Je reprends mon récit alors qu’ayant accepté de dormir chez Hector, nous nous mettons au lit, Marine et moi, elle complètement épuisée et moi, comme je vous l’avais déjà raconté avec des sentiments partagés d’excitation et d’homme cocufié un peu mal placé je le reconnais.
J’essaie après la douche de discuter un peu pour évacuer ces pensées contradictoires mais Marine est vraiment trop fatiguée et ne comprends pas à la limite qu’après avoir tant insisté pour qu’elle accepte de faire l’amour avec un autre homme, je ne sois pas complètement satisfait qu’elle ait fini par accepter. Bref, elle s’endort rapidement me laissant un peu frustré de n’avoir pas pu parler avec elle de ce qui me préoccupait.
Je n’arrive pas trouver le sommeil à mon tour si bien que je finis par me lever pour aller regarder la télévision dans le salon à l’autre bout de cet immense appartement. Je m’installe dans le canapé qui a été quelques instants plus tôt, le théâtre de la réalisation de mon fantasme, j’allume la télé sans vraiment suivre le film qui s’y déroule et je finis par m’endormir. Quand je me réveille bien plus tard les émissions sont terminées. L’écran noir est parsemé de milliers de petits points blancs et pourtant, des bruits à peine audibles parviennent à moi. Je réalise en prêtant l’oreille que c’est surement ce qui m’a tiré de ma torpeur. J’écoute plus attentivement et là, il me semble identifier la voix de mon épouse et une autre plus grave. Je me lève pour me diriger vers la source de ces bruits. Mon cur bat la chamade quand j’arrive dans le couloir menant aux chambres. Une faible lumière sort de celle où j’ai laissé ma femme. J’en suis sûr maintenant, c’est bien elle, c’est bien la voix de mon épouse. J’avance encore et là, sur le lit, je la vois à genoux complètement nue, ses reins bien cambrés, les fesses offertes au dard qui la pourfends. Hector est là, derrière elle, il la tient fermement par les hanches et l’attire vers lui en lui assénant des coups de reins tantôt lents et profonds, tantôt secs et rapides. La scène est d’une incroyable lubricité. Je ne sais plus si c’est l’excitation ou la contrariété de se faire cocufier qui prédomine. Les petites mouvements de son bassin tandis qu’il la pénètre me glacent le sang et m’échauffent les sens. Je le regarde impuissant, prendre son plaisir dans le ventre de ma femme. Marine pousse des gémissements qu’elle essaie d’étouffer en mordant l’oreiller à pleines dents tandis qu’Hector l’invective. Elle secoue sa tête de droite et de gauche, abasourdie par le plaisir qui la transperce. Mon cur va s’arrêter de battre devant ce spectacle torride offert par les deux amants.
J’adore te la mettre ma chérie et toi aussi, t’aimes çà.
Marine ne parle presque pas. Elle vit à cent pour cent les vagues de plaisir qui la submerge. Seuls des oui, oui Monsieur Victor sortent hachurés de sa bouche.
Tu vas me laisser te baiser encore n’est-ce pas ma chérie.
Oui, Monsieur Hector, oui. Faites-moi jouir encore.
Tiens prends ça et encore çà ma chérie.
Oh oui. Ouiiiiiiiiiiii. Ça vient.
Je n’en crois pas mes propres oreilles en réalisant qu’il l’a déjà faite jouir tandis que je dormais tranquillement dans le canapé et qu’il est sur le point de l’amener au plaisir une fois de plus.
Je ne sais plus que faire, comment réagir en regardant ce vieil homme honorer ma femme et la combler. Je ne me sens pas le droit d’intervenir. Elle est consentante, il ne la force pas. Mon cur bat en surrégime. Je vais faire un malaise tandis qu’enfin, Hector se raidit en ordonnant à ma femme de jouir avec lui.
Oh ouiiiiiiiiiiii. Je vous sens jouir dans mes fesses. Ouiiiiiiiiiiiiii. Aaaaaaaaaaaaaaaaaah.
Tous les deux se mettent à geindre de concert, emportés par un puissant orgasme. Je ne peux m’empêcher d’imaginer le gros sexe d’Hector déverser ses jets de sperme dans la petite chatte de ma femme. Il continue à la besogner jusqu’à ce qu’elle se laisse retomber, sans force les bras en croix sur la couche puis se retire et s’éclipse vers sa chambre. Je l’entends alors lui souffler avant de partir :
Merci ma chérie. Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort.
Allez-vous-en Monsieur Victor, vous me faites faire des bêtises. Ce n’est pas bien de profiter de la faiblesse d’une femme mariée.
Je suis vraiment cocu maintenant. La 1ère fois, c’était moi qui l’avait provoqué mais là, là ce n’était plus du tout le cas. Ma femme avait accepté qu’il lui fasse l’amour sans savoir si j’étais ou non d’accord et du coup, malgré l’excitation procurée par ce spectacle digne des meilleurs films porno, je me rendais bien compte que le sentiment qui prédominait était avant tout, l’angoisse de la perdre, la contrariété de voir ma femme se faire enfiler et jouir pour son propre plaisir et non pour me faire plaisir.
Je m’enfuis dans le salon où je m’allonge en faisant semblant de dormir paisiblement mais mes neurones travaillent à plein régime. Il me faut trouver un moyen de la satisfaire, de les satisfaire en gardant malgré tout le contrôle ou du moins essayer, sur ce qui va se passer. J’attends qu’Hector retourne dans sa chambre puis je rejoins ma femme. Mes mains courent sur son corps, caressent ses seins, ses reins, descendent vers ses fesses au galbe tellement excitant. Mes doigts cherchent sa fente, la trouvent, j’y glisse un doigt. Elle est remplie de son sperme. Elle se laisse faire en grognant, proteste quand j’essaie de la retourner pour la prendre à mon tour.
Laisses-moi dormir s’il te plaît. Où étais-tu ? Hector est revenu me faire l’amour tout à l’heure. Je n’en peux plus. Il faut que je dorme.
Je suis bien obligé de me rendre à l’évidence. Ce n’est pas cette nuit que je me soulagerais dans le ventre de ma femme. Je suis contrarié mais finalement je m’endors au bout de la nuit.
Le lendemain, Hector est au petit soin pour nous et pour ma femme en particulier. Il apprécie beaucoup les talents culinaires de Marine qui n’hésite pas à se mettre au fourneau pour nous préparer un petit déjeuner comme elle sait le faire si bien. L’ambiance est chargée d’émotion lorsque nous prenons congés. Je sens que rien ne sera jamais plus comme avant entre ces deux êtres au simple regard qu’ils échangent en partant et au sourire que mon épouse lui adresse et au merci qu’elle lui glisse à l’oreille.
La vie reprend peu à peu son bonhomme de chemin. Mon épouse semble être redevenue celle qu’elle était. Le souvenir de ses ébats avec Hector commence peu à peu à sortir de mes pensées jusqu’au jour où Marine m’annonce qu’elle est allée rendre visite à Hector. Immédiatement je lui demande s’ils ont fait l’amour. Elle hésite un moment puis, me demande à son tour si ça m’embêtait qu’elle lui rende visite. Je lui assure que non, mais c’est vraiment contraint et forcé car de toute manière je sais que si je lui dit que oui, elle ira en cachette sans m’en parler. Elle me demande alors s’il peut venir chez nous de temps en temps aussi je lui demande à mon tour si c’est pour faire l’amour ? Elle hésite encore puis me réponds que oui.
Elle s’assied alors et m’avoue qu’elle aime bien faire l’amour avec lui, que personne ne l’avait jamais fait jouir comme çà et que finalement elle ne regrettait pas d’avoir cédé à mes caprices de la voir s’offrir à un autre homme.
Un coup de poignard me transperce le cur. Réaliser un fantasme peut avoir des conséquences inattendues et incontrôlable, la preuve.
Je sens qu’elle a envie de parler, de se confier et me dire à moi, son mari, ce qu’elle a sur le cur aussi, j’essaie de la mettre en confiance en lui disant de tout me raconter, pourquoi était-elle allée lui rendre visite, ce qui s’était passé, qu’est-ce qu’elle comptait faire etc. etc.
Elle me regarde les larmes aux yeux avant de venir se blottir dans mes bras en me disant qu’elle m’aimait et que ce qui s’était passé avec Hector n’avait rien à voir avec nous, notre amour. C’était purement physique.
Racontes-moi ma chérie
Elle commence alors son récit au moment où passant devant chez Hector, elle décide de s’arrêter pour lui rendre une petite visite sachant que ça lui ferait plaisir mais en m’assurant ne pas avoir d’arrières pensées en se garant devant chez lui. Il est fou de joie en la voyant sur le pas de sa porte et emporté par son élan, l’étreint dans ses bras en lui faisant deux bises bien sonores sur les joues. Ils prennent un thé tout en discutant puis la conversation dévie inévitablement vers ce qui s’était passé ce fameux soir et là, Hector lui avoue avoir vécu sans doute la plus belle nuit de sa vie et que s’il ne devait y avoir qu’une seule chose à demander avant de partir rejoindre sa Germaine, ce serait d’avoir la chance qu’elle lui accorde encore une fois ses faveurs. Il la regarde avec des yeux tellement expressifs de chien battu que Marine, ne se sent pas le cur à lui refuser ce que visiblement, il meurt d’envie de lui faire. Lorsqu’il s’approche pour prendre sa main et l’embrasser, elle se laisse faire en lui souriant. C’est sans doute le signal qu’il attendait car aussitôt, il se met à genoux entre ses jambes. Elle est assise dans le fauteuil sur lequel il l’a déjà fait jouir. Ses mains courent sur ses jambes, remontent vers ses genoux, glissent vers l’intérieur de ses cuisses sans qu’elle ne réagisse négativement. Sa jupe s’est relevée, découvrant son bas-ventre et sa petite culotte. Il lui dit qu’il n’a jamais eu jusqu’à présent, la chance de voir et toucher une aussi belle femme qu’elle, qu’il adorait la douceur de sa peau surtout là, dans l’intérieur de ses cuisses où c’est si sensible. Il sait y faire et son attitude, ses paroles la font fondre.
Les mains ont progressé sans trouver de résistance si bien qu’elles sont maintenant sur son sexe encore protégé par un slip transparent si petit qu’il ne cache rien de ses trésors. Hector semble hypnotisé par la vision de cette petite chatte tellement attirante, il tire sans hésiter sur le sous-vêtement pour découvrir complètement la vulve de ma chérie. Elle ne résiste pas davantage quand il appuie sur ses genoux pour les écarter et lui permettre d’accéder à son chaton. Son attitude, ce regard envieux posé sur sa vulve l’excite, pourquoi le nier ? Elle se sent d’ailleurs toute mouillée et Hector ne peut pas, ne pas ne pas l’avoir vu. Il glisse un doigt dans la fente, trouve l’entrée de la vulve, l’y enfonce.
Tu es toute mouillée ma chérie ! Ça t’excite toi aussi !
Oui mais vous devriez arrêter Monsieur Hector, on va faire une bêtise.
Laisses-toi faire. Je vois bien que toi aussi tu en as envie ma chérie. Tu veux bien faire plaisir au vieil Hector, n’est-ce pas ?
Je ne sais pas Monsieur Hector. Je ne veux pas tromper mon mari.
Il a bien aimé la 1ère fois, non ?
Oui mais il était avec nous tandis que là, c’est pas pareil.
Tout en parlant, loin d’arrêter son exploration, Hector lui glisse un deuxième doigt dans la chatte en commençant à les faire coulisser de plus en plus profondément. Marine ferme les yeux, elle sait que plus rien n’arrêtera ce vieux cochon d’Hector et puis, ses doigts lui font du bien d’autant qu’avec son pouce, il se met à titiller habillement son clitoris. Des gémissements incontrôlés s’échappent maintenant de sa gorge. Elle écarte d’elle-même plus largement ses cuisses pour permettre à Hector de s’installer entre elles. C’est le signe qu’elle accepte complètement ce qui est en train d’arriver. Hector se penche vers son sexe. Sa langue entre en action, s’infiltre entre les lèvres de sa fente, déniche son bouton qu’il fait sortir de sa gaine, le prend entre ses lèvres pour se mettre à le sucer comme une petite bite. Il la suce comme elle aime, ils sont au diapason si bien que rapidement un orgasme monte de ses reins, la submerge. Les vagues de plaisir prennent possession de son corps tout entier. Elle jouit bruyamment pour le plus grand plaisir de son amant qui en profite pour se relever. Il est nu entre ses cuisses grandes ouvertes, son gros sexe fièrement dressé contre son ventre. Marine, sonnée par la jouissance toute proche entrouvre néanmoins les yeux en sentant Hector poser son gland dans l’ouverture béante de sa fente.
Oh ma chérie, tu es vraiment trop belle ! Laisses-moi te la mettre.
Elle n’a pas le cur à lui refuser ce plaisir. Elle lui sourit en signe d’acquiescement. D’un coup de reins il s’enfonce en elle sans le moindre effort. Ses chairs abondamment lubrifiées l’avalent goulument, étreignant son phallus pour ne plus faire qu’un avec lui. Quand il commence à s’activer en elle, la sensation est tellement forte qu’elle ne peut s’empêcher de l’encourager.
Oh ouiiiiii. Ouiiiiiii Monsieur Hector. Plus fort. Prenez-moi plus fort. Vous me faites tellement de bien.
Oh ma chérie….
Ouiiiiiii. Encore. Plus fort. Oh mon dieu, mon dieu…
Le vieil Hector la possédait maintenant à grands coups de reins faisant trembler sa croupe, la masse de son fessier à chaque fois que son ventre, ses cuisses frappaient l’arrière-train de ma chérie, la faisant monter rapidement vers les sommets du plaisir. Elle ne se contrôlait plus, plus rien ne comptait hormis ces ondes de plaisir de plus en plus rapprochés qui augmentaient en intensité dans son ventre, ses reins. Le souffle court elle se livrait maintenant de toutes ses tripes à la vague sur le point de la submerger. Ses muscles étaient en train de se tendre, son ventre et ses fesses se durcir, elle allait jouir d’une seconde à l’autre. Un dernier coup de reins plus puissant que les autres et la voilà, succombant à un nouvel orgasme.
Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh ! Monsieur Hector. Ouiiiiiiiiiiiii.
L’homme jubile intérieurement devant cette femme magnifique qu’il est en train de posséder et qu’il fait jouir si fort, si facilement. Il ralentit la cadence de ses va-et-vients pour ne pas jouir à son tour, mais tient à l’accompagner jusqu’au bout de sa jouissance. Il lui caresse le ventre, ses seins dont les tétons pointent vers le plafonds. Il apprécie le spectacle de femme comblée vaincue par le plaisir. Elle est tellement belle et excitante que sa seule envie est d’en profiter encore et encore. La fin de son orgasme se termine, elle récupère doucement, son visage quelques secondes plus tôt déformé par le plaisir est à nouveau, éclatant de beauté, à peine marqué par ses deux jouissances. Elle ouvre difficilement les yeux, lui sourit encore tandis qu’il se repaît de la vision de son corps alangui, totalement livré à ses désirs. Elle est totalement détendue. Hector en profite pour se dégager doucement puis la prendre dans ses bras pour la soulever et se diriger vers sa chambre, étonnement à l’aise malgré son âge.
Marine est totalement consentante. Hector n’a pas joui et elle sait qu’il va encore la prendre. Elle se laisse faire tandis qu’il la dépose sur le lit puis la retourne pour la mettre à genoux. Il veut la posséder en levrette. Il lui mordille les fesses, plonge son nez entre ses globes en léchant son anus tout en grognant d’excitation. Elle se sent inondée, sa mouille lui coule le long des cuisses, une odeur de femelle en chaleur monte à ses narines. Quand il se redresse derrière elle, c’est son sexe dur et doux à la fois qu’elle sent contre ses globes de chair. Elle les écarte d’elle-même, dans une invite sans équivoque. Elle a envie de se sentir sienne. Elle a envie de sentir l’homme faire d’elle sa femelle. Il a la même envie. Son gland s’enfonce en elle lentement, doucement jusqu’à buter tout au fonds contre sa matrice. Un long gémissement de satisfaction s’échappe alors de sa gorge quand elle le sent entièrement en elle. Elle le serre dans son fourreau, le masse, le suce même. Il aime çà et ne se prive pas de le lui dire.
Oui, ma chérie, Ouiiiiiiiii. T’es trop bonne.
Il se laisse faire de longues secondes puis commence à bouger. Des « va-et-vient » lents et profonds qui ne tardent pas à tirer de nouveaux gémissements de sa maîtresse. Ses doigts s’attardent sur les fesses, parcours la raie jusqu’à ce que l’un d’eux s’attaque à la petite corolle brune couverte des secrétions des précédentes jouissances. Marine aime bien que l’on s’en occupe aussi, rien dans son attitude n’empêche Hector de poursuivre ce qu’il a en tête. Le doigt bien lubrifié s’enfonce dans l’anneau dont les plis s’ouvrent facilement pour libérer le passage. Une phalange, deux puis le majeur tout entier coulisse dans le rectum de ma femme, lui procurant d’agréables sensations en augmentant celles déjà bien présentes du bâton de chair qui la pourfends de plus en plus puissamment. Les gémissements prennent de l’amplitude, un deuxième doigt dans son fondement rejoint le premier. L’entrée de son anus est maintenant bien ouvert. Marine se laisse emporter par la spirale du plaisir malgré l’appréhension sourde de la sodomie qui s’annonce. Elle n’est plus en état de réfléchir, de résister si l’envie de lui faire subir le dernier outrage le prenait. Je ne m’occupe pas très souvent de son anus, pas assez à son goût mais la taille du chibre n’est pas fait pour la rassurer. Les coups de reins qu’il lui assène lui font un bien fou. La tête lui tourne, elle a chaud de partout, les muscles de son bas-ventre, de ses fesses, de ses cuisses se tendent. Elle va jouir encore une fois tandis que les deux doigts entre ses fesses sont rejoints par un troisième. Elle se sent ouverte comme jamais elle ne l’a été. L’envie de jouir est trop forte, la vague qui monte en elle l’amène irrésistiblement au sommet du plaisir. Sa vision se trouble, ses pensées lui échappent, un n-ième orgasme l’emporte. Elle crie, hurle même sa jouissance en tremblant de tous ses membres. Elle jouit, jouit encore et encore, pleure presque de tant de plaisir. Hector se retire prestement de son ventre et, d’un coup de reins s’enfonce dans cet anus qu’il a si bien préparé. Les sphincters ne résistent pas longtemps à la puissance du chibre au sommet de sa puissance. Ils cèdent pour laisser la verge s’engouffrer toute entière et prendre possession du fourreau de chair. La douleur est intense mais jouissive. Marine mord l’oreiller à pleines dents pour étouffer le cri qui s’échappe de sa gorge. Elle ne s’est jamais sentie aussi pleinement possédée.
Oh Monsieur Hector, vous… vous…
Son amant s’est immobilisé bien calé au fonds de ses reins. Il sait que quelques secondes seront suffisantes pour qu’elle s’habitue à son imposante présence. Il n’est pas pressé. Marine souffle, cherche l’air, elle se mets à haleter comme un jeune chiot. La douleur est tellement forte qu’elle a l’impression que son anus va se déchirer. Heureusement, celle-ci s’estompe rapidement.
D’elle-même, elle commence à bouger son cul, avançant doucement pour faire sortir le pieu de chair puis reculant aussitôt pour se ré-empaler. Le plus dur est fait, toute la longueur du chibre coulisse maintenant entre ses fesses. Hector la prends aux hanches, s’y agrippe et commence lui aussi à s’activer. La sensation est monstrueuse, jamais elle n’a été prise aussi puissamment. Elle ne sait plus qui de la douleur sourde, qui de l’énorme sensation de plénitude entre ses fesses prédomine. Son amant lui caresse les reins et les fesses. Il est aux anges de pouvoir sodomiser une aussi séduisante jeune femme. Une des ses mains passe sous son ventre, ses doigts filent vers sa fente pour s’attaquer à son clitoris pareil à une petite bite. Il le branle en le pinçant doucement entre ses doigts. Le plaisir revient. Ma femme se sent possédée comme jamais. La grosse colonne de chair entre et sort de ses chairs à une cadence de plus en plus rapide. Elle se surprend à donner elle aussi des coups de reins pour se faire embrocher le plus profondément possible. Sa voix est rauque comme à chaque fois que le plaisir est trop fort. Elle l’encourage, le supplie de la défoncer encore plus fort en assurant qu’elle aimait çà.
J’en suis tout retourné d’entendre de sa bouche le récit de cette sodomie. Je ne peux nier que ça m’excite mais savoir malgré tout qu’elle lui a offert son si adorable petit cul me fait quelque chose. La réalité dépasse parfois le fantasme et c’est bien ce qui est en train de m’arriver. J’imagine Hector, son gros ventre posé sur les fesses de ma femme et sa grosse bite en train de coulisser dans son rectum. Je bande, toujours partagé entre des sentiments aussi contradictoires qu’excitation, plaisir et jalousie. Une folle envie de profiter à mon tour des charmes de ma femme me tenaille. Elle sait ce à quoi je pense simplement en croisant mon regard. Sa main descend vers mon entrejambe, frôle ma queue déjà bien raide, à travers le tissu de mon pantalon.
Tu veux que je te suces mon amour. Ça t’a excité ce que je t’ai raconté n’est-ce pas ?
Tu t’es conduite comme une salope. Tu m’as trompé.
C’est vrai mon amour mais regardes comme ça t’excite que ta petite femme se laisse sauter par le vieil Hector.
J’en reviens pas que tu l’ai laissé te prendre par derrière.
Tout en me parlant, elle a descendu la fermeture éclair de mon pantalon et sorti rapidement ma verge. Elle est déjà en train de me branler quand elle me dit :
J’ai envie de te sucer mon amour. Je ne l’ai pas fait avec Hector tu sais ! J’ai envie que tu jouisses dans ma bouche pour me faire pardonner.
Il t’a bien fait jouir ?
Oui, il baise vachement bien ce salaud.
Ses lèvres se posent sur mon gland, l’enveloppe. Sa langue lèche mes couilles par-en-dessous. C’est divin. Je ferme les yeux, vaincu par le plaisir qui prend possession de mon bas-ventre.
Tu aimes mon amour ?
Oui mais t’es comme même une belle salope.
Elle me caresse les fesses en m’attirant dans sa bouche qu’elle ouvre au maximum pour me faire entrer dans sa gorge. Elle ne n’avait jamais fait çà jusqu’à présent. Elle veut se faire pardonner c’est sûr. Elle se donne comme elle ne l’a jamais fait. Je sens mon gland serré dans son arrière-gorge, elle s’en sert comme de sa chatte et me fait aller-et-venir de plus en plus vite au risque de s’étouffer. De temps en temps, elle me fait sortir pour tousser une ou deux fois puis me reprend toujours aussi profondément. Elle veut me faire jouir. Je ne vais pas résister longtemps à ce traitement. Tous mes muscles se tendent déjà, j’ai chaud de partout, ma tête bourdonne, mes pensées se brouillent. Le plaisir est trop fort. Je lui crie que je vais jouir. Elle redouble d’efforts. Une vague plus forte que les autres et j’explose dans un énorme orgasme. Mon sperme gicle. Un, deux, trois puis quatre puissantes salves que mon épouse avale sans broncher. Elle déglutit toute ma semence tandis qu’en ouvrant péniblement les yeux, je le vois en train de se repaître de moi en plein extase. Elle a l’air de sourire malgré la barre de chair qui s’enfonce entre ses lèvres. Elle me boit jusqu’à la dernière goutte puis, lorsque c’est fini, elle pose sa tête sur mon ventre pour me laisser récupérer de ma jouissance tout en me caressant les cuisses et les bourses comme j’aime qu’elle le fasse.
C’était bon mon chéri ?
Je suis encore sonné d’avoir joui aussi fort. Je lui caresse les cheveux en signe d’acquiescement mais je ne suis pas dupe car je sais que c’est un moyen efficace qu’elle a de se faire pardonner et surtout, obtenir ce qu’elle attend de moi comme par exemple ne pas essayer de l’empêcher de voir notre presque septuagénaire Hector.
Une suite peut-être bientôt…