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Soumise, sinon rien. – Chapitre 8




J’étais en cuisine depuis 15 minutes, quand je vis Fabienne débarquer, contente.

— Alors, c’était bien ?

— Il a fallu que je lui explique quelques trucs, mais elle se débrouille pas mal. Et puis voir cette fille, cette esclave, la tête rasée en train de me bouffer la chatte, ça m’a trop excitée.

— C’est vrai que comme ça, elle est bien. C’est ainsi que je la conçois. Toi, tu n’étais pas prête à cela pendant notre relation.

— Non, c’est clair… mais maintenant, je ne dirais peut-être pas non… qui sait

— Ben, si ça te tente, tu sais où me trouver.

— Dis, je pensais à un truc. Toi et moi, enfin, surtout toi, on aime les beaux seins, gros, lourds. Avec ce qu’elle a aujourd’hui, c’est pas top !

— Oui, et…?

— J’ai lu quelque part que si on la trayait, un peu comme une vache, cela pourrait stimuler une montée de lait et les faire grossir. Et j’ai un pote berger, dans l’arrière-pays, qui pourrait nous aider.

— Banco. Tu as carte blanche. Le repas est prêt, on va passer à table.

Nous nous installâmes tous les trois à table. Fabienne s’était juste vêtue d’une nuisette en tulle transparente. Steph, elle, était toujours nue comme un ver.

— Ta nouvelle coupe de cheveux te va à merveille, Steph. Pendant le repas, je vais te donner quelques directives sur tes futures actions. Ecoute bien.

— Oui Fabien.

— Déjà, de prime à bord, tu vas me donner tous tes papiers. Carte d’identité, permis de conduire. Je les garderai et te donnerai des photocopies. Ensuite, tu vas me donner tes moyens de paiement, carte bancaire et chéquier. Je te donnerai de l’argent liquide toutes les semaines, de ton compte. Je te demande une légère compensation financière pour que tu vives sous mon toit. 300 euros / mois. Es-tu OK avec tout cela ?

— Oui. Mais je vais donc continuer à travailler ?

— Evidemment. Tu croyais quoi. Que c’est le club Med ?

— Non… mais maintenant, avec la tête rasée,…

— Eh bien quoi, tu as honte ? Tu le diras à tes collègues. Tu leur diras que tu as choisi un nouveau style de vie, que tu as décidé d’être une parfaite soumise. Sils ont des problèmes, qu’ils m’appellent. D’ailleurs, à propos de téléphone, je te laisse le tien pour les jours où tu travailles. Par contre, dès que tu es ici, le téléphone est éteint. Compris ?

— Oui.

— Demain, après t’avoir acheté une perruque, que tu porteras quand je te le dirai seulement, nous irons chez toi, prendre tes affaires. Tous tes sous-vêtements iront à la poubelle, exception faite de quelques culottes que tu pourras avoir pendant tes règles. Nous irons t’acheter des choses qui me plaisent.

— Ok.

— A partir de maintenant, et pour que tu reprennes quelques formes, je veux que tu manges normalement, trois fois par jour. Et pour aller plus vite, nous allons te traire les seins tous les jours. Avec un peu de chance, cela déclenchera des montées de lait et tes seins grossiront plus rapidement.

— Oui…

— Tu feras du sport tous les jours. Soit entre midi et deux, pendant ta pause, soit, le soir en sortant du boulot. J’irai te prendre un abonnement à la salle à côté de ton travail.

— A la maison, tu seras toujours nue. Quand tu ne fais rien, c’est position de soumission. Tu connais.

— Oui.

— Tu auras à ta disposition la chambre d’ami. Parfois, tu dormiras avec moi, parfois dans ta chambre, parfois ailleurs. On verra selon mon humeur et tes agissements.

— Bien.

— Dans tes priorités, je veux que tu deviennes une experte de la pipe, de la fellation. Fabienne t’aidera… et sil faut te faire sucer des kilomètres de bite pour que tu y arrives, on le fera.

— J’ai compris.

— De plus, je veux que tu deviennes accroc au sperme. Le mien, évidemment, mais celui de tous les autres mecs à qui je pourrais te prêter. Même sils éjaculent dans ta chatte ou dans ton cul, je veux que tu récupères le sperme et que tu le bouffes. On est bien d’accord.

Une expression de dégout se lisait sur son visage…

— On est bien d’accord ? assénais je d’un ton plus ferme.

— Oui, on est d’accord.

— En parlant de ton cul, j’ai vu que tu avais ton plug. C’est très bien. Mais on va passer au calibre supérieur. Et je veux que ton cul soit toujours hyper propre, parce que, tu vas te faire enculer ma chère… et pas qu’un peu !!

— Enfin, et ce sera, je pense, tout pour ce soir, TOUS les matins, je veux que tu viennes me réveiller avec une pipe. Ce doit être ton action principale dès le réveil. Si je me réveille avant toi, je t’appellerai. Sinon, dès que tu entends mon réveil, c’est toi qui viendras t’occuper de ma queue. Sur ces bonnes paroles, bon appétit.

La suite du repas se déroula en toute normalité. Nous abordions des tas de sujets. A la fin du repas, je demandais à Steph de bien vouloir débarrasser la table et de nous faire un p’tit café, pendant que Fabienne et moi nous installions dans le canapé pour se mater un film.

Le café servit, j’offris à Steph un petit présent.

— Tu connais… c’est ton petit oeuf vibrant. Mais nouveau, car contrôlable aussi à distance via smartphone. Allez, mets-le.

Elle s’inséra l’oeuf et je le mis en marche, doucement pour le moment.

— Allez, viens t’installer dans le canapé, à côté de moi. Si tu as un peu froid, prends le plaid.

C’est avec un sourire, le premier de la soirée, qu’elle vint se blottir contre moi et se couvrit avec le plaid.

Je la caressais gentiment. Je caressais son corps, ses seins devenus petits… je m’amusais avec ses tétons en les faisant rouler entre mes doigts, les tirais, les tordais. Je caressais son crâne devenu chauve et doux.

— Ca te plait ? me dit-elle alors ?

— Quoi donc ?

— Ma tête, mon crâne. Comme ça ?

— Franchement, j’adore. Et c’est vraiment une belle marque de volonté de ta part que d’avoir fait cela.

— Merci. Ca a été difficile, mais j’ai tellement envie d’être avec toi que je suis prête à tout.

— Tu sais que je vais te faire vivre des choses pas toujours sympas ???

— Oui, je m’en doute. L’histoire de me faire traire les seins, ça m’effraie un peu, mais si c’est ce que tu veux, alors, je le ferais. Je te l’ai dit, pour toi, je ferai tout.

— Bon, arrête de parler et vient me sucer. Je commence à bander. Applique-toi bien et n’utilise toujours que ta bouche.

Elle dégrafa mon pantalon et sortit ma queue, à moitié dressée. Elle me prit alors en bouche et commença à me sucer. Tout cela sous le regard de Fabienne

La situation devait l’exciter car elle commença aussi de son côté à se doigter.

Je lui dis alors.

— Plutôt que de te la jouer perso, pourquoi n’irais tu pas rendre la pareille à notre amie ici présente. Va la lécher.

Elle me sourit, se leva et fit le tour du canapé pour aller se mettre à genoux entre les cuisses de Stéphanie. Là, elle la lécha, tant et si bien que j’entendais Steph faire des bruits de contentement.

— Tu veux qu’elle te fasse jouir Steph ?

— Mmmouihhh !!!! répondit-elle avec mon chibre dans la bouche.

— Fabienne est une experte… Elle va se caler sur moi. Si tu arrives à me faire jouir, alors elle te fera jouir… sinon, tant pis pour toi.

Elle s’appliquait vraiment. Elle commençait à devenir meilleure.

— On va changer un peu. Lève-toi et mets-toi à quatre pattes sur le canapé.

Stéph délaissa alors ma queue pour venir se mettre dans la position souhaitée.

— Toi, Fabienne, tu vas te mettre sous elle et continuer à lui prodiguer un bon cunni. Quant à moi, je vais me laisser tenter par ton p’tit cul Stéph.

— Oui. Mais je n’ai jamais fait.

— Fabienne va te préparer, mais avant tout, ôtons ce petit bijou que tu as dans le cul.

Je lui enlevai alors son plug. Son anus était bien évidemment plus ouvert, ce qui faciliterait la sodomie. Ne sachant que faire du plug, je demandai à Stéph d’ouvrir la bouche. Je lui enfournais le plug dedans.

Pendant ce temps, Fabienne récupérait un mélange de mouille et de salive du sexe de Steph et badigeonna son anus avec. J’y rajoutai un crachat et entrepris de rentrer dans son cul.

Il avait beau avoir été élargi, ce n’était pas aisé.

— Détends-toi, laisse-toi aller…

Je forçais un peu et mon gland passa enfin. J’y allai doucement au début, le temps qu’elle s’habitue. Suite à quoi, je la pistonnai de plus en plus fort.

De temps en temps, je sortais de son cul pour fourrer ma bite dans la bouche de Fabienne, un étage en dessous, et je recommençais.

Stéph semblait apprécier, au vu des petits cris étouffés qu’elle lâchait.

— Tu as envie de jouir, Steph ?

— Mouih, mouih…

— Ca tombe bien, moi aussi. Je vais venir jouir dans ta petite chatte. Fabienne, laisse-moi la place, j’arrive.

Aussitôt dit, aussitôt fait, je sortis ma bite de son cul et lui fourra la chatte. Après quelques allers-retours, je déchargeais au fond de sa matrice. Stéph jouit aussi alors fortement.

Je restai un petit moment dans sa chatte et au moment de sortir, Fabienne happa ma queue pour la nettoyer et s’empressa d’aller fourrer sa langue dans la chatte de Steph pour y récupérer tout le sperme.

Je profitai du moment pour récupérer le plug de la bouche de Steph pour le lui réintroduire dans le cul.

Stéph avait l’air vannée. Fabienne me montra tout le jus qu’elle avait dans la bouche et des yeux me montra Stéph. J’acquiesçais.

— Evidemment. Elle le sait. Steph, assieds-toi, tête en arrière et ouvre la bouche.

Ce qu’elle fit. Elle savait.

Fabienne approcha sa bouche de la sienne et lui déversa tout son contenu… elle y ajouta un petit crachat et gentiment lui fermât la bouche avec sa main.

— Allez, vas-y, régale-toi.

Une fois encore, elle nous regarda fièrement et sans sourciller avala le contenu de sa bouche. Suite à quoi, elle ouvrit la bouche et tira la langue pour nous montrer qu’elle avait bien avalé.

— C’est bien Stéph. Une bonne petite chienne, bien obéissante. C’est très bien. Mais maintenant, il commence à se faire tard. Donc petite douche et dodo.

— Fabien, je dors ou ce soir ? Avec toi ?

— Fabienne, tu fais quoi toi ? Tu rentres chez toi ou tu dors ici ?

— Vu l’heure, je vais rester ici. Je dors avec toi.

— OK. Donc, Steph, tu dors dans ta chambre. Par contre, pour éviter que tu ne te masturbes cette nuit, je vais te menotter les mains dans le dos. Ca t’évitera toutes tentations.

— Oui Fabien.

— Et n’oublie pas. Demain matin, qu’est-ce que tu dois faire ?

— A ton réveil, venir te sucer.

— Très bien. Tu apprends vite.

— Allez, file à la douche et après, je viens te menotter. Tu as 10 minutes.

— Je fais vite.

Je profitai pour en faire de même. 10 minutes après, en ressortant de la salle de bain, je vins menotter Steph, qui m’attendait dans son lit.

— Quand tu m’attends, ce n’est pas la position. On corrigera ça demain. En attendant, donne-moi tes mains dans le dos.

Clic-Clic. Les menottes étaient mises. Je la couvrais d’un drap et l’embrassa. En me relevant, je lui fis une bise sur son crâne.

— Merci ! me dit-elle.

J’éteignis la lumière, ferma la porte et rentrai alors dans ma chambre ou Fabienne, nue, m’attendait.

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