Je mappelle Sandra, jai 18 ans et vit seule avec ma mère qui à 36 ans et sappelle Sylvie. Nous vivons à Paris 15ème arrondissement dans un appartement, ni trop petit ni trop grand, suffisant pour nous deux.

Maman ma eue alors quelle faisait ses études en classe terminale, ce qui ne la pas empêché de passer son Bac et dêtre reçue avec mention (elle était enceinte de 2 mois). Elle a laissé passer une année avant de reprendre ses études en Fac de Droit (le temps daccoucher) mes grand parents mont élevée et dès que maman à trouver du travail dans une étude davocats et un appartement, elle ma prise avec elle, quoique mes grands parents soccupaient de moi quand maman travaillait.

Je suis maintenant en terminale, je passe mon Bac en fin dannée, je ne suis pas aussi bonne élève que maman, jai un petit copain avec qui je sors le soir et quelque fois je passe la nuit avec lui. Maman de son coté sort souvent, je pense quelle aussi a un ami, mais nous ne parlons jamais de ces choses.

Maman est une très belle femme, je pense quelle doit plaire beaucoup, elle a de très belles jambes, une jolie poitrine, du 95B et une très jolie paire de fesses. Je fais du 85B et je me trouve pas mal non plus.

Samedi dernier, maman me propose de faire des courses aux Galeries Lafayette et comme je nai rien à faire laprès midi en attendant de sortir le soir, jaccepte son invitation. Malgré que maman possède une voiture, dans Paris nous prenons le métro, Nous montons à la station « Volontaires » et devons descendre à « Saint Lazare », cest direct par la ligne 12.

Nos courses faites, en fin daprès midi, nous reprenons le métro et pour un samedi, il est bondé. Arrive la station « Concorde » et là, nous sommes tassées lune contre lautre, et je sens les seins de ma mère contre les miens, nos bouches sont à quelques centimètres et il me prend une subite envie de lembrasser, je sens ses seins se durcir contre les miens et je sens ma chatte shumidifier. Je résiste le plus possible, mais quelques station plus tard, vers « Rue du Bac » jembrasse ma mère sur la bouche, celle-ci, ne refuse pas mon baiser et malgré la rapidité de celui-ci, je sens ma mère se serrer plus fort contre moi. A « Montparnasse », beaucoup de gens descendent et nous avons un peu plus de place, nos corps se séparent.

Arrive « Volontaires » où nous devons descendre et cest bras dessus, bras dessous que nous regagnons notre appartement.

Une fois à la maison, maman ne fait pas allusion à ce qui cest passé, et me dit seulement, peux-tu annuler ta soirée, jannule la mienne, afin que nous puissions la passer ensemble. Je téléphone à mon copain pour annuler notre soirée en prétextant une migraine, maman de son coté annule sa soirée.

Maman me dit: « ce soir nous allons passer une soirée entre nous, je vais te préparer un bon dîner ».

Nous prenons, lapéritif dans le salon, et maman se serre près de moi, jai envie de lembrasser comme dans le métro, mais je nose pas. Le dîner se passe bien et maman est très attentionnée, nous parlons de tout et de rien, sans faire allusion, ni à cet après-midi, ni à notre vie privée. En fin de repas, maman met un disque de slow et minvite à danser.

Maman, tout en dansant, se serre contre moi et à nouveau, je sens sa poitrine devenir dure, mes seins me font mal dans mon soutien-gorge, ma culotte est trempée et maman membrasse sur la bouche en faisant pénétrer sa langue à la recherche de la mienne. Comme jen avais aussi envie, je réponds à son baiser et nos langues se mélangèrent.

Maman mentraîne vers le canapé et membrasse à nouveau et je sens sa main caresser mes seins et comme attirée par sa poitrine, je caresse moi aussi les siens.

Maman ne demande, si avec mon copain, nous faisons lamour, et devant ma réponse affirmative, elle me dit: « Je nais fait lamour quavec ton père » et depuis je le fais quavec des femmes, je fréquente une boite homosexuelle à Montparnasse et jai quelques copines, je ty emmènerais un soir, mais ce soir tu es à moi seule.

Me prenant par la main, maman mentraîne vers sa chambre et je la suis sans opposer de résistance, jen ai moi aussi envie.

Maman me pousse sur le lit, et tout en membrassant, me retire mon pull et dégrafe mon soutien-gorge, puis sa bouche quitte la mienne pour membrasser la poitrine et sa main vient caresser mon entrejambe, mon jean est vite retiré et sa main me caresse au travers ma petite culotte toute trempée, je déboutonne son chemisier et embrasse sa poitrine sur son soutien-gorge et maman me demande de le retirer et très vite, ma bouche tête sa superbe poitrine, maman a glissé sa main dans ma culotte et ses doigts caresse mon petit bouton qui est sorti de mes lèvres tout seul et sa langue vient me le lécher. Nous nous retrouvons toutes les deux nues et ma langue entre dans sa chatte et je reçois un jet de cyprine en pleine figure. Sous leffet de sa langue, je ne tarde pas à jouir comme jamais.

Maman sort dun tiroir de la table de chevet un gros gode et me dis: « Ce soir tu vas faire lamour comme tu ne la jamais fait » et doucement elle entre lengin en moi. Cette bitte en plastique dune taille honorable me fit un bien fou et maman accéléra le mouvement de va et vient, il ne me fallut pas plus dune minute pour jouir et maman me demanda de lui faire lamour de la même façon, et sans hésiter, je pris le gode à pleine main et lui enfonça dans sa chatte, quelques instants plus tard, elle retira le gode pour laisser échapper un jet de cyprine qui inonda mon visage, et avec la langue, je la léchais pour mabreuver de son jus, puis elle sorti du tiroir, un tube de gel et me demanda de lui lubrifier le petit trou afin de pouvoir entrer le gode dans son anus. Je répondis à sa demande et introduisis lengin en elle en allant doucement,, maman me demanda si mon copain me prenait aussi par là et devant ma réponse négative, me dit: « Ce soir tu vas le faire avec moi et je suis si heureuse davoir au moins un pucelage ».

Doucement, après avoir mis sa langue et passé du gel dans mon petit trou, elle enfonça doucement le gode en moi et cétait tellement bon, après avoir joui, je demandais à ma mère de recommencer. Après nous être longtemps embrassées, lune contre lautre, nous nous endormons dun sommeil réparateur.

Le lendemain, nous nous réveillons dans les bras lune de lautre, et maman me demande si jai bien dormi, et je lui réponds, « Oui et vivement que lon recommence ».

Maman se lève pour préparer le petit déjeuner et le dimanche se passe normalement et chacune nous reprenons nos activités habituelles; le soir venu, maman minvita à la rejoindre dans son lit et me dis: « Demain soir, nous irons dans une boutique spécialisée, acheter un gode ceinture et un peu de lingerie fine pour sortir ensemble et te présenter à mes amies ».

Lundi soir vers 18 heures, nous nous donnons rendez-vous porte de Vanves, où boulevard Lefebvre, il y a un des plus grand Sex-shop de Paris, Maman mentraîne vers la boutique de lingerie, pour moi elle choisi porte-jarretelles, bas, strings, bustiers très sexy et à son goût, puis memmenant plus dans le magasin, elle choisi un gode ceinture dune dimension impressionnante, bien plus gros que tout ce que je connais, plus nous faisons un rapide tour vers les dvd sexuels et en sattardant un peu sur tous les films « Lesbiens ». Nous reprenons le bus 95 qui nous dépose à « Institut Pasteur », à notre porte.

Dès rentré chez nous, maman me demande dessayer mes nouveaux dessous et une fois habillée, elle membrasse en me disant: « Tu es encore plus belle, et ce soir tu viens avec moi en boite et je tassure que tu vas jouir comme jamais un homme te le fera, mais avant, tu vas gouter au super gode que nous venons dacheter ».

Je mouillais déjà, rien que de penser à la grosseur du gode, je me mettais à quatre pattes sur le lit, maman mit un peu de gel dans ma chatte et elle sétait attachée le gode à sa taille, me lintroduisit sans ménagement, puis après quelques va et vient de cet énorme sexe, jenvoyais un jet de cyprine comme maman le fait.

Elle me demanda dattacher le gode à ma taille pour la prendre, et comme elle me présentait sa chatte, elle me dit : « Vas doucement, jen ai jamais pris de si gros ».

Elle a joui comme moi quelques minutes avant, et me demanda de mhabiller avec mes nouveaux dessous que ce soir on sortait ensemble. Je savais que jallais jouir toute la nuit avec ses amies.

Nous arrivons en boite, ou nous sommes reçues par des hôtesses très sympa, et visiblement, elles connaissent bien ma mère, puisquelles lembrassent sur la bouche, maman mentraîne vers une petite table en fond de salle, en me disant: « Là nous sommes tranquilles. ». Elle commande deux coupes de Champagne et nous trinquons en nous faisant un petit baiser.

Un « couple » vient nous rejoindre et embrasse maman sur la bouche, elles se connaissent bien, maman me présente en disant que je suis sa fille et me présente ses amies, Clothilde, une femme dune cinquantaine dannées, très bien habillée, encore très belle femme, et Sarah, une jeune fille dune vingtaine dannées, superbement belle.

Sarah sassoie à coté de maman alors que Clothilde sassoie à coté de moi, visiblement, elles ont envie de nous draguer. Maman me dit: « Ne tinquiète pas, nous nous connaissons très bien et souvent nous finissons la nuit ensemble. »

Sarah flirte avec maman et Clothilde pose sa maman sur mes cuisses, je me laisse faire et présente ma bouche à ses lèvres pour recevoir un premier baiser.

Clothilde minvite à danser, et nous laissons maman et Sarah flirter, Clothilde ne perd pas son temps et dès lune dans les bras de lautre, je sens sa main sur ma poitrine et je réponds en lui caressant le cou et la serrant contre moi. Sa main descend entre mes cuisses et découvre mon string tout mouillé. Elle écarte celui-ci et introduit son doigt dans ma chatte. Nous dansons une bonne partie de la soirée alors que maman danse et flirte avec Sarah.

Nous buvons quelques coupes de Champagne, et Clothilde nous proposent de venir finir la soirée chez elle.

Ma mère me prit par la main et toutes les quatre, nous quittons la boite pour nous retrouver chez Clothilde, quelques rues plus loin.

Clothilde nous installe dans son salon et nous sert une coupe de Champagne, et sans attendre, Sarah flirte avec maman en lui caressant la poitrine puis passe sa main entre ses cuisses, Clothilde commence à me déshabiller et très vite, nous nous retrouvons toutes nues sur le lit, je sentais la langue de Clothilde parcourir mon corps et sa main caressa mon clitoris en écartant mes petites lèvres et je sentais sa langue sucer mon bouton, jécartais bien les jambes pour lui laisser toute la place en les repliant et Clothilde sallongeât sur moi pour membrasser et caresser mon corps avec le seins. Malgré ses 50 ans, ses seins étaient très fermes et sentant son corps contre le mien, je commençais à jouir par ses simples caresses.

Maman avait mis un gode ceinture de plus petite taille que celui de la maison et faisait lamour à Sarah qui jouissait à haute voix. Clothilde ne dit: « Ton tour va venir ». Sarah ayant bien joui, maman vient vers moi toujours affublé de cet énorme gode et dun seul coup me fit lamour comme elle lavait fait à Sarah. Puis Clothilde caressa maman et Sarah vient vers moi pour me faire jouir à nouveau, mais je ne la laissai pas faire et cest moi qui prit linitiative de la faire jouir, jentrais ma langue dans son petit trou pour bien la mouiller et Clothilde avait attaché le gode à sa taille et pénétra Sarah dun seul coup par le petit trou. La nuit se termina dans les bras lune de lautre et au petit matin après cêtre fait de grosses bises, nous rejoignons notre appartement.

Cette nuit en déclencha beaucoup dautres, mais cest une autre histoire.

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