Il fallait bien que quelqu’un, un jour, découvre ma liaison avec Paul. Cela aurait pu être n’importe qui de mes connaissances… non il a fallu que ce soit ma mère !
Faut dire aussi qu’avec Paul on était bien imprudents mais en public on se tenait correctement comme une petite fille avec son grand père.
Ils sont deux à être imprudents.
Attablés à la terrasse d’un café, j’entends une voix s’exclamer !
Jean ! Ça alors ! Tu es revenu en France ?
Je me retourne vivement et c’est bien la voix de maman que j’ai reconnue ! Maman connaît Paul et elle l’appelle Jean !
Maman, tout aussi étonnée que moi de me trouver là semble stupéfaite et fini par articuler.
Tu… connais… ton… ton grand-père !
Mon grand-père ! Merde ! Ce n’est pas possible ! Paul serait mon grand-père !
Je ne sais quoi dire et Paul, ou plutôt Jean, répond à ma place.
Bonjours Martine. Je viens de rencontrer ta fille. Je l’ai tout de suite reconnue car c’est ton portrait craché quand tu avais son âge !
Ma mère me regarde, regarde son ex beau-père et me demande.
Flora… tu peux me laisser seul avec ton grand-père…
Mais… maman…
Flora ! Ce n’est pas le moment ! File à la maison, je te retrouve dans pas longtemps.
Elle doit encore être dans ses mauvais jours ! Encore sous le choc d’apprendre que mon amant est en fait mon grand-père, je n’insiste pas et je file sous le regard goguenard de Paul. Putain quel salaud !
Quand maman rentre à la maison, je lui saute dessus immédiatement.
Alors c’est vraiment mon grand-père ? Le banni de la famille. Tu peux m’expliquer ?
Oui, Flora… je vais tout de dire… c’est nécessaire… surtout quand je t’ai vu avec lui. Ton grand père est un coureur de jupon, un séducteur, c’est même un homme pervers.
Ça je viens de m’en rendre compte ! Paul m’a séduite en me cachant qu’il était mon grand-père ! Et je suis devenue une sacrée salope tellement il me fait jouir !
Pourquoi tu dis ça, maman ?
Parce que c’est la vérité. Tu es maintenant en âge de la connaître.
Et avec quelques difficultés maman me raconte ce qui s’est passé entre elle et son beau-père.
Pour faire court, Jean, son futur beau-père l’a séduite alors qu’elle était fiancée avec son fils. Elle n’aurait pas résisté à son charme et a son savoir-faire en amour. Elle s’est mariée mais leurs relations sexuelles ont continué plusieurs années après son mariage, jusqu’un après-midi où mon père, rentrant un jour plutôt d’un voyage d’affaires, a surpris son père en pleine action avec sa femme, ma mère.
Papa a foutu son père dehors avec fracas et Paul… pardon, Jean, est parti travailler au Canada et mes parents non plus eus de relations ni nouvelles de lui. Ma mère m’a interdit de le revoir en me disant qu’il serait bien capable d’essayer de coucher avec moi qui lui ressemble tellement.
Le soir j’ai reçu un laconique SMS de… Jean.
Il faut qu’on parle. Je t’aime.
Le lendemain matin je n’ai pas arrêté de tourner en rond ne sachant quelle décision prendre. Paul… et merde ! Jean me manque. Comme une droguée qui ne pense qu’à sa drogue quotidienne, j’ai besoin de sa queue, j’ai envie de la prendre dans ma main, dans ma bouche, dans mon sexe.
Mais nous sommes en plein inceste ! Je me fais baiser par mon grand-père ! Et le pire c’est que je ne lui en veux pas. Je suis complètement dépravée !
L’après-midi je vais chez lui. Jean… mon grand-père est dans le salon, debout, le sourire aux lèvres, pas gêné du tout. Je me précipite sur lui.
Salaud ! Comment as-tu pu me faire ça ! T’es vraiment un sale pervers !
Jean saisit mes deux mains pour m’empêcher de continuer de frapper sa poitrine.
Qu’est-ce que j’ai fait ?
J’essaye d’échapper à son emprise mais il me plaque contre lui en saisissant mes deux poignets avec sa main droite
Putain ! Paul ! Et merde ! Comment je dois t’appeler ! Papy ! Tu as baisé ta petite fille ! Tu m’as même dépucelée !
Qu’est-ce que ça change ! Nous sommes majeurs et je ne t’ai pas baisé ! Je t’ai fait l’amour mon bébé.
Arrête ! Ne m’appelle pas ton bébé ! Je suis ta petite fille ! Et je me conduis comme une salope avec toi !
Oui Flora, tu es ma salope. Comme ta mère à l’époque. Vous vous ressemblez énormément et ta mère aimait autant le sexe que toi.
Mes seins sont pressés contre sa poitrine et je sens son sexe contre mon pubis et ma colère tombe instantanément. J’ai envie de lui. Non ce n’est pas possible !
Je le repousse, je me laisse tomber sur le canapé et il s’assoit juste à côté de moi.
Ma chérie, ta mère était aussi belle que toi, aussi désirable et je n’ai pas pu m’empêcher de la séduire. Elle n’a pas beaucoup résisté et contrairement à toi elle n’était plus vierge. Mon fils s’en était déjà occupé.
Dans ma tête j’imagine ma mère dans les bras de son futur beau-père et comme elle ne m’a donné aucun détail sur le début de leur relation, je demande à Jean.
Ça a commencé comment ?
Flora… t’es sûre de vouloir savoir ?
Oui ! Tu viens de dire que maman est… enfin, était aussi salope que moi. Alors raconte-moi comment ça s’est passé. Tu t’en rappelles ?
Bien sûr ! Comment pourrais-je oublier la première fellation de ta mère.
Ta mère était venue chez moi pour voir mon fils mais celui-ci n’était pas là car il avait un entraînement de foot.
Elle était habillée vraiment sexy pour plaire à son fiancé et je n’ai pas pu m’empêcher de scruter son jeune corps et j’ai laissé échapper un petit sifflement admiratif avant de dire.
Mon fils a bien de la chance ! Tu es très belle et sexy, Martine.
Elle a rougi légèrement avant de me dire.
Vil flatteur ! Vous le pensez vraiment ?
Bien sûr, jeune fille ! Si je peux me permettre j’ajouterai… désirable… envoutante…
Elle s’est approchée de moi, toujours avec du rose aux joues et à ma grande surprise, ses doigts jouent avec l’ouverture de son chemisier et tout à coup, j’ai une vue parfaite de son sein gauche, y compris un surprenant téton gonflé et tout dur.
Même avec des seins aussi petits ?
Petits… petits… pas tant que ça ! De belles pommes qui doivent être bonnes à croquer.
Ses doigts glissent sous son chemisier et j’ai sous mes yeux deux adorables seins avec des aréoles peu visibles mais pourvus d’assez gros et longs tétons qu’on a envie immédiatement de sucer.
Vraiment ?
Demande-t-elle alors que ses yeux se posent enfin sur les miens.
Et comment ! Je me retiens pour ne pas me jeter sur toi !
Je sens ma bite durcir lentement et j’attends la réaction de la promise de mon fils qui parait délurée et en chaleur. Ses yeux se fixent sur ma virilité et elle me dit.
Oh, mais je pense que vous savez vous comporter comme un gentleman… beau… papa…
Bien sûr Martine, mais c’est vraiment dur pour un homme de résister à une superbe jeune fille qui vous aguiche…
Ta mère avait un sourire vraiment coquin et lorsqu’elle se met à frôler ses tétons du bout de ses doigts, ma queue se dresse comme un piquet de tente sous le tissu de mon short. Ses yeux se fixent dessus et son sourire coquin se transforme eu rictus gourmand alors qu’elle regarde mon entrejambe.
Pourquoi résister… On ne dira rien à personne. On peut jouer à quelques jeux coquins que ma copine me raconte. Elle m’a avoué qu’elle adorait batifoler avec vous.
Je découvre que son amie Laurence ne sait pas tenir sa langue mais bon… si elle a envie de jouer je veux bien être son partenaire.
J’entraîne ta mère dans ma chambre à l’étage pour être plus tranquille et je m’assoie sur le bord du lit.
Elle s’approche de moi et une de ses mains se pose sur ma cuisse juste en dessous de mon short. Ma queue se contracte et cette jolie coquine le voit bien.
Ses yeux ne quittent plus mon érection et ses doigts glissent légèrement plus haut sur ma jambe pour passer sous mon short et frôler mes couilles.
Ooohh, mais je pense avoir trouvé quelque chose d’intéressant.
Martine ! Je n’aurais jamais pensé que tu serais capable de faire ça !
Lorsque ses doigts frottent brièvement mes couilles puis glissent plus haut pour s’enrouler aussi loin que possible autour de ma queue je gémis.
Ooohh, Martine…
Waouh ! C’est vachement agréable !
Sa main gauche ressort de mon short pour le baisser et avec sa main droite elle commence à faire glisser ses doigts de haut en bas sur ma bite complètement dure.
Et elle est plus belle que celle de ton fils.
Sa main gauche serre maintenant la base de ma queue et sa main droite la branle doucement et elle reste bouche bée devant mon entrejambe. Presque rêveusement, elle approche sa tête et prend dans sa bouche la totalité de mon gland pour faire tourner sa langue autour. Elle ressort mon sexe et s’exclame.
Ta bite est incroyable dans ma main ! Elle est grosse, toute dure, chaude et si douce !
Avant que je réagisse mon boxer tombe sur mes chevilles et elle caresse mon sexe avec ses deux mains juste devant ses yeux. Elle reprend mon gland dans sa bouche, le suce comme une pomme d’amour, le ressort et murmure.
Génial ! Il est gros et bon.
Une goutte de pré-sperme perle au bout et en me souriant elle recueille avec son pouce cette perle brillante pour la renifler avant de poser son pouce sur sa langue.
Huuuummm, ça sent bon, je pense que je vais aimer ça,
Elle continue de me branler doucement et de lécher le bout de ma bite et une nouvelle goutte sort de mon méat.
Ta mère essuie de nouveau le bout de mon gland avec son pouce et le pose encore une fois sur sa langue. Elle en savoure le goût puis elle dit.
J’adore ! C’est peut-être juste un peu salé… pouvez-vous m’en donner plus ? Ce n’est pas mon truc préféré mais je sens que je vais adorer ton sperme.
Elle suce mon sexe pendant plusieurs secondes avant de le retirer de sa bouche trempée de salive, de frotter ses lèvres avec et de le reprendre en bouche pour le caresser de sa langue pendant qu’il s’enfonce dans sa bouche.
J’ai gémi assez fortement en disant.
Mon Dieu… Martine, t’es douée !
C’est parce que j’adore la façon la façon dont ta bite palpite dans ma bouche quand ma langue tourne autour d’elle ! Ça m’excite drôlement de faire ça a mon futur beau-père ! Euh, quelle taille à ta bite ? Elle est beaucoup plus grosse et longue dans ma main que celle de ton fils.
Merci pour le compliment… ooooohhh… elle fait presque 18 centimètres de long. Est-ce un problème ?
Non, je ne pense pas, Je suis heureuse d’en avoir une beaucoup plus grosse que la moyenne !
Ses yeux se posent sur les miens alors qu’elle avance sa bouche jusqu’à ce que mon gland bute sur le fond de sa gorge. Lorsqu’elle s’éloigne lentement, sa langue caresse mon sexe. Aspiré dans sa bouche, mon gland refait le chemin inverse avec sa main crispée sur la base de mon pénis. Elle relâche ma bite et pousse sa tête en avant pour enfoncer mon gland dans sa gorge avec ses yeux exorbités.
Ta mère a presque avalé toute ma bite. Elle la ressort de sa bouche toute mouillée par sa salive et me dit.
Ooohh la vache ! Elle est grosse et longue ! J’espère bien pouvoir la prendre entièrement !
Je gémis avec elle lorsqu’elle fait tourner sa langue autour de mon sexe pendant plusieurs secondes. Puis elle s’arrête et avale de nouveau mon sexe pour essayer de le prendre entièrement dans sa bouche.
Sa tête avance lentement et cette fois, elle ne s’arrête que lorsque son nez soit plaqué contre mes poils pubiens. Je n’ai pas pu m’empêcher de crier.
Waouh ! Tu la bouffe entièrement ! Putain de salope !
Car en même temps sa langue s’occupait de ma bite alors que sa gorge massait le bout !
Elle est restée collée sur mon pubis une minute avant de retirer sa bouche avec un grand sourire et de s’exclamer
J’ai réussi ! Putain, je t’ai eu tout au fond de ma gorge.
C’est à ce moment-là que nous avons entendu.
Papa ! Je suis rentré. Tu es là ?
Tétanisé je réponds
Oui, je suis en haut. Je descends.
Pas la peine papa, j’ai une bricole à faire au garage.
OK ! Fiston.
Ouf ! Pendant que je parlais, ta mère n’a pas lâché ma queue et elle la reprend en bouche pour bien la sucer, de haut en bas et retour.
Sa langue s’agite follement sur toute ma bite qu’elle a en bouche et soudain elle serre très fort sa base en retirant ses lèvres pour me dire.
Je sens que tu es prêt à jouir. Je veux que tu jouisses dans ma bouche, beau-papa !
Ooooohhh, mon Dieu Martine, tu m’excite tellement !
Je la regardai dans les yeux alors que je pelotais ses petits seins tous ronds.
Oui je vais jouir ! Suce-moi bien et je vais vider mes couilles dans ta bouche de salope !
Ta mère m’a repris en gorge profonde avant de me branler rapidement, sans retirer mon gland d’entre ses lèvres, et une minute plus tard, je gémissais.
Ooooohhh, Martine ! Attention…
Juste avant que mon premier puissant jet de sperme ne s’échappe de ma bite pour frapper sa langue tendue et le fond de sa gorge.
Ma main serrait assez fermement son téton gauche pendant que j’éjaculais dans sa bouche et sur son visage mais ta mère n’y prêta pas attention quand je tirais dessus, toute occupée à me branler frénétiquement pour drainer mes couilles.
Même après que mes couilles soient vides elle a continué de cajoler mon sexe pour lécher les gouttes de sperme qui perlaient encore sur mon gland et nettoyer ma bite. Puis elle m’a dit en soupirant.
Putain, Jean, j’ai adoré ça quand tu as giclé dans ma bouche ! Tu as vraiment bon goût !
Elle embrasse rapidement mon gland puis elle ajoute.
Va surveiller mon futur mari. Je vais m’éclipser discrètement. On aura l’occasion de mieux se connaître, hein… mon Beau-papa d’amour…
****************
Hou là-la ! Je vois que tu t’en rappelles très bien ! En t’écoutant j’imagine très bien ma mère avec ta pine dans sa bouche. Mais tu n’arranges pas l’histoire à ta façon ? J’imagine pas du tout maman comme ça ! Te connaissant bien, c’est plutôt toi qui as dû lui sauter dessus.
Pas du tout mon ange. Crois-moi tu as de qui tenir ! Ta mère était chaude comme de la braise. Il ne fallait pas lui en promettre, fallait assurer ! Et comme ton père n’était pas très porté sur la chose il fallait bien que je sauve l’honneur de la famille.
T’as pas du beaucoup te forcer !
T’as raison, on a passé de sacrés bons moments avec ta mère. Jusqu’au jour où mon couillon de fils est rentré sans prévenir. T’as mère a dû avoir pas mal d’amants après son divorce.
Je n’en sais rien. Il n’y a pas si longtemps que je m’intéresse au sexe et c’est toi qui m’as fait découvrir les jouissances merveilleuses qu’on peut avoir avec un amant doué pour la baise. Tout ce que je peux dire c’est qu’elle sortait assez souvent avec ses amies, mais elle a toujours été très discrète sur ce qu’elle faisait avec elles.
Nous aussi il faut qu’on fasse attention. Je ne sais vraiment pas comment ta mère réagirait si elle apprenait que sa fille couche avec son grand-père paternel.
Oui mon papy d’amour, je vais faire très attention. Mais j’ai quand même un problème…
Quoi ma petite chérie ?
Je soulève ma robe et j’écarte mes cuisses pour lui montrer la belle tache d’humidité sur mon slip.
Ton récit avec maman m’a bouleversé et j’ai mouillé mon slip. Tu crois que tu peux faire qu’elle que chose…