Témoignage recueilli d’une amie
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Mon copain et moi avions décidé de partir en camping.
Les vacances venaient d’arriver et on voulait changer un peu notre quotidien. Etant donné que les hautes cîmes des Alpes nous attiraient, nous avions fait cap vers un petit camping qui se situe en plein coeur de ces montagnes.
Nous sommes ensemble depuis plus de deux ans. Deux ans de complicités, d’épreuves et d’amour. Notre relation n’est pas parfaite non plus, on a souvent des désaccords qui peuvent être assez violent. Mais on se réconcilie toujours, avec plus ou moins de difficultés. J’ai toujours considéré ce voyage soudain comme un moyen de nous rapprocher, face à la nature.
S’il savait …
Mais on n’en est pas encore là. Arrivés dans notre coin, nous avons eu droit à un grand terrain où on a pu monter calmement notre tente. Le camping était plutôt désert et tant mieux, on ne sera pas dérangés la nuit par des voisins trop bruyants.
Il y avait aussi un autre avantage : Les nouveaux venus se faisaient vite remarquer et rapidement, des gens sont venu nous souhaiter la bienvenue avec des sourires. Parmi eux, un monsieur âgé de la cinquantaine, particulièrement chaleureux.
Malgré son âge, ses cheveux grisonnants et un petit bidon, il respirait la bonne santé et une certaine force du haut de ses 1m90. Face à mes 1m65 et mon corps mince, j’étais intimidée. Il avait un côté … attirant pour moi.
Après un court échange, il nous informa qu’un petit rassemblement aurait lieu ce soir : Pétanque, barbecue et plaisanteries au rendez vous, il nous invita à venir pour qu’on s’intègre à leur petite communauté. Notre tente étant terminée et ayant besoin de récupérer de la route avant une première promenade, on a accepté.
Je voulais me faire belle, mais c’était assez difficile avec de l’équipement de randonnée. J’ai quand même pu m’habiller avec un bon jean et un débardeur léger. Avec ma petite poitrine, mes cheveux bruns et court, ça me donnait un air d’aventurière. J’aimais beaucoup et j’étais sûre d’avoir du succès malgré tout. Mon copain semblait être d’accord vu comment il me regardait.
L’heure arrivait, et nous sommes parti vers le rendez vous.
Tout les gens du camping semblaient présents, une centaine. Souvent des retraités. Une partie d’entre eux se préparaient pour le tournoi de pétanque, mon chéri les a rapidement rejoint. Moi, je m’intéressais plutôt aux nombreux visages que je croisais, commençant à papoter à droite et à gauche. La soirée s’avançait doucement, les saucisses grillées sortant du barbecue que les campeurs mangeaient de bon appétit.
Deux doigts tapotèrent mon épaule. En me retournant, je vis l’homme cinquantenaire qui nous a invité ici, tout sourire, il me demanda si j’appréciais la fête. Au fur et à mesure de la discussion, j’ai appris qu’il sappelait Patrick, et qu’il était venu camper ici seul car sa femme était bien trop prise par son travail, le faisant sentir souvent solitaire.
Des nuages recouvraient le ciel et un vent frais traversa l’endroit où nous étions. Je n’ai pas pu retenir un frisson, mes bras étant nus. L’ayant remarqué, Patrick les frotta, faisant glisser ses mains chaudes sur ma peau frigorifiée. Le contact envoya un courant électrique dans mon corps, ne me laissant pas insensible. Il était à la fois ferme et doux.
Le vent s’intensifiant, et voulant éviter de faire une bêtise, je lui dis que je devais rentrer. Après des saluts amicaux, je suis retournée voir mon copain pour qu’on retourne à notre tente. Il semblait être de mauvaise humeur, malheureux perdant du tournoi.
Traversant ainsi le camping, c’est avec stupeur qu’on a vu notre abri retourné par le vent. Mon compagnon s’empourpra
"Putain, tu as oublié de mettre les sardines !"
Une dispute dans l’endroit où nous pension être au calme … Nos cris couvraient le vent, nos insultes fusaient et gravement énervée, je suis partie en courant pour le laisser planté là.
Une fois éloignée, je traîna des pieds sur le chemin, déprimée. Je ruminais la dispute et les "écervelée, conne, ta gueule" de celui que j’aimais. J’avais froid, mais je ne voulais pas retourner en arrière. Des gouttes commençaient à tomber. Je ne pouvais pas rester dehors.
En me mordant la lèvre, je pensais à Patrick qui pouvait m’aider. Il m’avait dit où était sa tente, je m’y dirigeais, encore incertaine, mais y étant contrainte si je ne voulais pas dormir dans l’herbe.
Arrivée à l’endroit, je voyais de la lumière à l’intérieur de sa petite tente deux places. Je tapota la toile pour attirer son attention.
"Oui ?"
Il dézippa la fermeture éclair, laissant apparaître sa tête. Il avait l’air étonné de me voir ici. Je lui demandais si je pouvais rester pour la nuit, après lui avoir raconté l’histoire. Il recula sa tête et agrandi l’ouverture pour me laisser passer. J’enleva mes chaussures et je me glissa dans sa tente.
Malgré sa petite taille, l’endroit était chaleureux : Il y avait une grande couverture et 3 coussins étaient éparpillés un peu partout. Une lampe torche pendait au plafond, illuminant l’espace. J’ai dû le déranger en lecture car un livre ouvert traînait dans un coin. Il me demandait si je voulais du chocolat chaud qu’il avait préparé en me présentant un thermo. J’accepta.
On a discuté, il tentait de me réconforter et de me rassurer tandis que la pluie se fracassait sur la toile de sa tente. Il caressait doucement mon bras, je sentais à nouveaux ses mains chaudes sur ma peau.
Il ne semblait pas indifférent à mon corps, son regard s’attardant brièvement sur ma poitrine. Je ne lui en voulait pas, au contraire ça me troublait. Je me mis à fantasmer sur ce grand monsieur aux cheveux gris, mais je pensais aussi à mon copain. Aucun de nous deux n’allait plus loin. Un silence s’installa.
Au boût d’un moment, il regarda le haut de sa tente, qui frémissait sous les martèlements de la pluie.
"Je n’arriverais pas à dormir, je te propose de jouer à un petit jeu pour passer le temps"
Il réfléchit un instant, c’est moi qui a proposé ceci :
"Action ou vérité ?"
Il sourit : "Tu commences alors, je choisi vérité"
Beaucoup de vérité au départ, on se posait des questions sur nos goûts, nos activités. Patrick commençait à poser des questions plus dirigées
"Tu es heureux avec ton copain ?"
"Vous faites souvent l’amour ?"
"Tu es satisfaite ?"
A cette dernière question, je rougis, et je lui dit que c’est variable et que la routine s’était installée. Je lui posait aussi des questions sur sa vie sexuelle.
"Elle est contente … quand on le fait. J’ai une grosse bite de 20cm"
J’étais étonnée par la taille annoncée, et mes fantasmes se furent de plus en plus insistant au fur et à mesure que la situation m’excite. Je pensais une nouvelle fois à mon chéri. Mon trouble doit être visible maintenant.
Ce doit être le cas, car lorsque fut venu mon tour de le tester, il choisi "Action". J’ai hésité, puis après un moment, je lui demanda de faire un bisou sur ma joue. Il se rapprocha et posa ses lèvres sur le coin des lèvres, je souffla.
J’ai aussi choisi action, il ouvra ses bras et me demanda de me coller contre lui. En fermant les yeux, je céda et j’allais me réfugier contre son torse, assise sur ses genoux et enveloppée dans un cocon de chaleur, je respirais plus fort, lui aussi. Il me regardait dans les yeux : "Action".
"Caresse moi le dos" murmurais-je.
Tout de suite, ses mains glissaient dans mon dos, soulevant petit à petit mon débardeur, je me laissais faire. Je prononça un "action" faiblement, tentant de résister au désir qui commençait à venir.
Il approcha son visage du mien et me demanda de l’embrasser. Déconnectée de toute raison, j’entrouvis mes lèvres et il y faufila sa langue, allant rejoindre la mienne pour un baiser langoureux. On est resté une trentaine de seconde dans cette étreinte, mélangeant nos salives. Je sentais une érection se former, au contact de mes fesses.
Je m’écarta légèrement et sans attendre son choix, je lui dis : "Enlève ton pantalon". En souriant, il enleva le vêtement, sous la couverture. Une bosse se formait à l’endroit où était son sexe. Je souffla une nouvelle fois, un peu frustrée .
"Va sous la couverture". J’ai fermé les yeux une nouvelle fois, puis je me glissa toute entière dans la couverture, je remontais le long de ses genoux, dans le noir absolu et je m’arrêtais à ses cuisses. Je ne voyais rien, mais je sentais sa bite, son odeur érotique et sa chaleur. Tout près. Ca me mettait dans un état d’excitation absolu de le savoir si proche.
J’avança une main, lentement, et je saisis sa hampe noueuse, imposante. Je sentais le relief des veines dans ma main, je le branlais doucement, hypnotisée. Je l’entendais gémir faiblement.
Je voulais aller plus loin, je mis mon visage au dessus de son gland et je prononçais avec un trouble évident : "Met tes mains sur ma tête …" Je les sentis se poser dessus, faisant baisser un peu mon visage. Son gland s’écrasa sur mes lèvres, ça me faisait énormément mouiller.
"Ouvre ta bouche". J’ouvris lentement mes lèvres, logeant le gland à l’entrée de ma bouche sans plus progresser. J’avais tellement envie … Je n’ai pas résisté à passer un petit coup de langue avant d’achever la chose :
"Appuie …"
Poussée par les mains, ma tête descendit. Sa bite glissa sur ma langue.
Le jeu n’avait plus grand intérêt maintenant. Je commença à faire des va et viens avec ma bouche, enroulant son sexe avec ma langue. Je le sentais se contracter à chaque vague de plaisir.
Il donna des petits coups de hanches, pénétrant de plus en plus profondément, s’insérant dans ma gorge. Je sentais ses doigts s’aventurer vers mon entrecuisse et me déshabiller. Je l’aidais en me trémoussant, puis j’écarta mes jambes pour laisser sa main me posséder. Une caresse sur mon clitoris trempé me fit presque jouir, et je le suçais avec plus d’ardeur, envahie par le plaisir.
Après avoir longuement maltraité mon clitoris, il introduisit un, puis deux doigts dans ma fentine. Je marquais des pauses pour reprendre ma respiration, en gémissant, avant de gober sa bite à nouveau en y allant le plus profondément possible.
Des spasmes ont commencé à apparaître, signifiant qu’il allait jouir. Je pompa avec encore plus d’ardeur, tandis que sa main sur ma tête m’empêchait de me retirer. Il se mit à se cambrer, enfonçant son gland dans ma gorge et avant que je ne puisse réagir, se mis à éjaculer.
Je n’avais jamais bu le sperme de mon copain, et je pris plaisir à sentir le liquide chaud et gluant couler dans ma gorge pour finir dans mon estomac. Je le sentais gicler de grandes quantités dans mon oesophage. Je ne pensais jamais pouvoir le faire un jour sans dégoût. Je ne me reconnaissais pas.
Lorsque le flot fût tari, je me retira, encore sous le choc et le goût du sperme dans la bouche. Sans me laisser récupérer, il se glissa sous la couverture avec moi et écrasa ses lèvres sur les miennes. Sans volonté, je répondis à son baiser, totalement soumise à cet homme mature.
Il enleva mon haut et mon soutien gorge, empoigna ma poitrine, la malaxant. Je soupirais de plaisir quand il descendit sa langue vers mes tétons. Il la glissait sur mes aréoles, envoyant des décharges dans ton mon corps. Ses lèvres se promenaient ensuite le long de mon ventre, puis sans l’en empêcher, il positionna son visage entre mes cuisses pour commencer à me sucer le clitoris.
Poussant des gémissements de plaisir, je posa mes mains sur sa tête pour l’encourager. Faisant le tour de ma chatte inondée de cyprine, sa bouche faisait des ravages. Je me cambrais, sous l’emprise d’un plaisir absolu. Il pénétrait avec sa langue mon intimité et se colla à mon entrejambe pour aller le plus loin possible, frémissant à l’intérieur de moi.
Mon ventre explosa dans un orgasme, j’en ai eue le souffle coupé, emportée au 7e ciel. Je crispa mes doigts sur les cheveux de Patrick en soufflant son nom. Tout mon corps se déchaînait de plaisir.
Je me reposa sur le sol, gisante, terrassée. Je ne le sentis pas se glisser au dessus de moi et je répondis automatiquement à son baiser. Lorsque je sentis sa bite, de nouveau dur, sur ma chatte, je retins ma respiration.
Je ne prenais pas la pilule, mon copain portant toujours un préservatif. Je ne voulais pas tomber enceinte. J’essayais d’ouvrir ma bouche pour lui demander d’arrêter, mais ma volonté se liquéfiait tandis qu’il frottait son gland sur mon vagin, se dirigeant de plus en plus profondément vers mon puits chaud et humide.
Je voulais être pénétrée, le sentir m’envahir, me posséder. Je voulais me faire baiser par ce vieil homme mature. J’allais tromper mon copain. J’ai pensé à lui, puis j’ai dit "tant pis". Il n’avait qu’à pas me traiter de la sorte.
Sans dire un mot, je le laissais me pénétrer avec son gland, se frayant un passage dans mon vagin. Son sexe était démensurée dans ma chatte étroite, il dû se retirer, puis s’enfoncer de nouveau avant de pouvoir toucher le fond.
Sous l’emprise d’un immense plaisir, je verrouilla mes jambes autour de son dos, l’invitant à me baiser allègrement. D’abord doucement, il commença à me pistonner de plus en plus vite. Je sentais sa bite se frotter à l’intérieur de mon corps, tapant sur l’entrée de mon utérus, comme s’il voulait y entrer.
Je jouissais à répétition, malgré tout les dangers, je le voulais en moi. Même si mon chéri arrivait maintenant, je serais incapable d’arrêter. Mon ventre était en feu, rempli par cet homme si imposant. Il soufflait dans mon cou, me rendant folle, j’entendais près de mon oreille ses gémissements saccadés. J’étais sienne, il m’a volée à l’autre. Je me sentais chienne.
Ses grosses mains étaient posés à côté de moi, son torse me surplombait, il dominait la frêle jeune femme dans son étreinte. Mes yeux s’étant habitué à l’ombre, je voyais la silhouette de son bassin faire des mouvements, et sa bite disparaitre en moi.
Ses coups se furent plus amples, plus brusques, je sentais qu’il allait venir. Ignorant le fait que j’étais sans protection, j’avança ma chatte vers lui, pour qu’il me baise plus profondément. Il s’immobilisa en moi et je senti une chaleur exploser dans mon corps. Son sperme me remplissait, débordant même pour couler sur mes fesses. Une petite quantité pénétra dans mon utérus, et je jouis. Mon orgasme fut encore plus éclatant que le précédant, sous l’emprise de Patrick. Je me tortillais sous lui, sa grosse bite crachant son jus dans mon ventre fertile. Mon vagin se crispait autour de son mandrin.
Il se laissa tomber sur mon respirant fortement, puis sans un mot, se retira de moi, soulevant la couverture qui nous enveloppait. Il ralluma la lumière.
Je repris mes esprits, je le voyais me regarder très tendrement. Je me souleva un peu pour regarder l’état de mon vagin : Rouge, du sperme coulant sur le matelas. Il m’avait tellement défoncée et remplie que ça m’étonnerait que je ne tombe pas enceinte. Je plaça un oreiller sous mes fesses pour garder son sperme chaud en moi encore un peu. J’imaginais les millions de spermatozoïdes qui se promenaient, cherchant l’ovule.
Je dégluti, puis je me leva pour me rhabiller en vitesse. Après une hésitation, je déposa un baiser sur sa joue, puis je parti en vitesse. La pluie avait cessée.
C’est avec du sperme coulant dans le fond de ma culotte que je fis le chemin du retour vers la tente de mon copain, pensive de ce que je viens de vivre.