Le lendemain matin, Esther me réveillât par de petits bisous tendres.

J’émergeais difficilement, je n’avais pas l’habitude de me lever si tôt. Il était à peine sept heures. Esther déclarât que maintenant il fallait que je me lève tôt, d’une part pour faire quelque chose de ma vie et d’autre part parce qu’elle partait travailler et elle voulait que nous déjeunions ensemble.

"Allez vas prendre ta douche, feignant , dépêches toi!"

Je me dirige comme un automate vers la salle de bain. L’eau de la douche me sort définitivement de ma somnolence, je prends le gel, quand Esther me rejoint dans la cabine.

Elle me savonne, le dos, le visage et puis surtout le sexe.

"Oh , oui, il faut bien la nettoyer, elle est toute dure, mon petit vicieux, tu aimes quand Esther s’occupe de ta queue?"

" J’aime ça, c’est tellement bon, oh oui occupes toi de moi s’il te plaît , je suis ton petit cochon!"

Je me suis penché pour téter ma bienfaitrice, après quelques succions elle a fermement appuyé sur mes épaules, je me suis donc positionné selon ses souhaits, pour lui faire un cunnilingus. Elle écartait ses jambes et je léchais avidement ce sexe humide et chaud.

Esther m’encourageait:

"Tu es ma suceuse, maintenant, tu sais ce qui me fait plaisir, oui continues, régales toi cochon, je vais te donner du jus, moi puisque tu aimes ça."

Et elle s’est mise à me pisser dans la bouche, un jet long et puissant.

" Avales tout, fais moi plaisir, mon bébé, bois mon nectar, oh c’est tellement bon, voilà comme ça, tu aimes ça, dis moi!"

J’avalais tout ce que je pouvais mais, le jet était trop puissant.

" Ne gâches pas, allons fais un effort voilà c’est la dernière goutte maintenant viens me lécher, nettoies ma chatte. Allez mon bébé mets ta langue bien au fond."

"oh oui comme ça, continues, oh tu me lèches si bien oh ouiii je jouis, t’arrêtes pas "

Je sentis sa jouissance comme un torrent, non seulement c’était une fan de l’ uro mais en plus c’était une femme fontaine.

Je sentais son corps se calmait après cet orgasme mais elle ne desserrait pas l’étreinte et je continuais donc à la sucer. Puis elle m’a relevé.

"regardez moi ça comme il bande dur , ça te plaît de me lécher on dirait!"

Puis après un courte branlette, elle a engouffré mon sexe dans sa bouche pour la première fois. C’était divin, elle avait saisi mes couilles et me les caressait, me les griffait, j’étais aux anges et ma jouissance fut terriblement rapide.

Esther n’ essayât pas des se dégager, elle avait garder ma bite en bouche, elle s’est relevée et m’a embrassé ou plutôt ma rendu à travers notre baiser mon sperme.

Puis elle a conclu par un petit baiser.

"Sors , je finis de me laver , fais nous un café mon petit homme.

Je me séchais et préparais le café dans la tenue d’ Adam.

Esther, fraîche et pimpante me regardait en buvant son café.

" C’est assez tentant de te garder nu comme un vers à la maison, mais je crois que je vais quand même aller t’acheter des vêtements masculin à ta taille. Puis elle s’est collée à moi et de nouveau me caressait le testicules, je bandais à nouveau. Esther continuait, elle avait dégager un de ses seins et me l’offrait à téter, je ne me fis pas prier.

" Tu bandes tout le temps, toi,c’est beau la jeunesse mais à ce point là, tu es vraiment un petit pervers".

"Ah t’aimes ça quand je te branle, tu veux encore cracher, cochon?"

Comme d’habitude elle me cajolait les couilles à sa manière et comme d’habitude je n’ai pas résisté à ce traitement."

Bien que je n’ai pu éjaculer que trois gouttes, la jouissance était bien au rendez vous.

"Hum, la source semble se tarir! Bon tu nettoieras, je rentres pour le déjeuner!"

Et je me retrouvais seul au milieu de la cuisine, les couilles très vides.

Je me suis servi un café et je le buvais à petites gorgées debout face aux meubles de cuisine quand je sentis un corps puissant me plaquer contre le lave vaisselle.

"Alors, Éva tu croyais que j’allais t’abandonner qu’est ce que tu fais toute nue chez ma sur?"

J’essayais de me dégager mais c’était peine perdue, monsieur était bien plus fort que moi.

Il me maîtrisait sans peine.

"Voyons, ma belle sois sage je vais te donner ce que tu veux, je vais t’enfiler, tu n’es bonne qu’à ça ma petite pute!"

" Non je ne veux plus ……"

Il a ouvert sa braguette d’une main et tout en poussant sur mon buste pour que je me penche vers l’avant, il s’est introduit en moi sans aucun préliminaire.

Il me faisait mal, j’ai crié ma douleur mais il continuait à me limer tout en m’insultant.

" T’aimes ç , salope, je le sais, tu es un garage à bittes, tiens prends là je te la mets bien au fond, tu es ma pute et tu vas le rester!"

La douleur s’est estompée et je retrouvais les plaisirs que me donnait la grosse queue de monsieur, je sentais mon cul aller à la rencontre des coups de bites féroces que monsieur m’infligeait.

Il me tirait les cheveux et m’a forcé à lui dire que je voulais qu’il me baise comme une chienne, qu’il était mon maître, que j’aimais sa grosse queue dans mon cul.

J’ai joui mais je tenais à ne pas lui montrer et comme j’avais les couilles vides et la bite molle, ce fut facile.

Comme à son habitude il a joui dans ma bouche.

Je me suis assis à même le sol, je ne le regardais pas. Il n’a rien dit et est parti.

J’ai tout nettoyé, j’ai pris une douche et j’ai attendu Esther.

Je me disais que finalement vivre avec la sur et quand même profiter de la grosse bite de monsieur n’était peut être pas une mauvaise idée.

Related posts

Je la manipule pour la posséder – Chapitre 1

historiesexe

D'épouse à vide couilles – Chapitre 1

historiesexe

Vacances, sexe et exhib. – Chapitre 11

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .