Chapitre 1 La découverte
Je m’appelle Maryse, j’ai aujourd’hui 49 ans, l’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée alors que j’étais étudiante à Strasbourg.
J’étais mince, avec les cheveux courts, j’avais de petits seins en forme de pommes. J’habitai avec une amie un logement d’étudiant en ville. Mon amie Marilyne était brune, avec de grands cheveux, une jolie poitrine, plutôt menue, qui tenait dans la main d’un honnête homme.
A cette époque nous sortons souvent en boite le soir, et nous fréquentons beaucoup de gens de tout milieu. Un jeudi, très tard, alors que nous avons fêté l’anniversaire de Marilyne, deux hommes d’une trentaine d’années qui nous abordèrent. Après les compliments d’usage ils nous proposent de participer à une soirée spéciale, en échange de 3000 F pour nous deux à la seule condition d’accepter sans discuter tout ce que nous demanderaient les organisateurs. A l’époque en 1976, 3000 F représentait une belle somme, nous avons des dettes, et pas réellement les moyens de rembourser, ces deux hommes nous semblent corrects, alors nous acceptons et nous étions jeunes, sans grande connaissance de la vie.
Le lendemain, nous avons rendez-vous à 20 heures, devant un café du centre ville. A l’heure dites, les deux hommes se présentent et nous invitent monter dans une Mercedes. Sortis de la ville, ils nous bandent les yeux, car nous ne devons pas savoir ou se passe la soirée. Après une bonne heure de route, la voiture s’arrête. Ils nous retirent les bandeaux et nous font descendre du véhicule.
Nous sommes dans une cour, devant un ancien fort, au milieu des bois, devant ce bâtiment plusieurs voitures de luxes immatriculées en Allemagne stationnent. Marilyne me fait part de son inquiétude, je ne suis pas tranquille, mais curieusement je suis en même temps excitée.
Les deux hommes nous dirigent vers l’entrée du fort, leurs voix sont devenues beaucoup plus autoritaires, et ils parlent entre eux en allemand.
L’entrée du bâtiment est semblable à une entrée de château fort, avec un pont en bois, qui surplombe un fossé sombre. L’entrée est juste éclairée par une ampoule, je distignue une grande porte métallique. Quand je franchis la porte, une angoisse m’envahit, mon corps est parcouru par une électricité douce et prenante. Je me dis que je suis folle d’avoir accepté cette soirée. Mais il était trop tard pour reculer. Et cela m’excite, ma minette me chatouille.
Une fois entrées, nous devons avancer dans les longs couloirs du fort. Le bâtiment est transformé en demeure de luxe, il y fait chaud alors que nous sommes en février, l’éclairage était tamisé. Nous sommes conduites dans une pièce ou trois femmes d’une quarantaine d’années, blondes, grandes, sculpturales, et vêtues d’uniformes militaires nous prennet en charge.
Elles nous demandent de nous déshabiller et d’enfiler des vêtements ou plutôt des guenilles. Marilyne, apeurée, se met à bredouiller, elle reçoit de la part de la plus grande des femmes, une paire de claques, Elle se met alors à pleurer, ce qui de toute évidence réjouit les trois femmes.
Vêtues de ces guenilles, nous reprenons des couloirs et des escaliers, escortées par l’une des femmes, jusqu’à une pièce voûtée ou se trouvent déjà 4 autres filles. Elles étaient toutes jeunes et jolies mais habillées elles aussi avec des guenilles. Ces jeunes filles étaient également françaises et arrivées là comme nous. Nous sommes toutes enfermées dans cette pièce qui est en fait un cachot.
Après une heure d’attente, la porte s’ouvre et un homme entre dans la pièce.
Vous êtes là pour satisfaire le jeu pervers de personnes passionnées par le sadomasochisme – nous explique-t-il. Vous devrez jouer le jeu d’être des prisonnières et subir leur délires, si tous se passe bien vous toucherez 1000 francs de plus chacune, bien sur tout cela devra rester secret.
A l’époque, le sadomasochisme, je ne savais pas très bien ce que c’était.
Je pense surtout aux mille francs, et c’est cela qui m’angoisse le plus. Que pouvait-on demander à des filles pour 4000F ! J’ai pensé en venant qu’il s’agissait d’une «partouze» et j’étais dèjà inquiète, car ce serait une première expérience, mais offrir cette somme, cela devait être beaucoup plus, mais quoi exactement ?
Aucune de fille ne parle, le silence est pesant. Je crois que nous sommes toutes dans le même état d’esprit. Je suis à la fois angoissée et curieuse, Marilyne elle, est toute pâle, elle quia le teint âllé en temps normal. Ses yeux brillent.
— J’ai peur, me dit-elle.
— Ils ne vont pas nous manger, pense à ce que tu vas pouvoir t’acheter avec cette somme. Toi qui aime temps les habits.
Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvrit à nouveau, deux femmes et quatre hommes en uniforme militaire entrèrent. Après nous avoir fait mettre en rang, ils nous conduisent, dans une grande pièce sombre éclairée par des flambeaux. Il y a là des tables, des chaînes, des fouets, de grands outils, de grandes pinces noires. Cela ressemble aux salles de tortures que l’on voit dans les films.
Un coin de la pièce est couvert de matelas. Marilyne tremble toujours de peur à coté de moi. Moi, curieusement ; je suis plus sereine, et même mon excitation s’amplifie.
Une vingtaine de «soldats» hommes et femmes en uniformes entrent par une autre porte, il y a des officiers et des hommes du rang.
Ils nous observent comme des animaux à la foire. J’ai l’impression d’être une bête prête à être vendue.
Un homme en uniforme de général, grand, blond, 60 ans environs prend la parole :
— J’ai été informé par mes services qu’il y a des espionnes parmi vous, nous dit-il dans un français impeccable, mais avec un fort accent allemand. Nous allons devoir vous interroger jusqu’à ce que nous obtenions le nom des traîtres. Nous avons également arrêter vos deux contacts en Allemagne. Faites entrer ces deux chiennes..
Deux femmes allemandes en guenilles comme nous, mais plus âgées, 40 ans environs, entrent alors dans la pièce.
Sur un signe du général, les soldats nous saisissent et nous attachent aux chaînes accrochées aux murs. Ils lient les deux allemandes aux chaînes qui pendent du plafond, dans le milieu de la salle.
Le jeu commençe, les soldats se répartissent, choisissant leur prisonnière. Devant moi se placent deux hommes et une femme, ils me parlent en allemand, je comprend quelques mots. Ma grand-mère parle allemand, cette langue ne m’est pas inconnue, ils voulent savoir le nom des espions..
La femme se plante devant moi, et me gifle, des larmes coulent sur mes joues, ce qui fit sourire les trois personnages. La femme continue son pseudo interrogatoire, elle me caresse les seins au travers du tissu, ces caresses, après la gifle, me troublent terriblement, je suis surprise de trouver cela agréable, être caressée en étant attachée. Elle me pinçe le bout des seins dont les pointes s’étaient mises à durcir, il faut dire que j’ai des petits seins, et des tétines comme les femmes africaines toujours en erection.
Elle tord mes pointes entre ses doigts, et je me mis à mouiller. Elle saisit le col de mon vêtement et le déchir violemment de bas en haut, dévoilant ma poitrine, et mon pubis à la vue de tout le monde. Les deux hommes s’approchent et se saisisent chacun d’une pointe de mes seins et les sucent, les mordillant, pendant que la femme glisse sa main entre mes jambes. Elle me caresse d’une main experte, me fixant dans les yeux. J’ai très vite senti une vague de chaleur m’envahir, une excitation s’empare de mon corps, mes jambes se dérobent sous moi, les mains des hommes me caresse partout sur le corps, je jouis très rapidement.
Je suis très surprise de jouir dans de telles conditions, mais de me sentir malmener, dans une position d’être inférieur, d’être à la merci de ses personnes, cela me fait vibrer.
Je me rappelle que j’avais eu très mal à mes tétons, quand, mes tortionnaires les tordaient et les pinçaient, mais j’aurai voulu avoir encore plus mal.
Autour de moi, mes camarades d’un soir subissent à peu près le même sort que moi, avec plus ou moins de brutalité. Les deux allemandes qui sont au milieu de la pièce sont fouettées avec de grand fouet d’équitation, par des femmes. Elles sont entièrement nues, leurs vêtements à leurs pieds. Chaque coup, résonne dans la pièce, des marques soulignent l’emplacement de la lanière du fouet. Leurs corps se balançent sous le choc, leurs poitrines, plutôt grosses, balançent en cadence. Quand les coups cessèrent, deux hommes leur jetent un seau d’eau et les essuyent avec de grandes serviettes.
Sur le mur en face de moi, Marilyne est en train de se faire pénétrer avec un gode que lui enfonçe un homme sous le regard d’une femme qui lui claque les seins avec sa main. Elle, de toute évidence, ne prend pas le même plaisir que moi, à cette soirée.
On me détache et je remplaçe l’une des deux allemandes, on m’a mise nue, cinq hommes m’entoure et me regardent, c’est la première fois que je me retrouve nue devant plusieurs hommes, et en plus attachée.
Une femme me fait voir un martinet avec des grandes et larges lanières, elle me caresse la poitrine, le sexe, les fesses, elle glisse les lanières entre mes jambes et les fis coulisser sur ma chatte d’avant en arrière, me caressant en remontant avec insistance sur mon clitoris. Puis elle se place derrière moi et me fouette les fesses et le dos, je ne la vois pas, et chaque coup, porté avec une force retenue, me fait un mal certain, mais tout à fait supportable.
Ensuite elle se plaçe devant moi, un homme se glissant derrière moi, il était torse nu, très grand et musclé, il a le sexe sorti de son pantalon, et bande, un sexe que je ne vois pas, mais que je sens long et gros, il glisse son sexe entre mes cuisses, met ses mains sur mes seins. Et un jeu pervers commençe entre mes deux tortionnaires, la femme me frappe sur le devant du corps, l’homme essaye de m’éviter de recevoir les coups en plaçant ses mains aux endroits de chutes des lanières tout en se masturbant en frottant sa queue entre mes cuisses. Il réussit bien à m’éviter les coups, mais provocant l’énervement de la femme qui augmente à la fois la vitesse et la force des coups. Je reçois quelques coups cinglants particulièrement douloureux sur les seins, elle évite le ventre trop sensible et dangereux, mes cuisses sont également visées. Ensuite, la femme fouette le dos de l’homme, qui me pétrie les seins, il tire sauvagement sur les bouts. Il me fait mal, je pousse un cri de douleur, ce qui lui provoque une énorme éjaculation, qui me souille la chatte et les cuisses. Son sperme coule le long de mes cuisses. Sperme que la femme au fouet et une jolie brune en uniforme qui regardait le spectacle viennent lécher. La brune insiste longuement entre mes cuisses, en profitant pour fouiller mon sexe avec sa langue, ce qui me provoque un doux et long plaisir. Elle se redresse et m’embrasse tendrement, sa bouche me forçe à ouvrir la mienne et nos langues échangent un long baiser.
C’est la première fois que je suis embrassée par une femme, cela me plait beaucoup. Le baiser d’un homme est plus grossier, une femme embrasse avec douceur, elle carresse la langue avec la sienne. C’est plus charnel, ce que je trouve le plus excitant, c’est de sentir dans ma bouche sa salive, le sperme de l’homme et mon propre jus, quel cocktail.
Après cet épisode, je suis abandonnée attachée pendant quelques instants, je peux observer ce qui se passe autour de moi. Toutes les prisonnières sont entièrement nues, d’eux des filles ont des corps d’adolescentes bien que leur visage laisse deviner qu’elles ont une vingtaine d’années.
Plusieurs participants sont torses nus, hommes et femmes, seul le général a conservé une tenue impeccable, c’est lui qui dirige l’orientation des interrogatoires.
L’une des filles a des seins énormes deux melons presque des pastèques. Un homme fixe des pinces à linges sur la peau des seins de la fille, ses tétons sont étirés par des chaînettes qui les reliaient l’un à l’autre.
Une autre fille, au corps magnifique, le ventre plat, des seins en formes de petites poires, avec de grands cheveux blonds qui lui descendent sur les épaules, reçoit, sur son joli corps, de la cire fondue, qu’une femme fait couler d’une énorme bougie noire. La cire en séchant laissait de grandes traînées noires sur sa peau laiteuse.
De l’autre coté de la pièce une troisième fille est attachée sur une table. Ses pieds et ses mains étaient tirés à chaque extrémité par des chaînes. Trois hommes profitent de son corps entièrement à leur merci. Ils malaxent les seins, tirent sur les tétons avec leurs dents. L’un d’eux se met assis sur son ventre et se masturbe en la forçant à lui sucer les doigts. Pendant ce temps une femme caresse sa chatte, son assistante lui rendant la pareille. Tout ce spectacle est éclairé de grandes bougies, dont la lueur fait danser les ombres sur les murs de la pièce.
Marilyne, comme moi, est attachée au milieu de la pièce, et elle est coincée entre deux hommes qui s’activent, je ne peux voir si, ils la pénétrent, mais en tout cas ce qu’on lui fait subir a l’air de lui plaire. C’était la première fois de la soirée que Marilyne pousse des gémissements de plaisirs. Cela me fait bizarre d’entendre jouir une copine, que je n’ai jamais imaginé faisant l’amour. Ca voix est différente, j’aime voir quelqu’un que je connais, avoir des relations. En plus d’être maso, je suis voyeuse. Je me découvre en plus en plus. Je pensais me connaître, mais au fond on ne se connaît que par les expériences que l’on peut vivre.
Je pensai jusqu’à ce jour, que j’étais «douillette», j’ai peur du dentiste, je n’aime pas les piqûres des infirmières. mais être fouettée, maltraitée dans un contexte sexuel, j’adore ça. L’ame humaine, est bien compliquée.
Les deux filles au corps d’adolescente sont maintenant allongées sur les matelas, avec autour d’elles cinq hommes et trois femmes, qui sont en train d’assouvir leur plaisir sur ces deux jeunes corps entièrement à leur disposition.
Les deux allemandes qui jouent le rôle de prisonnière, sont entravées sur des croix de St andré. L’une se fait torturer les mamelles, par un homme équipé de fines aiguilles qu’il plante dans les chairs de la femme. A chaque piqûre la prisonnière se trémousse sur sa croix. L’autre femme dont la bouche est obstruée par une boule maintenue par un collier. Elle a les lèvres de sa chatte, étendues par des poids qui pende au bout de chaînettes. Ses tétons pris dans des pinces, alors que ses gros seins sont emprisonnés par une corde, les transformant en espèces de rôtis ronds, aux bouts écarlates.
Après une bonne heure d’interrogatoire, tout le monde à l’exception du général, est nu. Il se produit alors un répit. Les deux allemandes sont détachées de leurs croix, et toutes les filles furent à nouveau attachées au mur, il semblait qu’il se préparait autre chose.
Les deux allemandes sont conduites, à coup de cravache qui leur laisse de vilaines marques sur leur peau blanche, jusqu’à deux grands bancs.
Ces deux femmes sont vraiment maso, car les coups qu’on leur porte sont beaucoup plus violents que ce qui nous est infligé.
Les bancs sont couverts de petites pointes. Deux hommes obligent les femmes à se mettre à genoux en bout, ils les forcent avec le pied a basculer leurs torses vers le banc, puis ils leur appuyent la poitrine sur le banc. Alors que leurs seins sont écrasés sur le banc, elles criaient, les pointes pénétrent dans leurs mamelles et dans leur ventre. Elles sont ensuite attachées par les poignets à l’extrémité du banc, de façon à les maintenir appuyées. Leurs chevilles sont attachées à une barre, les empêchant de serrer les cuisses.
Ainsi disposées, elles sont entourées par tous les participants. Je peux, ainsi que les autres filles assister au spectacle qui se prépare. Quatre femmes de l’assistance s’équipent de ceintures en cuir noir, sur lesquelles sont fixés de grands godemichés noirs.
Cela leur fait bites énormes et longues. Deux des femmes se placent derrière les deux esclaves, elles introduisent les godes dans un orifice de chacune des soumises.
Les deux soumises crièrent sous la violence des pénétrations, vraisemblablement elles sont sodomisées, car la pénétration vaginale ne serait pas aussi douloureuse, de plus leurs seins et leur ventre devaientt être griffer par les pointes des bancs.
Les deux sodomisatrices font aller et venir leurs sexes noirs dans le cul des femmes avec violences et avec une cadence de métronome. Le spectacle est incroyable, les autres participants rythment les pénétrations en criant des injures aux deux victimes. L’une d’elle se mit à jouir telle une bête, suivit rapidement par la seconde.
Les deux tortionnaires continuent quelques instants leurs va et viens. Puis elles sortent leurs faux membres.
Les autres femmes équipées de gode, les remplacent immédiatement et pénétrent à leurs tours, les deux femmes soumises. L’une des deux soumise cria sous la douleur, l’un des hommes lui assaine un violent coup de cravache, sur le dos, elle hurle de douleur, ses seins devaient être en plus en plus pénétrer par les pointes. La danse repris, jusqu’à la jouissance des deux soumises. Pendant ce temps, des hommes se font pomper par les femmes disponibles.
Après cette scène, je reconnais, que j’ai perdu le sens des réalités, je n’ai jamais pu imaginer que l’on pouvait faire cela, autant de violence pour obtenir le plaisir.
Dans les années soixante dix, l’éducation sexuelle était à son début. On avait quelques films érotiques mais vraiment du soft. Le SM personne n’en parlait, ce n’est pas comme maintenant.
Je suis effrayée et très excitée à la fois. Deux autres filles sont semble t-il dans mon cas, car je peux voir leurs cuisses qui se frottent l’une contre l’autre, cherchant à satisfaire une envie de masturbation. Les autres regardent cela avec des yeux ronds, mais elles regardent quand même.
Après cette séance, les deux soumises sont détachées des bancs. Je peux voir leurs poitrines et leurs ventres couverts de points rouges. Des gouttelettes de sang ont laisser des traits rouges, zébrant particulièrement la partie supérieure de seins.
Maintenant on les fait mettre sur les matelas à quatre pattes. Je vois les deux femmes, les seins pendants, leurs bouches sont pénétrées par les sexes des hommes, prises sans ménagement par tous les orifices, réduites à de simples objets de plaisirs.
A ce moment, que j’entends des aboiements provenant d’une autre pièce. Deux hommes apparaissent tenant en laisse deux énormes chiens noirs, ils s’approchent des matelas, et laissent les deux molosses regarder ce spectacle. Les chiens aboyent, le spectacle semble les exciter. Le général dit quelque chose aux maîtres chiens, l’assemblée délaisse le spectacle, laissant les deux soumises seules sur les matelas.
Les chiens sont dirigés vers nous. Ils sont emmenés l’un devant une des filles et l’autre devant Marilyne. Des hommes leur écartent les jambes de deux filles, puis les maitres guident les chiens vers le sexe des filles, immédiatement les deux molosses reniflent le sexe des filles. Le chien de Marilyne se contenta de lui lécher les cuisses, le second, dont la fille avait été excitée par le spectacle, léche sa chatte à grands coups de langues, reniflant l’odeur de la fille, comme celui d’une chienne. La fille hurle, de peur cette fois, une gifle la fait taire. Le chien continue quelques instants, puis la troupe avançe vers deux autres filles, la scène se reproduit, une seule des filles a droit à son léchage approfondi de chatte, puis c’est mon tour.
Deux hommes saisissent mes chevilles et écartent mes jambes laissant ma chatte accessible à la langue d’un chien. La sensation est incroyable, je sents le museau du chien contre mon clitoris, pendant que sa langue chaude et rugueuse léche ma cyprine, elle se glisse entre mes lèvres, remonte, vers mon antre d’amour.
Mentalement je suis le parcours de la langue, j’ai été excitée par la scène précédente, ma chatte est trempée et le chien se régale. J’ai l’impression, que tout c’est à une autre personne que cela arrive, et que je suis spectatrice. Incroyable, je prends plaisir sous la langue d’un chien, je deviens une vraie chienne.
L’assistance prends conscience de mes émois, et des regards d’envies lubriques me regardent, je sens le regard réprobateur de Marilyne sur moi, mais tant pis, je suis comme je suis, il y avait du plaisir à prendre, alors je le prends mon plaisir.
Quand je reprends mes esprits, nos persecuteurs nous détachent, et ils nous menent aux matelas. Ils nous font allonger, sur le dos, ils nous entravent les jambes avec des barres nous maintenant grande ouvertes, nos bras sont attachés les uns aux autres, formant ainsi une étoile.
Le général, qui, jusqu’à maintenant, s’est tenu à l’écart des activités sexuelles a revêtu une grande cape noire, deux participantes écartent les pans de la cape, laissant apparaître, un sexe d’une grandeur incroyable, plus de 25 centimètres, et d’un diamètre invraisemblable. Une troisième participante, se mets à genoux devant le monstre du général, et engloutit l’engin avec sa bouche.
Elle pompe avec difficulté ce sexe monstrueux. Ensuite, elle le garnit d’une crème épaisse, elle fait aller sa main sur le sexe, pour l’imprégner totalement.
Le général s’avançe vers les matelas dans le silence, il se dirige vers Marilyne qui est juste à ma gauche. Deux femmes maintiennent les pans de la cape. Le général s’allonge entre les jambes de Marilyne, puis d’un coup de reins brutal pénétre la chatte de Marilyne, qui hurl. Marilyne, a bien eu quelques petits copains, mais aucun je pense n’avait un sexe de la taille du général.
Les deux femmes ont lâché la cape, et admire le spectacle avec toute l’assistance. Ils scandent la cadence des allers et retours du général en tapant des mains
Après une dizaine de coups de butoirs, le general retire son sexe du corps de Maryline. Les deux assistantes, reprennent les pans de la cape. Le général se releve, et passe à la fille se trouvant à gauche de Marilyne. La scène se renouvele, la fille hurla également, mais incroyable que ce soit, elle jouit presque aussitôt, le général, après 10 allers et retours, je compte machinalement les va et viens. Il abandonne le corps de la fille alors que visiblement, elle n’a fini de jouïr encore. Le manège continue jusqu’à ce soit mon tour.
Lorsque le membre géant me défonçe, je crois mourir tellement mon sexe fut perforé par ce mandrin. Sans me laisser de répit, les coups de reins commencent, chaque coup fait pénétrer ce burin un peu plus loin dans mes entrailles. Le volumineux gland frappe le fond de mon vagin, mon corps entier tremble. Instinctivement, je compte les assauts du général, mais à 10, il ne s’arrête pas, bien au contraire, la vitesse et la répétition des pénétrations augmentent, me provoquant, une jouissance diabolique, j’explose de plaisir, je crie comme un animal, plus rien n’existe. Soudain, le général beugle, sort son engin de mon corps, et m’inonde de sa semence chaude et épaisse. La foule applaudit, mon corps, est complètement anéanti, mes jambes tremblent, je vois des points de lumière tourner dans ma tête.
Le général se releve, une femme se précipite pour lui lécher le membre encore dégoulinant de sperme. Les autres femmes se précipitèrent sur moi, et léchèrent le nectar à même ma peau.
Une dizaine de langues fouillent tous les endroits de mon corps, mes orifices sont pour elle des oasis, ma chatte, mon nombril, mes seins, le haut de mes jambes.
Après qu’elles se sont rassasiées toute la communauté quittèrent la pièce. Les deux hommes qui nous avaient conduit dans cette soirée, ils nous détachent, et nous déclarent leur satusfaction, ainsi que celle du général. Que nous avons rempli, notre partie du contrat, que celles qui souhaitent repartir de suite le peuve, celles qui désirent rester, elles sont les bienvenues.
Le général revient, il s’approche de moi, et m’informe que je suis «l’élue » de la soirée.
Que je pourrai participer à une autre soirée, non plus en tant que prisonnière, mais en participante volontaire, et que je serai la bienvenue.
J’hésite, partir ou rester, Marilyne, veut repartir, n’ayant que moyennement apprécié la soirée. Je décide donc de rentrer avec elle, en ayant pris soin de d’échanger mes coordonnées avec le général pour la prochaine soirée, Deux filles sont restées.
Pendant, les semaines qui ont suivi cette soirée en Allemagne, je me suis souvent caressé la nuit en y repensant, revivant ce qui m’était arrivée, mais aussi et surtout imaginant ce que j’aurai aimé que l’on me fasse.
Ma relation avec Marilyne a été un peu altérée, par cette soirée.
Nous avons beaucoup discuté de ce qui c’est passé. Nous avons échangé, nos goûts, nos préférences, nos fantasmes. Marilyne m’a confié, que ce qui vient en premier pour elle, c’est de faire l’amour avec plusieurs hommes, d’où sa réaction alors qu’elle se faisait caresser par les deux hommes. Elle aime être un objet sexuel, mais pas dans la souffrance, ce qui l’excite, c’est plus la soumission mentale, être l’esclave de plusieurs hommes, dans des situations glauques. Se retrouver attachée ne lui avait pas déplu, elle m’avoua même, que cela l’avait excitée. Les animaux par contre ça, elle ne peut pas.
Un jour, notre copine Florence nous ayant surprises en pleine discussion, nous avons partagé nos échanges avec elle. Florence nous a confié ses goûts sexuels.
Florence est une jolie fille, pas très grande, mais très mignonne. Elle a les cheveux châtains, mi-longs, qui frisent naturellement. Florence est une jeune fille très «cool », elle est dans la tendance Hippie qui est encore très présente dans les années 70. Elle est étudiante en droit. Très souvent, elle se balade en jeans et tee-shirt sans soutien gorge, ce qui provoque des regards accrocheurs des garçons. Ses deux seins pointus, sont comme les miens, continuellement en érection, ce qui est très visible sous un tee shirt, cela excite beaucoup les étudiants que nous côtoyons. Elle a un très joli cul, que moule parfaitement son jean’s.
Lors de notre conversation, nous ne parlons pas des détails de la soirée, mais simplement de ce qui nous émoustillent. Florence déclare qu’elle aimerait participer à une orgie, faire l’amour avec plusieurs hommes, se faire mettre par-devant, par-derrière, ça l’exciterait. Je lui dis que dans les orgies, il y a les hommes, mais aussi les femmes, qui font des trucs ensemble, elle nous avoue, avoir échangé des caresses avec une copine alors qu’elle habitait en région parisienne, et que cela lui avait beaucoup plus.
Quand j’entends cela, je revois ces deux allemandes en train de se faire mettre par les deux autres femmes, et aussi et surtout celle qui m’avait embrassée, cela me trouble encore.
à Bientot