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Ma soeur, ma chérie, et nos envies.. – Chapitre 1




Ces évènements sont déroulés en Juin en 2012.

Le fond du récit est vrai, bien que sa forme soit un peu arrangée.

J’avais 22, ma chérie 20 et ma soeur 25 ans. Les prénoms ont été changés par sécurité.

A l’époque, ma soeur Julie vivait en Martinique depuis 3 ans, et le reste de ma famille avait déjà pu profiter de son appartement pour y passer des vacances à moindre frais.

J’étais le dernier à ne pas y être aller et décidas donc de partir 3 semaines en y emmenant ma copine Marina, petite brune plantureuse au sang chaud.

Arrivés là-bas, le courant passa tout de suite très bien entre ma soeur et ma chérie, et après notre installation, nous avons rapidement pus profiter des richesses de l’île (qui au passage est magnifique). Pendant ses journées de repos, Julie faisait office de guide, nous faisant découvrir les plus belles plages ou lieux de visites autour de chez elle.

C’est lors de ces "après-midi plage" que je pus redécouvrir les formes rebondis de sa poitrine (un petit 90D), de ses fesses plutôt fermes, et qui m’apparurent même pour la première fois captivantes..

Venant d’une famille sportive, ma soeur et moi avions toujours bénéficié d’un physique avantageux mais là c’était comme si ses années outre Atlantique avaient accentuées ses formes.., lui donnant une vrai aura féminine.

Ainsi, dès les premiers jours je me surpris à regarder Julie un peu autrement, et à jeter des coups d’oeil involontaires en direction de son entre-jambe à la recherche de nouvelles images pouvant assouvir ma curiosité.

Mais aucun signe de la petite toison blonde que j’avais pu voir dans notre jeunesse et je compris qu’elle se faisait régulièrement le maillot. Cela me perturbas aussi, de voir que maintenant elle s’occupait d’elle, et de son intimité.

Marina releva également ces détails, elle releva même mes "égarements" ponctuels mais nous en parlions à chaque fois sur le ton de la plaisanterie. Car oui, j’ai la chance d’avoir une chérie très ouverte d’esprit et dont je connaissais déjà à l’époque l’attirance pour le sexe féminin.

Elle qui m’avait déjà taquiné en métropole en demandant de lui trouver une fille pour s’amuser, fut ravie de trouver en Julie son nouveau fantasme, d’une part pour son charme de petite blonde sportive et de l’autre par le fait que ce soit ma propre soeur. Les réflexions sur son corps, sa sensualité ou sur ses "jupes qui sentent bons" devinrent récurrentes. Je pouvais un peu comprendre cette attirance oui, mais pas la concevoir dans la réalité, et en général je trouvais les insistances de Marina plutôt lourde.., pensant qu’elle faisait encore tout ça pour jouer.

Ce qui arriva par la suite fut donc totalement incontrôlé, et je n’aurais jamais imaginer vivre de telles moments :

Au bout d’une semaine, Marina et moi étions relativement bien habitués à la chaleur si humide et étouffante caractéristique des tropiques. Seuls les nuits étaient encore inconfortables et l’invention du climatiseur était pour nous la plus fabuleuse invention de l’homme. Mais en se couchant tard une nuit, nous remarquons que la "clim" ne marche plus. Après de nombreux essais, impossible de la remettre en marche, et la chaleur ne fait que grimper dans la pièce. On décide quand même d’essayer de dormir et au bout d’une petite heure à suer sur le matelas, on recommence à chercher des solutions.

Le recours de la glace à l’eau ne marchant pas, Marina me convainc d’aller réveiller Julie histoire qu’elle remette la clim en marche.

Je vais donc toquer à sa porte, une fois, deux fois, mais j’entends son gros ventilateur tourner à travers la porte, il est clair qu’elle ne m’entendras pas. Je décide donc de rentrer en laissant la porte à moitié ouverte pour la lumière.

Et là, je tombe pile en face de ma soeur qui dort allongée sur le dos, jambes écartées, chemise de nuit relevée jusqu’à la taille donnant un accès directe à son entre-jambe.

Cette situation que je trouve instinctivement gênante au départ devient rapidement excitante, et je me dis que la chance ne passera pas de fois.

Hésitant, tremblant même un peu, je décide quand même de m’approcher petit à petit de son intimité exposée à la lumière du couloir.

Comme prévu, sa vulve est entièrement épilée, légèrement charnue comme j’aime, je me rapproche encore et distingue ses grandes lèvres ressortant de sa petite fente. En fait, son intimité est assez semblable à celle de Marina, bien qu’il manque le petit duvet brun sur son mont de Vénus. Mon coeur bat à 200, je me penche en avant sur le lit, approche mon visage encore et suis maintenant à 20 centimètres de sa fleur. Je respire longuement son odeur intime, plus forte encore grâce à la chaleur tropicale. La situation mêlée à cette odeur est tellement enivrantes que je bande à en avoir mal. Intérieurement je meurt d’envie d’y fourrer ma langue pour la déguster copieusement.

Mais j’entends Marina qui chuchote mon prénom dans l’autre pièce. Je retourne la voir, laissant les portes ouvertes.

Étant très bien monté(19/5.5), j’arrive dans la chambre et suis toute de suite trahis par la grosse bosse du caleçon.. D’ailleurs je n’ai qu’une envie maintenant c’est de prendre ma chérie en levrette et de la faire jouir comme une folle. A ce moment, pour la première fois depuis 1 an, je vois comme un déclic, une lueur étrange dans les yeux de Marina. Elle se lève du lit, ôte sa chemisette et arrivée à ma hauteur délivre mon engin du caleçon prêt à craquer. Elle prend fermement ma queue dans sa petite main et commence à m’attirer vers la chambre de Julie.

J’essaye de résister un peu, mais mon état d’excitation et la détermination de sa poigne sur mon calibre nous amène rapidement devant le lit de Julie qui dort toujours, avec sa belle vulve en spectacle.

Marina tenant toujours ma queue, observe également un instant la scène, je peux sentir son trouble ainsi que ses propres effluves remontées de ses parties intimes. Au bout de 30 secondes, elle m’avance à la droite du lit et me pousse à m’asseoir dessus en tirant ma queue vers le bas. Je me retrouve alors assis en biais à coté du flanc droit de ma soeur, dos à sa tête, ayant un accès visuel sur tout le bas nu de son corps. Cet à ce moment que Marina se met genoux et avale goulûment ma bite qui n’en peux plus. Elle s’applique à me sucer profondément pendant que je tourne la tête pour mater les chaires offertes de ma soeur.

Mon bras droit est libre et j’ai une incroyable envie de la doigtée, de goûter le nectar recueillis dans son antre.

Mais en réalité je fais de mon mieux pour rendre notre présence la plus discrète possible, évitant de m’appuyer trop en arrière dans le lit, et en me disant que le ronronnement du ventilo sera assez fort pour couvrir les bruits de succions de Marina dévorant ma queue. Je suis pourtant proche du corps de Julie je sent même son bras gauche contre ma cuisse et mon bas du dos. Elle à l’air de dormir encore même si je ne peux voir son visage dans ma position.

Une odeur de sexe, alourdit par la chaleur ambiante, commence à embaumer la pièce. Je reconnaît celle de ma chérie dans un premier temps, mon regard se tourne, descend le long son bras gauche et évidemment je la vois se masturber aussi frénétiquement qu’elle s’applique sur mon gland la cochonne.

— "ralentis un peu ma puce, je tiens plus là" lui chuchotais-je.

Elle lâcha alors sa main droite de mon engin tout en continuant les va-et-vient avec sa bouche affamée. Je voit son plaisir monter sur son visage, comme à son habitude elle à sûrement deux doigts remuants profondément son vagin. Je tourne de nouveau la tête vers Julie et là je comprends d’où provient l’autre odeur de femme en chaleur. Sa vulve brille sous le peu de lumière pénétrant la pièce et d’un coup, je vois sa main droite se précipiter dessus pour titiller son clitoris. Mon premier réflexe est de vouloir me lever du lit mais immédiatement une main s’empare de ma queue et s’active dessus avec force. Je pense d’abord à Marina que j’entends gémir de plus en plus et qui veut me terminé avant son orgasme mais je réalise alors que la chaleur dans le bas de mon dos à disparut. Je capte vite que Julie avait en fait retiré son bras de mon dos pour le passer devant moi et se s’emparer de mon pénis gonflé au maximum. Une voix douce et coquine vient alors rompre le silence jusque là observé.

-"t’est bien monté frangin, j’ai hâte de pouvoir y goûter aussi" me lance Julie.

Après ces mots, un tressaillement continue parcours ma nuque. Je sens l’intensité des caresses de Julie décupler, et j’entends Marina gémir dorénavent sans retenue, toujours mon gland entre ses lèvres.

D’un coup, sans prévenir je me vide dans sa bouche et sous l’étreinte manuelle de ma soeur.

L’orgasme est long, puissant, intense au point de me faire mal vers la fin.

Marina garde ma semence en bouche car elle aime pas trop avaler, et met une dizaine de secondes après moi pour crier sa jouissance. Sur ces derniers cris, elle laisse échapper de sa bouche un peu de mon jus qui me coule dessus et sur les doigts de Julie, toujours fixée à ma queue.

Ma soeur enlève alors sa main, l’emmène à sa bouche, et je la distingue lécher doucement les petites tâches blanche qui l’a recouvrent. Décidément je ne l’aurais jamais cru aussi cochonne, et j’avoue que mon excitation n’eut pas vraiment de temps de repos.

Julie sort alors timidement : – "soyez sympa, ne m’oubliez pas.."

La suite au prochain chapitre si cela vous plaît..

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