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Nuit agitée – Chapitre 1




En cet après midi, je me trouvais dans ma chambre de cité U et je travaillais mes cours. A ce moment là, quelqu’un a frappé à la porte. Je vais ouvrir. Je suis tout surpris de trouver Isabelle habillée assez sexy avec une mini jupe noire, des bas, un petit pull léger. Je l’ai regardé avec un petit sourire en coin ce qui a semblé l’intriguait. Je lui ai proposé d’entrer et j’ai refermé la porte derrière elle. J’étais assez surpris de la voir dans cette tenue car j’étais plutôt habitué à la voir vêtue de jeans. Elle me fit remarquer que je semblais fatigué. Je ne me fis pas prié pour lui en expliquer la cause. Je lui ai raconté que pendant une bonne partie de la nuit, les bruits du voisinage m’avait fortement gêné. En effet, le voisin du dessus avait du passer une nuit agréable. J’ai tout suite constaté qu’elle devenait rouge au fur et à mesure que je racontais l’histoire. En effet, le voisin du dessus n’était autre qu’un copain de cours, Philippe, dont la copine actuelle était ?? Isabelle. Je lui ai donc expliqué que leur lit avait grincé jusqu’à une heure très avancée de la nuit et que de plus, il devait cogner contre quelque chose car on pouvait suivre, rien qu’au son, les mouvements de va et vient qu’elle et Philippe avait du faire toute la soirée. Elle était maintenant écarlate. C’est confuse qu’elle m’expliqua qu’il avait placé leur lit contre le radiateur pour avoir plus chaud. Il est vrai qu’il ne faisait pas bien chaud l’hiver dans nos chambres. Je lui ai indiqué que c’est d’autant plus pénible de ne pas pouvoir dormir lorsqu’on connaît la cause de l’insomnie. Je ne me suis pas gêné pour lui dire que je m’étais trouvé obligé de les accompagner dans leur mouvement en me masturbant dans mon lit. Elle le comprit facilement et me proposa de se faire pardonner de la façon que je souhaitais. Mon regard et mon sourire ne laissèrent guère de doute sur mes pensée. Sans hésitation, elle s’est approchée de moi et m’a embrassé goulûment m’introduisant sa langue dans la bouche. C’était délicieux. Sans que j’ai le temps de réagir, elle s’est mise à genou devant moi et a commencé à ouvrir les boutons de mon jean. Il se retrouve en un instant à mes pieds. Elle a passé sa main au tour de ma taille et a introduit ses doigts dans mon slip avant de le descendre à son tour. Mon sexe déjà raide de son baisé se met au garde à vous immédiatement. Elle semble s’en étonner. Elle m’explique la raison de son étonnement devant mon érection instantanée. En effet, pendant la soirée, elle avait du procédé à une fellation prolongée pour obtenir de Philippe qu’il bande correctement. Cela avait duré plus de vingt minutes. Je lui ai expliqué que de mon côté c’était plutôt la tendance inverse à savoir que cela partait au quart de tour. Il m’arrivait même de décharger avant même la pénétration (Cf. ’ Cité U ’). Elle m’a dit que, pour sa part, cela ne la dérangeait pas d’avoir à faire à un éjaculateur précoce du moment qu’il pouvait retrouver une érection par la suite pour la faire jouir. Elle entama alors sa fellation. Je n’avais jamais vécu d’aussi délicieuse. Je lui ai d’ailleurs indiqué que je ne serais pas long à venir et qu’il valait mieux qu’elle arrête si elle ne souhaitais pas que je lui explose dans la bouche. Sans dire un mot, elle poursuivit sa fellation encore plus rapidement. Cela ne tarda pas, je lui lâchais un flot important de semence au fond de la gorge. Elle en avala la totalité visiblement avec plaisir. Elle a même pris soin de nettoyer les restes de sperme sur mon gland. Elle se releva et m’embrassa à nouveau à pleine bouche, me faisant ainsi profiter du goût de mon propre foutre. Je n’apprécias par particulièrement mon sperme que je j’avais déjà eu l’occasion de goûter mais mêlé à sa salive, cela prenait une tout autre saveur. Pendant ce long baisé, j’en ai profité pour passer ma main sous sa jupe et commencer à lui caresser le pubis au travers de son slip. Celui ci était complètement détrempé signifiant son excitation. Elle s’est mise à gémir sous l’effet de mes caresses qui se faisaient plus précises sur son clitoris. Ma main était maintenant dans son slip. J’ai pu constaté que son pubis était entièrement rasé. D’une main, je la masturbais, de l’autre, je caressais ses fesses à la peau douce et que je sentais visiblement bien dessinées. Je n’ai pas tardé à lui enlever son slip qu’elle a laissé glisser le long de ses jambes avant de le retirer d’un mouvement de pieds. A ce moment là, je l’ai prise par la taille et les assises sur la table qui me servait de bureau. Sa jupe relevée jusqu’à la taille, j’ai entamé un cunnilingus. Je passais ma langue dans tous les replis de sa vulve imberbe. Son sexe laissait échapper une quantité importante de liquide intime que j’avalais avec plaisir. M’interrompant, je lui ai demandé si elle avait l’habitude de se raser entièrement la chatte. Elle m’a expliquait qu’en fait, elle avait essayé de se raser de façon à ne laisser qu’une petite partie des poiles et ce de manière à rendre son sexe le plus sexy possible. Mais n’ayant pas réussi à faire ce qu’elle voulait, elle avait fini par se raser complètement. Je repris mon cunnilingus. Le plaisir que je lui procurais eu pour effet de faire grandir son clitoris. Comme si c’était une petite bitte, je l’ai pris entre mes lèvres et l’ai sucée comme j’avais eu l’occasion de la faire avec une grosses queue (Cf. ’ un vieux copain ’). Son orgasme ne tarda pas. Elle était encore plus radieuse maintenant qu’elle avait joui. Lui laissant quelques secondes pour reprendre son souffle, j’ai approché ma queue de sa chatte encore toute dégoulinante de ses sécrétions. Sans hésitation, j’ai enfoncé mon engin tout dur dans son sexe. Sa position, assise sur la table, jambes écartées, la jupe toujours relevée, ses bas sur ses jambes fines et belles m’excitait au plus haut point. Mes mains se baladaient sous son pull. Je lui caressais sa petite poitrine ( 85A) à travers son soutien gorge. Je lui ai fait passé son pull au dessus de la tête et lui ai défait aussitôt le soutien gorge. Sa poitrine était effectivement petite mais très belle. En même temps que je m’activais dans son vagin, je lui suçais les tétons. Je commençais à craindre que ses gémissements ne s’entendent en dehors de la chambre. J’ai rapidement senti que son orgasme approchait. Je me suis donc retiré de sa chatte et lui ai demandé de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle l’a fait aussitôt. La prenant en levrette, j’ai poursuivi mes va et vient en accompagnant les mouvements en la tenant par la taille. Son orgasme puissant a suivi dans la foulée. Sa chatte s’est contractée à plusieurs reprises sur ma queue me procurant également beaucoup de plaisir. Comme à chaque fois, je prends une fille dans cette position, je lui ai proposé de la garder afin que je l’encule. Elle a accepté volontiers d’autant que Philippe n’avait pas souhaité le faire alors que c’était une chose qu’elle affectionnait particulièrement. Je me suis donc activé à lui lubrifier abondamment la rosette avec ma salive. Comme je vous l’ai dit dans une précédente histoire, je prends au moins autant de plaisir à lécher l’anus qu’à enculer ma partenaire. Pour sa part, elle semblé jouir intensément sous mes coups de langue. Son sphincter a commencé à se relâcher. J’ai alors introduis ma langue dans son trou décuplant encore son plaisir et le mien. J’ai placé enfin ma bitte à l’entrée de son orifice maintenant largement ouvert. J’ai enfoncé ma queue assez rapidement sans rencontrer la moindre résistance dans ce petit trou qui en avait visiblement vu d’autres. Je faisais d’amples mouvements de va et vient introduisant mon engin jusqu’à la garde. Mes couilles venaient claquer contre sa chatte ce qui semblait intensifier sa jouissance. Au bout de cinq minutes, j’ai lâché toute ma purée dans ses entrailles. Après que j’ai sorti ma queue, elle s’est retournée rapidement et a enfourné ma bitte dans sa bouche avalant du même coup tout ce qui restait sur mon gland. Je me suis installé à mon tour, sur le lit en m’allongeant sur le dos. Ecartant largement les jambes, Isabelle est venue se placer au dessus de moi. Me faisant face, elle s’est empalée lentement sur ma queue. Le spectacle était délicieux. La voir monter et descendre sur mon pieu renforçait ma jouissance. A chacune de ses descentes, je voyais ma bitte disparaître dans sa chatte. J’en profitais pour lui caresser les seins délicatement. J’avais envie de voire les lèvres de son sexe s’écartaient sous mes coups de boutoir. Ce serait plus facile si elle me tournait le dos. Elle s’est donc relevée pour s’empaler à nouveau mais cette fois, j’avais vue sur ses fesses superbes. Et là, je pouvais voir parfaitement ses lèvres s’écarter, dans un mouvement érotique, chaque fois que mon sexe pénétré le sien. Après une dizaine de cet traitement, Isabelle parvint à un orgasme intense. Comme vous avez pu le constater dans mes précédents récits, je suis assez fan de la branlette espagnole. Avec Isabelle, cela allait être assez difficile compte tenu de la relative petite taille de ses seins. J’ai tout de même décidé de venir m’installer à califourchon sur son torse. Au lieu de me placer entre ses seins, j’ai posé mon gland sur ses lèvres. Elle a entrepris immédiatement une fellation. Ma queue était encore toute gluante de ses sécrétions vaginales ce qui semblait lui plaire. Le plaisir commençait doucement à venir. Je sortis donc ma bitte de sa bouche et plaçais sa main sur ma queue. Elle entama alors une branlette. Elle ne se contentait pas de m’astiquer le manche mais elle baladait également ses sur mes couilles et mes fesses. Après avoir passer ses doigts dans sa chatte dégoulinante de mouille, elle en introduisit son majeur dans mon anus. D’abord, elle l’enfonça doucement puis plus profondément. Ressortant son doigt, elle en fit pénétrer deux cette fois puis trois. Elle me fit remarquer que mon cul semblait avoir déjà subi quelques assauts. Je lui ai expliquais qu’effectivement, j’avais eu, une fois, une expérience avec un mec et on avait pratiqué la sodomie. Je montrais une certaine gêne à lui raconter cela mais de son côté, elle m’expliqua qu’elle avait déjà eu de nombreuses expériences homosexuelles. Elle me raconta qu’elle avait découvert cela, il y a un certain nombre d’années avec une copine intime et que depuis, y prenant beaucoup de plaisir, elle recommençait périodiquement. Il se trouve qu’elle avait eu l’occasion de faire l’amour à plusieurs reprises avec Céline (Cf. ’ cité U ’). Elle avait pris un pied fou à chaque fois d’autant que Céline était tout son contraire physiquement. Isabelle appréciait la grosse poitrine, les fesses rembourrées de Céline. Elles avaient baisé comme des folles pendant toute la nuit à chaque fois. N’ayant aucun tabou sexuel ni l’une ni l’autre, la nuits avaient été torrides. Je n’ai pas manqué de lui expliquer que nous avions les mêmes partenaires sexuelles. Elle ne fut par surprise car, en fait, elle m’avait révélé son histoire avec Céline uniquement parce que j’avais moi aussi baisé avec elle. Elle n’avait en effet pas l’habitude de divulguer le nom de ses partenaires sexuelles. Elle reprit activement sa branlette sur ma queue. L’orgasme était maintenant proche. J’ai donc placé ma main sur la sienne et j’ai accéléré le mouvement. J’ai alors déchargé 4 à 5 giclées de foutre que j’ai volontairement dirigées sur ses seins puis sur son visage recouvrant ses joues, sa bouches et son front de mon sperme. Elle alors pris soin de bien étaler sur sa poitrine le liquide gluant qui s’y trouvait. Elle a nettoyé avec sa langue tout ce qui lui était accessible. Elle se rendit au lavabo pour essuyer le reste. Malgré tout cela, ma queue était à nouveau raide. Je lui ai demandé de s’asseoir sur la table et d’écarter les jambes ce qu’elle fit bien volontiers. Je l’ai alors pénétré immédiatement jusqu’à la garde. En même temps que je faisais des va et vient, nous nous embrassions langoureusement. Nous ne nous lassions pas de nous embrasser. Je pense que le baiser a durée près de dix minutes sans que l’on ne reprenne notre souffle. Seul l’approche de notre orgasme respectif arrêta cette échange. Son corps se contracta et son vagin fut secouer de spasme. Je sortis ma queue pour décharger sur son pubis imberbe. Elle étala la semence puis fit pénétrer son doigt couvert de mon jus dans sa chatte astiquant son clitoris. J’avais encore envie d’elle et notamment de son cul. Je me suis donc assis sur le lit et elle est venu s’installer sur moi en ayant pris le soin d’écarter ses fesses afin que ma bitte pénètre son petit trou. Nous étions presque emboîtés l’un dans l’autre. Nous avons repris nos baisers fougueux tandis que moi je lui caressais les seins et en particuliers les tétons. Elle montait et descendait sur mon pieu me faisant prendre un pied immense. Ma queue, toute lubrifiée de son jus déposé lors de l’acte précédent, faisait un bruit de succion à chaque pénétration dans son cul. Cette fois, je fus plus long à venir. Il me fallut un bon quart d’heure (normal après déjà 4 éjaculations) pour parvenir à l’orgasme. Je lui ai déchargé 4 giclées dans l’intestin. On s’est arrêté là, rassasié tous les deux par ses deux heures d’amour. Elle s’est nettoyée la chatte, les seins ainsi que le visage sur lequel subsistait des traces de nos ébats. Elle remis son slip, son soutif, sa jupe sur laquelle restait quelques traces de sperme mais qu’elle n’a pas pu enlevées. Cela ne se voyait pas de l’extérieur. Elle rajusta son pull puis après un long baiser et une promesse que cette séance se renouvellerai, elle retourna dans la chambre de Philippe qui n’était pas rentré de cours.

A bientôt de pour une nouvelle histoire

FRED

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