crotte le long du manche. Julia attendait patiemment, et elle avait naturellement compris ce que je m’apprêtais à faire. Je m’approchais de son fessier, et lui écarta le vagin sans ménagement. Ma queue rentra dans sa chatte directement, aidée en celà par la lubrification du préservatif mais aussi par la merde un peu grasse qu’elle avait répandue sur son joli con en se branlant d’une main dégueulasse. C’était délicieux de baiser cette petite pute dans les odeurs de pisse et de merde. Puis, faisant attention de ne pas jouir malgré mon excitation, je sortis mon dard de son sexe et le présentai à l’entrée de son petit trou. Une fois mon gland posé sur l’anneau culier, je poussai et entrai petit à petit à l’intérieur. A mi chemin, je sentis une légère résistance : mon sexe s’engluait en effet dans les premières crottes de la petite chienne. Je pris un pied formidable à sodomiser ce cul bien crade, et je rêvais de connaître un jour suffisamment Julia pour pouvoir la défoncer avec ma queue nue. L’idée de bourrer son caca avec mon gland nu dans ses fesses, et d’imaginer sa merde s’insinuer jusqu’à l’intérieur de mon urêtre me faisait bander encore plus. 

Je me retirai avant de jouir. La capote était pleine de crotte; je dis à Julia de se retourner, et devant elle, je retirai la capote et la fourra dans ma bouche. Je la suçotai un peu, puis la ressortit. Elle était encore bien sale. « Ecarte toi la chatte », lui ordonnait-je. Puis, comme elle pouvait s’en douter, je lui enfonçai la capote dégueulasse dans la moule. Elle me regardait avec des yeux extatiques et se mit à pisser. 

— Ne gâche pas ! Retiens-toi ! Fais dans ma bouche !

Elle se mit debout, manquant de retomber au sol tant il était glissant de ma merde et de nos pisses mélangées. J’ouvrai la bouche et Julia dirigea son jet très jaune à l’intérieur. Je me branlais furieusement en goûtant son jus odorant. 

— J’ai trop envie de chier, mon chéri

La collision de ce mot doux avec « chier » était à la fois cocasse et adorable. Je me mis allongé sur le dos. 

— Accroupis-toi et chie moi dessus, Julia.

Je savais que sa merde, en tout cas pour les premiers morceaux, n’était pas trop liquide, puisque j’en avais ramené avec ma bite. Je vis un premier morceau sortir de son cul qu’elle tenait écarté de ses deux mains. Il progressait et lorsqu’il fut à mi chemin, une moitié de crotte se détacha. Je la saisis avec ma main avant qu’elle ne tombe sur ma poitrine, et la sentis. Elle sentait le poivre, son odeur n’était pas désagréable et ne couvrait pas celle de mes déjections précédentes. Je la glissai entre mes lèvres, ce qui eut pour effet de renforcer ma bande-son – je n’osai plus trop me branler tellement je sentais mes couilles prêtes à éjecter une dose massive de sperme chaud. Le reste de la crotte de Julia était tombée au creux de mon cou. La crotte suivante semblait également assez moulée, et elle la fit directement sur mon visage. Elle fut toutefois suivie par un petit jet de diarrhée : « Mets toi au dessus de ma bite, chérie », lui demandai-je. Elle largua, en même temps qu’un nouveau jet d’urine, une masse de merde informe et liquide, qui devait être le produit d’une digestion plus récente. 

Cette fois-ci, nous étions tous deux recouverts de la pisse et de l’urine de l’autre. Je lui ordonnai de venir s’allonger sur moi en 69. Nous sommes restés ainsi un bon moment, à sucer, lécher tout ce qui passait à notre portée. Je lui ordonnai également de mettre un peu de merde sur mes pieds et de les lécher. Je fis de même; c’était délicieux de sucer chaque petit doigt de pieds de la jolie salope, que j’avais enduits de merde. Peu après, Julia se retourna; elle vint glisser contre moi, et porta son visage au niveau du mien. Nous nous sommes longuement embrassés, et sa chatte est venue s’encastrer autour de ma queue. Il n’aurait pas fallu beaucoup de mouvements pour que je la pénètre. Je fis un effort pour ne pas le faire, tant j’avais envie de jouir en elle. 

— Tu veux me voir jouir ? lui demandai-je.

— Oui. Je veux avaler ton jus et un peu de ta merde.

— Alors mets moi ta main dans le cul. Elles sont petites, et avec toute ce caca ça devrait glisser facilement. 

Julia se positionna entre mes jambes écartées; je relevai un peu mes genoux, les pieds en l’air. Je commençais à branler ma queue souillée, et sentis les premiers doigts de la salope entrer dans mon fondement, puis le pouce, et au bout d’un moment, toute la main est passée. Ma femme n’y était jamais parvenue, elle avait peur de me faire mal. Julia remuait sa main à l’intérieur et je la sentais progresser. Elle réussit à passer délicatement le seuil de l’ampoule rectale et sa main entra dans mon colon. La moitié de son avant-bras avait disparu dans mon cul. 

— Approche ta bouche, bébé. 

Julia se pencha au dessus de ma bite et reçut un grand jet de foutre dans la bouche et un autre sur les yeux. J’étais au nirvana. Elle ressortit lentement sa main; don bras était recouvert d’une couche luisante de sécrétions et de merde liquide. Elle le lécha en me regardant avec malice, puis lécha aussi les gouttes de sperme qui étaient retombées sur mon bas-ventre. Nous nous posés l’un à côté de l’autre, assis contre, le mur, fourbus. Nous pataugions dans un mélange indescriptible de merde, de pisse et de toutes les sécrétions que nos trous avaient pu rejeter. 

— Après ça on se demande ce qu’on va pouvoir inventer si on décidait de se revoir, fis-je remarquer.

— Ne t’inquiète pas. J’ai des idées. Avec des spéculums par exemple

— Mmmh

Je m’imaginais déjà placer un spéculum dans le vagin de Julia, puis de pisser et chier directement dans son sexe. Puis, retirer l’engin et m’écarteler le cul avec, pour qu’elle fasse de même. Bref en effet, les idées ne manqueraient pas. 

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