Filou était allongé sur le dos, présentant ainsi son attribut masculin à Alexandra qui se tenait à quatre pattes devant lui, la bouche à quelque centimètres de son sexe. Johanna avait réussi à convaincre sa nouvelle amie de s’accoupler devant elle.
— Ben allez ! Pose ta bouche sur sa bite !
— Mais si j’aime pas ?
Agacée par l’hésitation de la jeune fille, la métisse lui inséra deux doigts entre les cuisses qu’elle présenta tout de suite après sous son nez.
— T’as qu’à goûter avant !
— Mais c’est dégueulasse ! Ça sort de ma chatte ça !
— Et alors ? Tu t’es jamais léchée après t’être doigtée ?
— Si, mais il n’y avait pas de sperme de chien avec !
— Allez, goûte sinon tu vas jamais le sucer et Karine restera sa maîtresse attitrée.
Convaincu par cet argument, Alexandra pris immédiatement les doigts de Johanna en bouche. La jeune fille désirait plus que tout être la femelle exclusive du labrador et elle disait que si elle lui offrait la totalité de son corps, il refuserait de prendre une autre femme.
— Alors ? C’est bon ou pas ?
— Putain ! C’est trop bon en fait ! Il est vraiment génial ce chien !
— Alors vas-y, suces-le !
Alexandra posa délicatement ses lèvres sur le sexe de l’animal, puis elle entama la fellation de manière très lente afin de profiter au maximum de cette nouvelle expérience. Pour ne pas rester inactive, la métisse plaça sa main entre les cuisses de la jeune fille et la masturba de manière frénétique.
— T’aime ça la bite de chien hein !
— Hmmmm !
La bouche occupée par le membre de l’animal, Alexandra ne se contentait que de gémir pour communiquer avec l’autre femelle et ainsi manifester son plaisir. Mais Johanna n’était pas satisfaite par ce qu’elle voyait, elle voulait du sexe hard et comptait bien en avoir.
— Allez ! Pompe-le plus vite merde ! Il va jamais gicler dans ta bouche sinon ! Quand elle le suce, Karine fait sortir son jus en cinq minute et avale tout !
— Hmmmm !
Obéissant à celle qu’elle considérait comme expérimentée, Alexandra accéléra sa cadence et quelques seconde après elle sentit son palais éclaboussé par le liquide qu’elle attendait. Pour ne pas en perdre une seule goutte, la jeune fille du prendre de nombreuses gorgés de ce nectar canin et quand elle fut sûre que son amant s’était totalement déchargé, elle se retira.
— Alors ? Ta première pipe c’était bien ?
— J’aurais aimé y aller doucement quand même, et c’est incroyable tout ce qu’il est capable de gicler !
— Et encore ! Karine se l’est tapé ce matin, ensuite elle l’a branlé plusieurs fois pour garder son jus de coté et en plus de ça il t’as sauté tout à l’heure ! Imagine demain si tu te fais sauter avant Karine tout ce qu’il va te mettre !
Une fois de plus, la métisse jouait sur la compétition pour pousser Alexandra au vice, elle allait maintenant profiter de l’inauguration anale de la jeune fille mais Filou serait aux commande et elle se demanda comment forcer le chien à être violent.
— Bon, t’es prête à te faire casser le cul ?
— Dis comme ça, ça me mets pas trop en confiance…
— Alors est-ce que tu es prête à offrir ta virginité anale à ton nouveau copain ?
— OUI ! Je veux qu’il soit le premier à me prendre comme ça il pourra plus jamais aller voir ailleurs !
— Tu crois vraiment que si tu te fais défoncer tous les trous il va te rester fidèle ?
— J’en suis même sûre !
— On verra, ne bouge pas, je m’occupe de tout.
Johanna pris Filou par le collier puis elle l’installa sur le dos d’Alexandra. Lorsqu’il fut en place, le chien pris immédiatement position dans le sexe de sa partenaire qui poussa un long gémissement de plaisir. Mais la métisse en décida autrement et elle poussa le labrador en arrière afin qu’il ne soit plus dans les entrailles de sa femelle, puis elle lubrifia à l’aide de sa bouche le membre animal qu’elle plaça aussitôt sur le seul orifice encore vierge de la jeune soumise.
Vas-y doucement, je ne me suis jamais doigté les fesses.
T’inquiètes pas, je sais ce que je fais.
Johanna ne disait pas tout à fait la vérité car elle savait que la première sodomie allait être douloureuse en raison du fait que c’est elle qui allait contrôler la cadence. Elle tira fortement sur le membre animal qu’elle fit passait dans sa totalité entre les fesses de la jeune fille qui poussa un cri de douleur.
— Putain ça fait mal !
— Arrêtes un peu, on dirait ta mère ! Tu veux qu’il te prenne par derrière ou pas ?
— Je sais plus trop, j’ai envie de lui offrir ça aussi, mais ça fait vraiment mal…
— Tu sais qu’il a cassé le cul de Karine tous les jours depuis presque une semaine ! Si tu veux pas c’est pas grave, il sais où trouver des petites fesses plus accueillantes !
— Si ! Vas-y, fais-le glisser mais essaie de pas y aller trop fort OK ?
— D’accord.
Cette fois-ci, la métisse mentait clairement. Elle voulait voir la jeune fille se faire sodomiser violemment et savait pertinemment que la douleur serait au rendez-vous.
A suivre…