C’était le jour de la coupe du monde. La France était opposée à la Croatie, dans un match qui s’annonçait ultra-chaud. J’attendais avec ma copine à un bar le début de la finale. Ma copine est une belle blonde, un beau visage, des yeux profonds et bleus les traits fins vraiment une fille sublime. Son corps n’avait rien à envier à son visage, fine des jambes comme du ventre, elle avait une belle paire de fesses ni trop grosses ni trop petites et une poitrine à rendre fou de désir n’importe quel homme. Elle portait une combi-short qui la mettait parfaitement en valeur. Je la regardais avec amour et fierté.
Le match allait commencer et c’est dans une agitation particulière que le coup d’envoi fut donné. Paris, la France retenait son souffle, tout le monde rêvait d’une deuxième étoile. La partie fut incroyable les buts s’enchaînaient dans une ambiance festive et surexcitée, les bleus nous faisaient rêver. Tout le long du match on entendait les sifflets, klaxons et cornes de supporters. Quelle ambiance quelle journée. La fin approchait à grands pas et c’est le cur battant que l’arbitre sonna la fin. Une pluie de bière tomba sur nous, les gens s’embrassaient, hurlaient criaient partout. Au milieu de cette cohue générale, je pris ma copine par la main et l’embrassai. Le temps semblait s’arrêter, ce n’était pas seulement un moment unique pour la France, ça l’était aussi pour nous. Notre première coupe du monde ensemble. Ce jour allait rester dans nos mémoires et pas que pour la victoire de la France.
Après avoir marché dans Paris pour profiter de l’ambiance, nous sommes rentrés dans notre appartement parisien. Là, nous nous sommes embrassés langoureusement, heureux d’avoir passé une journée comme celle-ci. Nous avons préparé le repas en regardant la télévision, qui passait en boucle l’événement de ce dimanche. Après avoir mangé, nous avons décidé de ressortir nous promener, pour essayer de trouver un bar ou prendre un verre. Ce qui ne fut pas simple et nous avons beaucoup attendu, avant de pouvoir profiter. La soirée se passait bien, je ne pouvais m’empêcher de regarder ma copine. Mes yeux se baladaient, allant de sa poitrine à des fesses. Elle le savait et prenait un malin plaisir à se dandiner. Ma copine me glissa alors à l’oreille que l’alcool l’avait rendue tout excitée et que sa culotte commençait à être bien humide. Je commençais à avoir une érection.
Je payai l’addition et c’est main dans la main que nous sommes rentrés des idées plein la tête. À peine arrivés dans la chambre, ma copine commençait à me toucher par-dessus mon pantalon. Nos baisers étaient intenses et nos langues se croisaient pendant que mes mains se baladaient sur son cul pour le masser.
Elle enleva mon tee-shirt et mon pantalon. Je lui enlevai sa tenue pour ne la laisser qu’en sous-vêtements. Elle m’embrassa dans le cou, sur le torse et descendait toujours plus bas jusqu’à atteindre mon caleçon déformé par mon membre. Elle l’enleva et fit sortir ma bite dressée. Elle lécha alors mon membre. En commençant par mes couilles qu’elle gobait avec appétit avant de remonter jusqu’à mon gland. Elle aimait jouer avec ma queue. Elle l’engloutit finalement dans un grand bruit de bouche. Elle me pompait comme une pro, quelle suceuse ! Elle n’en perdait rien la cochonne, je lui répétais qu’elle aimait ça, qu’elle aimait son goût et elle soupirait de bonheur en continuant. Pendant ce temps j’avais glissé une main entre ses cuisses caressant par-dessus sa culotte ses lèvres et son clitoris. Elle devait aimer ça car elle était plus que trempée. Mes doigts étaient couverts de mouille.
Je l’allongeai sur le dos, enlevai le peu qu’il lui restait. Mes doigts vinrent caresser sa chatte humide. Elle était parfaitement épilée. Ma copine écartait bien les cuisses pour me permettre de la branler à fond. On n’entendait que le clapotis de mes doigts en elle. Ses tétons étaient tendus et avaient bien grossi. Je les lui suçais, les léchais, tout en les mordant. Elle commençait à soupirer davantage.
Et c’est les yeux à demi fermés, le souffle court et se mordant les lèvres qu’elle me dit
je veux que tu me lèches la chatte, je suis toute mouillée.
Sans perdre une seconde, j’enfouis ma tête entre ses cuisses. Ma langue léchait son minou de haut en bas, récoltant les gouttes de cyprine qui perlaient sur ses lèvres. J’enfouis ma langue dans son vagin tout en y glissant deux doigts.
Sa mouille inondait ma bouche. Elle avait bon goût. Elle aimait se faire bouffer ainsi, elle me le laissait savoir en appuyant sa main sur ma tête.
Soudain j’eus envie de la baiser, de la prendre comme jamais auparavant. Je commençais à peine à prendre une capote qu’elle me demanda de lui faire l’amour comme ça. Elle voulait me sentir en elle.
Je la mis d’abord en levrette, caressant son sexe avec mon gland avant de la pénétrer d’un coup. Hum qu’est-ce qu’elle est serrée ma copine, un vagin chaud et tout serré qui avalait ma queue avec appétit. D’une main je lui massais les seins et de l’autre je la fessais.
Oh oui baise-moi bien. Hum elle est trop grosse ta queue bébé, s.
Ma bite la démontait et elle adorait ça.
Je l’allongeai sur le ventre, l’une de ses positions préférées. Elle remonta bien haut son cul et je m’enfonçai à nouveau dans son vagin. Je n’en pouvais plus, il fallait que je jouisse. Je le lui dis ce à quoi elle répondit
Oh oui jouis en moi je veux que tu remplisses ma chatte de ton sperme.
Je n’en croyais pas mes oreilles premières fois que j’allais jouir en elle. J’avais bien l’intention de lui donner ce qu’elle voulait. Je sentais ma sève monter. Et dans un dernier soupir elle me supplia de lui faire un bébé. De puissants jets de foutre vinrent la remplir, il s’en déversa une quantité impressionnante dans son vagin. Elle sentait mon jus chaud couler en elle. Elle jouit à son tour. Les draps étaient trempes. Elle s’approcha alors de mon sexe et le repris en bouche pour le nettoyer. Elle avala les dernières gouttes de sperme qui s’en échappaient. Nous partîmes ensuite à la douche où nous avons remis ça de manière plus romantique.
Je crois qu’on se souviendra longtemps de cette coupe du monde ci !!