Je m’appelle Christina et je suis une jolie soumise de 25 ans. En fait, la plupart du temps je me prénomme Christian et je suis un garçon doux et timide. Il y a deux ans, j’ai découvert mon côté féminin et depuis je ne sais plus tellement à quel sexe j’appartiens.
Cette découverte, je l’ai faite grâce ou à cause de mon meilleur ami Nicolas de 3 ans mon aîné, il est tout le contraire de moi: courageux, sûr de lui, volontaire et il n’a pas de peine à séduire les femmes.
Il y a deux ans, donc, il m’a accueilli chez lui car j’étais dans la dèche. J’avais perdu mon boulot, mon appartement et je m’étais planté à mes examens. Il habitait dans un deux-pièces et nous devions partager le même lit, mais il n’y avait aucune ambiguïté au début.
Reconnaissant de son accueil, j’ai tout de suite entrepris de me rendre utile. Je faisais le ménage, les courses, la lessive, les repas, etc., tout en préparant à nouveau mes examens de bachelor. Cette vie d’homme au foyer me plaisait beaucoup, je dois l’avouer. Je me sentais bien dans ma peau et je reprenais confiance en moi.
Un soir, Nicolas me fit de nombreux compliments sur la tenue de la maison et la qualité des repas et me proposa de me payer pour mon travail, car il n’avait jamais eu de "gouvernante" aussi compétente que moi. Je me récriais, disant que je faisais cela par pure amitié et que je trouvais vexant qu’il me compare à une femme.
Il me dit de ne pas être vexé, qu’il entendait cela comme un compliment. "Qui sait, ajouta-t-il, peut-être que tu as encore d’autre talents féminins cachés". Sur ce, il me saisit par la taille et me colla un baiser sur la bouche. Surpris, je ne résistais pas, alors il recommença, en insistant, insinuant sa langue entre mes lèvres. J’étais totalement subjugué et je n’ai rien fait pour l’en empêcher.
"C’est bien ce que je pensais, dit mon ami, viens, je vais faire de toi une femme comblée". Je protestais mollement mais je le laissais m’entraîner dans la chambre où il me déshabilla, me caressa, me suça et me fit le sucer et finalement me pénétra avec douceur. Là, je sus que j’avais trouvé ma voie.
Le reste de la soirée se passa en chevauchées de plus en plus sauvages et nous nous sommes endormis épuisés et heureux. Le lendemain, il m’avait baptisé Christina et entendait bien que je me comporte désormais comme une fille. Je ne me sentais pas tout-à-fait à l’aise avec cela, mais j’étais tombé amoureux de mon ami et c’est ce qu’il voulait, je le voulais aussi. Il m’a tendu quelques billets avant de partir disant d’aller m’acheter une tenue plus adéquate pour une fille. "le rose devrait bien t’aller me dit-il en m’embrassant sur la bouche". Je suis donc allé dans une grande surface pour aller m’acheter de quoi me vêtir à son goût. Je suis sorti de là le coeur battant, un short de coton blanc à revers et une tunique rose sans manches, avec un joli liseré de dentelle. J’ai finalement acheté aussi une paire de mules noires à talons de 2-3 centimètres. De retour à la maison, j’ai épilé les quelques poils que j’avais sur le corps et j’ai vaqué à mes occupations coutumières.
Lorsque j’ai entendu mon homme arriver, je me suis rapidement changé dans la chambre, et je suis apparu le coeur battant, partagé entre le désir de lui plaire, la peur de lui déplaire et la honte de ne plus être un homme.
Il me trouva craquante et tint à me faire l’amour avant le repas, pour me montrer combien il me désirait et combien je l’excitais. La semaine est passée pour moi entre les emplettes de vêtements féminins et le sexe.
Puis le vendredi soir, après le repas, j’entendis sonner à la porte. Nicolas me demanda d’aller ouvrir, ce que je fis parce que j’avais confiance en lui. Une petite femme rousse d’une quarantaine d’année se tenait devant moi. "Christina, je présume, me dit-elle". "Euh! Oui, non, c’est-à-dire.. bredouillai-je en m’effaçant devant elle". Elle sourit et entra. Je la débarrassais et la fit entrer dans le salon.
"Christina, je te présente Maîtresse Divina, qui sera ton coach et ton éducatrice". J’étais interloqué, mais Nicolas poursuivit: "Elle va t’apprendre à améliorer ta féminité et les manières. Je veux que dans 10 jours tu puisses sortir de jour sous ton visage féminin, je te veux sexy et glamour. J’ai pris rendez-vous avec un endocrinologue pour envisager une thérapie hormonale".
Tout cela allait trop vite pour moi et je commençais à protester, mais Nicolas m’interrompit d’une voix sévère: "Silence, Christina! Ta maîtresse t’apprendra aussi à tenir ta place! N’est-ce pas? dit-il en se tournant vers la petite femme rousse".
"Absolument, Nicolas, répondit-elle, nous allons en faire une vraie petite femme très rapidement".
Et c’est ainsi que cela se passa. Lors de mon premier rendez-vous chez lendocrinologue, il me fit faire des tests qui révélèrent que j’étais dans ma tête à 65% femme, trop peux pour commencer une thérapie hormonale immédiatement, mais suffisamment pour qu’il me conseille d’explorer le plaisir d’être femme.
Au bout d’un mois, les leçons de Madame Divina avaient porté leurs fruits, je me baladais sans complexe en minijupe et hauts talons, dévoilant mes belles jambes toutes lisses, émoustillée par les regards des hommes se retournant sur mon passage. Je me sentais femme et comblée. il faut dire que Madame Divina était un professeur exigeant et très autoritaire et me faisait répéter et répéter mes exercices jusqu’à épuisement.
Je suis redevenue Christian uniquement pour mes examens de bachelor, que j’ai passé brillamment. Je termine maintenant mon Master, toujours en tant que Christian.
Par contre, j’ai quitté Nicolas. Il était par trop autoritaire et macho et j’ai rencontré une fille lesbienne, qui m’avait draguée alors qu’elle me prenait pour une fille. Je l’ai détrompée rapidement, mais elle m’a gardé et nous sommes maintenant amoureuses l’une de l’autre. Je suis aussi heureux d’avoir trouvé une utilité à mon tout petit pénis, qu’elle apprécie maintenant dans sa chatte, présence qu’elle trouve caressante et non intrusive. Par contre, elle me pénètre avec un très gros gode-ceinture et nous y prenons beaucoup de plaisir.
Je ne sais plus très bien si je dois être Christian, Christina ou bien tantôt l’une ou l’autre. Je ne lâcherais ma féminité pour rien au monde, mais je suis né garçon. N’y aurait-il pas une voie médiane?
Bisous à toutes et tous, Christian-Christina