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Je me tape toutes les filles de ma classe – Chapitre 2




Elle s’appelait Raphaëlle.

    C’était une petite Parisienne tout juste majeure qui se servait parfois de celui-ci pour faire des doigts d’honneurs de manière spontanée à tous ceux qui ne lui plaisaient pas. Un peu gothique sur les bords, bisexuelle par vice et susceptible au point d’être allée se plaindre auprès de la CPE la veille de la rentrée scolaire en raison des paroles maladroites d’un élève qui avait eu le malheur de se moquer des Parisiens et des Parisiennes en les affublant du sobriquet un tantinet désuet de ’’ chochottes ’’, cette jeune fille, pas pucelle pour un sou et affublée de tous les vices, me faisait non pas de l’oeil mais de la fesse, en secouant frénétiquement de gauche à droite et de droite à gauche son postérieur de jouvencelle.

    Cette fille puait le sexe. Un célèbre philosophe disait que nous étions ce que nous mangions : cette citation me fit comprendre la raison pour laquelle la peau de la petite Raphaëlle était d’un blanc laiteux tirant vers le grisâtre. Sa bouche, me disais-je, avait dû en voir passer des kilomètres de bite; suffisamment pour que, si l’on mettait bout à bout chacun de ces phallus en action, l’on puisse y parcourir – tel un funambule sur une corde raide, bien raide – Paris- Moscou !…

    Je n’eus cette fois-ci pas besoin de lui adresser mot pour conclure mon uvre de premier forniquant. La belle tendit ses doigts de fées en direction de ma braguette, sous la table de ma salle de classe, avant de caresser langoureusement mon éclair à la vanille dont la crème onctueuse ne demandait qu’à s’évader de sa prison de pâte durcie par la chaleur que dégageait cette petite cuisinière amatrice de liqueur et d’anis étoilé.

    17 heures 30 sonnèrent. L’heure de la fin de ce cours qui me semblait interminable venait enfin de s’achever, et déjà Raphaëlle enfilait son sac sur son dos doux que je devinais lisse et sans duvet. Elle m’emmena dans sa chambre. Ferma sa porte à clé.

    Comme un Somalien sur un grain de riz, ma petite pétasse de Parisienne se jeta, affamée, sur ma bite. Son rouge à lèvres noir de gotho-pouffe adulescente dessina de grands cercles sombres sur ma Tour de Pise désormais recouverte de maquillage; ses petites mains sur lesquelles un dragon était tatoué faisant alors office d’échafaudage autour de mon bâtiment en cours d’agrandissement mais prêt à s’effondrer. Mon Colosse de Rhodes, colosse aux pieds d’argiles, menaçait de s’écrouler sous les coups de boutoir de sa langue animale, coulissant en tortillons montants et descendants tout au long de ma baguette de pain sans cesse chauffée par le four qu’était sa bouche. Ma tour jumelle était en feu, sa langue était l’avion, je sentais sa salive invasive pénétrer mon urètre, et mon présperme se jeta du haut du 80ème étage lorsqu’il sentit que tout était perdu.

    Tremblant de tous mes membres, mon tube de dentifrice n’allait pas tarder à se vider de son contenu pour nettoyer les gencives sales de ma turluteuse, mes poils pubiens risquant de faire office de brosse à dents. Je pensais déjà au festin que mes morpions, dont je savais l’appétit insatiable, allaient déguster : feuilles de salade coincées entre les dents du dernier repas de midi en entrée, filament de tabac de la dernière cigarette sans filtre au rebord du palais en plat principal, et en dessert : déluge de sperme sauce vieille pisse !…

    Mon tuyau d’arrosage libéra son jet de foutre dans la piscine à sperme qui servait d’estomac à ma sale petite catin. Ni re-crachat, ni gargarismes : Raphaëlle avala ma semence fertile en flux continu, sans relâche, sans décrisper les mâchoires ni essuyer les larmes de bonheur qui coulaient le long de sa joue et qui atterrissaient, une par une, dans sa cavité nasale, venant ainsi humidifier son mucus jaunâtre lui servant autrefois à consolider les glaires dont elle ne rechignait jamais à se servir en tant que projectile lorsqu’une de ses ennemies la provoquait inutilement.

    Ma frite à la mayo se rétrécit soudainement, lorsque Raphaëlle, interloquée par sa fugacité à provoquer une éjaculation abondante chez son partenaire du sexe opposé en moins de dix minutes, décida que c’était à son tour de se faire brouter la chatte. Délicatement, ma Parisienne ôta son jean noir, et se positionna, au milieu de son lit, les jambes écartées, le string rose bonbon pas encore enlevé.

    De mes dents aiguisées, je saisis le rebord de son string pour le mâchouiller lentement avant de le déchirer en deux morceaux. A quatre pattes, je déposais, comme un brave toutou, le cadavre de feu son string en contrebas de son plumard. Autour de Raphaëlle, une peluche pokémon me fixait, comme si je n’étais qu’une sous-merde, et cela finit par me mettre mal à l’aise, si bien que je finis par retourner l’insolente peluche côté ventre de façon à ce que son regard courroucé cesse enfin de m’indisposer.

    " – Mais quest-ce que tu fous avec ma peluche ?… Me serina-t-elle.

    – Rien. J’aimais pas son regard.

    – Mais ce n’est qu’une peluche !… Me rétorqua-t-elle. ’’

    Je rougis soudainement à l’idée saugrenue que cette déesse parisienne ait pu me prendre pour un enfant encore terrorisé par des peluches.

    " – Ta peluche n’est peut-être pas vivante, lui fis-je d’un air sournois, mais ta chatte, elle, va brûler de mille feux !… Je suis un pyromane des fruits de mer, ma douce Raphaëlle, sache-le une bonne fois pour toutes !… "

    Et je partis à l’assaut de sa moule que je pensais atteinte du syndrome du panier de crabe farci, et que je retrouvais douce, suave, émanant un léger parfum de clémentine me rappelant les fins d’hiver rigoureux chez ma grand’mère maternelle, laquelle faisait sans cesse brûlailler au coin de son âtre Haut-Soânois des restes de pelures d’oranges afin d’embaumer délicieusement l’atmosphère de son humble logis par des effluves printaniers pour oublier la neige et la nuit noire et glacée des hivers Marnaysiens.

    Son clitoris gonflait à vue d’il, comme un ballon de baudruche sur le rebord en cupronickel d’un vieux saxo usé par les incessants souffles profonds d’un jazzman inspiré. De désert du Sahara aux chutes du Niagara : tel était l’état qu’avait atteint la chattounette de madame en quelques minutes. Je plongeais mon nez aquilin au travers de ses grandes lèvres, lequel était cerclé d’un rouge grenade perlé de sang. Je bus à son calice de chair les quelques millilitres de cyprine argentée que ma promise d’un soir répandait de sa fontaine soyeuse, et ce fut lorsque ma belle se mît à se tortiller dans tous les sens tel un asticot nu sur un sol infertile qu’elle poussa des cris de gorgone à faire décoller le papier peint couleur taupe de son studio d’estudiantine gourgandine et vicieuse.

    " – AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh !!!!! Continueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!! Putaaaaain !!!! Que c’est boooooooooon !!!!! Lèche ! Lèche ! oh ouiiiiii ! oh… oh… oh… oh… Je vais… Je vais… Je vais… tout… TOUT LACHEEEEEEEEEEEEEEEEEERRRR !!!! AAAAAAAAAAAAAAHHH!!! "

    Et ma femme-fontaine expulsa de sa piscine pour nains un bon litre et-demi de cyprine et de pisse sur mon visage que j’avais pris soin, le matin même, de raser de près et de shampouiner, somme d’actes réalisés en vue de me faire tout beau pour la rentrée, et qui se voyaient ruinés par l’éruption soudaine et ininterrompue de sécrétions diverses venant du vagin d’une de mes camarades de classe.

    Le visage humide et puant, j’évacuais de mes mains fermes toute la mouille que j’avais pris dans la gueule, et l’étalais sans pitié aucune sur le petit cul de salope de Raphaëlle.

    " – T’as vu ce que tu as fait ?… T’as vu ce que tu as fait, petite insolente ? …

    – J’ai…J’ai pas fait exprès, monsieur !…

    – Le monsieur va te punir très, très sévèrement, petite salope, tu m’entends, petite souillon de merde ?…

    – Oui, monsieur… ’’

    J’appliquais consciencieusement des petites claques sur son popotin de souillonne, une par une, avant que de lui mettre de véritables fessées cinglantes et douloureuses.

    " – Aïe !… ( shlack ! ) Aïe !… "

    De véritables larmes de douleur perlaient le long de ses joues. A l’aide de mon menhir de chair turgescent que je dirigeais sur ses cheveux, je pissais sur sa chevelure fraîchement teinte d’un noir de geais. La teinture coulait le long du sol, dévoilant ses cheveux d’un brun banal, et faisant de sa propriétaire apeurée une véritable hystérique, désormais lassée par notre petit jeu et prête à en découdre physiquement avec moi afin de laver l’honneur perdu par ses cheveux déteints. Elle se débattait, la gouinasse. Afin de maintenir au sol ma désormais nouvelle adversaire, j’enfonçais mon pieu en levrette dans son réservoir à chiourmes. Sans capote.

    " – Mets au moins une capote !… Je veux pas tomber enceinte, sombre connard ! ’’

    Espérant me faire fuir, Raphaëlle adopta la technique du putois, en pétant sur ma bite alors enfoncée dans le bon trou. Une odeur pestilentielle, préfigurant celle des grandes diarrhées hivernales, pointa le bout de son nez entre elle et moi. Tandis que j’accélérais la cadence au fond de son utérus, Raphaëlle émit une sorte de gargouillement du plus profond de ses entrailles.

    " – Sors de ma chatte !… Sors tout de suite de ma chatte ou je te chie dessus !… "

    Ravi par cet ordre qui se croyait menace et qui ne faisait que m’exciter davantage par son aspect aussi sale qu’interdit, je poursuivais mes allers-retours sans passion, comme un prisonnier des Baumettes effectuant sa ronde quotidienne, en attendant la libération, matérialisée sous la forme d’un jet de chiasse multicolore sur mon pubis en feu.

    PROUT.

    Elle me chia sur le pubis. La merde sortit brusquement de son cul, comme l’accouchement-express d’un monstre difforme dû à la rencontre fortuite au cours d’un speed-dating d’une championne du 100 mètres et d’un éjaculateur précoce en cavale. L’avorton de boue s’étala sur les deux globes terrestres dont il n’aurait jamais dû s’échapper, colorant la croupe de ma callipyge d’une teinte café, faisant la nique aux racistes car prouvant que n’importe quel blanc peut devenir café-au-lait suite à un incident. Mon Africaine des fesses se mit à déglutir, puis à vomir entre mes mains que j’avais plaquées sur sa bouche. C’est alors que la citation célèbre de Julien Dray – ( " que l’on soit noir, jaune, rouge, vert ou bleu… ), citation prêchée du politicien moyen à l’antifasciste bon ton pour nous rappeler que, quelle que soit notre couleur, nous sommes tous égaux – prit tout son sens lorsque je contemplais le maelstrom kaléidoscopique de couleurs chatoyantes dégoulinant paresseusement le long de mes grandes paluches recouvertes d’un vomi dont la diversité des teintes ne cessait de me fasciner. Du vert caca d’oie venant des haricots beurre de midi, en passant par l’ocre suranné des croûtes de pain de mie de la veille, toutes les nuances de couleurs laides s’entremêlaient artistiquement entre mes doigts emmycosés par les pelletées de chattes tripotées sans scrupules par ces dix boudoirs pâtissiers vicelards et sans pitié.

    J’étalais son vomi dans ses cheveux, pour bien lui faire sentir qu’elle n’était après tout que mon inférieure, avant d’enfoncer ma bouteille de lait dans son baba au rhum recouvert de chocolat. Je ne pus résister bien longtemps. J’éjaculais bruyamment et sans retenue dans ses égouts puants, avant d’en ressortir mon mikado dégonflé pour le fourrer dans sa bouche, afin qu’elle en ôte le chocolat à l’aide de sa langue de pute.

    Je pris une douche pendant que Raphaëlle nettoyait sa chambre souillée par la merde, la pisse, le sperme et le vomi. Elle fit de même une fois que je sortis de sa chambre afin de regagner la mienne, située à l’étage du dessus.

    A peine allongé sur mon lit, j’entendis quelqu’un toquer à ma porte. Une voix féminine que je ne connaissais susurra mon prénom.

    Je me levai de mon lit, pour ouvrir cette porte derrière laquelle m’attendait…

    A suivre…

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