Vu que je m’y suis pris trop tard pour l’inscription au concours récit angoisse, voici le petit récit que j’ai fait
Vendredi soir, enfin. La journée de travail est finie. Il a donné rendez-vous à Magalie à lappartement à dix-neuf heures. Il aura eu, d’ici là, le temps de prendre sa douche et de se préparer. Cela fait trois mois quil connaît Magalie et il a décidé pour ce week-end de l’emmener découvrir sa région natale. Il a hérité d’une maison au bord de mer où ils passeront le week-end.
A l’heure dite, Magalie sonne à la porte. Il lui ouvre, l’embrasse en la pelotant. C’est ce qu’il aime chez Magalie, il peut la peloter comme il veut, elle ne dit jamais rien. Il la repousse, lui fait faire un tour sur elle-même pour admirer sa tenue. Petite jupe courte, soquette, chemisier à boutons, s’il ne la connaissait pas, il pourrait croire qu’elle vient de sortir d’une école de bonne sur. Il s’approche, l’embrasse de nouveau et met sa main sur le pubis en soulevant le jupe. Cette petite coquine n’a pas mis de culotte, et en passant son doigt sur la fente, il le ressort tout mouillé. Il ouvre sa braguette, soulève Magalie et la fait descendre sur lui. Magalie guide sa queue et s’empale doucement, lentement. Kevin se dit que d’aller à la salle de sport faire de la musculation sert à quelque chose, parce que même si Magalie ne pèse pas lourd, il faut quand même la soulever et la tenir. C’est très rapide, il jouit très vite.
Il la repose par terre.
— Hummmm, un week-end qui commence vraiment bien, dit Magalie avec un sourire malicieux. Je vais aux toilettes et on part après ?
— OK, je suis près.
Kevin se reboutonne et attend. Aussitôt Magalie prête, ils partent. Il y a bien sûr quelques embouteillages mais rien que de très normal pour un vendredi soir. Quand ils doublent des camions, Kevin soulève la jupe de Magalie et ralentit à hauteur de la cabine. Un petit coup de klaxon, les routiers sont tous sourires. Ils sont à destination au bout de trois heures de route. La maison de Kevin a une vue imprenable sur la mer. Elle est dans un lotissement de quatre maisons.
Aussitôt arrivés, ils se précipitent sur la plage. Il commence à être tard et il n’y a plus personne. La nuit est tombée. Il couche Magalie dans les dunes et lui fait l ’amour, un petit cuni pour commencer suivi d’une bonne levrette. Magalie se caresse pendant qu’elle est prise et jouit doucement. Ils rentrent dans la maison, sortent les courses qu’ils ont faites en cours de route. A un moment, Magalie se tourne vers Kevin :
— Es-tu sur qu’elle est inhabitée ta maison ?
— Oui, pourquoi cette question ?
— Je sais pas, j’ai l’impression d’être épiée
— C’est sur, tu es épiée, et je peux même te dire qui mates ton joli petit cul.
— Ha, oui, et qui ?
— Moi, voir un tel cul me fait bander.
Elle souleva sa jupe
— Et comme cela, tu le vois mieux ?
— Comme cela, ça me donne envie de m’en occuper surtout
— Qu’est-ce que tu attends
Il ne se le fit pas dire deux fois, se mit derrière elle et la prit sans aucun ménagement.. Alors quil était en pleine action, elle hurla :
— Arrêtes, je veux que tu arrêtes.
Interloqué, Kevin sexécuta
— Qu’est-ce qu’il y a Magalie ?
— Il y a qu’on nous épie
— On nous épie ? Ce doit être Roger. C’est mon voisin et il garde la maison quand je suis absent. Cela lui arrive de faire un tour la nuit
— Non, ce n’est pas de dehors que l’on nous épie, c’est de l’intérieur
— Ecoutes, je crois que tu es surtout très fatiguée. Manges un morceau et une bonne nuit de sommeil
— Mouais…tu as peut-être raison, mais je n’aime pas cette ambiance, je me sens oppressée.
Ils mangèrent rapidement et allèrent sous la couette. Dans la nuit, Magalie eut froid, Elle chercha Kevin ne le trouva pas. Il n’était pas dans le lit. Elle entendit un murmure, comme si quelqu’un parlait. Elle se leva, ouvrit la porte et entendit Kevin. Elle ne comprit pas ce qu’il disait, mais il parlait à quelqu’un, elle en était sure. Elle alla dans la salle
— A qui parles-tu?
— A personne, je parle tout seul. Je n’arrivais pas à dormir et je ne voulais pas te réveiller. C’est tout. Mais dis, donc, tu dors toute nue et tu sais que tu es mignonne comme cela.
— Je ne sais pas si je suis mignonne, mais franchement, je n’aime pas être ici. Viens te coucher avec moi, je ne suis pas rassurée
Une fois au lit, ils se font un câlin, tout doux, tout gentil. Un petit baiser presque chaste pour ce dire bonne nuit. Magalie a du mal à dormir alors que Kevin ronfle. A un moment, elle sent un courant d’air, comme ci quelqu’un avait ouvert la fenêtre. Elle regarde, non, la fenêtre est bien fermée. Elle frissonne, et se blottit contre Kevin et finit par s’endormir.
Magalie sent une caresse, elle se fait précise, s’insinue entre ses cuisses, titille son bouton, une légère pénétration tout en caressant le clito Magalie commence à gémir, elle ne pensait pas que Kevin était aussi doué. Magalie se laisse aller, sent la jouissance arrivée, elle pousse de petits cris et jouit doucement. Alors qu’elle retrouve ses esprits, un énorme ronflement la fait sursauter. Elle allume, Kevin dort à poing fermé, allongé sur le ventre. Elle peut voir son sexe flasque. Elle se demande qui la caressait ? Était-ce un rêve ? Elle est sure que non. Alors qu’elle en pleine réflexion, elle voit le sexe de Kevin qui grossit. Elle regarde, étonnée, cette transformation. Kevin bande, mais non seulement, il bande, mais il va jouir. Elle voit le sexe frémir et éjaculer. Elle entend Kevin murmurer : tu es la meilleure de toutes, Séverine. Magalie le regarde, il dort à poing fermé.
Après de longues minutes de réflexion, elle décide de se lever sans faire de bruit. Elle ne passe rien sur elle et va dans le salon, fait le tour de la pièce. Elle entend un léger bruit d’eau, c’est dans la salle de bain. Elle y va, ouvre la porte, quelqu’un prend une douche:
— Séverine ?
— Oui, tu peux allumer, n’ai pas peur, je ne te veux pas de mal, au contraire
Magalie allume la lumière et voit un corps sans tête qui prend une douche. La tête est posée sur le lavabo, souriante, Magalie a un mouvement de recul
— Je sais que je peux te faire confiance, dit la tête, j’ai vu comment tu te comportes avec Kevin
— Qui êtes-vous ?
— Je suis la première femme de Kevin et je veille sur lui.
— Que vous est-il arriver?
— Notre cher voisin, Roger, m’a tuée. Trop long à raconter mais sache que maintenant, je ne lui laisse plus une seconde de répit. Entre les tiroirs qui s’ouvrent tout seul, sa télé qui se met à brailler en pleine nuit, il dort très très mal. En plus, s’il commence à s’endormir je lui susurre à l’oreille, N’oublie pas, Séverine pense à toi. Alors, il sort en courant comme un diable et en hurlant dit Séverine en riant
— Vous êtes diabolique
— C’est lui qui a commencé, il n’avait qu’à pas me tuer
— Vous étiez obligée d’être comme ça, la tête posée sur le bord du lavabo?
— Je voulais faire un dernier test et tu l’as passée avec succès.
Le corps sort de sous la douche, les mains prennent la tête et la remettent en place
Séverine reprend :
— Je suis là pour faire attention à mon homme On a longtemps discuté avec Kevin, d’ailleurs tu nous as entendus. Je te le laisse, il te mérite, tu es exactement celle qu’il lui faut et je sais que tu toccuperas bien de lui et en plus, j’ai pu constater combien tu étais réceptive.
— C’est vous et pas Kevin qui m’avait caressée?
— Oui, et c’est moi après qui l’est fait bander et jouir
— Vous êtes un fantôme pas banal.
— C’est ce que dit Kevin. Il a eu du mal à comprendre mais maintenant ça va. Et vous, vous n’êtes pas comme toutes ces petites salopes qu’il a ramenées jusqu’à présent. Il y en a une, elle faisait déjà l’inventaire de la maison pour voir quel profit elle pourrait en tirer. Alors , je me suis occupée de son cas. Elle a réellement craqué quand elle a vu ces petites culottes sortir de sa valise toutes seules. Kevin était parti au marché, quand il est rentré , elle s’était enfuie. Mais le mieux , c’était celle qui se refusait à lui, soi-disant que cela ne se faisait pas avant le mariage. Je me suis renseignée sur elle et j’ai appris qu’il y avait qu’un vieux chien de son village qui ne lui était pas passée dessus.Çà sentait l’arnaque à plein nez et j’ai horreur des filles qui veulent se faire passer pour des saintes-nitouches alors que ce sont des belles salopes, elles rendront mon homme malheureux. Une nuit, elle a aperçu juste ma tête, pas complètement, qui se baladait au plafond de la chambre. Elle s’est retrouvée à poil dehors tellement elle a eu peur. Elle a dit à Kevin qu’elle ne voulait pas de cette maison hantée. Je me suis approchée d’elle. L’avantage d’être un fantôme, tu choisis comment les gens te perçoivent. Là, j’ai choisi qu’elle me voit flouter et qu’elle sente le froid, tu vois ce que je veux dire, je te l’ai fait
— Oui très bien,
— Alors qu’elle frissonnait. je lui ai dit : tu as deux solutions, tu te fais enculer maintenant là sur la pelouse et tu te casses juste après ou je viens hanter toutes tes nuits et je sais ou tu habites. Cette conne, s’est foutue à quatre pattes, à relever sa nuisette et à supplier Kevin de l’enculer. Tu parles qu’il ne s’est pas fait prier, cela faisait tellement longtemps qu’elle le menait en bateau, qu’il l’a enculée bien profondément . Mais, ou elle m’a étonnée, c’est que je croyais que ce serait une punition, toutes les femmes n’acceptent pas la sodomie et bien elle, non seulement elle l’a acceptée, mais elle a joui. Toujours est-il qu’aussitôt que cela a été fini, elle a dit adieu à Kevin.
Séverine et Magalie éclatèrent de rire. On aurait dit deux copines qui sont contentes de se voir.
— Je ne savais pas que les fantômes pouvaient être aussi salopes, dit Magalie, viens te coucher avec nous, tu l’as bien méritée et si l’envie te prends de me caresser, n’hésite pas, j’adore faire l’amour
Kevin dormait , elles se couchèrent chacune d’un cotè. Un grand sourire apparut sur le visage de Kevin. La nuit fut courte et mouvementée.
Depuis, Magalie et Kevin viennent très souvent à la maison. Magalie attend toujours le petit courant d’air qui signale la présence de Séverine. Elle est très contente de retrouver son amie. Dernièrement, elle a aperçu Roger, il est de plus en plus hagard et dans le village, personne ne croit à son histoire de fantôme.