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Mes chaudes soirées en déplacement – Chapitre 2




Mon premier mec a rouvert sa cabine, et rebande. J’y entre, me baisse pour une fellation, mais il ne m’en laisse pas le temps:

— Tu baises?

— Oui, et je me fais baiser. Je suis actif et passif.

— Moi aussi. Viens, on va aller dans une autre salle.

Il se rhabille et je le suis. On entre dans une pièce libre et il referme à clé. Il y a un grand lit et des miroirs sur les murs, de chaque côté. On se met à l’aise sans perdre de temps, je suis en slip, et lui en petite culotte et bas. Il me fait de l’effet:

— Hum, c’est bon tes dessous de femme. Tu as tout d’une belle salope.

— C’est sans doute parce que j’en suis une. Mais tu n’as pas l’air mal toi non plus.

— Oui, tu as raison, je suis une salope moi aussi, une grosse pute comme toi.

Il s’approche de moi, me prend par les hanches, et me demande si j’embrasse. Ma réponse est affirmative, et pour confirmation je joins mes lèvres à ses lèvres. On échange un premier baiser retenu, suivi d’un deuxième plus soutenu. Nos mains glissent dans nos culottes et on se tripote tout en se roulant de longues pelles voraces et baveuses. On se décolle pour respirer, et on enlève nos dessous. Il est enchanté de cette mise en route:

— Oh, tu es un chaud toi, comme moi, c’est bon de s’aimer entre hommes.

— Oui, tu as raison, il n’y a rien de meilleur qu’une salope avec deux trous et une bite entre les cuisses.

— Viens, j’ai envie de baiser.

Il m’entraine sur le lit, on est dans les bras l’un de l’autre, et on reprend nos soupes de langues, nos patins goulus. On se caresse, on se masturbe, puis on s’installe en 69. On se bouffe comme des porcs, la bite, les couilles, la raie. On se tâte la rondelle, on se doigte, on se fouille, on fourre la langue. Tout cela se fait face aux miroirs, en différentes positions, en se regardant soi même et en invitant l’autre à nous regarder, voir comment on s’occupe bien de lui.

On est chaud pour la suite, et il se met à quatre pattes au bord du lit:

— Baise moi, je suis ta salope, ta pute. Défonce moi le cul, traite moi comme une chienne.

Je viens debout derrière lui et je le prends sauvagement. Je lui casse le cul et on échange des insultes et obscénités; je lui parle au féminin, comme à une femelle, et il s’adresse à moi au masculin, comme à son amant mâle. Je fatigue à force de le limer et on change les rôles: c’est maintenant moi qui suis une vicieuse offerte et soumise à mon maître dominateur. On inverse plusieurs fois jusqu’à enfin jouir l’un après l’autre. Je remplis son cul de ma semence et il s’empresse de me monter pour inonder mes reins de la sienne.

 

On est épuisé mais heureux. On se félicite de nos ébats tout en se torchant la raie pour récupérer et bouffer le sperme de l’autre. La séance est fini et il regrette que l’on ne bande plus, il se serait bien fait encore sodomiser. Je lui parle alors des deux clients que j’ai sucé et lui propose d’aller voir s’ils sont toujours là. Je sors de la pièce sans me rhabiller, entièrement nu. Je fais le tour des salles et retrouve le mec à nouveau allongé sur le lit à moitié à poil, le sexe au top. Je lui propose de nous baiser mon pote et moi, et il accepte. Par contre je ne retrouve pas l’autre mec et je vais chercher un remplaçant. Je croise un grand et jeune mâle, torse nu, moins de trente ans, et c’est lui qui m’apostrophe me voyant sans rien dessus, et me demande si je cherche une queue. Je lui explique alors ce que je veux et il accepte lui aussi.

On se retrouve à quatre dans le salon privé.

Les deux nouveaux arrivés enlèvent le bas et nous invitent à les sucer. On s’exécute volontiers, ils sont enchantés de nos prestations et échangent leur place pour apprécier nos deux bouches. On les fait bander bien dur, et ils décident de nous baiser. Ils prennent leurs sachets de gel, mais on leur dit que ce n’est pas la peine: on vient de s’enculer à fonds et on a encore le trou bien ouvert et bien huilé. Ils prennent alors leurs préservatifs et là encore on leur dit que ce n’est pas la peine, que l’on aime se faire remplir de foutre. Ils s’en foutent, se protègent, tout en nous traitant de tous les noms et disant qu’ils ne veulent pas se salir la queue dans nos putains de trous à bites.

Ils nous installent debout, penchés en avant, côte à côte, tête bêche, et nous pénètrent d’un coup sec et puissant. Dans cette position j’ai vue sur ce que ce fait mettre mon copain, et il a le même spectacle me concernant. Celui qui baise mon pote le matraque sévèrement quelques secondes, se retire entièrement pour le reprendre de plus belle, et ce plusieurs fois. Ils s’adresse à moi, et celui qui me tringle de la même façon s’adresse pareillement à mon compagnon:

— Regarde comme je l’encule cette salope, regarde ce que je lui mets à cette pute. Tu es une chienne toi aussi, elle te plait ma queue; t’inquiète, tu vas l’avoir dans le cul, mais d’abord tu vas me sucer.

Ils se retirent en même temps et viennent nous baiser la gueule en gorge profonde avant de s’occuper de nos fions. Ils tournent ainsi plusieurs fois, s’arrangent pour que l’on ait de temps en temps leurs deux bites à la fois, une dans la bouche, l’autre dans le cul, le top!

Ils sont endurants ces salauds, une bonne heure qu’ils nous tringlent, et ils vont enfin capituler. Le jeune encule mon pote, et lui laisse choisir:

— Tu veux quoi salope, que je jouisse dans ton cul avec ma capote, ou dans ta bouche, sans.

— Dans mon cul, je veux sentir ton orgasme, les sursauts de ta bite dans mon anus. Et ensuite je vais nettoyer ta capote, extérieur et intérieur, et puis nettoyer ta queue.

— Mais tu es un chien, toi. Ok, salope, montre nous que tu es une grosse vicieuse.

Son amant se libère en lui, à grands coups de reins, et en rythmant chacune de ses giclées par des pute, pute, pute……

Il se retire, et ils viennent les deux devant moi, pour qu’aucun des trois ne rate le spectacle de cet enculé. Il suce son baiseur, prend son chibre tout entier, au delà du caoutchouc, puis de ses lèvres il enroule la capote sur le manche jusqu’à ce qu’elle ne recouvre plus que le gland. Il la retire, la porte à ses lèvres, le réservoir plus que plein, et aspire pour la retourner dans sa bouche. Il la retire toute propre, exhibe sa bouche vide, puis gobe le sexe de son mec pour le nettoyer.

Celui qui m’encule m’a demandé de bien regarder, et m’invite à en faire autant avec lui. Il décharge entre mes fesses, dans son préservatif, et je nettoie tout comme un gros porc.

Nos deux amants s’en vont en espérant nous revoir.

On se retrouve tous les deux avec mon alter égo, on referme à clé, on bande. Il se colle à moi, on se frotte, on se caresse, on se bécote, et il me propose de rester encore:

— On se refait une partie tous les d’eux?

— J’aimerais bien, mais il est tard, il faut que j’y aille.

— Tu as quelqu’un qui t’attend?

— Non, je suis seul, mais je ne veux pas rater le dernier tram.

— Ne t’en fait pas pour ça, je peux te ramener en voiture. Avec les triques que l’on se tient, ce serait dommage de ne pas en profiter.

— Ok, tu as raison, j’ai envie de m’amuser encore.

— Merci mon chéri, on va trop bien s’aimer, tu ne vas pas le regretter.

On se recouche sur le lit pour un câlin torride et débridé. Comme pour la première fois on est tour à tour mâle ou femelle, on essaie toutes les positions, toujours devant les miroirs.

On est en pleins ébats lorsqu’on frappe à la porte; c’est le patron du lieu qui annonce la fermeture dans cinq minutes. Aussitôt mon partenaire s’empresse de répondre et d’aller ouvrir. Ils semblent bien se connaître, échangent quelques mots, un baiser.

Mon copain revient me voir et on s’empresse de se vider les couilles dans un 69 hyper vorace. On gicle rapidement, simultanément, on bouffe tout. On se roule une pelle, on est bouche à bouche, lorsque la porte s’ouvre; c’est à nouveau le patron, et il s’adresse à moi:

— Il parait que tu aimes la queue?

— Oui, j’adore.

— Alors tu vas me faire une bonne pipe mon salaud, me montrer ce que tu sais faire.

Il baisse son pantalon, et déballe son matériel, une longue et large queue, malgré sa mollesse. Je m’accroupis et me saisis de son sexe à pleines mains, les couilles dans une, le manche dans l’autre. Je le caresse, le masse, le branle, et très vite son membre s’épanouit. Il est magnifique, le plus beau et le plus gros que je n’ai jamais vu en réel, et je le félicite pour ses attributs des plus alléchants. Il me remercie mais me demande de moins parler, et de sucer. Je m’exécute, le prends à moitié, puis fais des aller retour sur sa colonne, de plus en plus loin pour m’habituer petit à petit à son énorme calibre, jusqu’à le gober entièrement.

C’est à son tour de me féliciter, et de féliciter aussi son copain pour m’avoir trouvé. Ils sont tous deux l’un contre l’autre, et tout en pompant je peux les voir se rouler une longue et chaude pelle. De temps en temps leurs lèvres se dessoudent, et il m’encourage à continuer, insultes à l’appui, avant de m’ordonner de lui bouffer les couilles. Elles sont énormes, en rapport à son pieu, et je me régale à les gober et les mâchouiller avec délicatesse.

Il me relève par les cheveux, me roule une pelle dominatrice, et mon copain se baisse pour le sucer. Nos bouches se relaient sur la sienne et sur sa queue, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se retenir. On est à genoux devant lui, et il éjacule sur nos visages. Le salaud, je n’ai jamais vu un homme décharger autant que lui, des giclées épaisses et fournies en quantité. Il nous a recouvert la gueule de son foutre et me donne son chibre ramollissant à finir de vider. On se fait face avec mon copain, on se lèche, on se bouffe la poire, on se nettoie, on bouffe tout, on se roule des pelles gourmandes.

La séance est terminée, on s’en va.

Mon copain d’un soir me ramène à l’hôtel et me persuade sans mal de passer un dernier moment ensemble. A peine la porte fermée, on s’empresse de se déshabiller et de se placer devant une grande glace murale. On s’embrasse à nouveau, on se caresse, on se suce, on se félicite de nos grosses bites, on se traitent comme les dernières des trainées. On termine par un 69 juteux, on garde la semence de l’autre en bouche, et on se roule une dernière pelle des plus savoureuses. On se donne rendez-vous au sex-shop pour le soir (il est minuit largement passé) et mon mec s’en va.

Je me couche, et m’effondre, épuisé.

Quatre heures du matin, je ne dors plus. Je repense à ma folle soirée, je bande.

J’ai des images plein la tête, de mes divers partenaires (cinq), et aussi du film que j’ai vu avec une transsexuelle. Il y a longtemps que je rêve de baiser avec une d’entres elles, mais je n’y suis pas encore parvenu. J’allume mon portable et je passe une annonce, comme ça m’est arrivé plusieurs fois, mais sans succès jusqu’à aujourd’hui. Le texte est bref, direct: "Homme, 62 ans, actif et passif, recherche jolie transsexuelle bien montée, non vénale, pour plan sexe à mon hôtel. Ci-joint mes coordonnées…". Je joins mon adresse mail, l’adresse de l’hôtel et les dates où je suis libre.

Je me tiens une bonne trique, et je me branle pour pouvoir redormir.

A suivre…    

 

 

 

  

 

 

 









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