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voyage érotique – Chapitre 1




Nous revenions dHaïti où nous avions passé 8 jours de vacances avec ma femme et un couple d’amis.

Entre Haïti et la République dominicaine, nous fûmes séparés et nos amis partirent devant.

Côté Dominicain, trois noirs mal vêtus, en short kaki, chemises colorées débraillées, mais porteurs d’un pistolet directement glissé sur le ventre à la ceinture, nous ont fait entrer dans une cabane en bois, faisant office de poste de douane.

Un grillage et une barrière précédée de chicanes en béton fermaient la frontière. Sur le côté, un pick-up hors d’âge, avec une mitrailleuse sur le plateau, était gardé par un autre type.

À l’intérieur du poste, après avoir vérifié avec méfiance nos passeports et nos laissez-passer, celui qui semblait être le chef (le seul à porter une casquette), nous demanda d’ouvrir nos bagages. J’étais confiant, nous n’avions rien à nous reproché.

Ma valise fouillée n’a d’ailleurs rien révélé. Toujours soupçonneux, l’homme se saisit du bagage de mon épouse. À part quelques souvenirs achetés à un troc au bord de route, rien non plus. Et pourtant une petite statuette de terre cuite mis notre douanier hors de lui.

Aussitôt, les deux autres nous mirent en joue avec leurs pistolets. Mon épouse a même poussé un cri de terreur. Dans un anglais incompréhensible, l’homme nous a accusés de piller les sites archéologiques de son pays. Je tombais des nues. J’essayais d’expliquer comment j’avais acheté ce souvenir. Ne parvenant pas à nous expliquer, il a opté enfin pour un français, qu’il maitrisait plutôt bien à ma surprise.

J’ai réussi, cette fois à me faire comprendre, mais il ne voulait toujours rien savoir, pour lui, nous étions des criminels

Je lui ai proposé de reprendre l’objet ou de payer une taxe

— Oui, oui, il va falloir payer lamende, faut payer l’amende

— OK, pas de problème, jai simplement acheté un souvenir sur le bord de la route, nous ne savions pas … L’amende est chère ?

— On vous le dira après, on va d’abord tout vérifier, vous fouiller

— OK, nous sommes de bonne foi, pas de problème

Ils me demandèrent de me déshabiller, ce que je fis. En boxer devant eux, ils exigèrent que je retire tout. Ma femme comprit aussitôt et devint livide malgré la chaleur étouffante. Je dus m’exécuter, me mettant à poil, extrêmement gêné devant ces hommes.

Mes vêtements furent fouillés et posés sur une table. Le chef s’avança devant ma femme. Elle se retrouva rapidement le dos au mur, ne pouvant aller plus loin.

— Toi aussi, déshabille-toi !

Ma femme faisait non de la tête, cherchant une issue. Essayant de trouver une solution,

— OK, mais il faut une femme !

— Quoi ?

— Oui, il faut une femme pour me fouiller.

— Tais-toi la blanche. Ici, c’est moi qui commande. T’es pas en France. Si tu te déshabilles pas, c’est mes hommes qui le font, allez vite !

Vaincue par la menace et par le ton menaçant, elle s’exécuta, retirant sa chemise, puis son short. En string et soutien-gorge devant les trois hommes, elle baissait les yeux.

— Tout !, il faut enlever tout

— Pardon ? Mais

— À poil ! Tout de suite !

Je tremblais de rage, j’aurais bien étranglé ces trois pourris, mais je ne pouvais intervenir sans mettre notre vie en danger. Les salops ils font vraiment leur propre loi, Il vaut mieux faire profil bas.

L’homme porta la main sur elle avec la rapidité du serpent. Ma femme poussa un cri, mais ne put l’empêcher de se saisir de son soutien-gorge, juste entre les bonnets. Il tira un coup sec, les seins à l’air, mon épouse mit ses bras sur sa poitrine pour se cacher comme elle pouvait, ce qui le fit rire. Il lui intima l’ordre de retirer ses bras. Comme elle ne bougeait pas, il avança sa main et lui prit les poignets. Calmement, de manière étrangement douce, il lui écarta les bras. Troublée par le contact des doigts sur elle et par la soudaine douceur dont il faisait preuve, ma femme se laissa guider, mettant ses bras le long de son corps. Elle comprit aussi qu’il était inutile de résister, ils arriveraient de toute façon à leurs fins, il fallait mieux obtempérer.

L’homme se saisit de l’élastique du slip et tira légèrement à lui pour l’écarter, restant ainsi à se rincer l’il sur la chatte de ma femme. Mon épouse ne désirant pas que son string subisse le sort de son soutien-gorge mit ses doigts de chaque côté et le fit glisser sur ses hanches. Quittant sa culotte en levant les jambes, elle apparut complètement à poil devant les trois hommes dont les yeux allaient de ses seins à sa chatte.

Le chef la regarda comme on regarde un gâteau, il en bavait presque.

— Maintenant, madame, tourne-toi, allez tourne !

Mon épouse obtempéra, présentant ses fesses sur lesquelles l’homme promena sa main, pelotant la chair sous ses doigts. Ma femme poussa un petit cri et se mit à trembler, mais se garda bien de se révolter. Quant à moi, je fus mis en joue et je compris que je ne devais pas bouger

L’homme passa sa main à plat dans l’entrecuisse de mon épouse

— je vais devoir te fouiller, partout, partout

— je vous en prie, je vous jure, nous n’avons rien sur nous

— Tu restes bien sage et tu ne bouges pas. Sinon je dis aux hommes de t’attacher …Compris ?

— Oui, oui. D’accord.

— madame reste bien sage

— Oui, bien sage.

Il plaça mon épouse devant la table et la fit courber en avant. Les seins écrasés sur la table, fesses tendues en l’air, elle était excitante dans cette position et les trois hommes affichaient une énorme bosse au niveau de leur short. Malgré le contexte, malgré l’écurement et la peur, je me mis également à être étrangement excité de la voir ainsi soumise, à poil devant ces hommes. En imaginant ce qui allait se passer sous mes yeux, je sentis mon sexe durcir. J’avais honte, mais je n’y pouvais rien.

Le chef posa à nouveau sa main sur le dos, puis sur les fesses de mon épouse. Je vis nettement des frissons la parcourir. Ma femme n’avait jamais été touchée par aucun autre homme que moi. Plaçant sa jambe entre celles de ma femme, il la força à écarter ses cuisses puis passa ses doigts entre ses fesses. Je le vis avec stupéfaction passer et repasser son majeur dans sa fente, descendant jusque dans la fente de sa vulve. Mon épouse, passive, respirait de plus en plus vite, ressentant ces doigts étrangers visiter son sexe, progresser dans son intimité, attendant inexorablement, sans pouvoir s’y soustraire. L’homme se pencha un peu plus sur elle.

— Ecarte, laisse-moi passer, je dois te fouiller, c’est la règle. Ouvre-moi, si tu ne veux pas avoir mal.

Ma femme plia légèrement les jambes, écartant les cuisses un peu plus, abdiquant complètement, s’offrant à la fouille.

L’homme porta ses doigts à sa bouche, et deux doigts réunis se présentèrent à l’entrée.

Il poussa et la pénétra lentement, profondément, jusqu’au fond.

Mon épouse accusa cette première pénétration dans un râle de bête blessée. Elle releva la tête, les yeux grands ouverts, puis se laissa retomber sur la table, vaincue.

Je n’en revenais pas de ce qui se passait sous mes yeux. J’étais partagé entre la haine et l’excitation. Je voyais ma femme, mon épouse, soumise, se faire peloter, pénétrée par les doigts d’un autre homme. Je voyais sa chatte, branlée par un autre. Car maintenant elle était carrément branlée. Il ne se contentait pas de la fouiller, il la limait sans vergogne, et sans se soucier de ma présence.

Les doigts allaient et venaient, de plus en plus profond, de plus en plus vite. Un pouce, à présent, faisait rouler son clitoris complètement sorti de sa gaine. Lentement mais sûrement, l’homme l’amenait à se donner, malgré elle. Elle soufflait de plus en plus fort, s’agitait sur la table, ouvrait la bouche pour pousser des râles qui n’étaient pas de douleur. Je bandais maintenant fermement, complètement captivé par le spectacle de mon épouse.

Il savait y faire, sans conteste, certainement expérimenté dans ce genre de situation. Il ne devait pas en être à son coup d’essai. Il la limait et la branlait de plus en plus vite. Ma femme s’était légèrement redressée pour laisser passer son autre main entre elle et la table. Il lui pelotait les seins, faisant rouler ses tétons durcis entre ses doigts. Mon épouse donnait maintenant des signes annonciateurs de son plaisir. Il le sentit et retira ses doigts du vagin trempé.

Baissant son short, il se tourna vers moi, un sourire narquois, plutôt un rictus, au coin des lèvres, puis il se mit derrière ma femme, son énorme queue pointant entre ses fesses. Je n’avais jamais vu un sexe aussi gros, et ma femme non plus…

— Il faut que je fouille plus profond, mes doigts ne sont pas assez grands ! Et ta femme et bien trop mouillée.

Ma bien-aimée tentait tant bien que mal de reprendre ses esprits, son souffle était encore rapide et elle ne pouvait dégager son regard de ce sexe si imposant. Il avait presque le diamètre d’une canette de bière pour 25 bons centimètres.

À ce moment-là, jai même eu l’impression que mon épouse avait accentué l’ouverture de ses jambes pour s’offrir plus facilement, elle semblait attendre avec impatience la pénétration…

L’homme me regarda une dernière fois pointa son sexe à l’entrée de celui de ma femme et poussapoussa, il poussa encore plus fort, et l’énorme gland pénétra ma femme, celle-ci me regardait comme affolée les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte. Elle lança un AHH !! Qui en disait long portant et se reprit :

— Oh mon dieu, arrêtez c’est trop gros vous allez me faire mal

Pourtant l’homme n’avait entré que son gland, je voyais encore toute sa longueur, fier de son uvre, fier d’avoir dompté cette femelle blanche

— Ta gueule ! Pas la peine de faire la Sainte je sais pas quoi, comme vous dites. T’en meurs d’envie, ta chatte, elle, coule toute seule. Tu vas voir, tu vas gueuler de plaisir. Tu ne t’es jamais fait ramoner comme ça.

Ma femme ne répondit même pas

Maintenant il s’amusait à entrer et ressortir son gland de la chatte de ma femme, il entrait et sortait de plus en plus vite, mais juste son gland.

Mon épouse commença à ressentir dans son corps le résultat inéluctable de cette baise imposée elle ne pouvait résister d’avantage à ce supplice

Oh Non arrêtez ! Cest trop dur finissons-en … enfonce-toi !!!

Je n’en revenais pas, nous avions tous entendu, enfonce-toi !!! Mon épouse demandait à son bourreau de la finir.

En vainqueur, il me regarda :

— Alors petit blanc, tu vois, c’est ta femelle qui souhaite que je la baise, alors regarde un peu ce qu’elle va prendre.

Il s’agrippa à ses hanches plus fort, plantant ses doigts dans la chair tendre, et poussa violemment, pénétrant le ventre de ma femme jusqu’à la garde. Ses couilles vinrent taper contre ses fesses. Elle poussa un hurlement, au cri de mon épouse défoncée de la sorte, j’ai failli éjaculer. Je n’en revenais pas de ce qu’elle prenait.

Jamais, même dans mes fantasmes les plus fous, je n’aurais cru voir un jour ma bien-aimée, se faire enfiler de la sorte par un autre homme.

Je voyais ses yeux s’ouvrir et se fermer à chaque coup de boutoir. La queue gigantesque s’enfonçait dans son ventre et ressortait, luisante et humide de ses sécrétions, la faisant chavirer. Sa tête roulait maintenant de gauche à droite. Puis vint ce qu’elle essayait de refouler. Son corps se tendit. Elle me regarda et poussa un feulement qui me donna des frissons.

— haaannnnn ! aaaaaaahhhh !!!!! noooooonnnnn !!! Chéri au, nooooonnnn!!! Je jouie

— vas-y ma poulette blanche, jouis !

Je la vis s’arc-bouter sur la table, bouche ouverte, yeux dans le vide. Elle poussa un grand râle qui me donna des frissons et fit trembler mon sexe durci à me faire mal, puis elle retomba à plat ventre, terrassée par la violence d’une jouissance que je n’aurais pu imaginer.

L’homme continua à la limer en profondeur.

Au bout de quelques minutes, alors que ma femme recommençait à donner de la voix, en faisant à nouveau des han !! Han !! Ses doigts griffant le dessus de la table, il se raidit à son tour. Ma femme cessa de bouger. Il plongea dans sa chatte jusqu’à la garde et se planta en elle. Elle émit un drôle de hoquet puis hurla presque de plaisir. Je n’en revenais pas. Il déchargeait dans son ventre et elle se pâmait en recevant sa semence. L’homme finit de la remplir sous mes yeux atterrés, puis se retira.

Les deux autres blacks s’approchèrent d’elle, toujours à plat sur la table..

Mon épouse ne bougeait plus, respirait à présent calmement, seins écrasés sur le plateau, cul à l’air et cuisses écartées. Sa chatte baveuse était monstrueusement ouverte. Du sperme coulait entre ses cuisses. Un des douaniers la ramena sur terre en lui claquant violemment les fesses.

— Et la bourgeoise blanche regarde un peu ton petit mari

Ils se moquèrent de moi, et j’étais très gêné, face à mon épouse.

— Regarde, son petit zizi, comme il est tout dur. Tu vois, lui aussi a apprécié.

Tout était pourtant vrai j’avais apprécié de voir ma femme se faire baiser, et j’avais en effet une érection, mais rien de comparable à celle de ses bourreaux.

— Alors poulette, qui te baise le mieux, ton petit mari ou notre chef ?

Ma femme me regardait sans rien dire.

— Allez répond

Ma femme instinctivement lança : « votre chef »

Je ravalais ma salive

— Alors maintenant on va te finir devant notre chef et ton mari, et tu nous diras qui ta fait le plus jouir ?

Reprenant mes esprits, je tentai d’intervenir, mais le chef me donna un violent coup de crosse sur la tête, me faisant tomber à genoux. Ma femme, qui avait tourné la tête vers moi me regarda et me dit :

— Non chéri laisse laisse les faireça va aller

— Eh, toi, au moins, t’as tout compris, et petit blanc ta femme semble prendre goût à la bite noire

Les deux blacks la prirent debout, en sandwich juste devant moi, le premier se planta en elle, son sexe glissa dans sa fente complètement défoncée et la pénétra sans peine, le second se plaça dernière elle, et força l’entrée de son cul. Ma femme poussa un nouveau un cri.

Elle allait subir sa première double pénétration

— Haaaannnn ! ooooohhhh !!! C’est gros doucement

— D’accord poulette blanche. On va te la mettre doucement, si t’es bien sage.

— Oui, mais faites-le doucement

— Tiens ! Prends-la dans ta main guide la, ça y est tu la sens dans ton cul, ça rentre doucement, ça y est je suis dedans, je rentre . Ça y est ma belle je rentre, oui, là, je suis au fond, au fond

— Oohhh ! Oui !!! Doucement !!! Fais-le doucement !!!

J’hallucinais ! Mon épouse était complètement partie. Elle en oubliait ma présence. C’est elle qui avait introduit ce sexe dans son cul alors quelle avait déjà une bonne bite dans le ventre et maintenant elle en redemandait. Je n’en croyais pas mes oreilles. C’est elle qui supplier ses bandits de la prendre.

— Oohhh ! Oohhh ! C’est fort !!! Allez-y doucement, doucement. non plus vite

Les pieds de ma femme ne touchaient plus le sol, à chaque coup de bite, réglait comme des métronomes, un dans la chatte et un dans le cul, il la faisait décoller du sol…

Elle avait mis ses bras autour du cou de son premier amant, et ses jambes autour de ses hanches, et se cramponnait comme elle pouvait, tandis que le second lui cassé littéralement le cul, maintenant elle crié sa jouissance, la bouche grande ouverte à la recherche d’oxygène, les yeux révulsés, elle prenait son pied

— Oui, ah encorrrrrre, encorrrre, J’en veux encoreeee salaud ne vous arrêtez pas, défoncez-moi, je veux jouir. Ah !! Salaud, je vais mourir de jouir encore plus fort ouiiiiiiiiiiiiii!!!!

Plus ils la défonçaient, plus elle en redemandait :

— Allez y cassez moi le cul, ah putain c’est trop bon . Ahgg !! , ça vient, ah mon dieu, je vais jouir du cul, oui je aahhhhhhh

Les deux hommes ne purent se retenir. D’entendre ma femme jouir, ils se raidirent et déchargèrent ensemble en elle, ce qui sembla accentuer sa jouissance. Mon épouse, après quelques minutes, reprit ses esprits, elle s’approcha de moi. Une fois à ma hauteur :

— Pardonne-moi, mon chéri ! C’était trop bon, ils m’ont fait trop jouir, je suis désolée…

Puis elle se mit à genoux. Attrapant mon sexe bandé, elle l’enfouit dans sa bouche et me tailla la meilleure pipe de toute ma vie, il ne me fallut que quelques secondes pour exploser dans sa bouche.

Enfin, on nous fit nous rhabiller, après nous être acquittés d’une amende on put passer la frontière, à grand coups de pied dans le derrière.

— Et ne revenez jamais chez nous ! On n’aime pas les voleurs ici !

Pour sûr que nous ne retournerons jamais dans ce pays.

Mon épouse a eu beaucoup de mal à s’en remettre. Elle n’a jamais voulu reparler de ce qui s’est passé

Dans ses rêves la nuit, je l’entends murmurer des « oui allez-y » « Elle est trop grosse »

Ma femme se réveille trempée et veut que je lui fasse l’amour.

Je sais qu’elle meurt d’envie que cela se reproduise, mais elle ne l’avouera jamais, pourtant, cette année nous devions allez au ski, et bien sans vraiment être surpris, ma femme a choisi le soleil, finalement on va refaire un petit voyage, en Afrique ..

Ce que femme veut, dieu le veut, allez, go, pour l’Afrique ….

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