MAUVAISE POSTURE.
Le tatoueur semble fier de son travail et est très satisfait de constater que je trouve ce quil ma fait merveilleux.
Il me dit :
— Assois-toi sur la table ! Beaucoup de femmes perdent de la sensibilité après une pose de piercing et prennent donc moins de plaisir. Il faut donc que je teste. Il faudra que tu me dises si tu ressens les mêmes effets quavant, sinon il faudra que tu choisisses entre les piercings et le plaisir.
Là il minquiète. Si je ne peux plus prendre de plaisir cest comme une petite mort pour moi. En tout cas jai déjà choisi. Je préfère et de loin, le plaisir a ces objets, mais je reste persuadée que je vais prendre beaucoup plus de plaisir avec mes piercings et mes chaines.
Je massieds donc sur la table en écartant sensiblement les jambes ce qui a pour effet de me faire rougir de honte. Jai limpression dêtre chez un médecin qui mexamine, mais ce nest pas du tout le cas.
Le tatoueur sapproche. Il se place debout entre mes jambes ouvertes. Son torse est proche de mon corps. Il est beau, merveilleusement beau. Jai envie de caresser son buste, de lembrasser. Jai terriblement envie de lui.
— Ne soit pas choquée par ce que je vais faire ? Cest uniquement pour savoir si tout va bien !
Je hoche la tête de bas en haut en avalant très difficilement ma salive.
Il saisit alors la créole de mon téton droit, et tire assez fort dessus.
Je pousse un léger gémissement.
— Tu as mal ?
— Oh non ! pas du tout.
Il prend alors celle de mon sein gauche, sans lâcher celle de la main droite. Il tire également dessus, puis il se met à les faire tourner les 2 en même temps ce qui a pour effet de tordre et de torturer mes tétons.
— Hummm ! Ohhh arrêteezzzz !
Il est surpris mais continue. Il tire maintenant sur les chaines et je gémis de plus belle.
— Hummmm ! Nooonn ! Arrêteeeez !
— Tu as mal ??
— Oh non !
— Alors pourquoi veux-tu que jarrête ?
— Parce que cest trop bon !
— Allez un dernier petit test sur les seins !
Il les prend alors à pleine main et se met à les masser vulgairement, violemment. Il écrase mes tétons, joue avec eux les tords, les étirent. Plus il approche son visage, pose sa bouche sur mes seins, et se met à mordiller mes tétons.
Et moi je suis en transe.
— Huumm ! Ohhh ! Ouuiiiiiiiiiiii ! Ohh cestboonnnnnnnn ! Jaimmmeee ça ! Arrêtez cest trop bon ! Cest trop bon ! Je vais jouiiiiiirr !
Il retire ses mains de mes seins et me dit :
— Bon tu prends toujours du plaisir, cest déjà ça ! Mais en prends tu autant quavant ?
Je baisse la tête et réponds.
— Jen prends beaucoup plus !!
Il me regarde étonné. Sans doute suis-je une exception. Les autres femmes doivent ressentir moins de plaisir sinon autant, moi cest totalement linverse, ses caresses mont rendu dingue et en quelques secondes jétais au bord de la jouissance !
— Bon maintenant, il faut tester votre sexe !
— Non surtout pas !! Je pense que ça ira !!!
— Mais il faut vraiment essayer, bien que je pense que le plaisir sera là, je préfère me rendre compte !
— Daccord mais allez y doucement quand vous me toucherez, car je suis au bord de la jouissance !
— Ce nest pas grave, tu peux te laisser aller, tu peux jouir si tu en as envie ! Ce serait même mieux, au moins nous aurions la preuve certaine que le plaisir est là et bien là et tu pourras me dire si ta jouissance est aussi forte quavant !
— Non il ne faut vraiment pas ! Je vous assure !
— Mais pourquoi !
Jhésite un moment puis je crache le morceau :
— Parce que je vais salir votre short ! Je suis une femme fontaine et jéjacule quand je jouis trop fort !
— Ne ten fait pas pour mon short, je ne le porte plus !
— V.. V.. Vous vous êtes ! nu ?
En guise de réponse, il écarte mes cuisses et se glisse entre elles. Je ne résiste pas, jai trop envie quil me prenne. Je me cambre, mes tétons et mon clitoris sallongent, je gémis longuement tellement cest bon, puis je passe mes bras autour de son cou, colle mes seins contre son buste musclé.
Je sens alors son gland se coller à ma vulve. Je pousse un petit cri. Le gland est énorme, monstrueux. Doucement il senfonce en moi. Malgré tout ce que mon sexe a avalé depuis quelques jours, son manche a du mal à entrer. Cest incroyable, merveilleux, je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. Jembrasse son cou, son visage, je frotte mes seins contre lui, lui gémis dans loreille. Et, lorsque le gland cogne enfin au fond de ma chatte, je pars dans une jouissance extraordinaire, un orgasme merveilleux. Jexplose, il se retire pour laisser gicler ma jouissance sans que son manche ne me gêne, et ce liquide gicle à grand jets, dautant plus que ce salaud de black est en train de masturber mon clitoris en même temps. Une fois les jets épuisés, il me reprend. Son sexe entre beaucoup plus facilement. Il me tient bien par les hanches et se mets à aller et venir, lentement, et profondément. Jondule sur la table en continuant de lembrasser, je me cambre au maximum pour que les chainettes martyrise mes tétons et mon clito. Puis le black accélère progressivement. Ses coups de boutoir se font plus violents, son gland cogne très fort au fond de ma grotte.
Puis il sarrête de bouger sans pour autant sortir de moi. Je ne comprends pas ce qui se passe mais je ne tarde pas le découvrir.
Je découvre que la vendeuse est entrée dans la pièce. Mamad bafouille :
— Heu ! Excuse-moi Pauline chérie ! Mais cette salope est une femme fontaine, elle ma trop excité, jai pas pu résister ! Mais je te jure que cétait uniquement sexuel, il ny a aucun sentiment ! Et elle ne tarrive pas à la cheville !
La vendeuse se rapproche de la table. Je ne la vois mais je le comprends au bruit de ses pas.
— Mais rassure-toi chéri ! Je te comprends ! Je comprends quun homme aussi fidèle soit il ne puisse pas résister à cette jolie petite pute ! Ce nest pas de ta faute mais de la sienne !
Puis je sens sa main qui prends mon menton et me fait tourner la tête vers elle! Je la regarde, et à lexpression de ses yeux, je comprends ce quelle veut faire.
Jouvre alors la bouche, passe un bras autour de son cou tout en gardant lautre autour du cou de son mec. Sa bouche rejoint la mienne et nous nous une pelle des plus sensuelle. Tout en membrassant, dun seul geste, elle dégrafe sa robe et se retrouve nue en un rien de temps.
Elle se met alors à caresser mes seins tendrement. Voyant cela, son fiancé reprends ses allées et venues et ça me rends dingue. Je pousse des petits cris étouffés dans la bouche de la vendeuse. Je me tortille dans tous les sens les chainettes tirent très forts sur mon bouton damour et mes tétons, cest tellement bon que je jouis en giclant une nouvelle fois.
— Mamad ! Fais la descendre ! quelle sallonge sur le sol !
Mamad se retire. I na pas besoin de maider, cest de moi-même que je mallonge sur le sol attendant la suite des hostilités.
— Vas-y mon Amour ! Prends là comme tu veux et décharges dans cette petite salope !
Je mattends à ce que Mamad me pénètre, mais il saccroupit au dessus de mon buste. Je vois alors son énorme sexe au dessus de mon visage. Il est dune longueur incroyable. Je vous ai dit plus haut quil ne porte pas de piercing, et bien il en porte finalement un : sur le gland. Cétait donc ça ce petit frottement à la fois légèrement douloureux, mais surtout follement excitant quand il me prenait.
Mamad fait un truc étrange. Il se met en position de faire des pompes, c’est-à-dire, les bras tendu et le corps doit au dessus de moi. Ainsi, son gland vient immédiatement cogner mon visage. Alors dune main jattrape le manche, le guide jusquà ma bouche, je louvre en grand, et le sexe parvient à pénétrer dans ma bouche avec beaucoup de difficulté. Je sais ce quil veut, et il le fait.
Il se met à faire des pompes, et ce faisant, son manche va et vient dans ma bouche, il ne peut pas en sortir complètement, car il est bien trop long, pour ça. Par contre jéructe et je bave chaque fois que son sexe se retire du plus profond de ma bouche. Jéructe et je bave, car il est train de carrément métouffer, et ça me rend dingue. Il lève bien les fesses et sort complètement de ma bouche en cessant de faire les pompes. Je reprends ma respiration en gémissant, en bavant, puis il senfonce à nouveau et reprends ses mouvements fous.
Puis il pousse un cri rauque, et sort de moi précipitamment. Sa femme mattrape aussitôt par les cheveux et tire violemment pour mobliger à massoir. Mamad sapproche, la queue à la main. La vendeuse sagenouille à coté de moi, elle saisit lénorme manche à son mec, puis le masturbe avec beaucoup de tendresse.
— Vas-y mon Amour ! Vide-toi dans sa bouche !
Puis elle prend le sexe de Mamad dans sa bouche, fait 2 ou 3 allées et venues en serrant bien ses lèvres autour du manche de son homme. Mamad pousse des grognements. Sa copine approche le sexe de mon visage. Instinctivement jouvre la bouche en grand, puis ça gicle. Ça gicle avec abondance, ça entre dans ma bouche, explose au plus profond de ma gorge. Ma bouche est pleine, ça déborde et je nai surtout pas envie que ça dégouline, je veux tout dans ma bouche. Alors javale, javale au fur et à mesure que ça gicle. Son sperme est délicieux, et quand la vendeuse tire avec une violence folle sur la chaine, jai limpression que lon marrache le clitoris, je pousse un cri de folie et jexplose de jouissance en giclant toute ma sève
La vendeuse dit :
— Ah la chienne ma giclé sur le visage ! Ça demande une petite vengeance!
Mamad qui a fini de se vider sort de ma bouche. Le mot « vengeance », au lieu de meffrayer, mexcite au plus au point. Je ne sais ce quils vont me faire, mais jen ai terriblement envie, je suis prête à tout subir.
La vendeuse me pousse du pied violemment et je mécroule sur le sur le sol. La femme menjambe et reste debout pour me regarder de haut, me soumettre encore plus. Étrangement, elle na pas de piercing au sexe. Elle constate mon étonnement alors elle mhumilie de plus belle :
— Tu sais petite pute ! Des piercings à la chatte jen ai jamais vu ailleurs que dans les films pornos ! Tu finiras pute ou actrice porno, ou pire, tu seras exhiber au monde entier dans les des sites pornos sur le net !
Pire ! Elle trouve que cest pire ! Pire que dêtre pute ou actrice porno ! Et cest ce que je vais certainement faire dans les prochaines heures. Je suis humiliée au possible et jai une envie folle que cette humiliation atteigne des proportions incroyables.
La femme veut se venger, je le vois à ses yeux. Une haine indescriptible se lit sur son visage. Je lui ai volé son homme quelques minutes, je lui ai giclé dessus, elle ne me le pardonne pas.
Elle saccroupit alors au dessus de mon visage, puis se met à genoux. Puis elle colle sa chatte contre ma bouche, et elle se met à se frotter contre elle. Jouvre la bouche et sort ma langue, a chacun de ses mouvements, ma langue sinfiltre entre ses grandes lèvres, titille son clito, et ça la rend dingue elle se met à gémir comme une folle et moi jen profite pour déguster sa cyprine.
Au bord de la jouissance, elle sextirpe de ma bouche pour se remettre accroupit au dessus de mon visage. Puis de ses mains elle écarte son minou bien en grand. Je vois toute son anatomie en grand plan. Puis une chose incroyable se produit. La vengeance est terrible. Je vois sortir un liquide de son sexe. Un millième de seconde, je pense quelle est elle aussi une femme fontaine, mais je déchante vite. Un jet brulant sécrase sur mon visage, un jet malodorant, la salope est en train de me pisser dessus. Lhumiliation suprême, alors jouvre la bouche, jouvre la bouche en grand et je récolte toute lurine qui coule du sexe de la vendeuse. Javale tout au fur et a mesure et je suis prise dun violent orgasme qui me fait gicler à nouveau, cest le pied ! Le formidable pied ! Je hurle mon plaisir, cest trop bon ! Je suis secouée de spasme, me tortille sur le sol comme une dingue !
La vendeuse fait couler les dernières gouttes de son urine dans ma bouche, puis se redresse. Elle me regarde dun air dégoutée puis dit :
— Cest inimaginable ! Jaurais jamais cru quon puisse prendre son pied en se faisant pisser dessus !
Puis sadressant à Mamad :
— Tu nas pas envie de pisser chéri ?
— Non ! Cette pute me dégoûte !
La vendeuse me tend la main et maide me relever.
— Allez viens te doucher ! Tu sens mauvais !
Je la suis de bon cur car je nai pas envie de sentir lurine devant tout le monde.
Elle me fait rentrer dans la salle de bain et me dit :
— Une chance que tu sois à poil ! Sinon tu serais obligée de sortir avec tes fringues puantes durine !
Je me douche longuement, puis je reviens dans latelier, complètement nue. Mamad est en train de tout remettre en ordre et mignore complètement. Je me rhabille et dit un petit au revoir à Mamad qui ne prend pas la peine de répondre.
Je pénètre dans la boutique. La vendeuse est derrière sa caisse. Je mapproche pour payer. Sans me regarder elle dit :
— Ça fait 740.00 !
Jécarquille les yeux, jai les jambes qui tremblent !
— Co..co..comment ????
Elle répète :
— Ça fait 740.00 !
— Mm.. mais vous maviez 100 !
— Oui ! 100 pour 2 créoles ! Maintenant tu en as 3 grandes, une moyenne, et en plus 16 diamants, factices certes, mais ils ont quand même un prix, plus une chainette en argent ! Alors je texplique : 3 créoles à 50.00, 1 à 40.00, 16 diamants à 25.00, et la chainette 150.00 ! Fais le calcul, ça fait 740.00.
— Mais je pensais que les autres étaient offertes, je navais rien demandé moi !
— Tas rien demandé peut être mais tu as accepté et tu les portes quand même !
— Alors reprenez les diamants, la chainette, et les 2 autres créoles ! Je ne les veux plus !
— Cest ça ! Les diamants sont posés, les créoles aussi ! Cest devenu invendable ! Il faut payer ma belle
— Reprenez au moins la chainette !!
— Hors de question ! maintenant quelle est déballée elle est également invendable ! Bon tu paye ou jappelle les flics ?
Je sors ma carte bancaire, bien que je sois consciente quelle ne passera jamais pour un tel montant.
Je la tends à la vendeuse. Elle la passe dans la machine, me tends lappareil. Je compose mon code ! Linterrogation de mon compte en banque par la machine prend un temps fou, ce qui ne me dit rien qui vaille. Et bien évidemment, à la fin :
— Elle passe pas ta carte ! Pourtant il va falloir payer autrement!
Je fonds en larmes :
— Mais je ne peux pas ! Je ne peux vraiment pas !
La vendeuse crie :
— Mamad ! Tu peux venir 2 secondes !
Mamad arrive :
— La petite demoiselle ne peut pas payer ! Quest ce que tu en penses ?
— Jen pense quil fut quelle se démerde pour payer, mais moi je veux le pognon !
— On peut lui accorder un délai ?
— Un délai ? Ok, mais je veux largent avant la fermeture ! Elle se débrouille ! Et tu vas garder son sac pour être sur quelle revienne ! A 19h00 je veux le fric !
Voilà ! Je suis dans une merde royale ! Je donne quand même mon sac à la vendeuse qui sen empare !
Je sors de la boutique ! Je me mets en marche en essayant de réfléchir à la façon de récupérer 740.
Jai une idée ! Je vais appeler Bruno, je vais lui demander si je peux avoir une avance sur mes futures photos ! Mais merde que je suis conne ! Je nai pas mon portable, jai donnée mon sac à la vendeuse ! Et ce nest même la peine que je lui demande de me donner au moins le portable, cest la seule chose qui est un peu de valeur dans mon sac ! Je ne peux même pas demander à quelquun dans la rue de men prêter un, je nai pas en tête le numéro de Bruno. Quand à Jacques ce nest même pas la peine dy penser, nous avons un compte joint, donc si ma carte ne passe pas, la sienne non plus !
Je passe devant un hôtel minable, style hôtel de passe. Pourquoi mon attention a été attirée par cet hôtel tout à coup ! Non ce nest pas possible ! Non je ne peux pas faire ça. Je détourne le regard de lhôtel et continue ma route. Pourtant, quelle autre solution se présente à moi, aucune. Mais ce serait vraiment tomber trop bas. Et puis cest bien trop compliqué. Il faut que je trouve dans clients, dans cette rue bondé de monde, cest quasiment impossible de ne pas passer inaperçu. Et puis, il faudra également payer lhôtel, il faudra que je fasse donc plus de clients pour arriver à mes 740.
Oui ! Je pense à me prostituer mais ça me parait du domaine de limpossible. Bien sûr je lai déjà fait hier soir, mais ce nétait pas la même chose, pas pour la même raison. Hier soir, cétait pour la bonne cause, cétait pour me faire prendre par Jimmy et ses potes, mais là, ce sera pour DE LARGENT !! Et ça cest vraiment de la prostitution. Je deviendrais une pute pour de bon, mais bon, ai-je le choix ? Et puis combien demander aux clients ? Quel est le prix dune passe ? Il me semble avoir compris hier soir que la pipe cétait 30 et lamour 50. Si je me contente de ne faire que des fellations, il me faut 25 clients. Si je veux donc gagner le plus dargent possible pendant le temps quil mest imparti, il me faut coucher avec les clients, et encore faut il quils ne se contentent pas dune simple pipe. Et puis je pense à Malik, qui ma donné à ses amis pour 5. Ca me fait sourire car je viens de faire le calcul. A 5 euros, il me faudrait 148 clients pour arriver au 740.
Il faut aussi régler le problème de lhôtel. Quel hôtel me laissera une chambre pour laprès midi ? Pas un 2 ou 3 étoiles en tout cas. Il faudra donc que je me contente de lhôtel pourri devant lequel je suis revenu inconsciemment. Cest vraiment minable, sale, pourri et en plus il faut convaincre le patron.
Je traverse la rue et pénètre dans lhôtel. Ça pue, cest encore plus sordide que je pensais. Les couloirs sont étroits, le hall minuscule et crasseux, cest sombre. Il y a un gros mec dégueulasse au comptoir et un adolescent qui à lair mentalement retardé. Je mapproche timidement.
— Heu bonjour !
Le gros lève les yeux, et ses yeux plongent automatiquement dans mon super décolleté. Le jeune garçon, lui, bave. Pas aimable du tout, le gros demande :
— Quest ce que vous voulez ?
— Heu je voudrais une chambre pour laprès midi, cest possible ?
— Les chambres pour les passes cest uniquement le soir et la nuit ? Tes nouvelle dans le quartier toi non ?
Nous rentrons dans le vif du sujet. Au moins je naurais pas à souffrir à donner des explications.
— Mais pourquoi ?
— Parce quil ny a pas de pute laprès midi ! Y a trop de monde dans la rue et les clients nosent pas venir sapprocher des putes !
Je me fâche un peu :
— Pourquoi vous êtes ouvert alors ? Ne me dites pas que vous avez des clients hormis des prostituées ?
— Bien sûr que nous en avons ! Des gens respectables qui nont pas dargent, et qui préfèrent vivre chichement que de gagner du fric en se faisant baiser !
Prends ça dans les dents ! Bon je me calme parce que je ne suis pas en position de force, et surtout pas de temps à perdre !
— Bon soyez sympa ! Je dois payer 740 au tatoueur den face avant 19h00 et je nai aucune autre solution !
— Surtout que je le connais très bien et quil vaut mieux que tu le paies car il va pas te rater. Daccord pour la chambre, mais je te préviens, tu me files 20 chaque fois que tu montes !
— 20 ?? mais je narriverais jamais à 740 si je vous donne 20 à chaque fois ?
— Cest à prendre ou à laisser !
— De toute façon je nai pas le choix !
— Ok ! Viens Harold, on va lui montrer la piaule !
Ils font le tour du comptoir pour me rejoindre. Le patron me dit :
— Passe devant, cest au 2ème étage !
— Vicieux !
Je ne rechigne pas plus que ça, et attaque les marches. Le gros porc se rince lil pour pas un rond. Il dit sans vergogne :
— Tas quand même un sacré cul ! Et cest chouette ces diamants sur ta chatte, ça fait vraiment pute !
Et moi provocatrice :
— Et encore ! Vous navez pas vu mes seins !
— Voilà ! nous y sommes ! Cest la 2ème porte à droite !
Il passe devant pour ouvrir la porte. Ça grince. La chambre est pourrie, y a des toiles daraignées partout. Il y a juste un lit, un WC et un lavabo. La tapisserie est complètement déchirée, bref, ça ne dépareille pas avec le reste de lhôtel. Jai intérêt à user de tout mon charme si je ne veux pas que mes clients sen aillent en voyant la chambre.
Lhôtelier me demande :
— Dis-moi ! si je te fais la chambre à 18 tu veux bien me rendre un petit service ?
— Ça dépend ! Quel genre de service ?
— Ben voilà ! Mon petit Harold, na jamais vu de femme entièrement nue ! Alors si tu te fous à poil devant lui et que tu prends des poses érotiques je te fais la chambre à 18
Je ne réfléchis pas longtemps car ce nest pas vraiment la mer à boire, mais je négocie :
— Cest ok ! Mais vous me faites la chambre à 15 !
Il fait un peu la gueule mais dit finalement :
— Ok pour 15 ! Mais tu me laisses prendre des photos de toi pendant que tu texhibes et tu nous fais des trucs de salope !
— Quest ce que vous allez en faire ?
— Je te dis, cest pour le petit, il pourra les accrocher sur les murs de sa chambre !
— Et quest ce vous appelez des trucs de salope !
— Tu te branles la chatte ! Tu te masses les nibards ! Tu écartes tes cuisses et tes fesses pour quon voit que tu es une belle salope comme dans les films pornos.
Je ne peux pas contester car je viens de faire une sacré économie.
Je défais alors le nud de mon chemisier, et le retire.
Le jeune débile écarquille les yeux. Son père le sort de ses rêves :
— Harold ! Va chercher lappareil !
Le jeune a tellement peur de son père quil part en courant, manquant même se casser la figure dans lescalier. A moins quil soit pressé dassister au spectacle que je vais lui offrir.
Pendant ce temps le vieux porc dit :
— Putain ! cest vrai que tas une sacré paire de nibard ! Et ces chaines et ses anneaux ca donne vraiment envie de te baiser !
— Cest possible ! mais cest 50 !
— Non 35, tu me dois le loyer ! De toute façon je baise pas les putes !
Prends ça dans les dents ! Je me sens humiliée dêtre traitée ainsi par ce moins que rien, et bien évidement mon corps frissonne et mon minou shumidifie.
Des pas qui courent dans lescalier, et le fiston attardé apparait avec un appareil photo numérique.
Il donne lappareil à son père, pendant que je dégrafe ma jupe. En un rien de temps je suis nue devant ces 2 hommes. Étrangement je suis très intimidé par le débile. Il me regarde de haut en bas, les yeux écarquillés, la bouche ouverte et un filet de bave qui coule de ses lèvres. Beurk il est écurant et cest ça qui mintimide.
Le vieux lui est éberlué par les diamants sur mes lèvres et surtout par lanneau sur mon clito et la chaine qui le maintien.
— Tes vraiment une drôle de salope toi !
Je ressens un délicieux sentiment de soumission, le regard du jeune débile et les insultes de son père mexcitent terriblement. Je mallonge alors de flanc sur le lit sale. Je mets ma tête en appuie sur ma main, me cambre, et doucement je plie une jambe. Mon minou souvre au regarde du jeune débile et de son père. Mon clitoris est en feu, mes tétons se dressent, la situation mexcite au plus haut point. Le père commence à me mitrailler avec son appareil. Je porte ma main libre à mes seins et commencent à les masser fermement. Je ferme les yeux sous le plaisir que je me procure. Le débile dit dune voix nasillarde :
— Papa ! cest tout mouillé regarde !
Je comprends quil parle de mon minou et ça me rend dingue. Comment puis-je mouiller parce que cet être immonde me regarde ?
— Parce quelle excitée cette pute ! et quelle a envie de se faire baiser ! Voilà pourquoi ! Nest ce pas salope ?
Moi je ne réponds pas, mais jéchappe un gémissement de plaisir.
— Assois-toi sur le lit et écarte tes cuisses en grands que je prenne des gros plans de ta chatte !
Sans rechigner, je massois au bord du lit, et jouvre mes jambes au maximum, ma chatte est béante, je sens ma liqueur couler entre mes cuisses. Lexcitation est terrible. Le vieux continue de prendre des photos. Je porte ma main droite à mes seins et les masse encore plus fort que tout à lheure. Je tire moi-même sur les chaines, ce qui non seulement étire mes tétons mais aussi mon clitoris. Cest terriblement bon, et je narrête plus de gémir.
— Mets-toi en levrette maintenant !
Je me lève et remonte sur le lit. Je prends la position de la chienne en chaleur, cambrée, cuisses écartées, chatte dégoulinante. Sans quon me le demande, je pose une main sur mon sein droit, pendant que je prends appui avec la gauche sur le lit. Je masse le sein droit, puis le gauche, je tire sur mes pointes, nen finissant pas de gémir. En même temps, jondule des reins, preuve que jai une folie envie dêtre prise.
— Harold ! Montre mets toi devant la dame et montre lui ton zizi !
Le débile mental, se mets devant moi, et dégrafe son pantalon. Il est rouge comme une tomate et nose pas me regarder. Moi tout en me caressant, je le regarde faire. Il ouvre sa braguette. Ma main quitte alors mes seins, file sous mon ventre jusqu’à mon clitoris, et je me mets à le masturber à toute vitesse. Je gémis à nen plus pouvoir. Jai les yeux braqués sur le bas ventre du jeune garçon. Le pantalon est dégrafé. Timidement, le débile baisse son slip, et jaillit un sexe dune beauté extraordinaire. Il est bien droit, bien raide, mais sa beauté vient du fait quil doit mesurer plus de 20cm sur 4 cm dépaisseur. Cest magnifique. Le vieux saperçoit que japprécie la chose :
— Il est arriéré mental ! Mais pour ce qui est de la bite il lui manque rien ! Maintenant ouvre la bouche en grand ! Harold va mettre son gland près de ta bouche !
Le vieux se place de telle façon quil peut nous prendre en photo, son fils et moi, de profil. Jouvre la bouche en grand, les yeux rivés sur la merveilleuse bite du débile. Il approche timidement, je vois le gland sapprocher lentement, il est a quelques cm de ma bouche grande ouverte. Je sens désormais son odeur, cest horrible, le jeune débile ne doit pas se laver et je peux voir sur son gland cette immonde crème blanche justifiant le manque dhygiène. Malgré, mon dégoût, je garde la bouche ouverte, car le but est de faire croire sur la photo que je suce le débile, ce nest donc pas pour que je le suce pour de bon. Le gland est désormais dans ma bouche, je le sais a cause de la chaleur qui envahi mon palais. Le vieux nous mitraille et cest terriblement excitant. Tellement excitant que je masturbe mon clito de plus en plus vite. Sous mes mouvements, ma lèvre inférieure se colle au gland du jeune débile, ça dure un dixième de seconde, mais ça le fait grogner. Moi jai envie de cracher, de vomir, mais je garde la position voulu. Le jeune débile est tellement excité que son manche se met à battre la mesure. Ainsi, son gland se colle souvent à ma langue et à mon palais, cest écurant et pourtant je ne bouge toujours pas, je ne me recule toujours pas, et je me masturbe de plus en plus fort. Le dégout que me procure la situation mexcite terriblement, tant et si bien, que je sens la jouissance monter inexorablement. Le gland du débile touche de plus en plus souvent ma langue, je limagine déposant cette crème dégueulasse sur ma langue et mon palais, je devrais en vomir, et pourtant jaime cette situation. Sa crasse immonde, la puanteur de son sexe, me rappelle celle du clochard dans le métro que je ne voulais pas sucer, je me contentais de frotter son manche contre ma joue, puis cest contre mes lèvres que sa queue sest promenée, jusqu’à ce quelle finisse au plus profond de ma gorge et que jadministre au clochard une pipe des plus gourmandes.
La cest encore plus dangereux car le gland est dans ma bouche, et quand il cogne contre ma langue ça me procure des sensations folles, tellement folles que je gémis à chaque fois, et je nai qua fermer la bouche pour que le sexe du débile soit enserré entre mes lèvres et à ce moment là je pourrais lui offrir la pipe quune autre femme ne lui fera.
Le vieux en mitraillant de plus belle :
— Oui cest ça ! Ferme la bouche comme tu fais ! On dirait presque que tu lui fais une pipe !
Cest terrible, je viens de comprendre que petit à petit je laisse ma bouche se ferme, prête à emprisonner le manche du débile.
— Oui génial ! Là cest comme si tu le suçais, il ny presque plus despace entre tes lèvres et sa bite ! Arrêtes de te branler et prends-le dans une main !
Pourquoi jobéis ? Je nen sais rien ! Sans doute parce que jai une envie terrible de prend ce manche dans ma main. Ma main quitte alors mon minou, et se dirige droit vers le manche du jeune débile. Je le prends dans ma main, le débile grogne, cest plus fort que moi, je le masturbe doucement. Il grogne de plus belle. En le masturbant, son gland cogne souvent au fond de ma gorge.
— Arrête salope ! Tu vas le faire gicler !
Alors je nen peux plus. Je ferme la bouche sur le manche du garçon, et je lui fais une pipe à une vitesse folle, il ne peut plus se retenir, et dans un cri de bête, il explose dans ma bouche. Très vite ma bouche est remplie, ça dégouline sur mon menton, sur mes joues et javale, javale tout jusquà la dernière goutte.
Je retire le sexe de ma bouche, lève les yeux pour regarder le débile. Il est horrible, avec un côté de sa lèvre inférieure tombante, ses yeux qui louchent, ca me dégoute et pourtant, je porte ma main à mon clitoris et part dans une jouissance phénoménale. Lidée que jai pu faire une pipe à cet être ma fait jouir terriblement.
Le vieux :
— Ah la salope ! Je ne regrette pas davoir baissé le prix de la chambre ! Maintenant tu vas rester en levrette, tu vas écarter ta fesse gauche avec ta main, pour que je puisse prendre ton trou du cul en photo !
Bien que je pensais en avoir fini, je mexécute et offre la vision de mon anus au vieux porc et à son arriéré de fils. Le crépitement des flashes mexcite de plus belle, et jécarte ma fesse au maximum. Je veux que lon voit tout sur la photo, de mon trou de balle légèrement ouvert à mon clitoris bandant et séchappant de mes grandes lèvres.
— Harold ! Mets ton sexe près du trou du cul de la dame ! Salopard ! tu bandes encore comme un taureau !
Moi je me cambre.
— Ouais comme ça ! Putain cest génial ! il a son gland à 2 cm de ton trou du cul et je vois tout en gros plan ! Oui ! cambres toi comme ça ! on dirait que ton cul va avaler la bite dHarold !
Moi je ne vois rien, mais jimagine, jimagine et ça me rend dingue.
— Harold ! Avance toi un peu et mets le bout ton zizi contre le trou du cul de la Dame !
Puis a moi :
— Tu ny vois aucun inconvénient ?
Et moi, je secoue la tête de droite à gauche.
Harold colle son gland contre mon anus. Je pousse un petit cri de plaisir.
— Ah ! tu aimes te faire enculer hein ?
Je ne réponds pas, je gémis et remue des fesses pour mieux sentir le gland dHarold, car oui, jai envie quil pénètre en moi. Jai envie de me faire sodomiser, dêtre soumise à ce débile.
— Tu aimerais bien quil encule hein !
Je gémis de plus belle, frottant mon anus contre le gland. Je sens mon anus se dilater tellement je suis excitée. Je porte ma main a ma chatte, cueille la cyprine qui coule à flot de mon minou, puis je porte ma main sur mon anus pour lenduire de ma liqueur intime, puis jy enfonce 3 doigts pour louvrir et de le lubrifier. Jai fait ça en douceur pour ne pas que le sexe séloigne et quand je retire la main le gland revient se coller à mon anus, mais cette fois le gland est tout près de pénétrer. Si le jeune débile venait à forcer un peu, et malgré la belle dimension de sa bite, je pense quil senfoncerait sans peine dans mon anus.
En tout cas, par mes gestes, jai avoué au vieux porc que je voulais être sodomisé par son fils.
Mais le salaud en profite :
— Si tu veux que Harold tencules ! tu paies la chambre 20 !
Et moi, au lieu de me rebeller, je me tortille de plus en plus, je me mets à gémir comme une folle, je fais des mouvements davant en arrière pour faire pénétrer la bite dans mon anus.
— 20 ? hummm ! voyons non 20 cest pas assez ! je suis sur que tu donnerais beaucoup plus pour quHarold tencule !
Je ne réponds toujours pas, ou plutôt je réponds avec mon corps, je donne des coups de reins de plus en plus puissants et mes gémissements font place à des petits cris.
— Oui tu donnerais beaucoup plus ! Mais je ne vais pas abuser ! Je vais juste te prendre 30 ! Allez 30 et il tencule ! Tu es daccord !
Je ne réponds pas, je continue de me masturber lanus en me frottant sur la bite dHarold. Je suis consciente que si jaccepte sa proposition, il me faudra me vendre 37 hommes en lespace de 4h00 environ, puisquil ne me restera que 20 sur les 50 que je vais prendre au client. 37 hommes, je vais prendre 37 fois mon pied au minimum.
— Harold enfonce toi juste un peu pour lui donner un avant gout !
Et tout à coup, je reçois un grand coup de boutoir qui transperce mes entrailles ! Le jeune débile ne sait pas ce que ça veut dire entrer juste un peu, il ma carrément défoncée. Il ressort illico tout en laissant son gland collé à mon anus. Moi qui avais peur daccepter la proposition sil senfonçait comme le lui a dit son père, cest en hurlant de plaisir que je dis :
— Ohhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
— Harold ! quand je te dis un petit peu, ça veut pas dire lui défoncer le cul comme tu viens de le faire ! Et toi salope ! on y va pour 30 !
— Ouii ! oui ! oui ! oui ! oui ! ouiiiiiiiiiiiiii !
— Dis-le clairement !
— Je vous donnerai 30 à chaque client !
— Allez Harold ! Défonce là ! Maintenant tu peux y aller !
Harold ne se le fait pas dire 2 fois. Il pénètre en moi encore plus fort que la première fois. Je me cambre en hurlant sous la violence de la pénétration. Il va et vient en moi a une vitesse folle, en ahanant, en poussant des cris de bêtes, moi je pousse des cris stridents de plaisir. Je me redresse tout en me faisant enculer, je passe mes bras autour de son cou, je suis cambrée au maximum. Il sagrippe à mes chainettes et ses coups de boutoirs redoublent de violence. Je contorsionne mon cou et mes épaules, je parviens à mettre ma tête face à la sienne et, comble du dégout, je prends sa bouche avec la mienne, avalant sa bave, fouillant sa bouche avec ma langue. Il pousse un grognement étouffé par ma langue et il largue toute sa sève au fond de mes entrailles. Jabandonne sa bouche et je hurle de jouissance en éjaculant à mon tour :
— Hummmmmmmmmm ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! cest booooooooooooooooooooonnnnn ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
Harold, épuisé, sort de mon cul, et moi je maffale sur le lit.
Au bout de quelques secondes le vieux porc dit :
— Cest pas tout ça mais tu as du boulot ! Il est déjà 16h30 !
Je me tourne vers le vieux porc et lui demande :
— Je pourrais avoir moi-aussi les photos que vous avez prises ?
— Mais bien sûr ! pour 100 !
Ça me fait 5 passes de plus. Je les ferai car je tiens absolument à avoir ces photos.
Nous voilà redescendant les 2 étages.
Je les laisse pour rejoindre la rue, mais lhôtelier minterpelle.
— Dis-moi ! cest pas que jai pas confiance ! mais chaque client devra me donner les 30 en main propre avant de monter avec toi ! Ensuite je vous donnerai la clé !
Je me sens encore plus pute. Lidée dêtre obligée de passer au comptoir à chaque passe me convainc encore plus. Je suis vraiment une prostituée.