(Salutations chers lecteurs. Il s’agit la de la première fois que je me décide à poster l’un de mes textes sur un site le rendant lisible au public, et je viens chercher des avis. J’ai d’autres histoires autour de ce personnage, mais celle-ci me paraissait la plus… intéressante, pour commencer à la mettre en scène.
N’hésitez donc pas à commenter ce que vous pensez, notamment du style d’écriture. Si quelques personnes sont convaincues par ce début, je proposerai de rédiger autre chose. La suite directe, ou bien au contraire, un flash-back de ce qui a amenée la jeune Manon jusqu’ici? Autre chose, encore?
Bonne lecture!)
Manon, jeune fille de 16 ou 17 années à vue d’il, brune aux cheveux mi-longs, un peu grassouillette. Le genre de "grassouillerie" qui plaît bien à voir, pas du tout grosse, simplement trois ou quatre kilos "de trop", résultant sur quelques bourlets, mais surtout de grosses fesses et gros seins pour son âge…
Son âge? Et bien, en réalité, elle a fêtée sa 18éme année il y a trois mois de cela, mais son visage trop enfantin empêche beaucoup d’y croire!
La petite demoiselle a perdu un pari, et… en voulant jouer quitte ou double… deux fois… a reperdu, les deux fois de suite. La voilà alors à accumuler les gages..
De fait, elle est au final forcée d’aller faire les courses… vêtue d’un corset de cuir rose fluo ultra moulant qui comprime ses seins imposants pour une ado, d’un pantalon de cuir noir tout aussi moulant qui écrase ses fesses, d’escarpins obscéne aux talons de 15 cm de haut qui la font galérer à marcher, et, la cerise sur le gâteau…
Sur ses seins comprimés à la force du corset, sur la partie nue, on peut lire "Vide" sur le sein droit, et "Burnes" sur le gauche, formant le joli surnom "Vide Burnes" quand on la voit de fasse, écrit au feutre noir.
On peut comprendre qu’elle ai tenté de se débarrasser des gages, ils sont plutôt.. sadiques… Mais elle n’a fait qu’empirer la situation…
Comme par hasard… D’habitude, à cette heure, le magasin est quasiment vide… mais aujourd’hui est le jour de la sortie d’un film très attendu, et la partie culturelle du magasin a eu droit de vendre des places, pour moins cher qu’au cinéma, ce qui a attirée une énorme foule de clients…
Très vite, la jeune fille panique… Se cacher, vite, vite!… Peu importe ces maudits paris, ses potes sont justes tarés de lui imposer cela!.. Elle s’apprête à courir vers les toilettes, mais… imbécile… ses talons sont bien trop hauts: Il ne faut pas plus de trois pas pour qu’elle se rétame au sol, face en avant… Heureusement, certains dirons, avec humour mais en ayant un poil raison, que ses gros seins comprimés auront fait office d’airbag pour qu’elle ne s’abîme rien en tombant.
Humiliée par sa chute et encore plus paniquée, elle se redresse, et, avec des pas plus prudents, obligée de tituber quoi qu’il en soit par ces maudits talons beaucoup trop haut pour une fille de son âge, elle fuit vers les toilettes… là-bas, elle espère au minimum se laver les seins de cette cruelle inscription. Au moins cinq minutes de marches parmi la foule… elle sent une main lui passer sur les fesses. Elle sursaute, chouine, et accélère le pas…
Enfin, les toilettes! La voilà qui va entrer dans les toilettes des Dames…
"-AIE!"…
Quelqu’un vient de la pousser, de derrière, la faisant se manger la porte des toilettes des hommes en pleine face et en plein seins…
La porte s’est bien sûr ouverte sous le choc, et elle se retrouve de l’autre côté… au moins sept hommes étaient entrain de pisser, ici… Elle tente de ressortir aussi vite qu’elle est apparue, mais… en poussant la porte, on pousse de l’autre côté… Celui ou celle qui l’a poussée ne veut donc pas qu’elle sorte?…
Elle redresse les yeux vers les sept mâles… et sentant bien qu’elle est dans une sale situation… se contente de glisser, d’une voix tremblante, terrifiée…
"-Pitié!…"
