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Banquière perverse – Chapitre 19




Rappel du chapitre précédent.

Après une longue attente, j’ai fini par découvrir Gladice dans un état déplorable ; enfermée et attachée nue dans la cave où Lacksimy avait des attentions macabres. Après avoir surpris cette dernière dans la cuisine et suivis jusqu’à la cave, c’était l’oreille collée contre la porte que je compris que quelque chose de grave était en train de se passer. J’ai alors défoncé la porte, maîtrisé Lacksimy et délivré ma chérie. Persuadé que notre patronne de banquière était impliquée, je ne savais pas pour quelle raison, dans cette affaire je suis allé dans sa chambre, mais à la vue de Gladice ; elle sembla surprise de ce que je lui montrais. Elle m’avait donc demandé de m’occuper de Gladice, que je déposais dans sa chambre et sur son lit le temps que Madame aille voir sa fille que j’avais solidement ligotée dans la cave.

ooOoo

Le temps d’aller chercher un peu d’eau pour Gladice, qui allongée sous les draps de son lit s’est endormie à cause du bain que je viens de lui donner. Je la réveille doucement, elle ouvre les yeux et je lui donne à boire. Elle reprend doucement vie, je lui prends la main et cette fois elle me sourit et avance ses lèvres vers moi ; mon cur bat très fort et nous nous embrassons tendrement.

Ma pauvre chérie, si tu savais comme je m’en veux de ne pas être descendu plus tôt à la cave.

Tu sais, elle m’a fait mal, j’ai cru mourir je ne sais pas combien de fois ; elle est complètement folle cette nana !

Mais, je ne comprends pas, je n’ai rien entendu ; que sest-il passé ? Depuis combien de temps es-tu là ? Et le stage ?

Attends, je vais te raconter.

Non attends je vais aller chercher la patronne pour qu’elle entende aussi. Je t’aime tu sais.

Moi aussi mon chéri, il faut qu’on parte d’ici très vite ; j’ai peur.

Ne t’inquiète pas, je suis là et je vais m’occuper de ça.

Sur ces mots, nous nous embrassons encore tendrement ; cela fait plus d’une semaine que j’attends le moment de la retrouver ! Et maintenant nous sommes enfin réunis, pour longtemps je l’espère. Notre baiser s’éternise, j’enlève le drap pour lui faire un délicat massage avec de l’huile relaxante ; comme elle est sur le dos, je commence par son cou, puis sa poitrine. Le filet d’huile que je fais couler sur chacun de ses seins forme un petit ruisseau ; son duvet se hérisse, elle me sourit et ferme les yeux. Sous mes doigts, je sens son corps se détendre, ses mains posées sur le matelas, la paume tournée vers le ciel avec ses pouces et ses index formant des O ; elle se relâche totalement.

L’huile amplifie la douceur de sa peau, chaque mouvement est un délice ; je suis arrivé à son pubis toujours aussi lisse où l’épilation définitive a fait son office. Je descends encore et sa fente est juste à portée de doigts ; elle ouvre les yeux et me sourit de son joli sourire coquin. Elle entrouvre un peu les jambes et me laisse assez de passage pour que je puisse y glisser mes doigts. Je préfère continuer à lui enduire les cuisses par des mouvements circulaires de l’extérieure vers l’intérieure, puis je descends encore jusqu’au bout de ses orteils. J’adore masser ses pieds, et je sais que ce genre de palpation est très décontractante et reposante. Entre pouce et index, je masse un à un chaque orteil, puis je remonte par l’intérieure de ses cuisses pour atteindre son abricot.

Quand je touche son clito elle sursaute, jette sa tête en arrière, ferme ses poings et se cambre ; sur son visage ses yeux se froncent et elle se mord les lèvres, sa respiration devient plus profonde. Mes doigts sont juste devant son entrée, je pousse un peu, ils entrent en douceur ; son vagin est trempé de sa cyprine. Je continue l’introduction ; j’en ai mis deux et maintenant trois. Mon autre main lui caresse les seins, titille ses tétons, redessine ses globes ; puis elle redescend sur son ventre, son nombril où j’y verrai bien un joli piercing. Il pourrait être avec un diamant et une petite chainette avec de petites pierres. Mes doigts continuent leur exploration et forcent encore un peu son entrée ; ma main posée sur son ventre ressent les légères contractions résultant de ce que je suis en train de lui faire. Elle ouvre les yeux d’un coup, ses mains se contractent, son ventre vibre ; c’est l’orgasme qui est là, aussi violent qu’inattendu. Elle se tend sans un mot, sans un souffle ; à voir l’expression de son visage, je sais qu’il a été bon.

Je n’ai pas vu Madame derrière moi, elle pose sa main sur l’épaule et me chuchote :

Issam, tu veux bien aller préparer le petit déjeuner pour trois et le rapporter ici ? S’il te plait, demande-t-elle.

Mais

S’il te plait reprit-elle d’une voix étranglée.

Et votre fille ?

Laisse-la, elle médite !

Partiellement rassuré, je me dirige vers la cuisine, passe devant la porte donnant accès à l’escalier de la cave, je tente de l’ouvrir mais elle est fermée à clé ! Dans la cuisine, je prépare le déjeuner sur trois grands plateaux petit déjeuner au lit que j’apporte dans la chambre de Gladice.

Telle n’est pas ma surprise de voir Madame assise sur le bord du lit, tenant la main de Gladice et lui déposer un baiser sur le front en lui caressant les cheveux ; j’entends la fin d’une conversation :

Nous faisons comme cela ? semble demander Madame.

Oui Madame, merci ! reprend ma chérie.

Je dépose les plateaux et installe le tout sur le lit, Madame me sourit et Gladice est souriante.

Bien installe-toi, car je crois que nous avons des choses à nous dire. Mais avant, Gladice, je voudrais que tu me racontes ce qui sest réellement passé, car je voudrais comprendre.

Demandez-le à votre fille, elle sait, elle ! réplique ma chérie un peu sèchement.

Justement elle ne veut rien me dire, alors je compte sur toi pour m’éclairer.

D’accord ! Mais après, vous ne changerez pas d’avis sur ce que vous m’avez dit ?

Tu as ma parole, et même s’il y a des choses pas très jolies à entendre, je veux tout savoir ; je sais que tu ne me mentiras pas. Mais avant, il faut que tu manges.

Gladice ne mange pas, elle dévore. En allant chercher le pain, j’étais persuadé qu’elle serait là aujourd’hui, alors j’ai acheté plus de viennoiseries et de pain que d’habitude. Je lui tartine de beurre et de miel la ficelle, nous aimons cela tous les deux ; Madame se débrouille toute seule. Le visage tendu laisse paraitre un réel mal-être ; elle n’est vraiment pas à l’aise.

Bien, le temps que cette petite reprend des forces, je vais répéter ce que je viens de dire à Gladice : Issam, je tiens à te féliciter pour avoir résisté brillamment à mes questions. Je me doutais que vous étiez amoureux tous les eux, il me suffisait de vous regarder pour le voir et je viens d’en avoir la preuve ; alors je vais vous laisser vivre votre amour. Je pense prendre une décision importante, mais avant, je voudrais connaitre la vérité sur ce qu’il vient de se passer ; Gladice, je compte sur toi.

Je suis surpris par ce qu’elle vient de nous dire, moi qui pensais avoir bien dissimulé mes sentiments ; je me retrouve un peu comme un con. Gladice boit un peu de son café et débute son explication :

Madame ! Je vais tout vous raconter Alors voilà : le jour de mon départ pour le stage que je n’ai d’ailleurs pas fait, votre fille est venue dans ma chambre pour s’excuser ; elle m’a dit être désolée de ce qui s’était passé la veille et voulait qu’on se réconcilie. J’ai accepté ses excuses et elle m’a proposé de m’emmener à mon stage en voiture, car elle passait à côté de l’endroit.

Et tu lui as fait confiance ? je lui demande.

Bah oui, tu n’aurais pas fait la même chose ? Moi si ! Alors je suis monté avec elle et nous avons pris la route. En chemin elle m’a ouvertement dragué et même caressé les cuisses tout en conduisant, j’avais mis une minijupe sans rien dessous ; elle m’a ensuite demandé de lui faire la même chose ; je l’ai fait par gentillesse et aussi par excitation. Après, elle m’a dit avoir envie de faire l’amour avec moi, j’ai pensé qu’elle avait eu une crise de ch’sais pas quoi et que tout irait mieux maintenant. J’étais heureuse que tout s’arrange, alors j’ai accepté.

Tu n’as pas senti qu’il y avait un piège ? j’interroge.

Non, pourquoi veux-tu ? Ensuite nous nous sommes arrêtées dans un hôtel sur une aire d’autoroute. Elle a pris une chambre, demandé du champagne en me disant qu’elle me réservait une belle surprise ; j’étais super contente et exciter. Nul besoin de vous faire un dessin, moi, quand il s’agit de cul, je suis toujours présente !

C’est vrai, ça ! interrompt Madame.

Oui, et bien si j’avais su alors nous sommes montées dans la chambre, et là, elle me proposa de faire un jeu ; elle me demanda si j’aimais faire l’amour attaché, je lui dis que oui et elle voulut que je commence par elle. Elle avait des cordelettes dans son sac, sur le coup j’ai pensé que c’était un piège ; mais comme c’est elle qui passait en premier, je l’ai attachée en toute confiance et j’ai joué avec tout son corps.

Et que lui as-tu fait ? Je demande.

Son histoire commence à me donner des envies, pour preuve ; je sens mon bout enfler gentiment accompagné de picotements et d’un léger écoulement de liquide préséminal.

Humm ! Je te reconnais bien, toujours le premier dès que les choses deviennent intéressantes !

Eh Je m’instruis !

C’est c’là ouiBon, j’en étais où ? Oui ça y estJe ne l’ai pas déshabillée, mais par contre, je l’ai attachée les bras et les jambes en croix aux pieds du lit. Ensuite je l’ai caressée à travers ces vêtements, je l’ai faite jouir ; et après ce fut mon tour. Elle voulait que je sois toute nue, je me suis entièrement déshabillée et comme elle, je me suis retrouvée attachée. Avant de me bâillonner elle m’a demandé si j’avais envie de trucs un peu chauds, et comme une conne j’ai dit oui ; alors elle m’a bandé les yeux.

Elle fait une pause, boit un peu de café et mord dans un croissant ; des miettes tombent entre ses seins, comme j’aimerais aller laspirer !

HummTrès bon ces croissants !… Ensuite elle m’a demandé si je voulais deux ou trois coups de bites, j’ai accepté ; j’n’aurais pas dû ! Au début c’était top, je me suis éclatée mais après je ne rigolais plus ; elle m’a fait prendre par tous les trous et ça a duré deux jours. Je ne voyais rien, je suis certaine qu’elle m’a fait prendre par plusieurs mecs et le pire c’est que j’arrivais à jouir presque à chaque fois qu’une bite me rentrait dans le cul ou le vagin.

Quand je lui demandais pour mon stage, elle rigolait en me disant qu’il ne commençait que le lendemain, et que c’était elle qui me donnerait les cours, mais je ne devais pas poser de question ; je devais être docile. Alors je me suis tenue tranquille, comme je prenais mon pied ; j’ai même pensé que Madame avait eu une belle idée avec ce stage ; que c’était sans doute un test d’endurance pour me préparer à une magistrale partouze. Au matin du troisième jour, elle m’a annoncé e que nous changions d’endroit, que devais lui faire confiance et me laisser faire. Elle m’a indiqué qu’elle préparait une sorte de pièce de théâtre porno où je serais l’actrice principale. Elle m’a alors attaché les mains, bandé les yeux et mis un bâillon et j’ai attendu, allongée toute nue sur le lit.

Ensuite, j’ai entendu deux hommes demander :

Tu veux qu’on la saute tout de suite ?

Non attendez, vous le ferrez à l’arrivée ; mettez-la dans le coffre de votre voiture !

Comme ça, à poil ?

Oui, elle adore ça ; et puis ce n’est qu’une esclave.

Vous avez de drôles de jeux pour des filles !Mais bon.

Je venais d’apprendre que je devenais être promue au rang d’esclave et qu’elle avait décidé de disposer de moi comme bon lui semblait. Cette idée me fit mouiller, et pour la première fois de ma vie, j’allais voyager dans le coffre d’une voiture, toute nue, pieds et poings liés, et pour couronner le tout j’étais bâillonnée et aveugle. Quand ils me soulevèrent, l’idée me plaisait beaucoup ; j’adorais cette mise en scène où j’étais comme kidnappée ce qui me faisait mouiller comme une fontaine. Les mecs s’en sont amusés en faisant des commentaires bien salaces et en me mettant les doigts ce qui eut sur moi un terrible effet. J’ai eu un terrible orgasme au moment où ils m’ont déposé dans le coffre de la bagnole, avec quatre doigts dans la chatte et deux dans le cul. Ensuite, ils ont fermé le coffre et nous avons roulé pendant longtemps, puis la voiture sest arrêtée dans un endroit gravillonné.

Mais te ne savais pas où tu étais ?

Bah non ! Ils m’ont déchargé comme un vulgaire paquet de linge sale, je ne voyais plus de clarté à travers le bandeau et il faisait froid. Ils m’ont alors fait me courber sur le capot encore chaud de la voiture, et sur les ordres de Lacksimy ; il m’ont sautée. À tour de rôle ils se sont vidés en moi, une fois dans la chatte et une fois dans le cul, et vous me croirez si vous voulez, mais j’ai joui encore deux fois. Je trouvais que ce stage était super bien en fait, et que si je devais devenir votre esclave sexuelle ; j’ai pensé que j’allais vraiment m’éclater. Mais hélas.

Son visage est brutalement envahi de tristesse, et elle éclate en sanglots et bredouille des mots incompréhensibles.

Allons calme-toi ! Mais que sest-il passé pour que tu te mettes dans cet état, car jusqu’à présent ; il n’y a pas de quoi pleurer ! suppose Jelila.

Je prends la main de ma chérie :

Allons ma chérie, calme-toi, prends ton temps ; je vais aller te faire un autre café.

Avec Madame j’échange un regard soutenu ; elle ne dit rien. Mais dans ces yeux et sur son visage je lis une grande expression de trouble, ces yeux sont humides.

Non, ce n’est pas la peine ça va aller ; je préfère en finir rapidement.

Tu en es certaine ?

Oui ! Qu’elle continue car je veux comprendre ! insiste Madame.

Oui, vous avez raison ; alors voilà. Après m’avoir bien sauté ils m’ont portée jusqu’à la cave, car maintenant je sais que c’est là qu’ils m’ont emportée ; après m’avoir attachée au plafond ils sont partis tous les trois.

Elle arrête son récit une nouvelle fois et éclate en sanglots.

Jelila me foudroie du regard, se lève de dessus le lit et nous dit :

Je vais me doucher, Issam ! Essaie de la calmer pendant ce temps ; cette histoire ne me plait pas du tout ! Je reviens dans dix minutes !

Elle tourne les talons et sort de la chambre de Gladice.

[À suivre]

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