Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe noir

Femme de chambre ou l'histoire secrète d'une famille bourgeoise – Chapitre 1




Jétais assise dans le taxi memmenant vers des vacances tant attendues. Cela faisait déjà trois ans que jen navais pas prises. – Trois ans dis-je dans un soupir.Et quest-ce quil sen est passé des choses en trois ans.

Laéroport apparut assez vite puis le checking et lembarquement vers une île paradisiaque. Javais quatre heures devant moi. Je pris le carnet que javais acheté dans la librairie et commençai à réfléchir.

Par quoi allais-je débuter mon récit ? Je ne savais pas trop ! Peut-être par me présenter.

Je mappelle Gwendoline, jai 28 ans et suis une femme heureuse. Il y a deux ans, lorsque je travaillais encore dans une grosse boîte, jétais, enfin je le croyais, comblée. Javais un boulot passionnant, un petit ami craquant et charmant et une flopé de copines et de copains. Puis arriva le hic. Délocalisation ! La boîte ferma en deux mois de temps. Chômage ! Je perdis le salaire qui me permettait une vie confortable. Mais pas que cela. Les soi-disant copains et copines qui ne manquaient jamais de dire :

— En cas de coup dur, on est là !

Je ne sais pas ce quils appelaient coup dur. Tant est si bien que du jour au lendemain le gsm arrêta de sonner, les invitations se firent de plus en plus rares. Bref, heureusement quil y avait Fabrice, mon mec.

Enfin pendant un mois car un samedi soir, je reçus un sms me disant :

« Jai enfin trouvé le grand amour. Cest fini entre nous. Envoie mes affaires chez moi ! »

Il était en séminaire avec son entreprise. Cest ce quil mavait dit. Jai su quil était avec une de ses collègues.

Ses affaires furent envoyées chez lui comme il me lavait si aimablement demandé mais juste après le passage de ciseaux bien affûtés ! Il nosa rien dire.

Vu les maigres économies que javais faites en trois ans de boulot, je pouvais tenir quelques temps mais cétait sans compter sur ce connard de propriétaire qui sous prétexte de la crise augmentait le loyer tous les trois mois.

Et puis arriva le déclencheur. Un courrier de loffice du chômage mannonçant que suite aux restrictions budgétaires, le montant de mes indemnités allait être divisé par deux si je ne trouvais pas un emploi dans les trois mois qui suivaient. Là ce fut la panique ! Quallais-je faire ? Je ne pourrais plus payer mon loyer et les charges y afférentes.

Lemployée de lagence dintérim me reçut froidement comme toujours avec ce petit sourire en coin. Elle me refit son laïus, me disant que jaurais du accepter le boulot précédent, que cela me pendait au nez, quil ny avait pas que moi sur le marché,

Bref, les conneries habituelles qui vous rendent coupable encore un peu plus.

Je lui répondis que vu ma formation duniversitaire, je nallais pas accepter nimporte quoi.

Jétais dans limpasse et elle le savait très bien. Je crois même quelle y prenait du plaisir. Elle fit semblant de regarder son écran et me lança :

— Non ! il ny a aucune demande dans votre branche. Désolée.

— Mais jai besoin davoir un boulot sinon de quoi vais-je vivre ? Pas dargent, pas de loyer et ce sera la rue car il ne me fera pas crédit !

— Que voulez-vous ? Ce nest pas de ma faute !

Dans ces moments-là on doit pouvoir mettre son orgueil de côté et cest ce que je fis.

— Même pas un boulot comme nettoyeuse ? Même les ménages ?

— Si, jai quelque chose qui sen approche. Femme de ménages chez des particuliers. Attendez !

Elle extirpa un carton dun tiroir stipulant vouloir une fille de bonne présentation qui savait tenir une maison.

— Mais je doute que vous conveniez car vous navez aucune référence dans ce domaine-là !

— Tant pis ! je convaincrai cette personne.

— Vite dit ! Si vous êtes engagée, vous serez la dixième quelle demande.

— Vous ne me connaissez pas !

— Bien, je préviens la personne et je prends un rendez-vous.

— Merci !

— Je ne fais que mon boulot mademoiselle.

Je partis chez moi, attendant quelle accepte un rendez-vous. Jattendis deux jours et enfin, elle mannonça :

— Elle ne fut pas facile à convaincre mais vous pouvez vous présenter chez elle dans deux heures.

Elle me donna ladresse. Cétait dans les beaux quartiers au sud de Bruxelles. Javais juste le temps de me changer et de prendre le tram. Je mhabillai classiquement : jupe bleue foncé, chemisier blanc et veste assortie à la jupe.

Je trouvai facilement ladresse. Jétais cinq minutes à lavance. La porte dentrée souvrit.

Une femme se présenta sur le pas de la porte. Elle était plus jeune que je le crus, à lallure stricte, le chignon parfaitement fait, une poitrine saillante et libre de toute entrave faisait presque exploser le chemisier. Elle portait une jupe lui arrivant à mi-cuisse dévoilant une longue paire de jambes bronzée. Les mains manucurées étaient fines.

— Hm Jaime lorsque les gens arrivent à lheure. Cela change de la dernière. Entrez !

— Merci. Bonjour Madame fis-je en présentant la main.

— Bonjour fit-elle en ignorant celle-ci. Venez !

On entra dans un bureau à la droite du hall qui était grandiose. Elle alla vers son bureau et sassit sur le bord.

— Tournez-vous, fit-elle.

— Pardon ?

— Faites un tour sur vous-même pour voir de quoi vous avez lair.

Je mexécutai sans rien dire.

— Pas mal ! Mais si vous devez travailler chez moi jexige deux choses : un la jupe doit être plus courte et pas des chaussures à talons plats comme vous portez. Je veux des talons aiguilles ! Ensuite, le chemisier doit être plus seyant et pas bouffant comme le vôtre. Enfin si jaccepte que vous travailliez. Bon, maintenant convainquez-moi !

— Euh

Je ne savais quoi dire après ce déshabillage visuel.

— Dépêchez-vous ! Jai un rendez-vous dans dix minutes.

Je me ressaisis et jouant la franchise, je me lançai :

— Voilà ! Je vais être franche avec vous ! Jai besoin de ce boulot sinon je perds une partie de mon chômage. Faire le ménage ne me rebute pas même si mes études me donnent le droit despérer mieux. Mais si vous mengagez, vous ne serez pas déçue. Bien entendu, dès que je peux avoir un travail correspondant à mon diplôme, je partirai. Et en ce qui concerne le ménage, vous pouvez venir chez moi et vous verrez que je sais tenir une maison propre. Et six années dans un pensionnat vous apprennent une certaine discipline.

Il y eu un blanc. Elle ferma les yeux.

— Cinq cents euros !

— Sil vous plait ?

— Cinq cents euros ! Votre salaire !

— Mais mais cest peu ! A ce prix-là je resterai au chômage ! Je toucherai plus ou moins la même chose sans rien faire ! Gardez-le votre emploi ! au revoir Madame !

Je pris mon sac et allai partir quand elle minterpella

— Attendez ! Vous ne vous laissez pas faire ! Jaime bien ! Cela change des mijaurées que jai eues précédemment. Les cinq cents euros ce sera pendant la période dessai disons quinze jours. Ensuite, ce sera mille euros. Vous serez nourrie ici. Lhoraire est de sept heures à dix-neuf heures du lundi au samedi sauf le jeudi et le vendredi. Ces jours-là, vous terminerez à midi. Vous préparez le déjeuner et le souper. A midi, personne ne mange ici même lorsque je reste. Votre boulot consistera à surveiller les femmes de charges lorsquelles seront là. Vous seule ferez les chambres et personne dautre. Vous vous occuperez du linge : chemise, costume, etc. Vous irez chercher les courses que jaurai commandées, le linge au pressing et quelques autres babioles. Le menu des repas sera affiché dans la cuisine. Comme il ny aura personne la plupart du temps, je vous fais confiance pour respecter lhoraire mais si je devais mapercevoir ou apprendre un manquement quelconque, ce sera la porte sur le champ ! Compris !

— Oui madame.

— Enfin si vous acceptez bien sûr !

— Jaccepte. Merci !

— Attendez avant de dire merci. Bon si vous êtes daccord je propose que vous commenciez demain ! Je ferai le contrat ce soir et vous le signerez demain.

— Je serai là demain matin à sept heures.

— Venez vers neuf heures demain et je vous expliquerai les us et coutumes de la maison.

— Bien.

— Ce sera tout pour aujourdhui. Vous pouvez retourner chez vous.

— Bien madame.

— Et cessez de mappeler Madame. Dites simplement Caroline.

— Bien Caroline. Moi cest Gwendoline mais vous pourrez dire Gwen si vous le souhaiter.

— Si vos parents vous ont donné un prénom ce nest pas pour le raccourcir. Ce sera Gwendoline ! Bon, mon client va arriver dans deux minutes. Partez !

— Au revoir Caroline.

— Au revoir.

Je quittai le bureau et atteignis la porte dentrée lorsquelle minterpella :

— Gwendoline. Tenez. Vous irez acheter des vêtements convenables et des chaussures dignes de ce nom !

Elle me tendit un billet de cinq cents euros.

— Merci mais

— Ce sera votre prime dentrée. A demain.

— A demain dis-je en fermant la porte.

CHAPITRE 2

Ce jour-là, je fis les boutiques comme jamais. Je machetai deux minijupes noires qui marrivaient mi-cuisses. Des chemisiers blancs très près du corps comme elle le voulait et des souliers noirs vernis avec des talons aiguilles.

La vendeuse me fit remarquer lorsque jessayai les chemisiers que mon soutien-gorge était trop voyant. Il fallait soit en choisir un de la même couleur ou alors lenlever. Je lui répondis que je verrais mais cette idée dêtre nue sous ce chemisier me plaisait de plus en plus lors de mon retour à la maison.

Et je le fis !

Le soir afin de fêter dignement mon boulot, je moffris un resto. La sensation bizarre que tout le monde vous regarde menvahit lors de mon entrée dans le resto. Mes seins déjà assez gros (je fais du 95c) semblaient avoir doublé de volume. La situation mexcitait car une boule chaleur envahit mon bas-ventre.

Le serveur vint prendre ma commande et je dois dire que son sourire étincelant me fit craquer. Son pantalon noir lui moulait parfaitement les fesses et jessayai de mimaginer lautre face. Cela faisait longtemps que je navais plus fait lamour. A part mon vibro qui assouvissait mes envies plus aucun sexe fait de chair nétait venu rendre visite à mon petit abricot.

La dernière fois fut le soir de ma rupture. Je me rappelle que folle de rage, je sortis en boîte et menivrai comme jamais. Je me réveillai le lendemain dans un lit et une chambre inconnus, complètement incapable de me souvenir de quoi que ce soit, une main de femme tenant mon sein gauche et de lautre côté un homme ronflant comme pas deux.

Lesprit complètement embrumé par lalcool, je réussis à mhabiller dans une espèce de crainte. La vue de quelques capotes usagées au pied du lit me conforta un peu. Je partis comme une voleuse et ne sachant pas où jétais, je pris un taxi pour rentrer chez moi.

Le serveur vint mapporter mon plat et glissa une carte sur laquelle se trouvait un numéro de gsm et une heure suivie des mots fin de service. Afin de connaître la personne, je téléphonai au numéro inscrit. Une sonnerie retentit. Elle provenait de la poche de mon serveur.

Plus le repas se déroulait plus la faim de sexe samplifia. Je payai mon addition en état dexcitation avancée. Le serveur osa un « A ce soir ? ».

Je lui répondis positivement par un clignement des yeux. Bien que je ne sois pas une fille facile, c soir-là, javais envie de baiser littéralement.

A lheure dite, le serveur sortit du restaurant en me cherchant des yeux mais, métant cachée, il haussa les épaules et partit à pied dans les rues encore animées de la capitale. Je le suivis. Il entra dans un café bondé de monde. Je my engouffrai aussi. Il était au bar accoudé, attendant une bière. Après le bar se trouvait une immense pièce très sombre doù émanait de la musique techno. On ne voyait que les éléments fluos des vêtements étinceler.

Je vins près de lui et sans dire un mot, je le pris par la main et le conduisis vers un coin de la piste de danse. Je le fis asseoir sur un sofa. Et lenjambant, je vins me blottir contre son torse. Mes seins arrivant à la hauteur de son visage. Il me regarda dans les yeux et de mon sac je sortis une petite pochette en aluminium. Il comprit ce que je voulais. Il me poussa un peu, ouvrit son pantalon et sortit son membre déjà bien dur et surtout bien grand. Il lenveloppa avec la capuche en latex puis me prenant par les hanches, il me souleva un peu. Je mempalai littéralement sur ce membre chaud.

Les pans de ma robe cachaient notre petit jeu qui ne fut pas dupe pour certains mais je men foutais complètement. Nous nétions ni les premiers et ne serons ni les derniers à le faire. J’ondulais lentement mon bassin afin de faire sortir le plus possible le long engin que javais entre les cuisses. Des frissons envahirent mon ventre comblé par tant de présence. Lui, ny tenant plus vint plaquer ses main sur mes fesses nues de tout textile. Il imprima le mouvement et sans plus aucune retenue, je montais et descendais sur ce chibre bouillant et ô combien envahissant.

Mes seins nus sous le chemisier frôlaient à chaque montée et descente le visage de mon amant. Cela les fit encore plus durcir. Je sentis assez vite lorgasme arriver. Les gémissement dabord discrets se changèrent en râles bruyants couverts par la musique assourdissante.

Je ne sais pas après combien de temps mais lorgasme arriva comme un tsunami. Mon serveur endurant navait pas encore joui et sans tenir compte de mon premier orgasme, il continua à maintenir la cadence. Le deuxième arriva presque immédiatement ce qui lui fit rendre les armes et à travers la fine pellicule en latex, je sentis les spasmes de son plaisir.

On se calma lentement. A notre gauche un couple sûrement émoustillé par notre manège nous imitait. La fille avait même fait sortir ses seins de son t-shirt et cest à pleine main que son mec lui pinçait les tétons.

Je me soulevai, remis ma jupe correctement et en lui faisant un baiser sur la joue, je pris congé de lui.

A peine sortie du bar, je reçus un sms. Il disait : « Ce fut délicieux ! A bientôt peut-être. Jean ».

Je répondis par un « peut-être ».

Je retournai chez moi et mendormis calmement comme je ne lavais fait depuis des mois.

Le réveil sonna à sept heures. Je pris une douche et pris un soin particulier à mépiler. La sensation dêtre nue sous mon chemisier me donna lidée de faire de même avec mon petit abricot. Il fut vite aussi lisse quune coquille duf. Lorsque je mis un string, je sentis mon sexe shumidifier de plaisir.

A huit trente, jétais dans le bus en repensant à mon serveur et amant dun soir.

Neuf heures plie, je sonnai à la porte.

Caroline vint mouvrir et me fit entrer dans son bureau comme la veille.

— Bonjour, me dit-elle en me tendant cette fois la main.

— Bonjour, répondis-je.

La douceur de sa main me fit tressaillir. Elle perçut ce léger trouble mais ne dit rien. On entra dans son bureau, elle sassit et tout en me regardant enlever ma veste, elle esquissa un sourire.

— Le chemisier et la jupe vous mettent en valeur. Cest beaucoup mieux quhier. Vous avez un beau corps et il serait dommage de le cacher. Mais bon, trêve de bavardages. Voici le contrat que jai concocté hier soir.

Je le pris et lus tout le texte lentement. Il y avait les horaires à prester, le salaire et ensuite quelques remarques dusage.

— Je suis daccord fis-je.

— Parfait. Cest rare les gens qui lisent tout le texte avant de signer.

Je signai et elle fit de même. Un exemplaire dans mon sac, elle minvita à faire un tour de la maison.

Elle était immense, décorée avec goût. Il y avait au rez-de-chaussée un bureau (celui de Caroline qui recevait parfois ses clients), une salle à manger splendide, un salon cosy et une buanderie superbement équipée. Le hall dentrée était la pièce la plus grande et était ornée par un escalier en chêne qui donnait la direction des chambres.

A létage, il y avait six chambres, toutes avec salle de bain et toilettes. Celle de Caroline et de son mari était en fait double car il y avait un boudoir et ensuite la chambre.

Comme nous étions jeudi, je pus partir à midi.

Le jour suivant au déjeuner je rencontrai les deux enfants. Emma, vingt-deux ans avait tout lair de la fille de bonne famille. Blonde, pétillante, toujours souriante, grande, les formes avantageuses, bien habillée, elle détonnait par rapport à son frère Steve. Bien quâgé de dix-sept ans, il en paraissait trois ou quatre de moins. Les cheveux en bataille, les vêtements mis nimporte comment avec nimporte quoi, une tronche jusque par terre, il ne sexprimait que par des borborygmes. La seule chose qui les rassemblait était la haute opinion quils avaient deux-mêmes. Jétais la femme de chambre et rien dautre. Je ne men formalisai pas mais Caroline leur fit quand même la remarque en partant.

Le mari, Jacques, chirurgien plasticien renommé, travaillait une semaine sur deux à Paris. Je ne le vis que la semaine suivante. Il était arrogant, prétentieux, râleur et jen passe. Jamais satisfait des autres, il ne jurait que par lui.

Bref, à part Caroline qui me souhaitait une bonne journée ou me disait bonjour, les autres ne daignaient pas madresser la parole.

Au bout de deux semaines, Caroline vint me dire quelle me gardait et quelle était contente de moi. Je dois avouer que le travail pénible auquel je mattendais se faisait rare. Tous les vêtements étaient portés au pressing. Je devais juste moccuper de la lingerie. A part le déjeuner, les soupers se faisaient rares. Jallais chercher les courses tous les jours au matin. Le nettoyage se faisait pas les deux femmes de ménage qui venait deux matinées par semaine.

Le jeudi, le jardinier venait entretenir limmense parc entourant la maison. Il était grand, musclé, des yeux noirs. Bref, un beau morceau.

Le premier mois se déroula parfaitement si on met de côtés les remarques quotidiennes du père et le mépris des enfants.

Un lundi, jarrivai en pleurs et en retard.

— Cest à cette heure-ci que vous arrivez, me fit Caroline en colère.

— Excusez-moi, fis-je en pleurant. Mais

Me voyant bouleversée, Caroline me prit par le bras, minstalla devant une bonne tasse de café et me dit :

— Que ce passe-t-il ?

— Ce matin, jai rencontré le propriétaire de limmeuble dans lequel je loue mon appartement. Il mattendait devant chez lui car il habite au rez-de-chaussée. Il ma averti que le mois prochain il augmentait le loyer car la crise se faisait sentir. La crise à bon dos, il joue tout au casino oui ! Je lui ai répondu que je ne pourrai pas payer un loyer si élevé. Il ma rétorqué que si je navais plus les moyens, il me chasserait. Je lui ai dit que le loyer avait encore augmenté il y a quelques mois et que cela faisait beaucoup. Il sest mis en colère en me disant que si je nétais pas contente je navais quà partir. Puis il ma pris le bras et en se rapprochant de moi, il ma dit que si cela tenait quà moi et si jétais très gentille avec lui, il oublierait laugmentation. Puis il a posé lautre main sur mon sein en disant que si jétais encore plus sage, il en oublierait le loyer. Je me suis débattue, il ma giflée. Puis il ma prise par la taille et ma mis les mains aux fesses. Je sentais son haleine fétide provoquant la nausée. Jai alors vomi sur lui. Il ma encore giflée. Puis il ma dit de foutre le camp et quil ajouterait les frais de pressing à mon loyer que je dois payer ce soir. Et je suis partie en courant.

Les pleurs reprirent de plus belle.

— Calme-toi, fit Caroline en me tutoyant pour la première fois. On va arranger cela.

— Mais je nai pas assez dargent pour payer ce loyer. Et jai peur de lui.

— Tu ne paieras pas, crois-moi. Calme-toi et attends-moi.

Elle partit dans son bureau. Cinq minutes plus tard, elle revint.

— Dans deux heures, une de mes amies viendra te chercher. Elle est avocate comme moi spécialisée dans les baux. Elle te donnera des conseils et taidera à résoudre ce problème.

— Mais cela coûte cher un avocat

— Laisse tomber. Cest une ancienne assistante et elle me doit quelques services. Comme je nai pas envie que tu ais des problèmes, tu logeras ici dorénavant. Du moins tant que tes problèmes subsisteront. Au deuxième, il y a une chambre aménagée. Tu y seras bien.

— Merci.

— Cest normal. Bon assez pleurniché ! Remettez de lordre dans votre tenue. Je dois partir bosser. Prenez votre matinée ! Jirai moi-même chercher les courses. A ce soir !

Elle partit en me laissant seule.

Vers onze heures, une voiture sarrêta en crissant des pneus. Elle klaxonna. Je sortis et vis une superbe femme dans une Porsche décapotable.

— Cest toi Gwendoline ?

— Oui, madame.

— Florence ! Allez ! Monte !

A peine assise, elle démarra sur les chapeaux de roue. Pendant le trajet, je lui exposai mon problème.

— Tu as un bail oral ou écrit ?

— Oral ! Lancien propriétaire, le père de celui-ci, naimait pas les papiers. Dailleurs, il na jamais augmenté le loyer durant sa vie.

— Cest normal un bail oral ne peut être augmenté ou alors sous certaines conditions. Il était neuf ou vieux.

— Je suis la première locataire de cet appartement.

— Bien. Depuis combien de temps ?

— Neuf ans !

— Toujours le même papier peint ?

— Oui et interdiction dy toucher ma dit le fils.

— Ma chérie ! Tu vas et récupérer ton argent payer indûment mais on va aussi lui réclamer quelques indemnités.

— Ah ? Fis-je interloquée. Comment ?

— Laisse-moi faire.

On arriva chez moi. Elle prit des photos de mon appartement et de limmeuble en général.

— Qui habite le deuxième ?

— Une femme seule !

— Et elle est dans le même cas que toi ?

— Daprès ce que je sais car je lai entendue une fois dans le couloir, elle paie en nature son loyer et elle avait lair daimer cela.

— Ok ! Je vois. Bon, jai fini. Prépare ta valise.

Je partis dans la salle de bain chercher mes affaires de toilettes et je revins dans le living. Plus personne !

— Coquine ! fit-elle depuis ma chambre.

— Mais

— Excuse-moi mais je voulais te donner un coup de main et ce que je vois là à lair appétissant. Me dit-elle en tenant un vibro que je métais acheté par correspondance.

Je ne sus quoi répondre car elle lengouffra dans la valise en disant :

— Le meilleur ami de la femme avec la carte Visa !

Je terminai ma valise quand elle me demanda :

— Tu veux un café ? Jadore les cafés de ce cher George

— Euh oui, dis-je un peu énervée quelle regarde partout chez moi.

Arrivant en trombe dans le living, elle me télescopa avec ma tasse de café. Je reçus le liquide brûlant sur mon chemisier. Cela pinçait !

— Vite enlève ton chemisier ! dit-elle en allant chercher un essuie trempé deau.

Comme cela brûlait jen oubliais que je ne portais aucun soutien-gorge et cest la poitrine nue quelle me vit. Sans réagir, elle appliqua lessuie trempé sur mon sein gauche. Cela apaisa la morsure légère mais présente de la brûlure.

Dune voix rauque, toujours en massant le sein, elle me dit :

— Tu as de beaux seins !

— Merci, balbutiai-je.

Bien que la sensation de brûlure soit partie, je la laissai continuer car une autre sensation envahissait mon corps. Elle le comprit car en prétextant quil y avait peut-être eu du café sur lautre sein, elle sappliqua à les masser tous les deux. Je perdis pied et en fermant les yeux, je laissai partir un petit gémissement.

Subitement, elle lâcha :

— Il est tard, il faut partir. Habille-toi !

Un peu déstabilisée, je réussis avec peine à trouver un autre chemisier et à prendre ma valise. Dans lascenseur, Florence est en face de moi. Juste quelques centimètres nous séparent. Le trouble menvahit. Aimerais-je les femmes ?

On monta dans la voiture et démarrage en trombe. Pendant le trajet du retour, Elle posa sa main sur ma cuisse entre deux changements de vitesse. Arrivées devant la maison, elle me dit :

— Au revoir ! Je donnerai des nouvelles bientôt.

— Au revoir !

— On se fait la bise ?

— Ok !

Je me penchai vers elle pour lembrasser sur la joue lorsquelle tourna son visage et cest sur ses lèvres brûlantes que mon baiser sécrasa. Surprise, jôtai rapidement ses lèvres des siennes. Elle me regarda fixement en en riant, elle minvita à quitter la voiture.

En partant, elle menvoya un baiser.

Je rentrai dans la maison. Caroline mattendait derrière la porte et navait sûrement rien raté de ce quil sétait passé dans lauto mais elle nen fit pas mention.

— Venez, je vais vous montrer votre chambre.

On prit un autre escalier que celui du hall dentrée et on atteignit le deuxième étage. La chambre était spacieuse. Deux grandes fenêtres léclairaient et javais une vue superbe sur le jardin. A chaque fenêtre sadossait un balcon. Le lit à baldaquin me paraissait gigantesque par rapport au mien. Jallais être bien.

— Jespère que cela vous plait.

— Oh oui ! Merci pour tout.

— Ce nest rien. Je vous laisse vous installer. Je dois partir. A ce soir.

— Caroline ?

— Oui !

— Il faudra me dire combien de loyer je dois vous donner.

— Rien. Par contre je vous demanderai certains jours de week-end lorsque nous recevons de bien vouloir rester et de faire le service. Sinon votre horaire restera le même. Tenez ! Voici deux clés. Elle ouvre la porte tout en bas de lescalier, juste en face de celle que nous avons prise. Elle donne dans lallée du jardin. Et celle-ci ouvre la porte entre le jardin et la rue arrière. Je vous conseille daller voir car il ne fait pas très clair au soir si vous voulez sortir. Ainsi vous serez libre de faire ce que vous voulez. Ah oui ! Juste une remarque : personne ne doit venir ici à part vous ! Donc pas dinvité nocturne ! Compris !

— Oui !

— A ce soir alors !

Elle partit et je défis mes valises. Nayant rien à faire de manière urgente, je décidai de faire le tour du jardin. Je pris lallée et cherchai la petite porte que je trouvai assez facilement. Je louvris et surprise, elle ne faisait aucun bruit contrairement à létat général de la barrière. On avait huilé parfaitement les gonds.

Je continuai mon petit tour et aperçus une grande cabane en bois. Elle devait abriter les outils de jardin. Jy jetai un coup dil et là je fus scotchée sur place. Jy découvris bien entendu les tondeuse ou autre bêche mais je vis aussi Emma, nue, en train de goûter activement le sexe dune autre femme !

Cela faisait déjà un long moment quelle devait butiner le sexe luisant de son amante car celle-ci émit un long râle annonciateur dun orgasme. Maintenant la tête dEmma sur son sexe, elle hurlait plus quelle ne criait son plaisir croyant sûrement être seules dans le jardin.

Le calme revenu, ce fut au tour dEmma de se coucher et décarter les jambes. Cest vrai quelle a un beau corps, pensai-je un peu jalouse. Son sexe était surmonté dun duvet blond vénitien comme ses cheveux.

— Une vraie blonde !

La femme ne prit pas de préliminaire et attaqua directement le bouton tout gorgé de sang. Emma réagit au quart de tour. Je la vis les yeux fermés gémir tant et plus. Je ne sais pas ce quil ma pris mais au lieu denfouir une main dans mon string et dassouvir cette envie de sexe qui me prenait le ventre, je sortis mon gsm et en activant la vidéo, je les filmai.

La femme tendit le bras et attrapa un long et gros godemiché. Lentement, elle lenfonça dans le fondement dEmma. Elle avait lillet bien facile ! Le gode entra complètement, jen étais abasourdie. Puis, sortant de je ne sais où, elle pris un gode ceinture et sharnacha.

Elle lapprocha du visage dEmma qui mimant une fellation, enduisit de salive le membre en latex. Jai toujours trouvé cela obscène dans les films pornos mais là javouai que cela mexcitait à mort. Puis, elle descendit et senfonça sans ménagement dans le sexe humide. Emma se cabra un peu afin de sentir lintromission. La femme entama un long va-et-vient. Pendant ce temps, Emma se pinçait un sein dune main et de lautre sastiquait le bouton. Ce manège ne dura pas longtemps avant quelle ne jouisse comme une furie. Tellement que le membre enfoncé dans son cul ressortit tout seul.

Les cris se firent plus doux. Elle tressaillait encore sous les reflux de lorgasme. Puis, se levant, elle faillit me voir mais rapide, je mécartai de la petite fenêtre. Sans demander mon reste, je méloignai et me cachai dans les buissons. Elles sortirent de la cabane discrètement et partirent vers lentrée au fond du jardin.

— Je ne suis pas la seule à men servir, fis-je pensive.

Je retournai dans ma chambre et en copiant la vidéo sur mon ordinateur je me branlai frénétiquement assouvissant le désir qui tenaillait le ventre.

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