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Ma grosse Elodie – Chapitre 1




Je m’appelle Antoine et à 23 ans, je dois me farcir un de ces stages de fin d’études. Du coup, je traîne mon mètre quatre-vingt-huit dans les couloirs d’une boîte parisienne, affecté au service juridique. La bonne nouvelle, c’est que le groupe de stagiaires avec lequel je bosse se compose exclusivement de jeunes filles. Un des bons aspects des filières en droit ! Il y a vraiment de très belles représentantes de la gent féminine, une blonde, une brune, une à la peau bronzée… Et pourtant !

Pourtant, celle qui retient le plus mon attention n’est pas une de ces beautés fines et élancées : c’est la dernière arrivée dans le groupe de stagiaires, Elodie. Elle a une peau mate mais assez pâle, des cheveux noirs lisses et mi-courts, de belles joues ; mais surtout, elle est plutôt petite (1,60m à vue de nez) et, disons-le franchement, assez corpulente. C’est largement la plus marrante du groupe, la moins coincée, la plus taquine ; pleine d’autodérision, elle assume ses formes et je ne peux me retenir de lancer des coups d’il discrets vers sa poitrine, qui de toute façon ressort quoi qu’elle mette.

Je la trouve incroyablement bandante.

Elle est très mignonne même (et surtout !) sans fard et autres maquillages, sa jolie bouche suffit à me faire rougir et évidemment je me retourne chaque fois que je peux dès que je la croise dans les couloirs, admirant son joli déhanché. Même dans une robe, je vois ses fesses généreuses se mouler dans le tissu, à chaque pas, c’est devenu presque obsessionnel.

Je l’ai souvent cornaquée lorsqu’elle devait apprendre à taper un compte-rendu juridique. Assise à côté d’elle à son bureau, chaque contact avec sa peau douce était un risque de plus pour ma santé mentale, je devais me retenir de la déshabiller sur place, elle était vraiment trop… Belle avec son village simple et ses courbes qui se balançaient sous ses vêtements, je voyais parfois dépasser une bretelle de soutien-gorge, cela suffisait à rendre tout contact avec elle électrisant… Un jour, dans un mouvement soudain, j’ai eu peur qu’elle touche de sa main la demi-molle qui m’était venue quand j’ai vu une partie de son soutien-gorge dépassant du col de sa robe…

Le lendemain, je reçus un mail d’elle, alors qu’elle n’était pas au bureau :

"Rendez-vous ce soir chez moi, à 18h. Elodie"

Sans autre commentaire que son adresse…

Je partis donc un peu plus tôt de mon bureau, me rendis dans cette rue du nord de Paris. Alors que je me postai devant l’adresse convenue, elle me surprit en arrivant derrière moi, me disant bonjour de son beau sourire. Elle était vêtue d’une jolie et large robe verte, de petites sandales, elle avait lissé ses cheveux noirs… Autant dire que son charme n’avait pas disparu en un jour…

Elle m’invita à monter. Ma température corporelle devait être équivalente à l’Etna en éruption l’été, et chaque marche montée, les yeux bloqués sur les fesses qui bougeaient juste devant moi, renforçait mon état…

Sitôt la porte de chez elle refermée, elle prit l’initiative, d’un ton très naturel :

"Ca y est on est arrivés… Tu peux te lâcher maintenant"

Je l’embrassai directement, mes mains sur ses épaules, même si pour cela je devais me casser le dos…

Je n’en pouvais plus, je devais absolument lui enlever cette robe, qui la mettait en valeur mais qui surtout cachait ses belles formes que j’avais tant envie de toucher. Je me mis vite dans son dos, pris le bas de la robe et remonta le tout ; lorsque le vêtement pistache lui fut enlevé, Elodie se présenta à moi dans ses sous-vêtements violets en dentelle. Son soutien-gorge retenait à grand-peine ses seins magnifiques, et sa large culotte laissait deviner ses fesses bien grosses.

Je suis resté immobile une seconde devant ce spectacle que j’espérais à peine un peu plus tôt ; c’était encore plus beau que ce que j’avais imaginé. J’ai fourré à l’instant d’après mon nez sur son si beau décolleté, sur les seins qui plongeaient à travers le tissu violet, j’embrassais la chair mammaire de cette grosse femme, mes mains se refermaient avec avidité sur ses mamelles, elle enleva elle-même son soutien-gorge :

" Tu as l’air d’aimer mes seins… Vas-y j’aime comme tu me caresses. Lèche-les-moi, encore, encore…"

Et moi je tétais ses beaux mamelons, ces beaux melons, j’admirais la pente douce qui partait de sa gorge pour finir à ses tétons, j’admirais chaque parcelle de peau qui ensemble formaient l’opulente poitrine. Et tout ceci m’était offert par cette douce fille, assise sur le lit, qui passait sa main dans mes cheveux, me couvait d’un regard tendre tandis que j’avalais odieusement ses mamelons. Elle me prit finalement une main, l’accompagna vers sa culotte, et je pus alors sentir combien elle mouillait…

"Regarde comme tu m’excites avec ce que tu me fais… Je crois que j’ai besoin de me soulager, mon beau…

Toujours muet, je la fis basculer sur le lit, rendu fou par ce corps qui n’attendait que mes caresses… Et il y avait beaucoup à caresser sur corps dodu ! Les sous-vêtements valsèrent, je repris ma visite des mamelons d’Elodie pendant que je cherchai des doigts son clitoris. Seule une de mes mains était occupée, je pouvais encore profiter des larges seins pendant qu’elle commençait à soupirer quand j’activais mes doigts en elle.

Ceci ne suffit très rapidement plus… Je devais tout croquer en elle, ses seins, son ventre, ses pieds, ses grosses fesses… Pendant que mes doigts glissaient toujours entre ses lèvres, je pouvais m’attarder à loisir sur son trou du cul, y mettre un doigt, ou encore mieux ma langue… Pour ce que je prévoyais de faire, lécher les parois de son petit trou me serait indispensable… Je le fis avec application, mit le nez entre ses fesses, ses jolies fesses rondouillettes que mes mains ne suffisaient pas à tenir. Une fois qu’elle eût joui, elle se releva, me roula un beau patin, puis m’invita à passer par-derrière, comme si elle lisait dans mes rêves les plus fous…

"Tu es plutôt doué avec tes doigts dis donc ! Qu’est-ce que tu dirais de passer un peu de temps sur l’autre trou maintenant ? Allez j’ai tellement envie que tu m’encules, de toute façon t’as l’air de l’aimer mon trou du cul, j’ai bien aimé comme tu m’as léché d’ailleurs;… Allez, viens entre mon gros cul, viens m’enculer, moi ta grosse salope…"

Ni une ni deux, manipulé par cette grosse nympho, je profitai d’avoir lavé comme il le faut son trou pour y planter ma lance. Je fis glisser quelquefois ma bite entre ses fesses, très vite je pus rentrer profondément entre ses cuisses, je ne peux retenir de lui donner quelques fessées bien senties sur ses fesses qui rebondissent bien, c’était tellement bon, j’étais en train de me défouler à l’intérieur de son gros cul ; en plus elle sait mouvoir si facilement son large corps, avec son bras qui caressait discrètement ma jambe… Elle restait étonnamment agile, gracieuse, même quand je la pénétrais, elle avait un talent fou pour m’exciter !

"Surtout ne change rien, tu vas bientôt me faire jouir, continue me pénétrer, ouiii ! "

Sitôt qu’elle eût joui, elle se cambra un peu plus, comme pour me donner encore plus libre accès ; je plongeai, encore et encore. Quand je lâchai enfin ma semence, ce fut une apothéose, un profond sentiment d’autoréalisation m’envahit. Je m’allongeai d’un coup après m’être retiré, pris de fatigue.

Quand elle revint m’embrasser, elle n’avait pas perdu son mignon petit visage après l’acte.

"Tu n’es pas pressé de repartir, j’espère ? Tant mieux. "

Elle vint se lover dans mes bras, m’écrasant presque, pour une longue, longue soirée…

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