Défonce-moi ! (fiction écrite le 08.08.2012).

Samedi dernier jai emmené ma copine du moment dans les quartier chauds de Paris pour bien nous exciter avant de revenir dans ma chambre sous les toits et nous y offrir une belle partie de galipettes.

Nous nous sommes fixés comme lieu de rendez-vous le carrefour à langle des rues de Saint-Denis et de la Grande Truanderie car en prévision de se son anniversaire (et aussi pour me faire plaisir), je veux lui offrir une tenue coquine et un beau jouet.

Agés de 24 ans lun et lautre, nous sommes quelque peu libertins et lorsque nous baisons, nous nous racontons tout un tas de fantasmes, tous plus chauds les uns que les autres, nous imaginant toutes sortes de scénarios plus ou moins osés. Mélissa ne savait rien de mes intentions mais lorsquelle me rejoint avec près dune demi-heure de retard (comme dhabitude), je maperçois quelle est déjà bien chaude : jupette en jean à ras la touffe, cuissardes, teeshirt largement échancré au travers duquel pointent les tétons de son opulente poitrine, maquillage des yeux et de la bouche très appuyé et ses longs cheveux noir noués en queue de cheval. Elle ressemble à une des filles qui racolent à proximité ! Bref une véritable allure de pute !

Elle ne sexcuse même pas de son retard tant cest habituel chez elle. Nous entrons dans un des sex-shops qui sont nombreux dans cette rue. Je connais bien les lieux car je viens de temps à autre mater une des filles qui sexhibent dans les cabines et je sais que nous trouverons ce que je cherche pour Mélissa.

Une vendeuse assez court vêtue elle aussi nous présente une série de tenues que Mélissa part essayer dans une des cabines situées à proximité du rayon des vêtements. Bien évidemment je laccompagne pour laider à choisir. Son choix se porte sur un ensemble string et soutif fait uniquement de lanières étroites qui mettent en relief ses formes un peu généreuses. Mais ce nest pas trop ce que je souhaitais. Avec la complicité de la vendeuse (que jai baisée une fois avant de rencontrer Mélissa), je fais essayer à ma copine un serre-taille qui, sévasant juste au dessus des hanches, monte jusquà la poitrine quelle présente plus quelle ne la soutient dans des demis bonnets.

Le laçage dorsal permet de serrer plus ou moins la taille pour la rendre plus étroite alors que par effet inverse, les hanches et la poitrine paraissent plus volumineuses. Cest un peu un carcan de torture mais jaime et Mélissa aussi. Je lui dis que cest son cadeau danniversaire quelle peut garder sur elle pour le moment. Elle peut y ajouter un beau gode vibrant pour se donner du plaisir quand elle ne peut pas me rejoindre.

Lorsquelle sort de la cabine après avoir remis sa jupette, leffet est formidable et bon nombre de mecs se retournent pour ladmirer. Certains manifestent aussi par des sifflements. Cest vrai que dans cette tenue, elle est canon mais elle a un look de salope

Je lui ordonne de déambuler dans le magasin pour bien se montrer à tous les mecs (et quelques filles) qui sont là. Quand elle sarrête devant le rayon des DVD, elle se baisse pour en prendre un sur une étagère basse et regarder le synopsis. Quelle nest pas ma stupeur quand je découvre que Mélissa na pas remis son string ! Elle a le cul nu ! Décidément ce soir, elle a décidé de la jouer « SALOPE » et çà me plait au point que jai la bite dressée dans mon boxer à men faire mal tant jai envie de la sauter comme une chienne dans un coin du magasin.

Nous lisons ensemble le résumé du film, je suis collé dans son dos et je regarde par-dessus son épaule, me frottant contre elle pour lui faire sentir combien je bande et cela augmente encore quand je découvre que je peux voir ses tétons sortis dans le soutif et que Mélissa répond en tortillant des fesses contre mon érection. Je lui dis à loreille :

— Salope ! Tu me fais bander avec ton cul nu ! Viens à létage, je vais te sauter comme une chienne en chaleur que tu es !

— Oh oui ! Je coule tellement jen ai envie !

Je prends Mélissa par le coude et je la guide vers les escaliers qui conduisent aux « love room », ces quelques petites chambres où des couples en chaleur comme nous peuvent venir sébattre pour une dizaine deuro de péage. Je sais que certaines sont pourvues de miroirs sans tain pour que des voyeurs se régalent à loisir.

En moins dune minute, nous sommes à genoux sur le lit. Mélissa, à ma demande ne sest pas déshabillée alors que je suis complètement nu ! Elle plonge sur ma bite bandée comme un arc et lengloutit jusquau fond de sa gorge pour lenduire de salive et me sucer comme elle sait si bien le faire. Mais je freine ses ardeurs car je ne veux pas inonder sa bouche ! Cest son cul que je veux !

Comme je fais face à la porte, je la vois sentrouvrir et un black apparait dans lentrebâillement. Dun geste il me fait comprendre quil apprécie notre baise et je lui fais signe de sapprocher en silence. Il ouvre son pantalon et sort un vit déjà bandé comme je nen ai vu que chez les hardeurs de films X. Un diamètre qui approche celui dune canette de boisson et au moins 25cm de longueur.

Doucement et silencieusement, il sapproche et relève la jupette de Mélissa qui, passée la surprise accepte de se laisser caresser les fesses et la fente. Elle redouble dardeur dans sa fellation au point que je marrache de sa bouche pour ne pas gicler Le black prend ma place et Mélissa (qui ne passe pas pour avoir une petite bouche) a bien du mal à le faire entrer. Elle se contente de sucer le gland et de lécher la hampe qui est de plus en plus dure quand soudain ma copine sécrie en lui tendant un préservatif :

— Défonce-moi salaud, tu ne vas pas te contenter de jouer les voyeurs !

Je nai rien contre, ce ne serait pas la première fois que cette garce se ferait sauter devant moi ! Le black revient derrière elle qui est toujours à genoux. Il la fait mettre en levrette pendant quil se couvre, repasse une main dans la fente et dun seul mouvement il embroche Mélissa sur son pieu, faisant claquer son pubis contre les fesses de ma copine.

Cette dernière semble brusquement manquer dair et en ouvrant grand la bouche elle dit :

— Waouh quelle bite ! Vas-y défonce moi, je suis ta pute blanche !

Et là, le black avec qui nous navons pas échangé plus de dix mots, entreprend de baiser Mélissa à longs traits rapides, sortant de la chatte à chaque fois pour mieux y rentrer ensuite en puissance. Les seins de ma copine sont sortis du soutif sous les coups de boutoir que son baiseur lui met à chaque fois quil arrive contre ses fesses. Ce claquement est excitant !

Mélissa part une première fois, beuglant sa jouissance haut et fort et le black, sans sortir de la chatte accueillante, retourne Mélissa sur le dos, lui remonte les jambes en appui sur ses épaules et reprendre la copulation sans laisser à ma copine le temps de dire « OUF ! »

Dun geste elle me fait comprendre quelle veut encore me sucer. Je ne me fais pas prier et je mengage une fois encore dans cette bouche vorace qui a vu passer plus dune bite.

Quand Mélissa jouit pour la seconde fois, le black se lâche au fond du préservatif dans un râle de plaisir alors que moi, je me vide dans la bouche de Mélissa qui avale tout ce que je lui ai servi :

— Oulla ! Quest-ce quil ma mis !

Cest vrai que quand il sort et retire le préservatif, nous ne pouvons que constater lampleur de son éjaculat : au moins la valeur dun apéritif servi dans un bistrot !

— Merci les potes ! Cétait génial ! Quelle baiseuse ta meuf !

Nous nous essuyons avec les serviettes en papier à notre disposition puis nous nous séparons. Je passe à la caisse pour régler nos achats et, au lieu du ciné prévu, nous rentrons dans mon 6ème étage sous les toits où nous baisons encore une fois : A mon tour de gicler dans la chatte de Mélissa et là, pas de capote, direct au fond !

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