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Le fantasme de Sophie, femme candauliste – Chapitre 8




Je me mis nue et à genoux devant Maelis. Elle s’approcha et me prit le visage avant de l’approcher de son sexe.

Lèche-moi Sophie et fais cela bien si tu ne veux pas être punie.

Cette situation de soumission m’excitait énormément. Je commençais à manger son minou épilé, en m’appliquant pour ne pas être punie. Mais l’idée de subir un châtiment me déstabilisait. Je manquais de concentration.

Tu le fais exprès, je n’arrive même pas à être excitée par cette lichette.

Je suis désolé Maîtresse, je suis troublée d’être dans cette situation déshonorante.

Viens avec moi, tu vas apprendre à me connaître.

Elle me prit par les cheveux et m’entraîna jusqu’à une tenture qui cachait à la vue de tous une ouverture. Derrière cette porte, je découvris un monde qui m’était inconnu à ce jour. Des objets bizarres étaient fixés aux murs. A droite, une croix, à gauche, des anneaux et au centre de la pièce trônait une sorte de cheval d’arçon. Maelis me fit monter à plat ventre sur cet appareil et m’attacha les poignets et les chevilles aux pieds de l’instrument et me demanda.

Est-ce que tu pourras subir ta pénitence en silence ou est-ce que je te mets un bâillon ?

Je vais essayer de résister à la douleur sans muselière. Mais ne soyez pas trop dure avec moi Maîtresse, ce sera ma première punition.

Ne t’inquiète pas, je ne suis pas ici pour te faire souffrir, mais pour te faire découvrir de nouveaux plaisirs. Si j’y vais trop fort, n’oublie pas tes mots de sécurité.

Je suis prête Maîtresse.

La belle rousse prit une espèce de cravache et commença doucement à me flatter la croupe. Je ne vis pas le premier coup partir et sentis la morsure sur mes fesses. Un léger son sortit de ma bouche, mais je résistais à l’envie de crier.

Très bien, tu vas compter les coups.

Oui Maîtresse.

Je comptais encore 9 coups alternés sur les fesses droite et gauche. Après l’arrêt de la sanction, Maelis appliqua un baume sur mon postérieur qui vint calmer le feu de la fessée. Je sentais ma chatte couler tellement j’étais excitée.

Tu as très bien supporté et réagis à la sentence. Je suis fière de toi et vais te le prouver.

Elle partit ouvrir une armoire sur le mur en face de moi que je n’avais pas remarquée pour le moment. A l’intérieur, je vis de nombreux objets de plaisir et de torture, pinces, fouets, godes…

Maelis sortit deux objets, un phallus blanc d’une taille respectable et un autre en inox que je n’avais jamais vu. Elle se positionna devant moi et présenta le gode que j’embouchais vivement. Elle me dit :

Suce bien le gode, l’ivoire est très dur et ne s’étrécit pas lors de la pénétration. Le deuxième objet est un plug tulipe. Je vais te l’insérer et tourner la vis pour dilater ton petit trou.

Elle se plaça derrière moi et je sentis un liquide froid s’écouler entre mes fesses jusqu’à mon anus. Maelis commença à m’assouplir la rosette avec 1 puis deux doigts. Je commençais à gémir.

Mais tu dégoulines comme une belle salope, Sophie. Tu n’as pas encore le droit de jouir.

Oui Maîtresse je vais essayer.

Après avoir bien dilaté ma rondelle, Maelis y présenta le plug. La pénétration se fit en douceur et sans douleur. Une fois à l’intérieur, elle prit le gode, l’inséra dans ma vulve avec délicatesse. Je sentais la progression de la verge en ivoire dans ma chatte jusqu’à ce qu’elle vienne cogner le fond de mon utérus. Je me sentais pleine comme jamais. Maelis commença à tourner la vis de la tulipe qui commença à s’ouvrir dans mon trou du cul, ce qui accentua le contact entre le gode anal et le phallus d’ivoire. Elle commença à faire coulisser la bite dans ma chatte jusqu’à me donner un orgasme ravageur qui me plongea dans un évanouissement de quelques instants.

La belle rousse en profita pour retirer la bite d’ébène puis le plug, me délivra du cheval d’arçon, me prit dans ses bras et m’aida à m’allonger sur son lit. Je revenais petit à petit à moi en sentant les câlins qu’elle me faisait sur l’ensemble du corps.

J’espère que cette petite séance t’a prouvé que l’on peut à la fois souffrir et jouir en même temps.

C’était tout simplement magique. Je n’avais jamais ressenti un tel déferlement de plaisir. Maelis, je te remercie de m’avoir fait découvrir autant de volupté et de jouissance.

Après une bonne douche réparatrice prise ensemble en nous lavant mutuellement et en nous caressant, nous nous sommes rhabillées.

Alors, Sophie comment vois-tu la suite de ton histoire ?

Ecoute, vu ce que je viens de vivre ce soir, je n’ai plus de désir de vengeance envers Marc. Je veux juste ressentir du plaisir, mais je ne veux plus être écartée de vos ébats. Jamais !!!

Je te comprends. J’ai une idée. Je te propose de fixer un rendez-vous à ton mari chez moi. Je lui expliquerais que tu veux reprendre contact avec lui, mais en terrain neutre.

C’est une excellente proposition. Mais avant, je veux que tu m’accompagnes demain chez ton tatouer pour me faire percer les seins. Je veux faire la surprise à Marc.

Alors au lit, il te faut une bonne nuit de sommeil.

On dort dans le même lit ?

Pas question, il faut te reposer. Je viendrais te réveiller à 8h00 demain matin.

Un peu déconcertée de ne pouvoir partager la couche de Maelis, je passais une partie de la nuit remplie de rêve érotique et peuplé de vision de scénarios de sexe à deux, à trois… en gang bang… sadomasochiste…

Avant de tomber de sommeil…

A huit heures, Maelis me réveilla, et après une bonne douche et un copieux petit-déjeuner, nous avons pris la route pour aller chez son perceur. Dès notre arrivée, il me mit en confiance, me montra les modèles de piercing, me fit allonger et commença à me préparer les tétons. L’opération ne dura que quelques minutes et malgré la douleur, j’étais très fière d’avoir pris cette décision.

Veux-tu que je te perce ailleurs ?

Non merci, cela ira pour aujourd’hui.

Il me donna les recommandations pour les soins, le nettoyage, la cicatrisation et me donna les conseils pour ne pas trop souffrir lors des jours à venir.

En sortant de là, nous sommes retournés chez Maelis.

Alors Sophie comment te sens-tu ?

Très bien, cela me fait un peu mal, mais je suis contente de l’avoir fait.

Tu verras ma chérie, une fois cicatrisée, tu ressentiras des moments d’excitation incroyables. Maintenant, mettons au point notre rendez-vous avec Marc. Par contre, nous allons devoir attendre au moins deux mois avant que tes tétons soient cicatrisés.

Ce n’est pas grave, cela obligera mon mari à rester chaste s’il veut me récupérer. Et lorsqu’on se reverra, il devrait avoir une gaule d’enfer…

Nous avions donc besoin de faire patienter Marc pendant 2 à 4 mois. Je quittais Maelis et louais un appartement au mois.

Je décidais de contacter mon mari pour lui demander de respecter ma décision de faire une pause afin de voir si mes sentiments envers lui en sortiraient intacts. Je lui expliquais que si tel était le cas, nous pourrions reprendre une vie commune à la fin de cet entracte.

Il était désespéré de la tournure qu’avait prise toute cette histoire, mais me promit de se conformer à mon désir.

Il me fallut attendre 4 mois avant de mettre mon plan à exécution.

Pendant cette période, j’en profitais pour reprendre en main mon corps et ma forme physique en fréquentant une salle de sport tous les soirs et tous les week-ends avec une coach. Ancienne athlète sur 400 m, je n’eus pas de difficulté pour perdre 5 kilos tout en me musclant. J’étais très fière de moi et de mon corps transformé. Pendant toute cette période, je ne visitais pas une seule fois Maelis.

Mes deux amants devaient avoir la même surprise en me retrouvant transfigurée.

Le moment de prévoir le rendez-vous avec mon mari était arrivé. J’appelais Maelis.

Bonjour Maelis, la cicatrisation étant terminée, je vais te demander de contacter Marc demain pour lui fixer une entrevue chez toi pour le dernier samedi du mois à 21h00. Tu lui expliqueras que c’est à ma demande que cette rencontre se fera en terrain neutre. J’arriverais à 20h00 pour mettre en scène mon scénario.

Bonjour, Sophie, j’ai bien entendu ta demande. Que veux-tu que je prépare ?

Rien de spécial, j’ai entraperçu que tu possédais dans ton repaire tout ce dont nous aurons besoin. Je viendrais avec le restant.

Veux-tu passer à l’appartement pour que nous réglions les derniers détails ?

Non je te remercie, nous nous verrons à 20h00 le dernier samedi du mois.

D’accord comme tu veux. Je te tiens informée en cas de problème.

Il me restait un peu moins de 3 semaines pour peaufiner les détails.

J-2 semaine : je me rendis chez le tatoueur et lui demandais d’échanger mes piercings droits par des anneaux captifs…

J-1 : tournée des sex-shops pour acheter les derniers instruments de torture…

Enfin, la dernière semaine du mois était arrivée.

Je pris 2 jours de congé pour me préparer.

Le jeudi, je me fis épiler intégralement.

Le vendredi, je demandais à mon coiffeur de me couper les cheveux très courts et de me les teindre en blond.

Samedi après-midi, je me fis un lavement anal et me mis des lentilles de couleur bleue. J’installais une chaînette en or sur les 2 anneaux de mes tétons.

J’enfilais un manteau long en cuir sur mon corps nu et pris la route jusqu’à l’appartement de Maelis.

A 20h00, je me présentais devant sa porte. Dès l’ouverture, je découvris l’ébahissement sur le visage de la belle rousse au moment où elle allait m’embrasser.

Waouh. Mais quelle transformation ! Je suis éblouie. Ta coupe de cheveux, tes yeux, tu es magnifique. Viens, donne-moi ton manteau.

Pas encore. Sers-moi un jus de fruit pendant que je visite ta chambre des tortures.

Fais comme chez toi.

Je me rendis dans sa pièce secrète. J’ouvris l’armoire qui se trouvait en face de l’entrée pour y déposer les objets que j’avais ramenés : 20 poids aimantés de 50 grammes pour les seins, 1 collier, 1 chat à neuf queues. Je plaçais également une caméra miniature avec grand-angle au sommet de l’armoire. Son but était d’enregistrer tout ce qui allait se passer dans cette pièce. La transmission se ferait en direct sur mon smartphone qui se trouvait dans ma voiture. S’ils décidaient de me jouer un mauvais tour, le smartphone transmettrait directement l’enregistrement à mon avocat le lendemain à midi. Avec ces preuves, il avait pour ordre de tout mettre en uvre pour détruire Marc et Maelis. Mais j’espérais ne pas avoir à l’utiliser. Puis je revins au salon.

Merci pour le jus de fruit. Je vais te dire ce que je ne veux pas et ce que je veux… Je ne veux pas de bandeau ni de bâillon boule.

Je veux être attachée à la croix avec ce loup en dentelle sur le visage. Après, vous ferez ce que vous voudrez. Je veux être votre soumise, mais je veux jouir même en souffrant.

Si vous me comblez en exauçant mes vux, je resterais avec Marc. Sinon…

J’ai bien compris ce que tu veux et je me ferais une immense joie à te satisfaire.

Maintenant, allons me préparer.

Je me levais, pris Maelis par la main et l’entraînais dans la chambre dissimulée. Une fois à l’intérieur, je quittais mon manteau et me retrouvais nue devant notre hôtesse. Elle découvrit l’armoire ouverte avec les poids et le collier. Un grand sourire vint illuminer son visage.

Tu es sublime Sophie. Quelle métamorphose en quelques mois ! Tes anneaux sont de toute beauté. Viens, il est 20h45, je vais t’attacher à la croix et te mettre le collier. Mets ton masque.

Oui Maîtresse.

Le jeu venait de commencer…

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