Salut c’est votre folle de lycra.
Dans le premier chapitre je vous parlais de ma délocalisation pour le boulot. Je me retrouvais en Charente, en bord de mer comme directeur dans une supérette avec 18 employées, j’insiste bien sur le ÉES. Coralie était la chef de caisses et ses 2 collaboratrices étaient Laetitia et Élodie toutes les trois étaient de grandes et magnifiques femmes qui ne me laissaient pas indifférent. Nous venions de faire l’inventaire qui s’était bien passé, malgré un déjeuner à l’ambiance très très chaude. Après cet événement semestriel, Coralie m’avait invité à venir passer la soirée chez elle. De fatigue la belle s’était endormie sur mon épaule dans son canapé. Je l’avais emmenée dans son lit pour qu’elle soit mieux pour dormir et elle avait insisté pour que je reste dormir avec elle.
J’avais accepté son invitation, au petit matin Coralie avait repris des forces et m’avait sauté dessus. Il était 6h35 du matin et Coralie était en pleine forme et surtout très chaude. Elle m’avait allongé sur le lit, elle était nue sur moi, mon sexe était à l’entrée du sien et elle était en train de l’humidifier de sa cyprine. Ses longs cheveux me caressaient le corps, maintenant je mourais d’envie de concrétiser en la pénétrant. C’est Coralie qui dirigeait les opérations et elle savait ce qu’elle voulait, sincèrement j’avais connu des réveils plus désagréables. Ma chef de caisse était d’une douceur que l’on ne pouvait imaginer quand elle était au boulot. Maintenant Coralie avait saisi mon sexe et se caressait le clito ainsi que le vagin avec. Ses baisers étaient d’une chaleur insoupçonnée et ses yeux bleus me faisaient succomber.
Comment une femme aussi belle et aussi chaude pouvait être célibataire, je n’en revenais pas d’une telle opportunité pour moi. Elle me mordait les lèvres jusqu’au moment où elle a décidé de planter mon sexe en elle. Elle s’est redressée sur moi de telle façon à se retrouver à califourchon plantée sur mon sexe. Elle avait une production de sécrétions intimes telle que cela était en train de complètement me mouiller le bas de mon sexe. Tout en restant en moi, de temps à autre elle s’allongeait sur moi, pour venir m’embrasser d’une façon extrêmement sensuelle. Désormais le lit sentait très fort la femme et mon petit doigt me dit que Coralie avait compris que j’étais très sensible aux odeurs intimes. D’une façon très provocatrice elle a été se mouiller les doigts dans son intimité pour venir les déposer sur mes lèvres.
Pendant ce temps elle continuait à aller et venir sur mon vieux elle s’aidait de la tête de lit pour se relever et ensuite redescendre. Sa cyprine n’était pas trop liquide et juste épaisse pour que cela lubrifie nos deux sexes. La peau de mon sexe s’accrochait contre ses parois intimes sans pour autant frotter; le résultat était divin. Avec tout le désir que j’avais accumulé hier et cette nuit; je n’ai pas été bien long à partir en Coralie. Il n’y a pas à dire Coralie avait autant accumulé de désir que moi car elle est partie quelques instants après. Elle n’a pas crié mais je m’en suis sorti avec de grosses griffures sur la poitrine. En même temps cela ne me dérangeait pas, c’était le résultat d’une magnifique relation sexuelle. Ensuite elle s’est effondrée sur moi, terrassée par le plaisir qu’elle venait de prendre. Elle avait à nouveau sa tête posée sur mon épaule.
Bien que de grande taille j’ai pu bouger Coralie en la gardant sur mon ventre et surtout en restant emboité en elle. Tout cela pour nous remettre dans le sens du lit et ainsi la couvrir d’un drap pour ne pas qu’elle attrape froid. Je vivais des moments de tendresse et de douceur que je n’aurais jamais imaginé. Bien que je lui aies déposé une énorme dose de liqueur en elle, c’est l’odeur de son sexe qui dominait sous les draps. Nous nous sommes assoupis un bon quart d’heure histoire de reprendre nos esprits avant de nous préparer pour aller travailler. À vrai dire je concevais la vie de couple comme ça; avec autant de douceur et de tendresse. Son corps était sur le mien et il me tenait chaud, mais c’était un plaisir indicible que de la savoir là contre moi.
Une fois remis de nos émotions, nous avons foncé sous la douche avant de prendre un petit déj entre quatre z’yeux, en amoureux; le panard quoi… Au moment de s’habiller, Coralie m’a pris mon boxer et m’a tendu une douce et fine culotte en lycra en m’expliquant que cela me ferait penser à elle toute la journée. Comme si j’avais besoin de ça… J’étais un peu surpris par la proposition mais en enfilant la culotte je l’ai trouvée vraiment très douce et cela me fit beaucoup d’effet instantanément. Elle m’a expliqué que c’est elle qui allait porter mon boxer aujourd’hui pour qu’il s’imprègne de son odeur intime. La douceur de la culotte à travers le pantalon me faisait des sensations très érotiques. Une fois prête, nous avons quitté son appartement pour nous rendre au boulot. Heureusement son appartement n’était pas loin du boulot et nous y sommes arrivés en 5 bonnes minutes de marche à pied.
Nous sommes arrivés au boulot à 8h20, peu de temps avant l’ouverture à la clientèle. Autant les collègues d’en bas n’ont rien vu, par contre Laetitia et Élodie ont tout de suite constaté que nous étions arrivés ensemble. Je n’arrivais pas à imaginer que Coralie se trimballe avec des escarpins des bas et surtout mon boxer. Vue la classe avec laquelle elle portait ses vêtements, personne n’aurait pu se douter de la chose. Jusqu’à 13h nous avons bossé sans que personne ne se doute de rien, puis elle m’a invité à venir déjeuner chez elle; c’est avec grand plaisir que j’ai accepté l’invitation. Grande fut ma surprise quand j’ai vu que Élodie et Laetitia étaient conviées, mon petit doigt me disait que ça allait encore dégénérer. Nous avions 90 minutes pour manger et nous nous sommes fait livrer des pizzas; ces dernières ayant été commandées auparavant, elles sont arrivées à l’heure voulue.
Laetitia et Élodie étaient assises dans le fauteuil pendant que Coralie et moi mettions la table, je me chargeais de couper les pizzas à leur arrivées. Nous avons vraiment déjeuner en express ainsi cela nous laissait du temps libre ensuite, c’est là que c’est parti en sucette. Coralie m’a invité à venir me mettre à genou entre les jambes d’Élodie et elle m’a demandé de lui faire une petite langue. Ce fut, sur le coup un non catégorique, mais avec l’insistance des trois femmes j’ai fini par céder et me suis agenouillé. Élodie à soulevé sa robe et c’est ainsi que je me suis retrouvé avec une vue imprenable sur son minou. Ce sont Coralie et Laetitia qui ont saisi ma tête pour aller la fourrer entre les jambes, cela sentait bon et fort la petite fille négligée.
La Élodie m’a expliqué que depuis la veille, elle avait fait attention à ne pas se nettoyer le minou car elle comptait sur moi pour m’en charger ce midi. Je pouvais donc en conclure que tout était planifié de longue date, cela faisait tout drôle de subir. Il n’y a pas à dire ces 3 filles étaient très très complices et je venais de me retrouver parmi ce trio de dévergondées. À première vue son minou était luisant de désir et cela m’ouvrait l’appétit. Sa toison était longue mais très bien entretenue, ce qui m’a vite tenté à aller y poser ma langue. Quand j’ai découvert en plus le goût de ce minou, j’étais aux anges; il était fort mais donnait envie d’aller toujours plus loin. Voilà comment un bon quart d’heure durant, j’ai fait la toilette intime d’Élodie qui avait l’air de beaucoup apprécier l’efficacité de ma langue.
J’avais accéléré la chose car je me doutais qu’il allait falloir ensuite que je m’occupe de l’intimité de Laetitia. Au bout d’un bon quart d’heure Élodie a fini par prendre son pied, il n’y a pas à dire elle avait beaucoup apprécié l’effet de ma langue. Comme je le supposais c’est Laetitia qui a pris le relais avec impatience m’a-t-il semblé. C’était vraiment agréable d’avoir des collaboratrices qui ne portent pas de culotte; ainsi une fois que je me suis retrouvé sous sa robe j’étais directement en contact avec sa toison. Elle avait un minou brun et ses poils étaient relativement longs mais le tout était très très bien entretenu. Pour les mêmes raisons, je pense et sans aucun doute, que Laetitia sentait bon la marée là dessous. La différence avec Élodie c’est que une fois que j’ai posé ma langue dessus j’ai constaté qu’elle était beaucoup plus sensible. Par moment j’en étais arrivé à poser mes mains sur ses cuisses et peser de tout mon poids pour ne pas qu’elle bouge.
À tour de rôle Élodie et Coralie l’embrassaient car elle commençait à être un peu bruyante sous l’effet de ma langue. Je pense que je n’avais jamais vu un clito aussi sensible, son vagin l’était autant mais quand même un peu moins. Toujours est-il que en moins de temps qu’Élodie laetitia est partie, cela aurait pu être plus bruyant mais ses deux collègues se sont chargées de la faire taire. Cela faisait tout drôle de la sentir se débattre de plaisir d’autant que je continuais un petit peu avec ma langue. Ça y est je venais de faire jouir deux femmes avec ma langue pendant la pause-déjeuner, sous les encouragements de Coralie. Les trois filles se sont bécotées pour se redonner un peu de moral pour l’après-midi pendant que moi je les regardais avec une grosse envie de m’occuper d’elles.
Nous sommes repartis bosser tous les quatre avec une complicité grandissante que nous seuls pouvions comprendre. Ce qui était agréable c’est qu’au boulot tous les quatre nous regardions de façon complice, très complice maintenant, mais il n’y avait pas de problème d’autorité rien n’avait changé à ce niveau-là. En gros j’avais l’impression que ce qui se passait en dehors des heures de boulot n’influençait en rien le boulot. Puis après le boulot Élodie et Laetitia sont rentrées chez elle car pour cette semaine elles avaient la garde de leur enfant. Coralie et moi sommes sortis du magasin alors que tout le monde était parti, du coup nous avons pu partir main dans la main amoureusement. Sur le chemin du retour elle m’a avoué que ses deux collaboratrices étaient en fait des amies d’enfance elles ne s’étaient jamais quittées.
Une fois arrivés chez elle, nous nous sommes installés dans le canapé pour parler de tout et de rien et surtout pour nous découvrir l’un et l’autre. Elle m’a expliqué que depuis très longtemps elle cherchait un homme doux, tendre et attentionné. Vu l’échec dans ces recherches elle n’avait jamais eu d’enfant et n’avait jamais trouvé homme à épouser. Elle était en train de m’expliquer que je correspondais à tout ce qu’elle cherchait. Elle a mis du temps à me cerner et m’étudier puis elle a trouvé que l’inventaire d’hiver était le moment propice pour se dévoiler. En fait elle m’a avoué qu’elle était tombée amoureuse de moi mais qu’elle voulait être sûre de moi. Après de tels aveux, nous nous sommes embrassés fougueusement, j’avais vraiment l’impression que quelque chose de sérieux était en train de naître entre nous deux.
Coralie adorait diriger nos ébats, c’est ainsi que pendant ce baiser elle s’est mise à me caresser le sexe en rentrant sa main dans mon pantalon mais par-dessus sa culotte. Elle a pu constater d’elle-même qu’elle me faisait beaucoup d’effet; elle m’a regardé en souriant quand elle a saisi mon sexe. Je me sentais à elle, mon cur lui appartenait tout comme mon corps et surtout mon sexe, la sensation était formidable. Elle s’est un peu écartée pour me débarrasser de mon pantalon puis a libéré mon sexe tout en me laissant ma culotte. Là elle s’est mise à me faire une fellation; il n’y a pas à dire elle était experte dans le domaine. Entre les va-et-vient de sa bouche sur mon sexe et les mouvements circulaires de sa main; j’ai honte à le dire mais je n’ai pas été bien long à partir. Elle ne m’a pas laissé le choix tout est parti dans sa bouche et elle le fit en me regardant d’une façon on ne peut plus coquine et provoquante.
Le pire c’est qu’elle a continué à me pomper quelques temps jusqu’à ce que cela devienne insoutenable pour moi. Coralie venait de me tuer, j’étais dans les nuages, les nuages du plaisir. Ensuite elle a rangé mon sexe toujours dur dans sa culotte, elle a fini de me débarrasser de mon pantalon et m’a fait relever pour m’emmener à sa bibliothèque. Là elle m’a montré sa collection de DVD, énormément de DVD X. Elle m’a expliqué que depuis de nombreuses années, elle n’avait pas touché un homme mais qu’elle gardait la main en regardant les DVD et en se chatouillant devant la télé et avec les copines. De telles révélations m’ont littéralement laissé sur le cul, cela la rendait encore plus fragile que je ne le croyais. J’avais vraiment envie de la choyer et de la combler de bonheur surtout. J’étais derrière elle et l’ai prise dans mes bras en allant poser mes mains sur ses seins si désirables et fermes.
Je lui ai embrassé la tête à travers les cheveux je lui écarter les cheveux pour lui embrasser le cou, c’était vraiment commode d’avoir une femme à peine plus petit que soi. Après ce moment de tendresse et de douceur nous sommes partis nous occuper du dîner, elle supervisait tout pour mon plus grand plaisir. Je me suis chargé d’éplucher les légumes de mettre la table pendant qu’elle s’occupait de la cuisson. J’aimais cette relation où nous nous complémentions. Cela me faisait tout drôle d’être en culotte chez elle, mais il n’y avait aucun vis-à-vis exceptés mouette et goéland. Juste avant le repas elle est venue se coller à moi puis m’a dit d’aller mettre les doigts dans son minou. chose que je fis sans me faire prier. Son minou était dissimulé sous mon boxer mais ces derniers étaient complètement liquides de désir. Une fois les doigts pleins de cyprine elle a pris ma main pour venir me la faire lécher, je trouvais l’acte très excitant.
Je pense ne pas avoir laissé une trace de son jus intime sur mes doigts ni sur ma main. Avec l’expérience n’oublions pas que j’avais quand même goûté à 3 minous aujourd’hui… Bien que les minous d’Élodie et Laetitia étaient très agréables à déguster; il n’y a pas dire le meilleur était celui de Coralie à mes yeux. Elle venait frotter son entrejambe contre mon sexe qui avait repris de la vigueur, tout ceci avant de passer à table. Malgré le petit plat que nous avait préparé Coralie; on pouvait quand même distinguer une agréable odeur de sexe dans la cuisine. Je suis loin d’être un expert en cuisine mais ce que nous avons mangé étaient très bon et préparé avec amour. Vers 21h30 tout était plié et nous étions couchés, j’avais toujours sa culotte sur moi. Tous les deux étions dissimulés sous les draps en satin, seules nos têtes on sortaient; puis elle est venue se positionner sur moi. Avec ma douce et culotte en lycra, mes petites fesses glissaient sur les draps en satin.
Une fois bien positionnée sur moi Coralie a fait attention à ce que mon sexe se positionne correctement entre ses jambes puis elle a poussé sur la tête du lit pour descendre et ainsi s’emboîter en moi. La pénétrer était vraiment un plaisir car son vagin était d’une étroitesse parfaite pour le diamètre de mon sexe. En plus elle adorait jouer à contracter son vagin quand elle bougeait sur mon sexe, c’était divin. J’étais vraiment gêné d’être très poilu contre ce corps d’une douceur sans égal, mais elle avait l’air d’aimer. Au bout d’un bon quart d’heure dans cette position, elle m’a demandé de venir lui faire sa toilette à elle aussi. En fait elle m’a expliqué qu’elle préfait que je lui mange son abricot il lui donne du plaisir ainsi avant que je parte profondément en elle. J’ai trouvé ça respectueux.
Je me suis donc glissé sous les draps pour aller me délecter de sa cyprine, de son jus intime, de son nectar féminin. Elle était en train de se déchaîner et me traiter de tous les noms plutôt féminins et quelquefois peu flatteurs. J’étais vraiment heureux de pouvoir lui donner du plaisir avec ma langue; ainsi je pouvais lui donner du plaisir en deux endroits. J’ai mis beaucoup de cur dans ce que je faisais car je voulais qu’elle prenne son pied, chose qu’elle fit assez rapidement. Où que ma langue soit passée, cette dernière lui avait fait des effets monstrueux. Il lui a fallu quelques instants reprendre ses esprits après avoir pris son pied et ensuite elle a voulu que je la pénètre à nouveau. Chose que je fis sans me faire prier, elle m’a expliqué qu’elle voulait prendre son pied des 2 côtés. Je suis donc venu me positionner au-dessus d’elle, entre ses jambes écartées et je l’ai pénétrée tout en douceur. Dans cette position mon sexe était de plus grosse taille que tout à l’heure et Coralie l’a fortement ressenti pour son plus grand plaisir. J’étais impressionné par la quantité de nectar que ma partenaire pouvait produire; l’avantage c’est que cela coulissait vraiment sans problème même si j’étais à l’étroit.
Si cela vous a plu il y aura une suite
Bisous à vous