Le retour de Benjamin

La cassette est terminé, l’écran vire au bleu pendant que le magnétoscope rembobine automatiquement.

Huguette est en larmes, ça fait un moment qu’elle a arrêté de se branler.

Elle a enfin prit conscience du tragique de la situation.

L’excitation sexuel qu’elle a ressenti, lui a fait oblitérer le fait qu’elle était en train de perdre ses filles.

Benjamin lui a dit "Adieu" en partant.

Huguette de Langlois n’est pourtant pas femme à s’apitoyer, ni sur les autres, ni sur elle-même.

Mais elle était une "maman", ou du moins croyait l’être.

Aujourd’hui elle n’est plus rien, elle se sent vide, superflu, inutile.

Elle se force à bouger.

Tout son corps lui fait mal, mais qu’importe, même ça l’indiffère.

Le jour se lève, elle prend conscience du temps qu’elle a passé sur ce canapé, plusieurs heures à ruminer sa tristesse.

Sur la table, il reste la deuxième cassette de ses filles.

Elle hésite, elle sait qu’elle va encore souffrir, peut-être plus qu’avec la première.

Huguette se décide enfin.

Quoi qu’elle ressente, c’est la dernière chose qui la rattache à SES filles.

*******************

Cassette 2

*******************

A l’écran, la tête de Benjamin en gros plan, il vient de démarrer la caméra et se recule.

Il prend place dans le canapé, Huguette est en face de lui.

Béa, à ses cotés, tient les mains de sa mère et la scrute avec inquiétude.

Benjamin commence en regardant la caméra :

— Je m’appelle Benjamin Herry, j’ai 30 ans.

-Je viens d’être libéré pour bonne conduite d’une peine de 6 ans de détention pour traffic de drogue.

-Cette condamnation m’a couté bien plus que ça, mon mariage avec Béa, ma magnifique femme.

— Si à l’époque des faits, je n’ai pu me faire entendre de la justice, je veux le faire aujourd’hui.

— Pas pour une réhabilitation, mais pour prouver à ma femme que je ne l’ai pas trahi.

— Après avoir éliminé toutes les hypothèses plus ou moins vraisemblable, la seule qui reste aujourd’hui, c’est que j’ai été piégé par ma belle-mère, ici presente, Huguette de Langlois.

A ce moment, un bruit de porte fait se retourner Benjamin, et Chloé fait son apparition.

-Bonjour tout le monde, lance-t’elle gaiement.

Elle se fige en reconnaissant Benjamin :

-Ben c’est toi….mon Dieu comme je suis contente !

Elle se précipite et étreint fortement Benjamin qui reste muet de surprise.

Elle se recule et prend soudain conscience de l’étrangeté de la situation.

Sa mère, comme figé sur le canapé, qui ne prononce pas un mot face à celui qu’elle a toujours décrit à ses filles comme étant le diable ?

-Mais que ce passe t’il ici ?

Benjamin regarde la caméra d’un air desespéré, tout son beau plan qui tombe à l’eau.

-Chloé, s’il te plait, je suis en train de jouer ma vie là…peux tu juste t’asseoir quelque part et rester silencieuse ?

Béa jette un regard trouble à Benjamin…"il joue sa vie…?"

Chloé alarmé par le ton suppliant de Ben se pose au bout du canapé et ouvre ses oreilles, sa curiosité en éveil.

Benjamin essaie de remettre de l’ordre dans ses idées, il ne sait plus ou il en est :

-Bon alors…oui je disais que j’ai été piégé et que bien qu’il reste des zones d’ombre dans cette affaire…j’ai du l’être par ma belle-mère.

Chloé étouffe un juron mais se reprend.

Benjamin la remercie d’un signe de tête et poursuit :

— Vous savez 4 ans c’est long, j’ai eu tout le temps pour réfléchir.

-Votre mère connaissait mes soucis avec la justice, même s’il ne s’agissait que de quelques joints à l’époque.

— Le problême ce n’était pas les joints, c’est que j’avais 18 ans.

— Je serai tombé avec une autre affaire de drogue et j’avais une peine augmenté avec la loi sur la récidive.

— Votre mère savait tout ça !

— La question que je me suis posé pendant longtemps, c’est comment votre bourgeoise de mère aurait pu se procurer un kilo d’héroïne ?

— C’est ce qui m’a fait douter, et puis….au bout d’un moment, même si c’est la réponse la moins probable, elle devient vraisemblable si c’est la seule qui reste.

Benjamin se tourne vers la caméra et poursuit :

— En prison, j’ai rencontré un gars qui a pu m’aider.

— D’abord en faisant le tri dans les coupables possible.

— Ensuite, en me donnant le moyen de le confondre.

— c’est un genre de sérum de vérité en fait, l’effet ne dure pas plus d’une paire d’heures, mais pour ce que je veux en faire c’est largement suffisant.

— J’ai forcé Béa à droguer le thé de sa mère et…

-Tu ne m’a pas forcé Ben, tu m’a convaincu…intervient Béa.

— Béa s’il te plait ma chérie, j’essaie de te protéger !

— Pourquoi, je ne l’ai pas fait il y a 4 ans ?

Benjamin regarde son ex-femme avec amour.

Béa abandonne sa mère et se précipite dans les bras de son mari.

Elle le croit, on peut arrêter cette comédie, tout ça n’a plus d’importance !

Elle le serre contre elle, l’embrasse, sanglote, l’embrasse encore.

Benjamin a le coeur qui explose, il écoute sa chérie qui lui dit qu’ils peuvent partir maintenant, n’importe ou, que seul leur amour compte, comme cela aurait toujours du être…

Chloé a les yeux humides aussi, elle ne sait pas si sa mère est coupable mais Benjamin mérite d’être innocent.

Elle se lève à son tour et enlace le couple d’amoureux.

Ils mettent un moment à revenir à la réalité.

Benjamin se détache des deux soeurs, il embrasse chacune d’elle, tendrement sur le front.

Il se force au calme, le contact des deux blondes lui a fait dresser le chapiteau, il est bandé au maximum.

Béa sourit et pose doucement sa main sur la braguette de Benjamin.

Elle ne s’en rend pas compte mais un verrou à sauté.

Revoir son amour, après tant de temps, lui fait prendre conscience de son corps de femme, de ses désirs si longtemps enfoui au plus profond d’elle même.

Il pourrait lui demander de le sucer au milieu de la gare de Lyon un jour d’affluence, elle le ferait !

Les pointes de ses seins semble vouloir transpercer son chemisier.

Son sexe est envahit d’une douce liqueur, elle sent cette humiditée détremper sa culotte.

Chloé sa cadette, infiniment plus déluré que son ainée, est stupéfaite de l’attitude de sa soeur.

"Béa la prude" se laisse aller…voilà qui promet une fin de journée intérressante, se dit-elle.

Benjamin transpire, il a chaud…trés chaud.

Il essaie de reprendre le controle, il doit finir l’enregistrement tant que "la potion" fait effet.

Il se recule, se libère de cette main si douce qui l’empoigne, et regagne le canapé avec un regard suppliant.

Béa comprend, elle est frustré mais elle comprend.

Elle laisse Ben s’installer sur le canapé, face à sa mère qui n’a pas bougé.

Elle prend place à ses cotés, ramenant ses jambes sous ses fesses, et agrippe son bras des deux mains, en se serrant contre lui.

La main de Benjamin se pose tout naturellement sur la cuisse de Béa, celle-ci ouvre les jambes et les referment aussitôt.

La main se trouve prise entre deux cuisses chaudes, avide de caresse.

Béa ne bouge plus, si ce n’est de petits mouvements de tête.

Elle se frotte sur son épaule, avec sa bouche, son nez, ses joues.

Le tissu de la chemise de Ben absorbe les larmes, nettoie le doux visage de sa tendre et il trouve cela infiniment érotique.

Benjamin est toujours bandé comme un fou, ça ne s’améliore pas.

Il voit Chloé approcher avec appréhension, mais la petite se contente de s’asseoir et de poser la tête sur son épaule.

Benjamin prend le temps de souffler, plusieurs fois.

Il reporte enfin son attention sur sa belle-mère et commence :

-Belle maman, m’avez-vous piegé il y a 4 ans ?

-Oui.

— Comment vous êtes vous procuré la drogue ?

-Christophe Malagré.

Chloé intervient devant la mimique interloqué de Ben :

— C’était un ami de mon père, il travaille un peu à la préfecture et un peu au ministère…je ne sais pas trop ce qu’il fait mais c’est un ponte la-bas.

Benjamin a enfin confirmation de sa théorie, Béa enfouis sa tête dans son épaule et gémis plaintivement.

Chloé, elle, regarde sa mère comme si elle ne l’avait jamais vu, atterré.

Béa retrouve un semblant de calme, elle fixe sa mère avec dégout et demande :

— Pourquoi ?

— Parce que Benjamin n’est pas digne de toi.

— Oui il est beau, oui tu semblais être heureuse.

— Mais il n’est jamais qu’un dealer de banlieue, et la fin de l’histoire on la connait.

— Il t’aurait fais 10 enfants pour toucher les allocations et ne pas travailler.

— Il t’aurait battu et enfin pour acheter sa drogue il t’aurait mise sur le trottoir !

— C’était mon devoir de mère que de te protéger.

Benjamin est estomaqué, il sent contre lui sa Béa qui tremble de tout son corps.

Elle jette à sa mère un regard…haineux.

— Et quand bien même, salope, à l’époque je ne sais pas mais aujourd’hui, oui cent fois oui !

— Je sais aujourd’hui ce que c’est que la vie sans Ben, je n’en veux plus.

— S’il souhaite que je sois sa pute, son esclave même, je le ferai pour lui !

Béa a hurlé ses derniers mots, Benjamin est bouleversé.

Il se tourne, enlace sa chérie et la berce tendrement en carressant ses cheveux.

— La…la…, c’est fini mon amour, on en a terminé ici, si tu veux partir on y va et on reprend tout à zéro.

— Un nouveau départ, une nouvelle vie, mais quelle qu’elle soit nous serons ensemble, toujours !

Ils s’embrassent à perdre haleine maintenant.

Chloé intervient dans le duo amoureux, elle les enlaces, dépose des baisers dans le cou de Ben, sur l’oreille, la joue.

Ben tourne la tête et Chloé l’embrasse sur la bouche, sa langue joue avec la sienne furieusement.

Benjamin est allez trop loin dans le controle de ses envies, il ne pense plus maintenant.

Il n’est plus qu’un male qui doit s’accoupler.

Béa considère l’échange de salive entre sa soeur et son homme, et ça lui réchauffe le ventre.

Elle pensait chaque mot qu’elle a prononcé.

De voir maintenant les deux personnes qu’elle aime le plus au monde se donner du plaisir la comble de joie.

Tout naturellement, quand Chloé se recule pour reprendre son souffle, Béa remplace son chérie.

Si Chloé est surprise, elle n’en laisse rien paraître.

Elle entrouvre les lèvres et laisse passer la langue de Béa sans hésitation.

Benjamin qui voit les soeurs se rouler une pelle d’entologie à quelques centimètres de ses yeux, n’en peux plus.

Il essaie de se dégager mais pas façile puisque les filles sont posés sur lui.

Finalement le duo lesbien s’interrompt et devant les mimiques étonnées des deux soeurs, il ne peut que siffler entre ses dents :

— A poils les filles, à poils !

Chloé et Béa ne se le font pas dire deux fois, les vêtements volent dans toute la pièce en un tour de main.

Benjamin a la bave aux lèvres en détaillant les corps qui s’offre à lui.

Béa avait 18 ans quand Ben l’a rencontré et Chloé est la réplique de sa soeur au même age.

Des seins haut, bien formé, un ventre plat et musclé, de longues jambes fuselés surplombé d’une paire de fesse d’enthologie.

Coté face, il tique sur le fin triangle de poils blond qui, pointe en bas, semble indiqué la position du bouton d’amour.

Les cuisses de la belle sont luisante de mouille.

Béa se tourne vers lui avec un "tadammm" des plus coquins.

Benjamin retrouve la plus belle femme du monde, ses seins sont peut-être plus gros, ses hanches un peu plus large mais son corps est toujours somptueux.

Seul l’énorme touffe de poils blond qui orne son pubis le surprend.

Béa suit son regard et murmure toute géné :

-Bin…tu comprend je tondais plus la pelouse…la parcelle n’était plus exploité !

Benjamin a un blanc et comprend ce que ça signifie :

-Tu veux dire que toi aussi…pas depuis 4 ans…

— Non, pas une fois mon amour, et c’est pourtant pas faute d’essayer, elle m’a collé au moins 50 petits cons dans les pa….hummfff !

Benjamin ne lui laisse pas finir sa phrase et envahie la bouche de Béa d’une langue impérieuse !

C’est l’Everest du gamellage, l’Austerlitz de la danse de langue baveuse !

 Et en même temps, la retraite de Russie puisque tout deux se retrouvent, après quelques minutes, sans voix, sans souffle et au bord de l’implosion !

Chloé s’avance à ce moment, véxé d’avoir été "oublié" et annonce d’une voix de petite fille :

— Et moi, je me suis faites bouffer la moule toute la matinée….mais vous ne vouliez pas vraiment le savoir….ou bien….?

Ben et Béa éclatent de rîre et ouvre les bras pour que Chloé les rejoignes.

La petite ne se fait pas prier et se joint à eux dans un trio lesbien, amoureux et incestueux.

Ben reprend la bouche de Béa en la repoussant vers la table basse.

Chloé essaie de suivre en manipulant l’ogive de Ben, elle n’a clairement pas l’habitude et l’homme grimace un peu.

Béa arrive à la table en marche arrière, toujours conduite par Ben.

Celui-ci la dépose doucement sur le dos, d’elle même Béa ouvre le compas de ses jambes.

Au moment ou Ben se penche sur sa belle, il se fait "griller" par Chloé, qui le pousse et annonce très sérieusement :

— Attend attend, une pénétration avec un calibre comme tu as, ça peut être dangereux, faut lubrifier  !

Elle fond sur la chatte de sa soeur qui ne dégouline de mouille que depuis 4h.

La petite s’en mets partout, elle aspire avec des bruits volontairement exagérés, elle donne des coups de langue désordonnés, mordille même l’intérieur des cuisses de sa soeur.

Béa à décollé depuis le premier coup de langue !

Chloé continue avec sa langue qu’elle essaie de faire entrer dans le vagin de sa soeur, elle récolte toujours plus de fluide, mais ne semble pas rassasié pour autant.

Elle évite le clito pour ne rien précipiter, au contraire, elle tourne autour, redescend sur les lèvres vaginale, les presse puis les écarte encore pour se régaler de la cyprine qui coule en continue maintenant.

Benjamin décide de faire payer la petite éffronté, il se place derrière elle et investit de deux doigts sa grotte intime.

Chloé crie, autant de surprise, que de bonheur.

Benjamin calque son rythme sur le plaisir de Béa, les gémissement vont crescendo et les deux femmes éclate ensemble.

La jouissance de Béa est incroyable, titanesque !

Elle soulève ses fesses de 30 centimètres de la table, tous ses muscles crispés elle évacue un jet de mouille à 3 mètres, aux pieds de sa mère.

Chloé elle, prend son plaisir plus "sobrement" en n’inondant que la main de Ben mais en poussant un grand cri.

Epuisé, à bout de souffle, Béa est inerte sur la table, Chloé elle, à roulé sur le coté en chien de fusil et respire bruyament.

— Chloé ? appelle Benjamin.

-Oui ?

— Dégage !

Chloé voit s’avancer Ben, monstrueux avec son sexe dressé, un filet de liquide transparent part de son gland.

Ben n’est plus là, il est ailleurs, dans un monde ou le seul objectif est là, devant lui.

Ce sexe de femme, ouvert, dans cette forêt de poils collé par la mouille et la salive !

Chloé, chipie jusqu’au bout, attrape d’un geste vif un peu du "truc qui coule" et le goute.

Pas mauvais, c’est pas du sperme mais j’aime bien, conclut-elle ravie.

Benjamin ne l’a même pas vu.

Il poursuit son objectif, se mets à genoux devant le compas toujours largement ouvert de Béa.

Prend une inspiration, empoigne les seins blancs et lourds de son amour, et fend le sexe offert d’un seul, et puissant , coup de rein.

Un cri strident lui répond, Béa reprend vie, elle le fixe avec les yeux de l’amour.

Elle le verrouille avec ses jambes et entreprend de contracter tous ses muscles.

Benjamin revient à lui, il prend conscience de son sexe, de Béa, du travail de son vagin sur sa queue et laisse éclater sa jouissance.

Il n’a même pas fait un aller retour.

Bien incapable chauffé comme il l’a été tout l’après-midi.

Bien incapable, frustré qu’il a été durant ses 4 dernières années.

Benjamin jouit, encore et encore, dans ce sexe qui est fait pour lui.

Ce sexe qui le masse comme s’il avait une vie propre, qui tort sa bite merveilleusement.

Il se passe un temps, Benjamin affalé sur le corps de Béa, Chloé sur le coté distribue des baisers coquins, à l’un à l’autre.

Puis Béa veut se lever, la position est des plus inconfortable pour elle.

Ils se retrouvent tous trois sur un canapé, comblé du bonheur de leur amour.

Benjamin joue avec deux tétons dressés, sur deux femmes différentes.

Béa joue avec la queue dont elle a été privé pendant si longtemps.

Chloé joue avec les couilles de Ben, les malaxants doucement et puis soudain éclate de rire.

Devant les mines, mi amusé mi étonné de sa soeur et son beau frère, elle annonce :

-Au fait, avec tout ça , je crois avoir oublié de vous préciser que j’étais lesbienne !

Leur fou rire à duré longtemps.

Jusqu’à ce que Huguette de Langlois ne commence à s’agiter, sur son fauteuil.

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