Bonjour, je m’appelle Rosie.

Je découvre un peu le site et, après avoir lu quelques histoires, ça me semble être le bon endroit pour vous raconter ce qui m’arrive depuis un peu plus d’un an.

J’ai 46 ans et je vis à Annecy avec mes enfants et mon mari. Je suis surveillante (ou pionne, si vous préférez), et j’enseigne parfois le dessin et l’Histoire de l’Art en tant que remplaçante.

Pour vous présenter rapidement ma famille. Mon mari s’appelle Jean, a 47 ans, il est petit, brun, légèrement dégarni, mais plutôt musclé, étant d’un naturel assez sportif. Il est chauffeur de cars à la Sibra (l’équivalent de la RATP).

Ma fille, Julie, a 20 ans, lycéenne studieuse (bien plus que je ne l’ai jamais été). C’est une jolie brune (comme sa maman !), elle semble populaire et a beaucoup d’amis.

Mon fils, Quentin, a 18 ans. C’est un beau garçon, pas très grand mais sportif, comme son père. Il est beaucoup moins sociable que sa sur et ne sors que pour aller à ses cours de karaté. Il vient de commencer des études de graphisme dans le lycée où je travaille et même si ça l’embête un peu, cela satisfait mon côté maman-poule.

Nous avons un labrador, un chat et deux tortues qu’on a apprivoisés après qu’elles aient élu domicile dans notre jardin.

Quant à moi, je suis brune, grande et assez bien conservée si je puis me permettre ; avec un joli bonnet 85B, une taille fine et un fessier bien musclé de plusieurs années de cyclisme. J’aime prendre soin de moi, aussi bien en allant à la piscine régulièrement qu’en me pouponnant ; ce qui n’est pas pour déplaire aux hommes de mon entourage, notamment les professeurs et les élèves de mon lycée. Mais même si je sais que les réflexions fusent dans mon dos et que je suis certaine d’être un fantasme pour beaucoup de ces jeunes gens, personne ne m’a jamais manqué de respect et je suis appréciée de tous, ce qui est très rare chez les surveillants.

Mais ceci a un peu changé lorsque mon fils est entré en première année de Bac Pro dans mon lycée, rien de méchant mais c’est comme si soudainement, tout le monde avait envie de se taper la maman de Quentin. Être la maman de, vous octroie très rapidement des faveurs insoupçonnées auprès des ados. J’étais devenue une "MILF".

Ainsi je commençais à me faire ouvertement draguer, d’abord par un autre prof de dessin qui ne cessait de me complimenter sur ma beauté, sur ma tenue… puis sur mes gros seins et mon cul qu’on aurait bien envie de fesser; puis par plusieurs étudiants qui avaient pris l’habitude de rester à discuter avec moi pendant les pauses, formant un cercle dissuadant les autres élèves qui voudraient venir me parler, comme si j’étais leur propriété.

Les jours passaient et même et je croisais assez peu le prof de dessin, les étudiants, eux, ne m’oubliez pas !

À chaque pause nous discutions et devenions même intimes. Ils étaient six, toujours les mêmes. Je savais que quatre étaient célibataires et que les deux autres avaient une copine en dehors du lycée. Nous discutions et rions de plus en plus facilement.

Lorsque l’un d’entre eux arrivait en me disant qu’il était en retard le matin, je le traitais de p’tit branleur en rigolant et la conversation pouvait ainsi démarrer :

Bien sûr que je suis un branleur ! J’ai pas de copine, pas le choix ! Par contre, petit, il faut voir !

Et il riait à son tour, tout content de sa répartie.

Pour ne pas perdre la joute, je me suis sentie obligée de répondre quelque chose comme :

Elle est certainement plus petite que ta grande gueule !, toujours sur un ton très décontracté, évidemment.

Ah oui ? Vous pensez ça ? Vous voulez la voir ?

— Non, j’ai peur de rire encore plus et je dois avoir l’air sérieuse !

— Pourtant, tu ferais moins la maline après l’avoir vu pourtant, ma p’tite Rosie !

Il avait répondu cela avec un clin d’il et surtout, en me tutoyant pour la première fois. Je restais sans voix quelques secondes, il avait gagné la joute verbale !

Les autres continuaient à rire sans renchérir davantage.

La sonnerie retentit et ils se dirigèrent vers leur classe.

Même si j’avais toujours fait en sorte d’avoir une certaine autorité, comme le fait que les étudiants me vouvoient, là je n’avais rien répondu, prise de court.

Rien de grave, me dis-je, ça lui a peut-être échappé.

Arriva le soir, plus de 18H30, mon fils devait déjà être à la maison depuis longtemps, mais moi je faisais le tour des salles de cours pour vérifier qu’elles étaient bien fermées. Presque plus personnes dans les locaux à part quelques profs, certainement en train de corriger des devoirs ou de préparer des cours, seuls dans leur classe.

Une fois, j’avais enfermé un prof comme ça, qui faisait sa sieste. Je n’avais pas vu de lumière alors j’ai directement fermé la salle et je suis partie. Il avait dû sortir par la fenêtre (au RDC, heureusement), et grimper par-dessus le portail de l’école ! Du coup maintenant, je vérifie systématiquement, même lorsque je ne vois pas de lumière.

Mon tour de routine fini, je sortis et me dirigeai vers le parking extérieur.

Arrivée devant ma voiture, une voix m’interpella, c’était un de mes ados de la cour de récréation qui était assis sur un banc plus loin avec deux autres lycéens. J’ai mis quelques secondes à les voir. Il y avait Sam (celui qui m’avait tutoyé quelques heures auparavant), Kevin et Hugo, qui faisaient également partie de mon cercle protecteur pendant la pause.

Ils avaient des bières et Kevin était en train de fumer.

Je leur fis au revoir de la main et allai pour monter dans ma voiture lorsque Sam insista :

Viens boire une bière avec nous ma petite Rosie !

Encore un tutoiement, pensais-je, et une appellation un peu trop familière.

J’allais me rapprocher un peu pour lui dire d’arrêter de me tutoyer mais Kevin, visiblement légèrement éméché, enchaîna :

C’est pas un prénom de chienne Rosie normalement ?

— Et toi, tes parents t’ont appelé Kevin car ils débordaient d’imagination ?

— …

Quelques secondes de blanc et rire général !

Comment elle t’a remballé mon p’tit kéké !

Je me suis approché d’eux en continuant à rire sur des bêtises.

Sam m’a tendu une bière que j’ai machinalement acceptée.

Ils se poussèrent un peu pour me faire une place entre eux et je m’assis.

Il faisait encore bon en ce début octobre et c’était agréable. Je refusais le joint et les cigarettes mais je bus deux bières sans y prêter attention.

On rigolait bien mais mon téléphone qui vibrait dans ma poche me rappela que Jean devait se demander où j’étais.

En me levant, je remarquais que Sam et Hugo avaient chacun une main sur mes cuisses.

J’étais en robe longue donc ils ne touchaient pas directement ma peau et leurs gestes avaient été suffisamment discrets pour ne pas que je m’en rende compte plus tôt.

Lorsque je me levais, il me sembla sentir la main de Sam me caresser la fesse.

Je leur fis la bise à tous les trois et remontais dans ma voiture.

Arrivée chez moi, mon mari avait fait à manger. Il ne s’offusqua pas de mon retard, il sait que mes horaires ne sont pas toujours fixes, en fonction des besoins à l’école.

J’allais prendre ma douche, en repensant à Sam et Hugo qui devaient être tous fiers d’avoir touché la pionne du lycée à l’heure qu’il est. Peut-être même étaient-ils en train de se branler en pensant à moi c’est petits cons, pensais-je.

Je réalisais alors que j’étais moi-même en train de me caresser, doucement.

T’as vraiment des idées tordues ma pauvre fille, me dis-je.

Mais cela ne m’arrêta pas, au contraire, je me sentais perverse.

Oh et puis merde, j’ai bien le droit de me faire plaisir aussi, Jean n’a qu’à me baiser plus souvent !, pensais-je, comme pour justifier ce que j’allais faire.

Je me suis allongée dans la baignoire (vide), les cuisses bien écartées, les pieds sur chaque rebord et le pommeau de douche braqué sur ma chatte.

J’ai fait tout un savant calcule pour maintenir accroché le pommeau afin de diriger le jet droit au bon endroit.

Quelle position ! Comme chez le gynéco !

Si Sam, Hugo, Kevin et les autres voyaient leur pionne en ce moment ! Ils se branleraient instantanément ces petits cochons !

Je repensais à leurs mains sur mes cuisses, j’imaginais s’ils avaient touché mes gros nichons de salope… Mais qu’est-ce qui me prend ?

Oh et puis on s’en fout !

Je plongeais directement deux doigts dans ma chatte. J’essayais d’imaginer leur bite que je supposais grosse et pleine de vigueur.

Regarde Jean, ça, ce sont de vrais mâles !, chuchotais-je en soupirant.

Je me faisais un vrai film dans ma tête lorsqu’on toqua à la porte de la salle de bain.

J’eus juste le temps de baisser mes jambes et de tirer le rideau de douche que mon fils entra pour se laver les dents.

Rien d’étonnant, nous n’avons pas l’habitude de fermer les portes à clé et il arrive souvent qu’on soit deux en même temps à la salle de bain.

Hé maman, si tu te fais couler un bain, tu me laisseras la place après ?.

C’était une manière peu subtile de me demander de lui faire couler un bain car il avait bien entendu que je prenais juste une douche.

Mais c’était aussi un bon prétexte pour moi de rester dans la baignoire un peu plus longtemps et vu ma position actuelle, j’avais peur que mes mouvements ne trahissent que j’étais allongée sur le dos ! Ce qui est bizarre, vous en conviendrez…

Pas de souci mon poussin, répondis-je simplement en enfonçant le bouchon avec mon pied.

J’attendais patiemment qu’il ressorte pour terminer mon affaire, ayant été interrompue au bord de l’extase, mais il prenait son temps visiblement.

Le bruit du jet dans la baignoire qui se remplissait couvrait déjà mieux mes mouvements. Je me décidais donc à lever mon pied gauche pour le poser sur le rebord du côté du mur, ayant ainsi plus de place pour que mes doigts accèdent à nouveau à ma chatte.

Mais qu’est-ce que je fais ?

Je suis en train de chercher une position pour me doigter alors que mon fils est à moins d’un mètre à côté !

T’es vraiment une belle salope ce soir !, me dis-je.

Et encore une fois, cette pensée ne fit que confirmer mon état d’excitation.

Mes doigts fouillaient ma chatte en tentant tant bien que mal de faire en sorte que le clapotis régulier la surface de l’eau semble naturel.

Je fermais à moitié les yeux pour me replonger dans mon film porno avec Sam, Hugo et Kevin… Mmm c’est tellement bon !

Regarde Quentin comme ta maman est salope ! Elle veut se faire prendre comme une chienne, par tes amis !.

Cette pensée me transcenda et je jouis aussi discrètement que possible, la main sur ma bouche.

Il me fallut deux ou trois minutes pour me remettre.

J’entrouvris le rideau et mon fils me passa aussitôt ma serviette. Je me sentais rouge comme une pivoine ! Mais aussi, parfaitement détendue et satisfaite.

Je sortis de la baignoire, maintenant pleine, pour finir de me sécher.

La place est libre, dis-je en me tournant vers Quentin.

Cool, merci maman.

Je continuais à me sécher dans mon coin sans trop le regarder mais il ma semblé voir une érection dans son caleçon. Je devins encore plus rouge… M’aurait-il entendu ? A-t-il compris que j’étais en train de me masturber à côté de lui ?

Cette idée honteuse me provoqua une décharge dans le bas-ventre alors que je m’essuyais. Je savais très bien ce que ça voulait dire : je suis encore excitée. Qu’est-ce qui m’arrive ? Je suis en train de devenir nympho ?

Quentin retira son caleçon avec la plus grande difficulté du monde, en se cachant du mieux qu’il pouvait, mais cette fois j’en étais sûre :

Il bandait comme un âne et moi je mouillais de nouveau !

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