Jempoigne Maman par les hanches, admire son dos gracile,
émerveillé par le contraste saisissant entre sa taille étroite et ses hanches larges.
Elle se cambre, soulève le cul, comme si elle me donnait tacitement le feu vert.
Je me tiens la queue dune main, la guide en direction de la fente, vers la cible rouge ; au passage, ses poils chatouillent mon gland.
A lentrée du vagin, jai un aperçu de lexquise moiteur, de la délicieuse touffeur qui mattend une fois dedans.
Je la tiens par la taille et lenfile dun coup de reins.
Je menfonce jusquaux couilles.
Surprise par ma persévérance elle pousse un petit cri, comme si ma détermination létonnait.
– Mais enfin Maxime, est-ce que tu te rends compte ? Je suis ta mère, voyons tu devrais avoir honte !
Plus elle me dit quelle est ma mère, plus elle insiste sur le côté sacrilège de notre relation, et plus ça me fait bander.
Si bien que je me demande si elle ne le fait pas exprès, comme si elle avait réalisé que cest précisément cet aspect qui mexcite le plus
Quest-ce quelle est vicieuse, quand même !
Elle ne cesse de me surprendre, jour après jour.
Je la pilonne et elle recule son derrière pour bien se faire emmancher.
Jenvoie mes mains sous son buste afin de lui attraper les nichons, les fais jaillir du décolleté en tâtonnant, joue avec les bouts érigés.
Maman gémit bruyamment, pousse une longue plainte qui monte en sintensifiant.
Elle fait partie de ces femmes qui ont le plaisir démonstratif, alors quelles sont introverties le reste du temps.
Elle a envie de prendre son pied et elle se lâche, oublie ses problèmes et son mari infidèle.
Elle jouit. Elle se laisse choir lourdement sur le bureau le buste en avant, le visage dans les mains.
Elle sanglote, de bonheur peut-être, à moins quelle nait des regrets, ou un zeste de culpabilité.
Sans doute pour ces multiples raisons mélangées.
Je jouis à mon tour. Je gicle à lintérieur de Maman. Je crie.
Une fois que jai éjaculé, je maffale sur elle hors dhaleine.
Elle se dégage en effectuant plusieurs reptations sur place.
Elle mexpulse de son vagin alors que je my sens bien et que je bande encore, se démène, se relève et sors de ma chambre en se rajustant.
Lesprit libre, les couilles vidées, je suis en mesure de travailler sans arrière-pensées ; jy passe le reste de la journée
En début de soirée je la retrouve dans la cuisine, affairée à préparer notre diner.
Elle porte la même robe de chambre informe que dhabitude, les mêmes mules dintérieur aux pieds ; rien na vraiment changé.
Elle ressemble à ma Maman davant, pas à la nouvelle.
Nous ne nous parlons pas, incapables de mettre des mots sur ce que nous traversons.
Cest la seule différence, la seule tension palpable qui existe entre nous.
Nous mangeons le nez dans notre assiette, sans nous regarder.
Nous nous installons devant la télé, elle assise comme un piquet sur le canapé, moi dans le fauteuil de Papa.
Après, nous regagnons chacun notre chambre dans un silence pesant.
Je ne sais pas à quoi elle pense, mais je me dis pour me rassurer quune bonne nuit de sommeil nous permettra dy voir un peu plus clair
Le jours sest levé. Je devine une présence. Je me réveille en sursaut.
Je nai rien entendu, pourtant Maman est affalée sur mon lit.
Elle porte une jolie petite nuisette du plus bel effet.
Son corps nest que rondeurs naturelles, courbes lascives.
Je ne me lasserai jamais de la regarder. Je la trouve de plus en plus belle.
Encore endormi, je maperçois quelle a rejeté les draps à mes pieds et qu’elle me mate ouvertement.
Embarrassé, je cherche le moyen de me couvrir, mais je nai rien sous la main pour me dissimuler.
— Relax, mon chéri tu crois quil ny a que toi qui peux venir dans ma chambre pour me regarder dormir toute nue ?
Elle bascule sur le côté.
Elle me sourit dun air complice, comme si nous partagions le même petit vice secret, et elle sinstalle en appui sur un coude, en se tenant la joue et le menton dans la main.
— Tu sais, jai beaucoup réfléchi cette nuit je voudrais que tu saches que je suis reconnaissante pour ce que tu as fait pour moi depuis que ton père est parti tu es un gentil garçon Maxime le fils attentionné dont toute maman rêve, confesse-t-elle avec une réelle émotion, mais sans quitter ma queue des yeux.
Le décalage entre la reconnaissance maternelle quelle me témoigne dune part, et linsistance avec laquelle elle fixe mon sexe de lautre me déstabilise complètement.
Consciente davoir capté mon attention, elle poursuit.
— Je tavoue que lattirance malsaine que je tinspire est perturbante mais ce nest plus ton problème je suis daccord, si tu le veux vraiment jen ai pris mon parti
Je suis sidéré par sa franchise. Sa proposition me laisse sans voix. Je baisse les yeux, penaud, comme un petit enfant pris en défaut.
— Ne tinquiète pas mon trésor, tout va bien maman va soccuper de toi maintenant
Ses sous-entendus crapuleux me donnent des frissons.
Mon sang pulse, bouillonne ; il gorge les tissus spongieux des corps caverneux de ma queue.
Maman constate, enchantée, que sa confession a provoqué sur moi leffet escompté.
Elle pose délicatement une main sur ma cuisse, remonte timidement, prend mon sexe entre ses doigts.
Elle meffleure, me décalotte doucement, commence à me masturber avec une surprenante tendresse qui paraît déplacée.
— Tu es sûr que cest vraiment ce que tu veux, mon chéri ?
Cest comme si elle demandait à un drogué sil veut renifler le rail de cocaïne qui se trouve sous son nez, ou sil ne préfère pas plutôt y renoncer et rendre gentiment la paille qui lui brûle les doigts.
Cest fou ce quelle est drôle, nest-ce pas ?
Javais déjà réalisé quelle est vicieuse selon les circonstances, mais je nen reviens pas quelle puisse se montrer aussi perverse.
Maman rampe sur mon lit, sinstalle en position.
Elle pose sur ma queue un regard affamé. Gloutonne. Elle a les yeux écarquillés, lair possédée…
Lété précédant, je suis sorti avec une fille, Caroline, qui passait pour une salope dans la cour du lycée.
Une petite blonde avec un visage ravissant, assez boulotte, mais dotée dune spectaculaire paire de gros nichons qui rendaient fous tous les garçons.
La première fois quelle ma emmené dans sa chambre, elle sest montrée peu farouche, justifiant sa réputation, et nous nous sommes rapidement retrouvés nus sur son lit.
Elle avait vraiment des seins magnifiques, lourds et attachés très hauts ; une poitrine naturelle avec deux bourgeons éclos.
Elle avait aussi une jolie petite chatte totalement glabre, ainsi que les canons de la beauté formatée limposent aux femmes daujourdhui.
Très vite, nous nous sommes enhardis, et, alors que je la doigtais, elle ma branlé avec cette frénésie propre aux actrices porno.
Comme elle était brutale et me faisait mal, je lui ai demandée de me sucer, et elle sest exécutée pleine de bonne volonté.
Mais pour cette activité non plus elle nétait pas très douée.
Elle me pompait la queue comme une hystérique, la mâchoire distendue, toutes dents dehors, si bien que jai eu peur quelle ne me blesse avec lardeur quelle y mettait.
Lorsque ses dents ont dérapé sur mon frein, je lui ai ordonné de sarrêter et me suis fini entre ses gros seins.
Quand jai éjaculé, elle a poussé des petits grognements satisfaits alors que jarrosais son menton, visiblement enchantée par sa performance.
Elle a recueilli mon sperme sur ses doigts, avant de les lécher un après lautre avec conviction.
Elle avait lair si heureuse de sa prouesse, si fière delle-même, que je men suis voulu de ne pas partager son enthousiasme.
Par une incroyable aberration dont jignore lorigine, Caroline était vierge et tenait à le rester. Elle nétait ni musulmane ni dune autre obédience, ce nest pas la religion qui la freinait.
Pourtant, elle ne refusait aucune fantaisie à ses nombreux amants : elle leur offrait même son cul en compensation !
Jai décliné linvitation la fois suivante, puis celle daprès, et nous avons rompu.
Je garde cependant un excellent souvenir de Caroline. Cétait une fille généreuse, prompte à satisfaire les garçons qui lui plaisaient.
Ses gros nichons étaient doux et moelleux. On retournait dans leur sillon profond avec volupté, en terrain conquis, avec la promesse renouvelée de nêtre jamais déçu, de toujours y trouver ce quon était venu y chercher
Si je repense à Caroline à ce moment précis, cest parce que ma mère me la rappelle étrangement.
Un frisson dappréhension me glace léchine quand Maman se penche sur moi en ouvrant la bouche en grand.
Elle a le même regard absent, la même détermination avant dentamer sa fellation.
Elle semble aussi dérangée que Caroline, aussi cinglée, aussi pressée de sempiffrer.
Comme je nai aucune expérience en la matière, comme ma première pipe sest soldée par un échec presque traumatisant, je suis effrayé à lidée quelle soit incapable de se contrôler, quelle plante ses crocs dans mon gland et me mutile accidentellement.
Mais je réalise très vite que contrairement à Caroline, Maman sait parfaitement ce quelle fait.
Il y a, entre ma jeune partenaire dalors et ma mère, la même différence de compétences quentre une amatrice et une professionnelle aguerrie.
Rassuré, je ferme les yeux.
Je prends la mesure de son talent.
Je mabandonne à ses lèvres chaudes, à sa bouche dune infinie profondeur.
Elle menveloppe tout entier, mabrite dans son humidité.
Cest un nuage, de la rosée, un défi à la réalité, une parenthèse enchantée.
Ma queue est au fond de son gosier comment peut-elle ne pas sétouffer, suffoquer en mavalant de la sorte ? et Maman la laisse glisser hors de sa bouche, de la racine jusquau gland. Elle la pince entre ses lèvres vissées.
Sa langue lèche mon frein, senroule autour de mon gland.
Elle mengloutit à nouveau, renouvelle lopération. Cest divin.
Comme elle doit avoir honte que je la regarde, elle laisse ses cheveux ruisseler en cascade sur mon ventre, afin quils mempêchent de voir ce quelle me fait.
Lépais rideau de sa crinière masque sa bouche en action.
Maman suce tellement bien, elle maitrise si parfaitement son art que je suis incapable de me retenir.
Jéjacule dans sa bouche. Un flot de sperme lui fouette le palais. Une première fois.
Je suis agité par des spasmes de plaisir incontrôlables, à chaque nouvelle giclée.
Quand cest fini, elle fait mine de se lever pour aller recracher mon sperme dans le lavabo, mais je me redresse et la retiens en la tenant par les cheveux.
— Non Maman ! Avale ! Avale tout, sil te plait.
Elle me regarde de ses grands yeux étonnés mais déglutit malgré elle ma semence, en grimaçant involontairement quand mon sperme envahit sa gorge.
Et alors que je ne lui demande rien, elle ouvre la bouche en grand, me tire la langue.
Elle fait « ah » comme chez le docteur, pour me prouver quelle a tout avalé, quil ne reste rien.
Je suis ahuri par son obéissance.
Quelle salope !
Et dire que nous nen sommes quau début