Alice marchait dun pas assuré, indifférente aux regards des passants. Elle savait quelle était belle, bien sûr, mais là, elle sen fichait. Elle était perdue dans ses pensées, indifférente à son environnement.

Elle venait davoir 18 ans, et son bac en poche, devait aller en fac de lettres fin septembre. Blonde aux cheveux mi- longs un peu rebelles, yeux verts, quelques taches de rousseur jusque sur son nez joliment retroussé, elle avait un corps de rêve bien entretenu pas les sports quelle pratiquait assidûment, danse et natation ; dune taille moyenne, 1,70 m pour 54 kg, elle avait de beaux seins bien fermes qui remplissaient bien ses bonnets C. Là, ils roulaient au rythme de ses pas, libres de toute entrave sous le fin tissu de sa robe. La chaleur presque étouffante qui régnait sur Paris en cette fin juillet faisait regretter de ne pouvoir partir sur une plage.

Alice venait de se faire épiler intégralement pour les beaux yeux de son amant Jonathan, et ne portait plus de petite culotte sous sa courte robe dété à bretelles. En fait, elle était nue dessous, et ça la perturbait un peu. Mais pas autant que les SMS quelle venait de recevoir, de source inconnue.

« Alice, si tu ne veux pas passer à côté de ta vie, il te faut traverser le miroir. Jonathan te trompe avec ta meilleure amie, regarde la photo jointe.

Les larmes aux yeux, Alice avait vu Jonathan embrasser Mélissa, sa copine denfance. Son cur sétait brisé devant cette double trahison.

« Alice, tu as jusquà 16 heures pile, dans 28 minutes, pour aller au 17 rue du Paradis ; il te faut dix minutes à pieds, tu franchiras la porte et suivras les indications. Cest ta vie qui commence aujourdhui, ta VRAIE vie.

Alice essaya denvoyer un message en réponse pour avoir des explications, message non délivré. Ses pas lamenèrent rue du Paradis, elle sarrêta en face de la porte du 17, une simple porte en bois peinte en vert.

Elle entra pour trouver une femme blonde cheveux longs, sur un fauteuil, un verre de vin à la main. La femme très rapidement réagit lorsqu’elle vît Alice.

« Te voilà enfin. Je commençais à me faire du souci.

Vous êtes qui ?

Stop plus de question. Tu en seras plus en temps et en heure sucre d’orge. »

Alice recula vers la porte.

« Désolé je t’ai fait peur je ne voulais pas. Regardes sucre d’orge. Elle se plaça en face d’Alice le verre toujours à la main. Je suis Amanda Tate. Une vieille connaissance de ta famille, je t’observe depuis quelque année à te laisser traiter comme une merde par les mecs. Alors que tu pourrais prendre tant de plaisir avec eux. Je te propose de t’ouvrir à ta vraie vie, celle que devrait mener toute femme.

Vous entendez quoi ?

Le sexe sous toutes ces formes. Tribadisme, gang bang, inversé, bukkake, avec dix mecs, cent, mille ! Bien sûr je ne ferais que tamener vers ce genre de vie. »

Alice était surprise de la proposition d’Amanda, cette femme d’une quarantaine d’années, assez bien conservée, une belle poitrine, un fessier bien ferme. Que pouvait-elle avoir à faire de la vie sexuelle d’une gamine comme elle. Alice se posait mille questions en même temps.

« Bon. Pendant quatorze jours tu vas rester avec moi ici. J’ai déjà prévenu ta mère, Anne elle avait l’air rayonnante, je lui aie dit que c’était pour un stage rémunéré bien évidement. Donc qu’en dis-tu ?

Heu Je

Allez. Tu t’es déjà éclaté dans ta vie ? Viens avec moi et tu verras.

D’accord.

Donne-moi ton portable. Je ne veux pas que tu appelles cet idiot. »

Elle lui donna le portable. Amanda le mit dans un coffre fermé à clef. Elle prit un sac à main en cuir. Elle indiqua la porte à Alice.

« On va faire les boutiques. Il faut te trouver de nouvelles tenues. »

Amanda lui avais offert des tenues qui mettais ses formes en valeur. Une robe moulante, un tailleur, deux pairs descarpin noir et une paire de ballerine blanche, ainsi que quelques accessoires. Quand elles eurent finis les emplettes, l’horloge indiquait 18 heures. Après avoir ramené les sacs à la maison, Amanda emmena Alice mangé dans un restaurant assez chic. Alice se demandait toujours ce qu’Amanda voulait lui faire faire. Vers 22 heures à la fin du repas, Amanda appela un taxi qui les a conduits jusqu’à une boîte de nuit. Quand Alice vit le panneau son sang ne fit qu’un tour. C’était une boîte lesbienne.

« Je vais pas là-dedans.

-Oh que si. Je te l’ai dit on va se lâcher ce soir suis moi. »

Alice se laissa entraîner par Amanda. Une fois dans la boîte, et après quelque verre, elle désigna une fille du doigt à Alice en lui disant à l’oreille d’aller dans les toilettes avec elle. Au début elle était gênée de la demande. Mais après l’insistance de son amie elle décida d’y aller. Alice se leva pour aller au toilette et passa derrière la fille pour lui caresser les fesses discrètement, la fille une rousse élancé aux cheveux courts la regarda et la rejoint.

Une fois à l’intérieur la rouquine pris le visage de la blonde entre ses mains et lui déposa un baiser sur les lèvres. C’était à la fois intense et étrange, elle qui jusque-là n’avait jamais embrassé de fille se redécouvrait dans cette expérience. Elles entrèrent dans l’une des cabines où Alice se fit déshabillé par sa partenaire, elle avait un petit triangle de poils blond dont la pointe était le début de sa chatte, comme une flèche qui indiquait le chemin. L’autre fille se mit à genoux et commença à la lécher et à la doigter. D’abord un seul doit dans le vagin pendant que la langue s’occupait du clitoris, rapidement un autre doigt s’introduit dans l’intimité d’Alice, suivit d’un autre. Les sensations que ressentait Alice était incroyable impossible de savoir si c’était la fille où l’alcool qui faisait ça. Elle était sur un nuage de plaisir, un paradis dont le sexe était seul maître. Les doigts dans sa chatte étaient de plus en plus humides. Jusqu’à la libération la jouissance, l’orgasme, l’orgasme puissant, salvateur celui qu’on espère avoir à chaque fois. Elle envoya une belle rasade de sa jouissance vers sa partenaire qui en reçu autant sur son t-shirt, qui ne servait plus à rien entre sa sueur et la cyprine il ne cachait plus ses seins nus en dessous de ce dernier. La rouquine enleva son pantalon noir elle ne portait rien en dessous. Alice lui expliqua que c’était que c’était sa première fois, l’autre fille lui dit qu’elle lui montrera comment faire. Elle posa tendrement la tête sur son corps qu’elle commença à embrasser tendrement, elle descendait de plus en plus, elle avait commencé au niveau des seins et avait déjà atteint le nombril, mais Amanda arriva et la fit se rhabiller pour partir.

Le lendemain Alice essaya d’avoir une explication d’Amanda.

« Tu n’étais pas prête à faire ça. Tu te serais humilié devant une fille qui est habitué à bien mieux que ça.

-Alors pourquoi m’y avoir envoyé en premier lieux ?

-Je voulais que tu vois ce qui se passe quand tu te lâche. C’est ce qu’on va faire pendant 14 jours toutes les deux. Ce soir j’ai une invitation à une soirée privée. Je sais que tu aimes le sexe donc la seule chose qui t’empêche de prendre ton pied c’est toi même. Réfléchis-y. Si tu penses que tu peux passer outre ces barrières que tu te fixes toutes seule.

-Je Je

-J’aurais réagi de la même façon que toi si quelqu’un m’avait dit ce que je te dis à ton âge et j’aurais surement fait ce que je pensais bon pour moi.

-Je vais le faire »

Alice était décidé elle se ferait emmener dans toutes les soirées, boîte qu’Amanda voudrait et ceux sans broncher. C’était étonnant mais les mots qu’avait utilisés Amanda depuis qu’elles se sont rencontrées résonnaient dans son esprit.

Le soir venu Alice et Amanda arrivèrent dans une salle éclairée d’une lumière tamisée rouge avec une dizaine de personnes, il devait y avoir quatre ou cinq hommes, Alice n’avait pas envie de compter. Elle se fit rapidement approcher par deux hommes qui l’ont prise dans une pièce à part. Les deux hommes baissèrent le pantalon devant une fille de dix-huit désemparé face à deux hommes, un grand mince blond avec les cheveux gominé vers l’arrière avec une bite d’une quinzaine de centimètre et elle aussi fine, l’autre était plus petit et trapu que le premier avec les cheveux légèrement décoiffé avec un peu de gel et un engin assez large et long, il devait pas être loin des vingt centimètre.

« Alors ça te fait envie ?

-eh bien Heu

-Tu vois je t’avais dit qu’elle aurait un problème avec deux mecs.

Mais comment tu pouvais le savoir t’es devin.

J’ai pas dit que j’étais pas d’accord. »

Elle se mis à genoux devant les deux types et commença à les branler. Les mains d’Alice étaient en terrain plus connus que la veille. Même si elle n’avait jamais eu deux bites dans les mains elle savait comment s’en occuper, les mouvements à faire. Assez vite les deux bites devinrent bien raides, Alice lâcha les masturbations et les va et viens. Le plus grand se mit derrière elle tandis que l’autre eu la bite directement dans la bouche de la blonde. Les coups de bite du blond faisaient coulisser la bouche d’Alice sur la bite de l’autre, puis le mouvement de rein de l’autre ramener la bite du premier au plus profond de la chatte d’Alice. Ainsi cela continua pendant quelques minutes. Jusqu’à ce que les deux veuillent jouirent. Ils se retirèrent et éjaculèrent sur les seins d’Alice.

Une fois rhabillé et ressortis Alice se fit draguer par une belle brune. Mais Amanda pris Alice par le bras pour la faire sortir.

« Tous les gens qu’il y avait à cette soirée sont des futurs avocat, médecin, cinéaste. Tu n’avais là-dedans que ceux qui sont fait pour devenir quelque chose. Donc si tu y étais c’est que tu deviendras quelqu’un.

Le reste des deux semaines se déroulèrent de la même façon que ses deux soirées, le plus souvent elle passait une soirée en boîte, puis une soirée dans des lieux plus privés. Le premier jour où Alice se rendit à la fac, elle revu la fille de la boîte de nuit, à la fin de leur études les deux jeunes filles se sont mariées. Alice devînt une célébré romancière pour sa trilogie érotique « l’amour à 18 ans ». Le jour où elle devait aller présenter son livre pour une adaptation elle retomba sur les deux hommes de la soirée. Elle eut deux filles avec Marie sa femme, Rose et Melody. Mais la vie continuait de çà et là de le faire reprendre contact avec des gens qu’elle avait croisé durant les deux semaines avec Amanda.

Alice qui avait depuis longtemps oubliée à quoi pouvait bien ressembler Amanda, le jour de son quarantième anniversaire reçu une visite inattendu celle d’un petit homme maigrichon à lunettes assez âgé.

« Qui êtes-vous ?

-Je viens honorer un marché avec une femme. Amanda Tate m’as permis il y a des années de commencer mes essais sur le voyage temporel, mais à la condition que le premier modèle cent pour cent fonctionnel vous revienne, ainsi qu’une photo d’elle »

Le vieil homme lui remit la photo, Alice en tomba à la renverse le visage qu’elle voyait tous les jours dans le miroir était celui d’Amanda. Elle comprit alors pourquoi Amanda lui semblait si familière, comment elle pouvait aussi bien la connaître sans jamais l’avoir rencontré. Alice était Amanda, elle l’as toujours était. À cet instant elle comprit comment Amanda avait tout orchestré à l’époque pour que sa vie soit exactement comme la sienne et elle comprit qu’elle devait maintenant en faire de même avec la jeune Alice.

Alice décida donc de revenir un mois avant sa rencontre avec Amanda loua le 17 rue paradis, acheta un téléphone jetable, réussi à obtenir une photo de Jonathan et Mélissa, se l’envoya à la date qu’elle avait elle-même reçu, réussi à se faire inviter aux soirées privées auxquels elle devait assister. Bref Alice avait tout prévu pour devenir Amanda. Elle se souvenait quand Amanda l’avait arrêté à la boîte de nuit, les mots exact qu’elle avait employé pour la convaincre, c’est comme si tout d’un coup elle était devenus Amanda.

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