Après ces deux évènements, je ne savais plus trop quoi penser. Ma mère m’encourageait à l’inceste avec mon frère, et m’avait elle-même initié à ce « fetish ». L’excitation était constante, en sachant que ma mère, et a fortiori mon père, partageait ce fantasme que j’avais pour l’inceste. D’ailleurs ma mère ne s’en cachait pas. Lorsqu’elle me disait bonjour le matin, c’était avec un long baiser langoureux, et ses mains qui caressaient ma nuque. Et mon père faisant la même chose avec Nathalie, ma sur. C’est seulement maintenant que je m’en rendais compte. Ils devaient être plus discrets avant.
Il n’y eut pas d’expérience particulière depuis le jour où moi et mon frère avons baisé, si on exclut les caresses, les masturbations mutuelles et les baisers avec ce dernier et ma mère. Jusqu’au soir où je surpris mes parents et ma sur en pleine partie. Je les avais entendus, alors que j’étais dans mon lit, prêt à m’endormir. Discrètement, je suis allé « espionner » ce qui se passait dans la chambre de mes parents.
Je m’attendais à voir mes parents uniquement, mais l’excitation fut à son paroxysme lorsque j’aperçus ma sur avec eux. Pour vous dépeindre la scène, ma mère portait un gode ceinture et prenait mon père pendant que ce dernier jouait avec sa langue sur l’intimité de ma sur, sa fille.
Comment dire que mélanger inceste et pegging, c’était du domaine du rêve ? Je dus me pincer pour m’assurer que je n’étais pas en train de rêver. C’est lorsqu’un petit cri m’échappa que je fus découvert. Ma mère quitta le cul de mon père pour venir à la porte.
— Eh bien, que fais-tu ici ? dit-elle, le gode pendant entre ses jambes, encore dégoulinant de lubrifiant.
— Hahem… Je ne savais pas trop quoi dire. Je savais que mes parents étaient très ouverts là-dessus, que ma mère avait déjà baisé avec moi, mais la présence de ma sur et de mon père m’intimidait quelque peu.
— Allez, soit pas timide, tu sais comment on fonctionne maintenant.
Elle me prit par le bras pour m’emmener dans la chambre. J’étais donc là. Dans cette pièce. Avec ma sur couchée sur le lit parental, mon père entre ses cuisses, ma mère portant un gode ceinture et moi, torse nu le sexe à l’air, bien dressé.
C’est mon père le premier qui s’approcha de moi. Il commença à me caresser la queue. Je ne savais pas trop comment réagir, alors je lui saisis la sienne et la lui caressai à mon tour. Il commença à m’embrasser, et poussa sa langue dans ma bouche. Sans rechigner, étant même surexcité par la scène, je ne montrai aucune résistance et le laissai faire, commençant moi-même à jouer avec sa langue dans ma bouche.
Pendant ce temps, je vis du coin de l’il que ma mère et Charlène, ma sur, recréèrent la même scène de leur côté. Elles s’embrassaient langoureusement, leurs mains se perdant entre les cuisses de l’autre.
Soudain, les filles me regardèrent, et mon père comprit. Elles m’invitèrent à me joindre à elles. Je les rejoignis donc sur le lit, et instinctivement me tournai vers ma mère.
— Tu t’es déjà amusé avec moi. Va voir ta sur.
— Viens Vlad, je vais te montrer deux ou trois trucs.
Ma sur attrapa ma nuque et me tira vers elle, me forçant à l’embrasser. Puis elle me retourna, m’allongeant sur le lit et descendit le long de mon torse pour arriver à ma queue, bien dressée par les caresses de mon père. Elle la prit en bouche sans sourciller, la gobant entièrement d’un coup. Tandis qu’un de ses doigts se perdait entre mes fesses, un soupir de plaisir m’échappa, que mon père étouffa rapidement en approchant son sexe de mon visage, le présentant à mes lèvres. Je ne me fis pas prier et commençai à sucer mon père, qui d’ailleurs se retrouva de nouveau empalé par ma mère.
Plusieurs minutes s’écoulèrent pendant que ma sur me suçait en caressant ma prostate et que je suçais mon père se faisant enculer par ma mère. Je finis par jouir dans la bouche de ma sur, qui avala tout sans un brin d’hésitation. Mon père quant à lui se retira brusquement et s’inséra dans la bouche de Nathalie, qui venait tout juste de finir d’avaler mon jus. Il lui envoya une nouvelle décharge, qu’elle avala encore une fois avec le plus grand plaisir.
Mais, malgré nos orgasmes respectifs, aucun de nous quatre n’en avait eu assez. Ma mère me regarda.
— Dis-moi Vlad, avec ton frère, tu semblais avoir aimé te faire prendre, non ?
— Effectivement… répondis-je timidement
— Que dirais-tu te remplacer ton frère par ton père cette fois-ci ?
Sans le regarder, je sentais que mon père n’attendait que ça. Ivre d’excitation, je ne puis refuser. Je me mis donc à quatre pattes, le cul bien relevé. Ma mère me prépara avec une petite feuille de rose et trois ou quatre doigts. Pendant ce temps, mon père se masturbait pour faire repartir son érection, qui ne tarda pas. Et ma sur vint placer sa chatte sous ma bouche, m’ordonnant presque de la lécher, ce que je fis sans ménagement, profiter de ce cunni pour étouffer les râles de plaisir que ma mère m’arrachait avec sa langue et ses doigts.
Une fois que cette dernière me considéra prêt, mon père prit sa place. Je sentis son gland se présenter à l’entrée de mon anus déjà bien ouvert. D’un geste inconscient du bassin, je m’empalai moi-même sur son membre, ce qui nous arracha tous les deux un puissant soupir. Pendant ce temps, ma mère réussit à se placer sous nous deux, et prit ma queue dans sa bouche. Sa langue experte ne tarda pas à relancer mon érection, aussi puissante qu’au début.
J’étais aux anges, au milieu de ce plan à quatre incestueux. Mon père m’enculait, pendant que je léchais ma sur et que ma mère me suçait. Je ne tardai pas à venir une deuxième fois, mais dans la bouche de ma mère cette fois-ci. Mais elle n’avala pas, et remonta vers la bouche de ma sur pour l’embrasser. Puis c’est ma sur qui s’approcha de moi pour m’embrasser à son tour, mélangeant mon sperme à sa salive et celle de ma mère. Un baiser passionné comme rarement j’en ai reçu ou donné.
Je sentis soudain une chaleur inhabituelle dans mon bas-ventre. Mon père venait de jouir dans mon cul, ce qui me fit pousser un autre râle de plaisir, en plein baiser avec Nathalie.
Épuisés par cette partie, on se retrouva tous allongés sur le lit parental, moi du sperme paternel dégoulinant de ma rondelle, ma mère et ma sur quelques gouttes de mon sperme au bord des lèvres. Mais visiblement, mes parents n’en avaient pas fini avec moi… Ils commencèrent à me caresser le corps…